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le 02/11/22
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Charte
Le collectif Kinky-Lorraine est un espace amical, inclusif, et respectueux de chacun.
Son but est d’organiser des minis-Munch en Lorraine ainsi que des évènements plus privés.
Il met également à disposition de certains membres un espace de communication de groupe, via son serveur.
:la Charte
1 - Comportement :
Respecter la vie privée des membres.
Respecter l'anonymat des membres.
Ne pas diffuser les propos que des membres ont tenus au sein du collectif, en dehors du collectif, sans leur autorisation explicite.
Accepter que l’on souligne vos éventuelles maladresses, et accepter d'en discuter si nécessaire.
Votre vision des choses vous appartient, vous ne devez forcer personne à l'adopter.
Aucune forme de propos, de geste discriminatoire, ou favorisant une oppression, ne sera tolérée.
Le serveur du collectif ne doit pas être utilisé comme un « site de rencontre ».
Aucun message privé ne doit être adressé à d'autres membres via notre serveur, sans avoir recueilli préalablement son consentement explicite sur un salon public.
Les photos et vidéos sont autorisées uniquement dans le cadre de l’accord préalable des personnes photographiées. Toute photo ou vidéo d’une personne n’y ayant pas consenti est proscrite. Toute diffusion sans autorisation expresse des personnes figurant sur la photo ou la vidéo est proscrite.
Le "vrai" BDSM n'existe pas. Merci de garder ce paramètre à l’esprit lorsque vous échangez avec les autres participant·es.
2 - En cas de participation à des évènements et jeux :
À la fois dans vos jeux BDSM, mais aussi dans toutes vos interactions lors des soirées, le consentement préalable de la personne avec qui vous interagissez est essentiel. Il doit être donné de façon explicite, libre, éclairé, informé, spécifique, et révocable. En cas de violation de consentement, vous pouvez vous adresser au staff.
Le non-respect du consentement d’autrui entraine des mesures d’exclusion définitive.
Durant les jeux proposés au sein du collectif, seuls les safe word ''Rouge'' et ''Orange'' devront être employés. Ces mots sont communément admis au sein du collectif et permettront aux autres membres d'intervenir si besoin. Vous devez vous sentir libre d’utiliser ces safes word pour stopper le jeu ou une pratique. Le non-respect de l’arrêt en cas de prononciation est sanctionné d’exclusion définitive.
Les états de conscience modifiée (ébriété, drogue, manque de sommeil ou de nourriture…) sont dangereux dans le cadre de jeux BDSM, tant du côté Top que du côté Bottom. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance dont le(s) participant·e(s) présente(nt) de tels signes.
Les lieux et les espaces mis à disposition doivent rester propres et en bon état. Durant toute la soirée en général, et lorsque vous utilisez un espace pour les jeux en particulier, vous vous engagez à respecter la propreté et à prendre soin du matériel et des lieux mis à votre disposition. Vous vous engagez à nettoyer l’espace et le matériel après son utilisation. Du matériel de nettoyage et des poubelles seront mis à votre disposition.
Évitez toute manifestation bruyante à proximité d’une scène de jeu. Soit-vous respectez ceux qui jouent, soit vous vous éclipsez.
Lorsque des pratiquant·es officient, ne les dérangez pas, en tentant de vous insérer dans le jeu par des actes ou même des paroles. Si les pratiquant·es souhaitent vous intégrer dans leur jeu, iels sauront vous le demander.
Le staff se réserve le droit d'autoriser ou non certaines pratiques durant les évènements organisés.
Les pratiques autorisées le sont sous réserve d’une bonne connaissance et d’une bonne maîtrise des risques impliqués et des mesures de sécurité nécessaires. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance ne respectant pas ces conditions.
Si une pratique vous semble dangereuse ou mal réalisée, adressez-vous à un membre du staff.
Il est interdit de fumer/vaper à l’intérieur des lieux mis a disposition.
Respecter les propriétés individuelles de chacun. Si quelqu'un apporte du matériel, il est en droit de ne pas vous le prêter. Vous devez quoi qu'il arrive lui demander avant de vous en servir.
Respecter son ou sa partenaire, autant que ses limites physiques et psychologique
Systématiquement procéder à une négociation avant une session, afin de m’enquérir des limites de mon/ma partenaire.
Connaître, accepter et communiquer mes limites.
Pratiquer de manière à permettre à chaque instant l’expression d’un refus.
Je m’engage à faire part à l’équipe d’organisation toute situation allant à l’encontre de cette charte.
Je m'engage à respecter la législation en vigueur en France.
Posté dans: Lexique/Definitions
Suggestion
Par : mael
Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée:
-Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs .
Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon.
-avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide.
Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets:
-A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré.
Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Par : KAPA🅒•••🔺rt
Le fétichisme, cette attirance parfois irrationnelle pour un objet spécifique, a longtemps fasciné et intrigué tant les pratiquants que les chercheurs. Plus qu'une simple curiosité, le fétichisme nous interroge sur la nature même du désir humain. Alors que les normes sexuelles sont de manière générale clairement définies, le fétichisme se présente de prime abord comme une déviation par rapport à ce que l'on pourrait considérer comme "normal" (au risque de choquer ;-)), un phénomène qui semble défier la logique des relations sexuelles traditionnelles. Pourtant, il est au cœur de nombreuses réflexions psychanalytiques, notamment celles de Sigmund Freud, qui en a fait l'un des axes essentiels de sa compréhension de la sexualité humaine.
Freud, en pionnier de la psychanalyse, s'est intéressé très tôt aux perversions sexuelles, dont le fétichisme. À cette époque où les sujets de la sexualité étaient encore largement tabous, Freud n'a pas hésité à explorer ce que beaucoup considéraient comme des comportements aberrants, dans le but de mieux comprendre les fondements profonds du psychisme humain. Pour lui, le fétichisme ne se limitait pas à une curiosité ou une aberration, mais s'avérait un élément essentiel pour décrypter la complexité de la sexualité humaine.
