par vaudoo69
le 15/09/22
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Doc's, Bretelles et Porte-jarretelles...
Elle jaillit hors de la douche, si pressée de redevenir la salope qu’elle a toujours été. Après avoir consommé le temps dont elle avait besoin pour s’apprêter, je ne le visualise pas encore. Mais je le sais, au bruit que je n'entends plus depuis 45 min, elle s'est préparée pour aller dans la pièce secrète, elle ne s'habille jamais dans cette pièce, à part quand elle a prémédité quelque chose.
Quand je l’aperçois sortir de la salle de bain, je découvre qu’elle s’est remise dans ses habits de petite salope,ceux que je n’avais pas revus depuis que nous avions quitté l’appartement, on dirait une skinhead girl un peu perverse sur les bords.
Elle porte ses Doc's à talons de couleur bourgogne, des bas résilles ténébreux surmontés d’un porte-jarretelle en dentelle noirâtre. Pour cacher ses mamelons, elle a enfilé une chemise à petit carreau rouge et noir, nouée au niveau de sa poitrine sur laquelle ses bretelles sont mises de façon à faire ressortir ses seins en les compressant, comme si elle exigeait que je les attache tout de suite.
Une micro-jupe en jean bleu qui oblige son cul pulpeux à rester dehors, qui ne couvre même pas la moitié de son cul, c’est vraiment ça qu’on appelle ras la chatte, ce tout qui a le don de m’exciter.
Je la regarde passer en me demandant comment je vais m’occuper de cette godinette… Mon cerveau fuse, et heureusement que nous existons dans une société compréhensive, que la fornication, la sodomie et le libertinage ne figurent plus dans la liste des délits de luxure, sans ça, je finirai au cachot pour de longues années. Elle, par contre, va terminer dans mon donjon pour mon profit et pour me divertir.
Elle réclame de me servir ou elle utilise mes pulsions pour assouvir les siennes, dans tous les cas, elle a été trop loin dans la provocation, pour que je ne lui fasse pas vénérer mon phallus et mes coups de trique.
Je lui impose de venir m’offrir à boire pour que je la scrute d’un peu plus près, elle se penche sur mon bureau pour récupérer mon verre. C’est à ce moment-là que je l’examine vraiment. Elle en profite également pour se cambrer, je lui mets une première fessée et lui demande d’un ton grave.
« Que cherches tu as accompli dans cette tenue, et surtout dans cette position ? »
Elle se penche encore plus et j’aperçois son nouveau plug…enfin, un dont l'existence m'était inconnue. Je lui remets une déculottée sur ce postérieur magnifique. Elle se cambre même un peu plus, je peux observer à quel point tout son corps a envie que je profite d’elle, voire pire que j’en abuse comme je sais si bien le faire avec elle.
Après une troisième et dernière fessée bien plus puissante que les deux précédentes, je mets ma main sur sa fesse qui est devenue chaude et commence à être rosée. Je lui demande si elle sait que ses faits et gestes vont engager des conséquences.
Toujours sans dire un mot, elle se contente juste de hocher la tête et de dandiner ses meules, de la même manière qu’une vulgaire chatte capricieuse, ce qui conduit à faire sonner les grelots de son bijou anal que je n’avais pas vu. Je l’attrape, l’examine et lui réclame de s’agenouiller entre mes pattes, et lui dit
« comme tu ne veux pas parler, je faire en sorte que tu le fasse pas ! »
Comprenant ce qui lui arrive, elle s’exécute d’un mouvement, elle se retrouve entre mes jambes en totale soumission, en total don de soi-même, son collier entre ses mains et sa langue tendue. Je m’approche avec son plug de sa gueule, pour l’arrêter à quelques centimètres de sa bouche dont le rouge à lèvres fait ressortir le côté pulpeux.
Hésitante, elle finit par s’avancer, et je lui annonce.
« Arrête-toi là, tu ne vas pas seulement le lécher. Je veux que tu le suces en me regardant dans les yeux ».
Je récupère son collier et la regarde sucer son plug, comme si c’était ma bite, ce qui finit de m’exciter. Elle l’a pris sans que le contrat ou le rituel du collier soit fini, elle pouvait refuser, mais voulait tellement servir qu’elle l’a fait, et a accepté.
Maintenant, je lui donne une série d’ordres à exécuter d’un ton sec.
« Garde-le dans la bouche et lève-toi… » « Retourne-toi ! »
Je lui applique une énième fessée avant de commencer à lui mettre son collier en lui disant :
« Si tu désires revenir en arrière, c’est maintenant ! Ce qui va suivre le verrouillage de cette boucle risque de te laisser des marques »
Elle me répond.
