mia michael
par le 12/12/22
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Les jours suivants, à 8 h, j'assiste à la transformation d'une bande de servantes négligentes et sans manières en servantes stylées, humbles, peureuses et disciplinées.... Il y a une fille fouettée tous les matins, selon la bonne habitude de Madame Stone. Cela se passe comme à Malibu. Les servantes doivent se mettre sur deux rangées qui se font face. La fille punie se met à quatre pattes et Madame Stone relève elle-même la jupe et baisse la culotte avec la mine gourmande d'une chatte qui s'apprête à boulotter l'oiseau dans lequel elle vient de planter ses griffes. Ensuite, elle fouette les fesses de la fille punie, depuis le haut des fesses jusqu'au milieu des cuisses. C'est beau et bruyant : le sifflement du fouet dans l'air, le claquement des lanières sur les fesses et les cris de la fille... J'adore... Entendons-nous, si la fille est punie, ce n'est pas sans raison.
Ensuite, je suis la Première Dame. Je reçois des gens, j’accorde des interviews... J'inaugure des hôpitaux et des crèches... D'accord, c'est un peu casse-pieds, mais en contrepartie, j'ai un spectacle tous les matins, je me fais baiser par Spencer, j'ai un budget pour acheter ce qui me plait et je vais bientôt visiter Paris et Tokyo. J'ai aussi les esclaves à ma disposition, bien sûr.
Le quatrième jour, après avoir fouetté la fille qui lui a déplu la veille, Madame Stone me dit :
— J'ai beaucoup de mal à discipliner ces filles. Je connais des spécialistes du dressage. Je vais faire ça par quatre filles à la fois.
— Excellente idée, Madame Stone.
— Je vais commencer par les familles, les deux sœurs et la mère et la fille.
Je la regarde, surprise. Summer dirait "Ferme la bouche, Ashley". Je ne savais même pas qu'il y avait des filles avec des liens familiaux. Je lui demande :
— C'est qui ?
— Vous allez voir.
Elle crie :
— Aline, Alexandra, Radia, Nouzha, aux pieds !
Quatre filles viennent se mettre devant elle. Elles restent debout, au lieu de s'agenouiller comme une esclave doit le faire quand on lui dit "aux pieds" !
Aline a environ 38 ans, c'est une jolie brune mince, sa fille Alexandra lui ressemble en blonde. Elle doit avoir une vingtaine d'années.

Les sœurs sont sans doute des Marocaines de 25 ou 30 ans, jolies bien sûr, la peau hâlée, les cheveux très noirs.