Dans ses "Trois essais sur la théorie de la sexualité", Freud propose une vision somme toute révolutionnaire du désir, où le fétichisme est présenté non pas comme une simple anomalie, mais comme une manifestation des pulsions sexuelles sous une forme particulière. Ce que l'on peut trouver fascinant dans l'approche freudienne, c'est la manière dont le psychanaliste lie le fétichisme à des concepts fondamentaux comme les pulsions partielles et le complexe de castration. Pour Freud, l'objet fétichisé n'est pas choisi au hasard ; il est le substitut d'un manque, souvent lié à l'angoisse de la castration. Cette théorie, complexe et parfois controversée, a ouvert la voie à de nombreuses réflexions sur la manière dont nous comprenons et vivons notre sexualité.
I. Le cadre théorique freudien du fétichisme
Le cadre théorique freudien du fétichisme repose sur une série d'observations et de concepts qui ont profondément marqué la compréhension de la sexualité humaine. Freud, en tant que pionnier de la psychanalyse, s'est intéressé au fétichisme dans le cadre plus large de son exploration des perversions sexuelles. Pour lui, ces déviations du comportement sexuel, loin d'être des anomalies marginales, constituaient des fenêtres ouvertes sur les mécanismes sous-jacents du désir humain. Le fétichisme, en particulier, est devenu un point focal dans ses travaux, car il révélait la nature complexe et souvent paradoxale des pulsions sexuelles.
Freud a abordé le fétichisme dans ses écrits sur la théorie de la sexualité, notamment dans ses "Trois essais sur la théorie de la sexualité", où il propose une analyse des pulsions partielles. Selon lui, la sexualité humaine est fondamentalement fragmentée, constituée de différentes pulsions qui ne s'alignent pas nécessairement sur l'objet sexuel traditionnel ou sur la procréation. Le fétichisme, dans cette perspective, émerge lorsque l'une de ces pulsions partielles se fixe sur un objet spécifique, qui devient alors le centre du désir sexuel. Cet objet, souvent inanimé ou non sexuel en soi, prend une importance démesurée, détournant le désir de l'objet sexuel conventionnel.
L'une des idées centrales de Freud concernant le fétichisme est son lien avec le complexe de castration. Freud suggère que le fétiche est souvent un substitut du phallus, plus précisément du phallus maternel fantasmé. Dans cette perspective, le fétichisme est une réponse psychique à l'angoisse de la castration, qui est, selon Freud, un traumatisme fondamental dans le développement psychosexuel. Le fétiche, qu'il soit un objet spécifique comme une chaussure ou une partie du corps comme le pied, devient alors un moyen de nier l'absence du phallus chez la mère. Cette dénégation permet au sujet fétichiste de maintenir une illusion qui protège son psychisme de l'angoisse castrationnelle.
Freud va encore plus loin en établissant une distinction importante entre le fétichisme en tant que perversion et les autres formes de comportements sexuels déviants. Il souligne que, dans le fétichisme, il ne s'agit pas simplement d'une simple déviation du désir, mais d'une structure psychique complexe où le fétiche joue un rôle central dans le maintien de l'équilibre psychique du sujet. En d'autres termes, le fétiche devient un support indispensable pour le sujet, lui permettant de naviguer entre la réalité du manque et le fantasme de complétude. Cette complexité fait du fétichisme un cas d'étude privilégié pour Freud, car elle illustre comment les perversions sexuelles peuvent révéler des aspects fondamentaux de la psyché humaine.
Cependant, Freud ne s'est pas contenté de décrire le fétichisme comme une simple manifestation des pulsions sexuelles. Il a également cherché à comprendre en quoi cette perversion diffère des autres, notamment de la névrose. Pour lui, la différence réside dans le rapport du sujet à son fétiche et dans la manière dont celui-ci est intégré dans la dynamique du désir. Contrairement à la névrose, où le conflit psychique se manifeste souvent sous forme de symptômes qui perturbent la vie quotidienne, le fétichisme permet au sujet de stabiliser son désir en canalisant ses pulsions vers un objet spécifique. Ce faisant, le fétichiste parvient à maintenir une certaine cohérence dans son rapport au monde, malgré le caractère apparemment anormal de son désir.
Freud reconnaît également les limites de sa propre théorie. Dans ses écrits postérieurs, notamment dans ses réflexions sur la structure psychique, il réévalue certaines de ses idées initiales sur le fétichisme. Il admet que la simple fixation sur un objet ne suffit pas à expliquer toute la complexité de cette perversion, et il explore d'autres dimensions, notamment l'importance du fantasme et du symbolisme dans le fétichisme. Ces réflexions montrent que Freud voyait le fétichisme non pas comme une aberration isolée, mais comme un phénomène riche en significations, ancré dans les profondeurs de la psyché humaine.
Le cadre théorique freudien du fétichisme offre ainsi une perspective unique sur la sexualité humaine, en mettant en lumière les mécanismes inconscients qui sous-tendent le désir. Le fétichisme, loin d'être une simple curiosité clinique, devient sous la plume de Freud un miroir des conflits et des tensions qui animent l'être humain dans sa quête de satisfaction sexuelle. Par cette approche, Freud nous invite à repenser les notions de normalité et de déviance, en reconnaissant que la sexualité humaine est intrinsèquement complexe et souvent paradoxale.
II. Les dimensions cliniques du fétichisme chez Freud
Les dimensions cliniques du fétichisme chez Freud révèlent une approche profondément analytique et nuancée de cette perversion sexuelle. Freud, en tant que clinicien, s'est toujours attaché à comprendre non seulement les manifestations externes des comportements déviants, mais aussi les dynamiques psychiques sous-jacentes qui les motivent. Dans le cas du fétichisme, ses études cliniques ont permis de mettre en lumière des mécanismes psychologiques complexes, qui vont bien au-delà de la simple fixation sur un objet. Ces analyses cliniques sont essentielles pour saisir l'ampleur de la réflexion freudienne sur la sexualité et la perversion.
