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La fin d'un cycle, et le début d'un autre.
Déchéance et rédemption.
J'étais très amoureux de cette femme.
Elle avait été ma soumise pendant 4 mois, avions vécu une histoire de couple pseudo-vanille, après, pendant 2 ans.
Elle m'avait rendu mon Collier, mais avec le recul, aujourd'hui, je me dis qu'elle était encore ma soumise, sauf que je ne le voyais plus.
Nous nous quittions en nous déchirant 3 fois par semaine, en moyenne.
Pathétiques.
Elle me quittait souvent, avec un discours humiliant à mon endroit (mon envers ?).
J'étais amoureux.
Un jour je l'ai quittée. Sans appel.
La garce a tourné dans mon quartier, m'a trouvé, emboîté le pas.
J'ai essayé de la semer, fait des tours de pâté de maison, accélérant aux coins des rues.
Rien n'y fit.
Comme j'essayais de trouver refuge en ma grotte, elle a réussi à glisser un pied dans ma porte. Est rentrée chez moi par la force.
Une fois à l'intérieur, elle a résisté à mes injonctions verbales de quitter les lieux.
Devant son refus, j'ai essayé de la foutre dehors, manu militari.
Le pugilat qui s'ensuivit ne tourna pas en ma faveur :
Je sortais de chez mon ostéo, mon corps était fragile.
La Salope mesurait 1m80 (enfin, c'est ce qu'elle dit à qui veut l'entendre, en réalité c'est 1m78 1/2) pour plus de 80 kg. Et une Bête animée par la Rage.
La gifle était pour moi une limite très dure.
Pas question de frapper quelqu'un, et encore moins une soumise, au visage.
J'ai vécu une relation vanille avec une femme qui m'a donné 2 enfants. Et en 20 ans de vie commune, nous nous sommes donné 1 gifle chacun.
Méritées. Pour elle comme pour moi.
Je ne suis pas un homme violent.
Et là, le Diable me pardonne, ou pas...
La gifle est partie sur sa joue.
Pas une beigne, non.
Une gifle.
D'autant plus mesurée que je connaissais ses problèmes dentaires.
Elle a tendue l'autre joue, la conne, et en a pris une 2ème.
Elle a demandé "encore".
S'est pris un aller-retour.
Cela faisait 4.
Nous nous sommes regardés, elle a abdiqué.
Le pugilat a repris pour qu'elle sorte de chez moi.
Elle avait réussi à me rendre fou, hors de moi, d'une violence que je ne me connais pas.
Nous étions au sol, je lui ai donné 4 coups dans le gras de la cuisse.
4 droites : "SORS-DE-CHEZ-MOI !!!!"
La Furie s'est mise à hurler :
"BAISE-MOI ! BAISE-MOI CONNARD ! JE MOUILLE PUTAIN ! BAISE-MOI !".
Sauf que moi, je ne bandais pas. Mais alors, pas du tout.
J'ai appelé les flics. J'avais peur.
Elle est partie.
Le lendemain, je suis allé poser une main-courante.
Quelque mois après, j'ai rencontré une autre personne, une belle personne. Une très belle personne.
Férue de gifles.
J'ai eu du mal la 1ère fois. Comment la gifler ? Elle me faisait sentir si gentiment qu'elle aimait ça...
Et puis, elle m'a fait comprendre la puissance furieusement érotique de la salade de phalanges.
C'est devenu notre préliminaire.
Je la giflais, jusqu'à ce qu'elle pleure.
Et je léchais ses larmes.
Ce n'étaient pas des larmes de tristesse, non.
Un jour, je lui ai demandé de se charbonner les yeux comme une pute, comme ma pute.
Je l'ai giflée, elle a pleuré.
Magique, émouvant et beau.
J'ai fait un portrait d'elle, les yeux humides, le rimmel sur les joues.
Un faible sourire sur ses lèvres.
Et ce regard.
Ce regard.
Et mon Collier à son cou.
Je ne regrette rien.
Seuls elle et moi avons vu cette photo. Ou presque.