Madame Stone me dit :
— J'en ai parlé à votre mari et il est d'accord. Je vous en parle parce que je pense que ça vous plaira de voir ça.
Eh ! Mais c'est moi qui m'occupe des filles... Elle me regarde et voit bien que je ne vais pas lui reprocher de s'être adressée à lui. Elle poursuit :
— Vous voulez nous accompagner pour voir comment ça se passe. ? Vous connaissant, je crois que ça va beaucoup vous intéresser.
— Euh... oui... bien sûr...
— Bien. Le quartier où on va n'est pas très sûr. Vous devrez faire exactement ce que je dirai. D'accord ?
— Oui... Madame Stone.
— Mettez cette perruque et ces lunettes noires. Il vaut mieux qu'on ne vous reconnaisse pas.
Elle a tout prévu, y compris que j'allais vouloir l'accompagner.... Deux gardes noirs vont nous accompagner. Ils enchaînent les filles et on va dans le garage. Je pense tout à coup que je n'ai prévenu personne. Une supposition que Madame Stone décide de m'enlever pour demander une rançon... Je lui dis :
— Je dois prévenir mon mari et Madame Conway...
— C'est fait. Mettez la perruque et les lunettes noires.
Je commence à avoir la trouille ! Je lui demande :
— Pourquoi des gardes noirs ?
— On va dans Altgeld Gardens, un quartier afro-américain...
— Comment connaissez-vous...
Elle me coupe et répond avec impatience :
— Je suis née à Washington. Montez dans la camionnette et taisez-vous !
Je monte à l'avant avec Madame Stone. Le chauffeur est un des gardes noirs. L'autre garde est à l'arrière. J'ai l'impression d'être une vedette incognito... ce que je suis. Non, je suis plus que ça : la femme du Président des États-Unis incognito. On roule un bon moment et on arrive dans un quartier de logements sociaux. Des petites maisons toutes semblables sont alignées derrière une pelouse. Les gens qui sont là sont presque tous noirs. Certains nous regardent d'un sale œil. On quitte les petites maisons bien rangées et on arrive devant un bâtiment beaucoup plus grand. Une grosse maison, avec des vitrines sur lesquelles il est écrit "Strip-tease" et "Bar à hôtesses". C'est une autre façon de dire bordel. Le chauffeur s'arrête dans le parking. On descend, mon vagin est tout serré, je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ? Impossible de m'enfuir... Alors, je reste près de Madame Stone. Je suis sûre qu’elle se rend compte de ma trouille et s'en délecte. Un des gardes ouvre les portes de la camionnette et les quatre filles en descendent. Elles ont aussi la trouille, ce qui est bête, car on va juste les dresser, pas les abîmer. Un gros Black, chauve avec des lunettes en or, sort de la maison et vient à notre rencontre. Il embrasse Madame Stone en disant :
— Emma, je suis ravi de te voir
— Moi aussi, Jeffery.
— Alors qu'est ce que tu nous amènes ? Déjà, une super brune !
Eh, mais non ! Il me regarde en disant ça. Madame Stone répond :
— D'abord les filles enchaînées.
— Bien. Venez, on entre.
Un garde tire les filles enchaînées, tandis que je dis au chauffeur :
— Je ne suis pas à l'aise, après ce qu'il vient de dire.
Il répond tout bas :
— Aucune raison d'avoir peur, Madame la Présidente. C'est votre mari qui m'a chargé de vous accompagner...
Ouf ! Mon vagin se relâche...
Jeffery, le gros Black, nous dit :
— Venez boire un verre pendant qu'on s'occupe des filles. On leur a préparé quelque chose d'original.
On entre dans le bordel. Il y a un grand bar, des tables de pole dance, des fauteuils... Ça me rappelle mes débuts à Atlanta...
Dès qu'on est assis, deux serveuses en uniforme sexy viennent nous demander ce qu'on désire. Je remarque qu'elles sont vraiment stylées, elles. Elles font une révérence et puis attendent avec humilité qu'on dise ce qu'on veut. Il est 11 h du matin, je demande un café... Madame Stone, un thé. Le boss et les gardes, des bières. Il me dit :
— Je sais que tu es mariée à un riche industriel, c'est dommage, parce que tu as physique qui ferait un malheur, ici !
— Merci, c'est gentil...
C'est le genre de compliment qui me met mal à l'aise. Heureusement, on parle d'autre chose et au bout d'une petite demi-heure, une serveuse vient dire :
— Les filles sont prêtes, Maître.
On se dirige vers une porte au-dessus de laquelle il est écrit "glory holes". Je sais ce que c'est : un panneau avec des trous. Le client arrive, il met sa bite dans le trou et une fille, à genoux de l'autre côté, le suce. Banal ! Depuis qu'il y a des esclaves, il y a des "glory holes" un peu partout, y compris dans les toilettes des établissements. Jeffery ouvre la porte, j'entre et... Oh mon Dieu, je suis sur le cul ! Non, je vais dire ça plus joliment : j'ai une vraie émotion esthétique ! Je supporte le manque de manière de Madame Stone, car grâce à elle j'ai un spectacle tous les matins et un autre ici. Je vais essayer de décrire ça au mieux. D'abord, je voudrais qu'on se souvienne que les esclaves sont des délinquantes et qu'on peut les traiter comme on veut, à condition de ne pas les abîmer. Un paysan qui traite mal ses animaux peut être poursuivi, mais libre à lui de les marquer au fer rouge, de les attacher ou de les monter ! Alors, voilà...
Les deux sœurs et la mère et la fille sont couchées l'une sur l'autre, sur des bancs assez hauts, en position de 69. Elles sont attachées avec des cordes qui maintiennent leurs poignets et leurs chevilles contre le banc. Une corde supplémentaire passe autour de la taille de la fille du dessus. Elles sont bien ficelées. Je vois déjà plusieurs traces de fouet sur les quatre derrières. Il y a une inscription au-dessus de chaque fille : Aline, la mère, Alexandra, la fille d'un côté, Radia, la sœur et Nouzha, la sœur de l'autre.