Freud a observé, à travers plusieurs études de cas, que le fétichisme se manifeste souvent dès l'enfance, à un moment où le sujet est confronté à des angoisses primordiales, notamment celle liée à la castration. Ces angoisses, lorsqu'elles sont insupportables pour l'enfant, trouvent une résolution partielle dans la création d'un fétiche, un objet qui sert de substitut au phallus manquant. Freud a documenté des cas où des hommes développaient une fixation intense sur des objets spécifiques comme des chaussures, des sous-vêtements, ou encore des parties du corps comme les pieds. Pour ces individus, le fétiche devient indispensable à leur excitation sexuelle, à tel point qu'il peut parfois complètement remplacer l'intérêt pour le partenaire sexuel en tant que tel. Ces observations cliniques montrent que le fétiche n'est pas simplement un caprice ou une fantaisie, mais un élément central dans l'économie psychique du sujet.
Dans son analyse des cas cliniques, Freud souligne que le fétichiste entretient une relation ambivalente avec son fétiche. D'une part, l'objet fétichisé est source de plaisir et de satisfaction sexuelle ; d'autre part, il représente également une tentative de résoudre une angoisse profonde, souvent liée au complexe de castration. Cette ambivalence se traduit par une oscillation entre l'attirance pour le fétiche et la reconnaissance, parfois inconsciente, de son caractère artificiel ou inadapté. Ce conflit interne est souvent à l'origine de comportements obsessionnels chez le fétichiste, qui cherche à répéter compulsivement des scénarios impliquant son fétiche pour maintenir l'équilibre de son psychisme.
Freud a également mis en évidence que, dans certains cas, le fétiche peut jouer un rôle protecteur. Il protège le sujet de la confrontation directe avec une réalité psychique ou sexuelle qu'il trouve intolérable. En ce sens, le fétichisme peut être vu comme une forme de compromis psychique, une solution qui permet au sujet de continuer à fonctionner sans être submergé par l'angoisse. Cependant, ce compromis a un coût, car il enferme le sujet dans une forme de répétition où le plaisir est toujours lié à un objet extérieur, au détriment d'une relation plus complète et épanouie avec un partenaire sexuel.
Les distinctions que Freud fait entre le fétichisme et d'autres formes de perversions ou de troubles psychiques sont également éclairantes. Contrairement à la névrose, où le sujet est souvent tourmenté par des symptômes qui interfèrent avec sa vie quotidienne, le fétichisme permet au sujet de canaliser ses pulsions de manière plus stable, bien que cela puisse limiter la spontanéité et la diversité de son désir. Dans la clinique freudienne, cette différence est cruciale car elle montre que le fétichisme, bien qu'ancré dans une dynamique de déviation sexuelle, peut offrir une forme de stabilité psychique que les névrosés n'ont pas. Cette stabilité, toutefois, est précaire, car elle repose sur un attachement rigide à un objet spécifique, ce qui limite les possibilités d'évolution ou d'adaptation du désir.
Les critiques et révisions que Freud a apportées à sa propre théorie montrent une prise de conscience des limites de son approche initiale. Il reconnaît que le fétichisme, comme d'autres perversions, ne peut pas être pleinement compris en se limitant à une simple description des symptômes ou à une analyse des pulsions. Le fétichisme implique une complexité symbolique qui touche aux dimensions les plus profondes de l'identité sexuelle et du rapport à l'autre. Les objets fétichisés ne sont pas seulement des substituts du phallus ou des moyens de contourner l'angoisse ; ils sont aussi investis d'une signification qui dépasse leur fonction immédiate. Pour Freud, cette signification est souvent liée à des fantasmes archaïques et à des conflits psychiques non résolus, qui se rejouent dans le cadre du fétichisme.
C'est ainsi que l'exploration clinique du fétichisme chez Freud nous offre un aperçu précieux des mécanismes psychiques qui sous-tendent cette perversion : le fétichisme, loin d'être un simple caprice ou une excentricité, est révélé comme une structure psychique complexe où se jouent des enjeux profonds liés à l'identité, au désir et à l'angoisse. Pour Freud, comprendre ces dimensions cliniques est essentiel pour saisir la nature du fétichisme, non seulement en tant que phénomène sexuel, mais aussi en tant que miroir des dynamiques inconscientes qui animent l'être humain dans sa quête de satisfaction et de sens. Cette compréhension clinique permet également de situer le fétichisme dans un cadre plus large de la psychanalyse, où les frontières entre normalité et pathologie sont sans cesse redéfinies par les complexités du désir humain.
III. Impact et héritage de la théorie freudienne sur le fétichisme
L'impact de la théorie freudienne sur le fétichisme a été immense, tant dans le domaine de la psychanalyse que dans la culture et la société en général. Freud a posé les bases d'une compréhension du fétichisme qui a perduré bien au-delà de son époque, influençant non seulement les théories psychanalytiques ultérieures, mais aussi la manière dont le fétichisme est perçu et interprété dans le discours public. La conceptualisation freudienne du fétichisme, en le reliant à des notions fondamentales telles que le complexe de castration et les pulsions partielles, a offert un cadre théorique qui a permis de considérer cette perversion non pas comme une simple curiosité clinique, mais comme un phénomène central pour comprendre la sexualité humaine dans toute sa complexité.