« Non, Maître, j’ai confiance en vous, je suis votre chose, votre chienne, votre bagasse ! Faites ce que vous voulez de moi ! »
J’achève de fermer le collier, pour y accrocher une belle chaine en inox doré et tout brillant.
« J’exige que tu sois à quatre pattes entre mes jambes sous mon bureau, le temps que je finisse mon projet et que je me retrouve à plein-temps sur le dressage de la petite salope que tu es ! »
Je la vois commencer à s’agiter, je tire une fois sur sa laisse ce qui l’a conduit à tomber à portée de bouche de ma verge encore enfermée dans mon pantalon. Elle relève un peu la tête et entame de me déshabiller, tout du moins elle a essayé de descendre ma braguette. Je l’arrête, ce qui l’a fruste, je l’analyse, son visage, on dirait qu’elle est pressée d’exister en tant que centre de mon attention, elle le sait que ce qu’elle a accompli a le don de me déplaire et je lui dis.
« Tu sais, je n’avais pas l’intention de t’emmener dans le donjon ! Je travaillais sur un projet, alors laisse-moi finir ! Ou ça ne va vraiment pas te plaire, ce que je vais faire de toi et de ton petit cul ! »
Au bout de 15 min, je sens qu’elle veut vraiment que je m’occupe que d’elle, ça tombe bien, j’ai fini, je vais pouvoir m’occuper de cette bagasse. Je me lève, tire la laisse et lui demande de se tourner, mais avant, je lui arrache le plug sur lequel elle a bavé au moins 20 min. Elle se retourne et se présente en position de la chienne soumise, les mains loin devant elle, les pieds au sol et les miches bien hautes. Son cul nous ferait presque croire qu'il essaye de toucher le ciel . Je lui remets son plug déjà tout lubrifié par sa salive.
« la petite chienne ! » pensais-je.
Par la suite, je tire la laisse pour qu’elle me suive, je lui mets la poignée dans la bouche, on marche, elle reste à 4 pattes presque à mes pieds. Elle est cambrée presque au maximum, épaules surélevées, ventre très bas et cul très haut comme toujours. Elle veut vraiment s’identifier à la petite chienne que j’aurais adoptée. Même si parfois ça change, elle a plus des allures de chatte en chaleur. Entre petite chatte et grosse chienne, son cœur balance.
On arrive au pied de l’escalier qui mène à la pièce qu’on a aménagée en authentique donjon, une espèce de salle de torture ou véritable paradis, tout dépend de mes envies.
Et là, j’apparais dans une humeur de diablotin. Je veux m’amuser un peu avec cette salope de skinhead girl !
...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM, Autres
Suggestion
Par : Heartbeat
1. IRL Très peu de gens savent que je suis bisexuelle.
2. En terminale, mon prof de philo, en parlant du masochisme mental, a fait une petite parenthèse sur le masochisme sexuel.
Pour illustrer ses paroles il a affirmé qu'il fallait vraiment être taré pour dire "oh ouiiii, mets des clous sur ton fouet et frappe plus fooort"... Je me suis dit qu'il avait quand même l'air de bien maîtriser le sujet !!
3. Ca va faire mégalo mais j'aime mon prénom.
4. J'adore mes jobs d'été et de vacances, je m'éclate dans ce que je fais, j'ai parfois l'impression que c'est une chance...
5. Je déteste partir de chez moi le matin quand il fait nuit. Ca ne me booste pas du tout !
6. Une exception : quand il fait super froid, les grillages sont givrés, ils scintillent, c'est tellement joli... De quoi me donner le sourire dès le matin !
7. D'ailleurs tous les matins je cours après mon bus en mode Usain Bolt, je me tape des crises d'asthme, je fais tomber des trucs en chemin (le nombre de fois où j'ai retrouvé mon étui à tabac posé dans le hall d'entrée, haha!), mes nunga nunga se balancent dans tous les sens comme si ils étaient au niveau max de l'échelle de Richter, mais au moins j'ai (presque) toujours mon bus !
8. Je vous raconte pas la déception quand j'ai pas mon bus. Tout ça... pour rien... Je broie du noir toute la matinée après.
9. Je suis fan des chaussures à talon
10. ...Mais je n'en mets presque pas, ça fait tellement mal aux pieds !
11. Mardi-gras est mon jour préféré de l’année !
12. Dans mon ancienne fac, il y avait des moutons qui se baladaient dans le parc avec leur berger, c'était bien marrant!
13. Une fois, j'avais un oral blanc qui tombait un mardi gras. Pas de bol pour moi, il pleuvait. J'avais mis des pantoufles roses (ne mettez jamais de pantoufles quand il peut) très neuneu (assorties à mon pyjama à coeurs rose) et je me suis méchamment rétamée dans une pente boueuse et glissante (sûrement à cause de mes pantoufles). Je me suis présentée à l'oral en retard, pleine de boue et en panique. La classe totale, première impression réussie et tout et tout.