Je dis :
— Oh, mon Dieu... c'est beau...
Le patron, Jeffery, répond :
— Oui, ça plaît beaucoup aux clients, surtout quand les filles ont un lien de parenté. Quand une de mes filles fait des manières avec un client, on la met ici pendant quelques heures à la disposition de tous. Ensuite, elle fait tout pour ne plus y revenir.
J'imagine. Il met sa grosse main sur mes fesses et ajoute :
— Tu veux une démonstration ?
— Oh oui, volontiers !
Il me tutoie et me caresse les fesses, mais bon, je suis incognito. Et puis je veux une démonstration, alors je remue peu les fesses contre sa main. Il me demande :
— Avec un bel homme ou le tout venant ?
Avec un bel homme, ce serait trop facile, alors je réponds :
— Le tout venant.
— Tu es une connaisseuse, petite.
Il dit à une servante qui attend, les mains croisées sur le pubis, les yeux baissés :
— Va demander à Leroy et Joey de venir.
— Oui, Maître.
La fille quitte la pièce en courant. Ça, c'est stylé ! Quelques minutes plus tard, elle revient avec deux Blacks. D’abord un gros qui pourrait être le cuisinier à voir son tee-shirt constellé de taches de nourriture. L'autre est beaucoup plus jeune et doit être son commis. Ils ne sont pas appétissants ! Le patron leur dit :
— Allez-y les gars.
Le gros cuisinier sort une grosse bite molle de son pantalon et il va la déposer sur la bouche d'Aline qui fait une grimace et ne bouge pas. Jeffery dit au commis qui est du côté des fesses :
— Fouette la fille.
Quelques coups de fouet sur les fesses de sa fille et Aline dit :
— Arrêtez, s'il vous plaît ! Je suce.
Elle ouvre la bouche et le cuisinier y enfonce son gros sexe qui commence à bander. Il reste un moment dans la bouche d'Aline puis pose son gland sur la vulve d'Alexandra et s'y enfonce tandis qu'elle gémit. Heureusement, le gland est bien mouillé par la salive de sa mère. Le cuisinier va passer de l'une à l'autre, pour se faire sucer par la fille puis baiser la mère.
Le commis joue avec les sœurs. Il commence par donner quelques bons coups de fouet sur les fesses de deux filles qui poussent des cris stridents. Ces esclaves sont vraiment douillettes. Le commis va du côté de Radia et il lui dit :
— Tu me suces la bite ou je continue..
Aussitôt, elle ouvre la bouche. Une menace du fouet et elles sont prêtes à sucer la bite d'un commis ou d'un chien ! Il passe aussi d'une bouche à une vulve. Au bout d'un moment, Jeffery lui dit :
— Change de côté.
Normal, il faut que les sœurs connaissent le goût de la chatte de l'autre. Du sperme passe de la vulve de l'une à la bouche de l'autre.

Ça se complique un peu pour les filles quand le cuistot et le commis enculent les deux sœurs, puis mère et fille. Là, elles font la grimace quand ils passent du cul de l'une à la bouche de l'autre. D'accord, c'est un peu dégoûtant, mais bon, beaucoup de gens n'emploient plus de papier, quand ils ont des esclaves.
À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" + les 2 Samia sont ici :

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Mes livres non illustrés, ici :
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