L'une des principales contributions de Freud a été de normaliser, dans un certain sens, le fétichisme en le plaçant dans le continuum de la sexualité humaine. En le décrivant comme une manifestation des pulsions partielles, Freud a montré que le fétichisme n'était pas une déviation si éloignée des comportements sexuels dits normaux, mais plutôt une variation dans l'expression de ces pulsions. Cette idée a permis de réduire quelque peu la stigmatisation associée au fétichisme, en le considérant comme une partie intégrante de la diversité sexuelle humaine. Cependant, Freud a également maintenu que le fétichisme, en tant que structure psychique, représentait une forme de déviation, notamment en raison de son lien avec l'angoisse de castration et la nécessité de trouver des substituts au phallus manquant. Ce double regard, à la fois normalisant et pathologisant, a laissé une empreinte durable sur la manière dont le fétichisme est compris et traité.
L'influence de Freud s'est également étendue au-delà du domaine clinique, touchant la culture populaire, l'art, et même la législation. Dans la culture populaire, les idées freudiennes ont souvent été vulgarisées, parfois simplifiées à l'extrême, mais elles ont contribué à une prise de conscience plus large des dynamiques psychologiques sous-jacentes aux comportements sexuels. Le fétichisme, en particulier, est devenu un motif récurrent dans la littérature, le cinéma, et les arts visuels, souvent représenté comme une manifestation d'un désir caché ou d'une perversion fascinante. Ces représentations ont été fortement influencées par la conceptualisation freudienne, même si elles ont parfois pris des libertés avec la complexité de ses théories. Freud a, en quelque sorte, contribué à façonner l'imaginaire collectif autour du fétichisme, le transformant en un symbole de la lutte entre l'inconscient et les normes sociales.
Dans le domaine de la psychanalyse, les théories freudiennes sur le fétichisme ont été à la fois adoptées et critiquées par ses successeurs. Des figures majeures comme Jacques Lacan ont revisité et réinterprété les concepts freudiens, apportant de nouvelles perspectives sur le fétichisme. Lacan, par exemple, a introduit le concept de l'objet "petit a", qui renvoie à l'objet cause du désir, une notion qui enrichit la compréhension du fétiche en tant que représentant symbolique du manque. Lacan a également approfondi la question du symbolisme phallique dans le fétichisme, en insistant sur l'importance du langage et des structures symboliques dans la formation du désir. Ces développements théoriques ont permis de compléter la vision freudienne, tout en ouvrant de nouvelles voies pour comprendre les mécanismes du fétichisme dans une perspective plus large et plus symbolique.
Cependant, la théorie freudienne du fétichisme n'a pas été à l'abri des critiques. Certains théoriciens ont reproché à Freud d'avoir pathologisé le fétichisme, en l'associant trop étroitement à l'angoisse de castration et à des structures psychiques rigides. Ils ont souligné que cette approche pouvait contribuer à la stigmatisation des personnes fétichistes, en les enfermant dans un cadre théorique qui ne prenait pas toujours en compte la diversité des expériences et des expressions du fétichisme. D'autres critiques ont porté sur la tendance de Freud à universaliser ses théories, sans toujours tenir compte des différences culturelles ou individuelles dans la manière dont le fétichisme se manifeste. Ces critiques ont conduit à des révisions et à des approches plus nuancées dans le traitement du fétichisme, intégrant des perspectives plus modernes sur la sexualité et les identités de genre.
En dépit de ces critiques, l'héritage de Freud reste indéniablement puissant. Sa théorie du fétichisme continue d'influencer les pratiques cliniques, notamment dans le cadre des thérapies psychanalytiques, où l'exploration des fétiches peut offrir un accès privilégié aux dynamiques inconscientes du patient. De plus, les idées freudiennes ont également trouvé des échos dans les approches contemporaines de la sexualité, qui cherchent à comprendre les comportements fétichistes non pas seulement comme des anomalies, mais comme des expressions légitimes de la diversité du désir humain. Les thérapies modernes, en particulier celles qui se concentrent sur l'acceptation de soi et l'intégration des différentes dimensions de la sexualité, doivent beaucoup aux fondations posées par Freud.
L'impact de la théorie freudienne sur le fétichisme ne se limite donc pas à la psychanalyse ; il s'étend à la manière dont la société perçoit et traite les comportements sexuels non normatifs. Le fétichisme, autrefois considéré comme une perversion honteuse, est de plus en plus reconnu comme une forme de désir parmi d'autres, une reconnaissance qui doit beaucoup à l'héritage freudien. Cependant, cette reconnaissance est ambivalente, oscillant entre l'acceptation et la pathologisation, un reflet de la tension intrinsèque dans la théorie freudienne elle-même. La réflexion sur le fétichisme que Freud a initiée demeure un cadre incontournable pour toute tentative de comprendre les profondeurs du désir humain, un désir qui, malgré ses manifestations parfois déroutantes, reste fondamentalement ancré dans la quête de sens et de satisfaction.
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Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre.
• « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. »
• « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. »
• « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. »
• « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. »
• « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. »
• « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. »
• « Au plaisir du maître, je me plierais. »
Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous.
« Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître.
J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant.
« Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître.
Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir.
« Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître.
« J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je.
Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses.
« Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître.
Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle.
« Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître.
Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe.
« Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il.
Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence.
« Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je.
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Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe.
Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Par : Abby
Le collier est une part importante de la soumission. Quand je le porte, que je le mets, je ne suis plus moi, je deviens une autre, je deviens sa soumise. Mon état d’esprit change totalement, ma personnalité s’efface face à la soumise. J’appartiens à mon DOM dès que mon collier est bouclé. Mon regard change, ma posture aussi, j’essaye d’être plus sérieuse, ce qui n’est pas forcément le cas, mais je passe à ses ordres. Le but étant de me laisser aller et de me laisser faire. Mon collier est un vrai collier de chienne, pas de soumise comme on voit souvent dans les films, je ne mérite rien d’autre, je deviens sa chienne, obéissante, docile… peut-être pas tout le temps, mais c’est ce qu’il apprécie avec moi. Je garde quand même la décision finale sur ce que l’on peut faire, surtout sur les nouveaux jeux, sur les choses connues, il a la main libre. J’ai une fierté en le portant, je suis fière de lui appartenir, qu’il m’ai choisis, moi la débutante, moi qui prends confiance en moi quand je porte mon collier. Il me rend plus forte car je me dépasse quand je le porte, je dépasse tant de choses et surtout je m’affirme, et surtout je m’oublie un peu en le portant. J’oublie les soucis et les choses qui me tracassent, je n’ai plus rien à penser sauf le satisfaire et qu’il soit fier de moi. Je ne pensais pas au départ quand il m’en parlait, que ce collier pouvait tant faire de bien, je me disais oui c’est juste un point de repère, je n’imaginais pas une seule seconde que ce collier allait m’aider. Il signe mon appartenance à mon DOM, le respect que je lui porte. On ne peut pas savoir ce que c’est tant qu’il ne nous l’a pas passé avec un air satisfait, et réjouis. Bien sûr il ne m’a pas apprivoisé aussi facilement que ça. Notre première rencontre a même été cinglante, mon DOM m’ayant fouetté avec car j’avais oublié de le mettre. Les premières fois c’était juste un symbole sans grande importance pour moi. Puis, petit à petit, il est devenu LUI, lui le collier, lui le DOM ? Je ne sais plus très bien faire la différence. Quand je ne peux joindre mon DOM et je j’ai un coup de blues, il me suffit de mettre mon collier et je ressens un calme, une présence comme s’il là, près de moi. Vous direz surement que je suis folle ? Peut-être… mais avez-vous déjà appartenu à quelqu’un ? Vous êtes-vous déjà remis à lui totalement, en pleine confiance, en lui offrant votre corps pour des sévices physiques que vous n’accepteriez d’aucune autre personne ? En lui offrant votre esprit pour qu’il puisse le torturer, vous faire douter de vous-même pour mieux vous faire grandir ? Si oui, et si cette personne est votre DOM alors vous comprendrez certainement ce que je veux dire, sinon il vous sera impossible de comprendre avoir d’avoir vécu cette expérience. Ce petit bout de cuir, anodin et sans importance pour qui ne sait ce qu’il représente pour la soumise qui le porte parfois, est en réalité le support physique de toutes les frustrations que je souhaite éliminer, de tous les progrès que j’ai accomplis depuis que je suis SA soumise, de tous les progrès qui me reste à accomplir… Sans lui je serais sans ce lien permanent qui me permet de grandir, de capitaliser de mes expériences et progrès réalisés pendant les séances. C’est comme s’il enregistrait mes souffrances et mes victoires et c’est vrai, vu ma nudité lors de ces séances, c’est le seul témoin de ce que j’endure, de l’application que je mets à essayer de le satisfaire, de mon abnégation totale devant ses désirs. Et puis, finalement, ce n’est peut-être pas MON collier… C’est peut-être bien une partie de mon DOM qui m’accompagne au jour le jour. C’est mon DOM qui me l’a confié, c’est lui et lui seul qui peut me le reprendre un jour… Alors c’est un simple bout de cuir ou …
Suggestion BDSM.FR pour continuer vos lectures sur le sujet : Collier et Laisse en BDSM, La symbolique du collier et le groupe Collier & Appartenance
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Par : Karl Sarawa
Si il est des actions qui amènent réactions et si ces réactions sont recherchées, l'on peut parler alors d'intention.
L'intention peut être d'amener quelqu'un à supporter une intensité, une longueur dans des actions par exemple d'impact au stick ou à la badine. L'on commence tout doucement, vraiment très doucement dans quelque chose qui serait presque ridicule tellement l'intensité est basse et doucement on habitu la peau, on la chauffe. Ensuite on augmente doucement le rythme et la puissance dans un crescendo langoureux. Le but suprême etant pour moi de ne jamais dépasser une intensité supportable tout en amenant le/la soumise à encaisser bien plus que le/la soumise n'aurait imaginée et surtout que si l'on avait pris aucune précaution de chauffer la personne.
L'intention peut également être de créer un état de relâchement, d'abandon chez le ou la soumise, en organisant la séance de manière à ce que certaines pratiques telles que par exemple le cellophane, le shibari permettent un "attendrissement"psychologique de la personne. Ce qui peut permettre d'amener la personne à croire, à adhérer plus facilement à des scénarios, à des situations dans une dynamique de domination/soumission ou de sadomasochisme.
L'intention c'est aussi et principalement dans un but de prise de plaisir, à travers des situations de domination, d'humiliation ou de souffrance. Le plaisir de donner, tout comme le plaisir de recevoir est essentiel dans les intentions que l'on met dans les actions BDSM.
C'est donc bien souvent avec regret que je vois des gens qui parlent de violence pour parler de sadomasochisme sans comprendre que derrière la souffrance il y a le plaisir de recevoir, le plaisir de donner et que lorsque l'on maîtrise ses actions, on crée une dynamique qui amène la personne consentente à prendre du plaisir .
L'intention de faire mal n'est que bien peu de choses par rapport à l'intention de donner du plaisir qu'il y a sous-jacente aux actions BDSM.
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Par : 💀🕯️⌛Tubalcaïn
Dans le BDSM, le piétinement peut avoir une symbolique forte de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut aussi procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission.
Le piétinement : une pratique BDSM
Le piétinement est une pratique BDSM où une personne (généralement la dominante) piétine l'autre personne (généralement la soumise) avec ses pieds nus ou chaussés. Cette pratique peut inclure plusieurs variantes, notamment :
Piétinement en talons hauts : Cette variante consiste à piétiner la personne soumise avec des chaussures à talons hauts, ce qui peut intensifier la sensation de douleur ou d'inconfort. Les talons peuvent être pointus ou larges, en fonction des préférences des participants.
Piétinement sur des parties spécifiques du corps : Cette variante implique de piétiner une partie spécifique du corps, comme le ventre, le visage ou les parties génitales. Cela peut être particulièrement stimulant pour la personne soumise.