Vous ne la verrez pas.
Déchéance et rédemption.
J'étais très amoureux de cette femme.
Elle avait été ma soumise pendant 4 mois, avions vécu une histoire de couple pseudo-vanille, après, pendant 2 ans.
Elle m'avait rendu mon Collier, mais avec le recul, aujourd'hui, je me dis qu'elle était encore ma soumise, sauf que je ne le voyais plus.
Nous nous quittions en nous déchirant 3 fois par semaine, en moyenne.
Pathétiques.
Elle me quittait souvent, avec un discours humiliant à mon endroit (mon envers ?).
J'étais amoureux.
Un jour je l'ai quittée. Sans appel.
La garce a tourné dans mon quartier, m'a trouvé, emboîté le pas.
J'ai essayé de la semer, fait des tours de pâté de maison, accélérant aux coins des rues.
Rien n'y fit.
Comme j'essayais de trouver refuge en ma grotte, elle a réussi à glisser un pied dans ma porte. Est rentrée chez moi par la force.
Une fois à l'intérieur, elle a résisté à mes injonctions verbales de quitter les lieux.
Devant son refus, j'ai essayé de la foutre dehors, manu militari.
Le pugilat qui s'ensuivit ne tourna pas en ma faveur :
Je sortais de chez mon ostéo, mon corps était fragile.
La Salope mesurait 1m80 (enfin, c'est ce qu'elle dit à qui veut l'entendre, en réalité c'est 1m78 1/2) pour plus de 80 kg. Et une Bête animée par la Rage.
La gifle était pour moi une limite très dure.
Pas question de frapper quelqu'un, et encore moins une soumise, au visage.
J'ai vécu une relation vanille avec une femme qui m'a donné 2 enfants. Et en 20 ans de vie commune, nous nous sommes donné 1 gifle chacun.
Méritées. Pour elle comme pour moi.
Je ne suis pas un homme violent.
Et là, le Diable me pardonne, ou pas...
La gifle est partie sur sa joue.
Pas une beigne, non.
Une gifle.
D'autant plus mesurée que je connaissais ses problèmes dentaires.
Elle a tendue l'autre joue, la conne, et en a pris une 2ème.
Elle a demandé "encore".
S'est pris un aller-retour.
Cela faisait 4.
Nous nous sommes regardés, elle a abdiqué.
Le pugilat a repris pour qu'elle sorte de chez moi.
Elle avait réussi à me rendre fou, hors de moi, d'une violence que je ne me connais pas.
Nous étions au sol, je lui ai donné 4 coups dans le gras de la cuisse.
4 droites : "SORS-DE-CHEZ-MOI !!!!"
La Furie s'est mise à hurler :
"BAISE-MOI ! BAISE-MOI CONNARD ! JE MOUILLE PUTAIN ! BAISE-MOI !".
Sauf que moi, je ne bandais pas. Mais alors, pas du tout.
J'ai appelé les flics. J'avais peur.
Elle est partie.
Le lendemain, je suis allé poser une main-courante.
Quelque mois après, j'ai rencontré une autre personne, une belle personne. Une très belle personne.
Férue de gifles.
J'ai eu du mal la 1ère fois. Comment la gifler ? Elle me faisait sentir si gentiment qu'elle aimait ça...
Et puis, elle m'a fait comprendre la puissance furieusement érotique de la salade de phalanges.
C'est devenu notre préliminaire.
Je la giflais, jusqu'à ce qu'elle pleure.
Et je léchais ses larmes.
Ce n'étaient pas des larmes de tristesse, non.
Un jour, je lui ai demandé de se charbonner les yeux comme une pute, comme ma pute.
Je l'ai giflée, elle a pleuré.
Magique, émouvant et beau.
J'ai fait un portrait d'elle, les yeux humides, le rimmel sur les joues.
Un faible sourire sur ses lèvres.
Et ce regard.
Ce regard.
Et mon Collier à son cou.
Je ne regrette rien.
Seuls elle et moi avons vu cette photo. Ou presque.
Vous ne la verrez pas.
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