Évasion
Je suis devant l’évier en train de faire la vaisselle et je rêve.
J’imagine que c’est toi qui fais la vaisselle, nous sommes seuls. Je passe derrière toi et je me colle à toi,
j’empaume tes seins et les caresse. Tu marque ton plaisir par un soupir prolongé, lève ton menton vers le
ciel, les yeux fermés.
Ma main droite descend le long de ton buste par une longue caresse jusqu’à ton ventre que le flatte un
moment, puis descend sur ton pubis que j’enserre plus fermement entre mes doigts. Une plainte s’échappe
de ta bouche et ton corps vibre sous l’attouchement. Ma main se déplace sur ton cul, puis descend jusqu’à
l’ourlet de ta jupe courte, avant de remonter au contact de ta peau. Tu ne porte pas de culotte, comme
souvent quand tu es en jupe et que nous sommes seuls.
Mes doigts s’introduisent entre tes globes charnus et font des va et viens, de ta vulve à ton anus amenant
dans ce mouvement de la cyprine autour de ton petit trou. Je te sens pleine de désir, tu t’es pâmée et as
cessé de frotter les assiettes.
- Continues la vaisselle.
Tant bien que mal, tu poursuis ton travail, tandis que j’enfonce un doigt dans ton anus, je sais que tu adore
ça. Progressivement, le sphincter se détend et je peux introduire un second doigt, une nouvelle plainte
m’informe de ton plaisir. Je continue de limer dans l’œillet déjà beaucoup moins serré. Enfin je retire mes
doigts, un plainte de regret sort de ta bouche. Ma main quitte l’ombre de ta jupe, s’introduit dans ma
poche, en ressort poing fermé et s’introduit de nouveau sous ta jupe. Tu sens un objet froid au contact de
ton cul, un objet froid et dur que j’enfonce dans ton anus. Ton sphincter se referme sur le plug.
Je caresse maintenant ta vulve. La frictionne d’avant en arrière, introduit deux doigts à l’intérieur en te
soufflant des grivoiseries à l’oreille.
Mais tu n’es plus la devant ton évier, ton esprit s’est évadé. Nous sommes dans une forêt profonde, je t’ai
déshabillée, attachée entre deux arbres. J’ai bandé tes yeux, et je caresse tout ton corps, ton cul et ta
chatte. La situation t’excite, certes on est dans les bois, mais on peut être découverts par des promeneurs,
forêt profonde ne veut pas dire inviolable. D’ailleurs tu entend ma voix.
- approche, viens voir.
-Ne parles pas, elle est belle hein ?
- Tu voudrais bien la toucher, la caresser.
- Tu peux te masturber.
C’est une plaisanterie ? Il n’y a pas quelqu’un ? Tu imagines mille questions, mais n’en prononce
aucune. Voyant que tu n’es pas impressionné outre mesure, je te retire le bandeau. Un homme est
effectivement à quelques mètres de toi en train de se masturber. Tu as un haut le corps, affolée de te
retrouver nue et vulnérable devant cet inconnu. Avec moi certes, mais si l’inconnu décidait de m’agresser,
de m’assommer et de te violer, il n’était pas du tout sur que j’aurais le dessus. L’adrénaline montait. Tu
étais partagée entre terreur et excitation.
Je libérais une de tes mains, mais je la ligotais à ton autre main. Je mis entre tes pieds, une branche qui
traînait au sol, solidement attachée à chacun d’entre eux pour les tenir écartés. J’ouvris ma braguette et te
présentais ma queue dressée que, te penchant vers elle, tu t’empressas d’emboucher. Ton goût de la
fellation reprit le dessus sur tes craintes et tu te mis à me sucer avidement. Ton esprit enfiévré poursuivit
son fantasme.
- approche, tu peux la caresser
l’homme s’approcha et commença à te caresser. Ton excitation était à son comble.
- oui, oui, la chatte aussi.
Enhardi, le curieux se mit à l’œuvre, caressant ta vulve, n’allant cependant pas au-delà de ce que j’avais
autorisé. Tu me suçais de plus en plus activement le corps littéralement électrisé.
- tu peux la doigter... tu eus un petit frémissement de surprise
Il ne se le fit pas dire deux fois et introduisit son majeur dans la vulve que je lui avais offerte, puis deux
autres doigts au fur et à mesure de la dilatation des tissus. tu étais complètement en transe, suçant, te
déhanchant, dans une totale hystérie.
- tu peux aussi utiliser l’anus, si tu veux.
Je savais que tu aimait ça avec moi, mais depuis que tu était sous ma domination, personne d’autre que
moi n’avait utilisé cette entrée... Aucune des deux d’ailleurs. Il ne se le fit pas dire deux fois et utilisant
son autre main, entreprit de réjouir ce chemin. Prise par tous tes trous, tu était déchaînée, pour ton plus
grand plaisir et le notre.
Soudain tu poussas de grands cris, le corps secoué de spasmes.
Tu lâchas l’assiette que tu tenais dans les mains et pris appui sur le bord de l’évier, haletant, soufflant sous
la violence de l’orgasme, totalement épuisée.