Piétinement avec des accessoires : Cette variante implique d'utiliser des accessoires tels que des bottes, , des bas ou des chaussettes pour piétiner la personne soumise. Ces accessoires peuvent ajouter une texture ou une sensation supplémentaire.
Marche sur le corps : Cette variante implique que la dominante marche sur le corps de la personne soumise, de la tête aux pieds. Cette pratique peut être particulièrement intense, surtout si elle est pratiquée en talons hauts.
Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut également procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission.
Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et doivent être pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. La communication entre les participants est essentielle pour établir les limites et les règles de la pratique.
La symbolique du piétinement dans le BDSM
Dans le BDSM, le piétinement a une symbolique forte de domination et de soumission. La personne soumise est littéralement sous les pieds de la personne dominante, ce qui peut être interprété comme une représentation de son infériorité et de sa soumission totale à la volonté de la personne dominante.
Le piétinement peut également symboliser la punition ou la correction. En effet, si la personne soumise a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre, la dominante peut lui infliger une punition en le piétinant.
En outre, le piétinement peut être utilisé pour créer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, ce qui peut renforcer le sentiment de soumission et de contrôle de la personne dominante.
Enfin, le piétinement peut également être utilisé comme une pratique de fétichisme. Certaines personnes trouvent les pieds très érotiques et peuvent être excitées par l'idée d'être piétinées ou de piétiner quelqu'un d'autre.
Les dominatrices et le piétinement
Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement
Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement peuvent varier en fonction des préférences et des motivations personnelles de chaque personne. Cependant, voici quelques raisons courantes pour lesquelles les dominatrices peuvent être attirées par cette pratique : 1. La domination : Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination dans le BDSM. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de pouvoir contrôler et dominer complètement la personne soumise, qui se trouve sous leurs pieds. 2. Le fétichisme des pieds : Certaines dominatrices peuvent avoir un fétichisme des pieds, ce qui signifie qu'elles sont sexuellement excitées par les pieds. Le piétinement peut leur permettre de satisfaire leur fétichisme tout en dominant leur partenaire. 3. La punition : Le piétinement peut être utilisé comme une forme de punition pour la personne soumise, si elle a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre. Les dominatrices peuvent trouver cela satisfaisant de pouvoir punir leur partenaire de cette manière. 4. La stimulation : Le piétinement peut être utilisé pour créer une stimulation physique pour la personne soumise. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de voir la réaction de leur partenaire à la sensation de douleur ou d'inconfort créée par le piétinement.
La relation entre la dominatrice et le soumis dans le piétinement
Le piétinement dans le BDSM implique une relation de domination et de soumission entre la dominatrice et le soumis. La dominatrice est celle qui domine et contrôle la situation, tandis que le soumis est celui qui est soumis à sa volonté. Le piétinement est l'un des moyens pour la dominatrice de manifester cette domination. Dans une relation BDSM, la dominatrice et le soumis ont établi des règles et des limites claires avant de commencer la pratique. Ils ont également discuté de leurs désirs et de leurs attentes en ce qui concerne le piétinement, afin que chacun soit conscient des attentes de l'autre. Le soumis est prêt à se soumettre à la volonté de la dominatrice, qui est prête à assumer la responsabilité de la sécurité et du bien-être de son partenaire soumis. Lors du piétinement, la dominatrice peut demander au soumis de se mettre à genoux ou à plat ventre, afin qu'elle puisse le piétiner. Elle peut utiliser ses pieds nus ou chaussés pour piétiner différentes parties du corps, en fonction de ce qui a été convenu au préalable. Le soumis peut ressentir de la douleur, de l'inconfort ou de l'excitation en fonction de l'intensité du piétinement. La dominatrice peut également communiquer avec son partenaire soumis pour savoir comment il se sent et s'assurer que les limites établies sont respectées. Dans le cadre d'une relation BDSM, le piétinement est une pratique consensuelle qui peut renforcer la relation de confiance et de respect mutuel entre la dominatrice et le soumis. En effet, le soumis fait confiance à la dominatrice pour respecter ses limites et pour le protéger, tandis que la dominatrice respecte les limites établies et assume la responsabilité de la sécurité de son partenaire soumis. Cette pratique peut également permettre aux participants de mieux comprendre leurs désirs et leurs limites, ainsi que de renforcer leur connexion émotionnelle et physique.
Les aspects psychologiques et physiques du piétinement
Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement
Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement par une dominatrice peuvent varier en fonction de l'intensité de la pratique, de la durée et des parties du corps impliquées. Cependant, voici quelques sensations courantes que le soumis peut ressentir :
1. Douleur : Le piétinement peut être douloureux, surtout si la dominatrice applique une pression importante sur une zone sensible du corps. Cette douleur peut être ressentie comme une sensation de brûlure ou de piqûre.
2. Inconfort : Même si le piétinement n'est pas nécessairement douloureux, il peut être très inconfortable pour le soumis. Il peut ressentir une pression sur les parties de son corps piétinées, qui peuvent devenir engourdies ou endolories.
3. Excitation : Certaines personnes soumises peuvent trouver le piétinement excitant, surtout s'il est pratiqué avec une certaine intensité. Cette excitation peut être ressentie comme une montée d'adrénaline ou une augmentation de la tension sexuelle.
4. Soumission : Le piétinement est une pratique BDSM qui implique une relation de domination et de soumission. Le soumis peut ressentir une sensation de soumission en étant sous les pieds de la dominatrice, qui contrôle la situation et a le pouvoir de décider de la suite des événements. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. Les limites et les règles de la pratique doivent être clairement établies avant de commencer, et la communication entre les participants est essentielle pour s'assurer que chacun est à l'aise avec ce qui se passe.
L'impact psychologique du piétinement sur les participants
DOMINATRICE :
Le piétinement dans le BDSM peut avoir un impact psychologique sur la dominatrice qui le pratique, même si cette pratique peut être source de plaisir et d'épanouissement pour elle. En effet, cette pratique implique une relation de domination et de soumission qui peut avoir des répercussions psychologiques sur les participants. Dans le cas spécifique de la dominatrice, le piétinement peut renforcer son sentiment de pouvoir et de contrôle sur son partenaire soumis. Elle peut ressentir une satisfaction à l'idée de dominer et de soumettre son partenaire, ce qui peut renforcer son estime de soi et son sentiment de puissance. Cependant, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur la dominatrice si elle se sent mal à l'aise ou coupable d'infliger de la douleur ou de l'inconfort à son partenaire. Si elle ne parvient pas à distinguer clairement la frontière entre le jeu BDSM et la réalité, cela peut entraîner des sentiments de culpabilité et de confusion chez la dominatrice. De plus, la pratique du piétinement peut être mentalement éprouvante pour la dominatrice. Elle doit être en mesure de gérer les émotions et les sensations de son partenaire soumis tout en restant concentrée sur la pratique elle-même. Si la dominatrice a du mal à gérer ses propres émotions ou à maintenir une communication claire avec son partenaire soumis, cela peut rendre la pratique difficile et épuisante sur le plan mental. Il est donc important que la dominatrice soit consciente de ses limites personnelles et qu'elle s'assure que son partenaire soumis respecte les règles et les limites établies. La communication ouverte et honnête est essentielle pour que les deux participants puissent tirer le maximum de plaisir et de satisfaction de cette pratique BDSM.
SOUMIS :
Le piétinement dans le cadre d'une relation BDSM peut avoir un impact psychologique sur le soumis qui peut être à la fois positif et négatif.
D'une part, le piétinement peut provoquer une excitation sexuelle chez le soumis, ce qui peut renforcer son désir et son attraction pour la dominatrice. Il peut également ressentir une sensation de soumission qui peut être source de plaisir et d'épanouissement, en étant sous les pieds de la dominatrice et en se soumettant à ses désirs.
D'autre part, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur le soumis si les limites sont dépassées ou si la pratique est trop intense. La douleur et l'inconfort peuvent être ressentis comme extrêmement désagréables et traumatisants, ce qui peut avoir des conséquences psychologiques à long terme.
Le piétinement peut également avoir un impact sur l'estime de soi du soumis. Si la dominatrice utilise cette pratique pour humilier ou dévaloriser le soumis, cela peut affecter son image de lui-même et le faire douter de sa valeur personnelle. Il est donc important que le soumis soit en mesure de fixer des limites claires et de communiquer ouvertement avec la dominatrice afin de s'assurer que ses besoins et ses désirs sont respectés.
En fin de compte, il est important que les participants à une pratique BDSM comme le piétinement soient conscients des risques potentiels et de l'impact émotionnel que cela peut avoir sur eux. La communication ouverte, l'établissement de limites claires et le respect mutuel sont essentiels pour que cette pratique soit pratiquée en toute sécurité et pour que les participants en retirent une expérience positive et enrichissante.
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Par : #
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs.
Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience".
Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience".
Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions.
Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi :
"J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi."
Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux.
J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi :
"J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc."
On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique.
Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc."
Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence.
Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple :
"J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie."
"La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions".
On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;)
C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer.
Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance.
Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire.
Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;)
Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : Maxxence
Qu'est-ce qu'un MUNCH ?
Un Munch est un rendez-vous de rencontres entre personnes ayant pour intérêt le BDSM, ces personnes peuvent être des personnes impliqués de la pratique de relations BDSM ou des personnes qui montrent un intérêt pour ce style d'expressions relationnelles et de pratiques sexuelles.
Un Munch dans l’univers BDSM est organisé de manière formelle ou informelle par des gens identifiables(1).
Le lieu où sont organisées ces rencontres est important:
- C'est un lieu qui présente des caractéristiques qui permettent aux participants de pouvoir bénéficier de toutes les garanties d'être libre d'aller et de venir.
L'endroit doit être facile d'accès et permettre de laisser aux participants le choix de leurs anonymats.
C'est un lieu neutre, un point de rendez-vous qui n'est pas isolé et/ou clos, un lieu qui est ordinairement un restaurant, une brasserie, un café en ville/village.
Les horaires des Munch sont choisis pour permettre au plus grand nombre de participer, il débute le plus tôt qu'il est possible et se termine a des horaires compatibles avec les transports en commun (si ceux-ci sont disponibles dans les environs).
C'est une rencontre dédiée à l'expression et de mise en relation sociale. Le but d'un Munch est la discussion, l'échange de points de vue, d'expériences.
Un Munch est un lieu de rencontres à des fins de communications avec des personnes qui montrent une attention pour un domaine de réflexions et de comportement relationnels, ce n'est pas un lieu de drague! Les personnes qui s'y présentent doivent pouvoir se sentir dans u environnement propice à la réflexion, à la communication sans aucune pression de séduction ou de jugement comportemental (LGBT bienvenu(e)s !) :)
Il n'y à aucun enjeu de pouvoir entre les différents intervenants ou participants, en aucun cas, d'aucune manière.
Quiconque participe à un Munch est en droit d'exiger qu'il soit traité d'égal à égale avec les autres personnes présentes.
S'il existe des règles de bienséance sociale comme dans toutes les réunions publiques, il n'existe pas de "dogme" (règles écrites) ou de manière de s'adresser aux personnes présentes. Le respect des "protocoles" qui peuvent avoir du sens dans des groupements particuliers n’est pas applicable lors de la participation à un Munch.
Ce qui n'est pas un Munch?
Ce n'est pas un moment de pratique BDSM.
- Vous n'avez d'ordres à recevoir de personne ni contraintes à subir de quiconque est présent à ces Munch, seul les règles de civilités ordinaires applicables à une rencontre dans un lieu public sont acceptables.
- Vous ne devez pas accepter d'être témoin ou acteur malgré vous d'exhibition à caractère érotique ou sexuel, celles et ceux qui souhaitent s'y adonner ont de nombreuses autres occasions pour le faire ou doivent, à tout le moins, requérir au consentement explicite de chacun des participants. Vous êtes en droit de refuser ce type de démonstration.
Ce n'est pas organisé dans un endroit isolé.
- Gardez simplement à l'esprit que les gens qui pratiquent et ont le besoin de partager dans la pratique d'un BDSM peuvent le faire lors de centaines d'autres occasions. Le Munch est un moment ou la neutralité et le partage d'expériences sont privilégiés, pas l'action, c'est un lieu de discussions, de réflexions. Ne vous sentez jamais obligé de suivre des personnes qui vont ensuite s'amuser dans un autre lieu, là encore tout repose sur votre libre arbitre. Vous et vous seul êtes en mesure de donner votre opinion et n'avez à subir aucune pression, aucune contrainte d'aucune sorte. Soyez ferme et intransigeant sur ces points.
Ce n'est pas obligatoirement organisé par des associations/entreprises dédiées aux activités libertines et/ou BDSM.
- Si cela va sans le dire, c'est toujours bien mieux en le disant. Vous devez savoir que certaines entreprises commerciales ou associations en mal de notoriété ont compris que le terme "Munch" pouvait apporter "du monde", de la fréquentation, donc un peu d'argent pour leurs petites entreprises. Conséquence de quoi, ces personnes détournent les principes fondateurs des Munch, qui je le rappelle ont pour vocation de permettre aux personnes qui ont une curiosité pour ces pratiques de pouvoir rencontrer et discuter en dehors de toutes contraintes.
Exception notable pour le l'Association Paris-M(4) qui à pour vocation l'organisation de Munch et d’Apé’Rencontres, cette association veille depuis de nombreuses années à ce que cela soit un moment de rencontres qui respect les principaux fondamentaux décrits dans le ce billet.
Ce n'est pas un endroit ou les gens seront mis en situation d'être voyeurs ou exhibés.
Ce n'est pas un endroit ou il est enseigné une "méthode" ou techniques de pratique (cordes, aiguilles, jeux de rôles D/s)
Ce n'est pas un endroit où il est fait commerce de marchandises en relation avec le BDSM (cela n'empêche pas que les équipes organisatrices puissent trouver des partenaires pour les aider dans la promotion de leurs rencontres Munch)
Ce n'est pas une rencontre ou vous avez obligation d'adhérer à une association ou un mouvement spécialisé.
Ce n'est pas un endroit ou l'ont peux faire des photos ou des enregistrements (vidéo/audio).
Ce n'est pas un endroit sélectif ni discriminatoire, il n'y a pas de lettre de motivation à présenter ou de cursus à respecter(3).
Il ne doit pas y avoir de ticket d'entrée ou de paiement préalablement requis pour y avoir accès.
Par exemple, les intitulés "Munch & Play" ou encore des “Munch’n play Maverick”(2) ne sont pas respectueux des bases conventionnelles des "Munch" qui sont pratiqués depuis le début des années 1990 en Amérique du Nord ou bien depuis la fin des années 2000 en France, pour ne citer que ces exemples. Cette usurpation de dénomination n'a que pour but de siphonner la popularité des Munchs historiques. Si vous avez été abusé par ces appellations, n'hésitez pas à le faire savoir autour de vous.
1) Une personne est identifiable par des éléments simples:
Si vous ne disposez pas de son identité sociale (un pseudonyme est respectable !!), vous devez au moins disposer d'éléments de contact comme par exemple un Facebook avec un visage identifiable (identifiable en en privé, cela va de soi).
Un numéro de téléphone est fortement recommandé pour pouvoir joindre les personnes sur place afin de vous y retrouver, vous situez si vous êtes égaré en allant sur les lieux du Munch.
2) le fait que cette appellation "munch" soit dévoyée ne présume en rien des qualités des organisateurs de ces moments de rencontres qui ne sont pas des MUNCH.
https://www.google.fr/search?q=Munch+%26+Play&cr=countryFR,lr:lang_1fr&source=lnt&lr=lang_fr
3) seules les règles de courtoisie liées à l'espace public (brasserie, restaurant ...) sont à respecter. Vous n'avez pas à être traité autrement qu'avec respect et ne devez recevoir d'ordre de personne et n'être contraint à rien ni par personne.
4) http://www.paris-m.org
Version 1.1 (c) Maxence Lascombe - 28 décembre 2017 00H00
Version récente : http://maxxence.tumblr.com/post/169069850348/quest-ce-quun-munch
BDSM.FR vous suggère également cette page
15.7000 vues
Par : Cplefdouce
Je suis une vieille grosse salope très gourmande pour qui la luxure est une passion.
Je suis à nouveau seule. Je recherche en priorité des Hommes entre 20 et 85 ans, endurant, dominateur.
Les photos sont indispensables afin d'effectuer le premier tri.
Si ce monde vous attire, si vous avez l'âme d'un dominateur ou si vous l'etes déjà, venez me prendre
Je suis une véritable garage à bites vide couilles dans tous ses trous : mise à disposition totale possible, ouverte à tous et à toutes bites, seuls ou en groupes constitués pour tous plans tous lieux même Xtreme.... blacks, creampie, bareback, etc...
Je ne veux que du réel pour des moments très chauds............
Hygiène bien évidemment respectée
Bises libertines de sa soumise
PS :
IMPORTANT ! URGENT ! En 1er je veux un photographe pour faire un album de moi, de mes trous pleins et vides
2èm - La vieille grosse chienne que je suis, recherche un Professionnel équipé et vicieux pour tatouages piercings branding scarification - Médecin pervers pour bien être inoculée et défoncée - et un Maitre chien ou animal.
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.
L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.
Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité.
J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.
Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.
confession:
j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas.
lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes.
depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc.. l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶
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