14. Je suis fétichiste des robes Elie Saab, les dentelles, la finesse, la transparence... Rhâââaaaan !
15. Je suis aussi (un peu) fétichiste des dos masculins et féminins. Les petits creux, les sillons, les lignes, c'est super beau. Mais je ne suis pas sectaire, le verso me plait beaucoup aussi !
16. Je ne supporte pas les aigri(e)s, les gens qui comparent et qui systématiquement regardent dans l'assiette des autres (façon de parler), les fouinasses qui guettent dans l'ombre les gens tomber et qui leur sautent dessus une fois qu'ils sont à terre. Je constate (IRL et ici aussi) que parfois, des gens que je connais de vue (donc pas du tout en fait, avec qui je n'ai jamais eu l'occasion d'échanger) manifestent une certaine animosité, je sais pas trop comment l'expliquer, mais un truc bien lourd et négatif à mon égard. A ces gens : allez vous faire cuire un oeuf, pour rester polie.
17. Avant, je n'étais pas comme ça, on me disait que j'étais trop gentille. Mais ça c'était avant ! On se permet souvent des choses, des mots, des avis sans aucune délicatesse parce que j'ai l'air d'être une bonne poire (on doit se dire "oh allez elle va pas le prendre mal" ), que je fais des blagues et que je "rigole tout le temps" (sic) mais je ne me laisse plus faire.
18. Je suis rancunière. Quand on me fait chier, qu'on se comporte mal avec moi, qu'on se permet des choses que je ne me permettrais jamais, je m'en souviens bien.
19. Ca marche aussi dans l'autre sens. Je marche vachement à l'affect... Quand quelqu'un vient vers moi, m'aide, m'écoute ou me fait du bien je m'attelle à lui rendre la pareille et à le soutenir quoiqu'il fasse.
20. C'est le nombre d'étés que j'aurai bientôt vécu. Brace yourselves, HB is coming !!
21. Ce que je préfère dans le BDSM, c'est l'humiliation et la discipline. J'aime obéir et lâcher prise.
22. J'adore passer mes vacances dans mon lit, mais j'aime encore plus les passer "ailleurs"... J'aime les voyages, on en revient bien souvent avec des découvertes, des rencontres et des expériences plein la tête...
23. J'aimerais bien me débarrasser de mes complexes...
24. J'sais pas trop comment m'y prendre, mais un jour, j'y arriverai !
25. J'ai toujours eu un peu de mal avec les gens obséquieux et maniérés qui prennent 10 000 détours pour dire un truc.
26. C'est la fin !
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Par : Abyme
Pour écouter la version voix + musique :
https://soundcloud.com/filo-deva/co-naissance-co-errance
Quelque part
ailleurs
un homme naît maintenant
émerge d'un sourire
dont il fera sa quête
comme les autres
une vie de plus
Que va-t-on lui faire croire?
des statistiques lointaines
nous informent qu'il ne faut surtout pas
bouleverser nos vies
mais un jour
s'il fait certains choix
il pourra tout faire basculer
La roue des possibles s'arrête-t-elle
sur le point de non-retour?
Quelles sont les chances?
Nous faufilerons-nous
entre les gouttes?
Saurons-nous trouver notre trajectoire?
Le corps sait
se rit des apparences
et des faux espoirs
il palpite en silence
La lune naît, liquide,
s'amarre à l'horizon
ponctue la mélancolie
de ce soir opaque
Elle offre un regard cyclopéen
à l'engeance magique
que les troupeaux
d'une voix unique
appellent à genoux
de peur de se connaître
de se reconnaître
Mais
jamais de réponse
jamais de réponse !
Les pas perdus
ou pas
les chemins improbables
creusés ou pas
pavés ou pas
d'intentions
et de rêves
parfois jamais ne se croisent
Nous errons cernés
d'enchevêtrements
de croisements
toutes ces trajectoires
qui parfois relient des solitudes
à d'autres solitudes
des vies entières
au basculement
d'un instant
Le poète errant
n'a pas de trajectoire
son sentier n'est pas battu
il n'existe que sous son pied
au moment où il se pose
Son passé est mort
son lendemain hypothétique
Croiser son chemin
ne relève pas de l'intention
mais du hasard
ou du destin
parfois de la perception
Alors ouvrons des portes
Les sentiers battus
se trouvent derrière
des portes déjà ouvertes
Ouvons des portes nouvelles
Franchissons-les
Assurons-nous une errance éclairée
Peut-être nous y rencontrerons-nous
Quelque part
ailleurs
un homme naît maintenant
émerge d'un sourire
dont il fera sa quête
comme les autres
une vie de plus
Mais la lune sait
la vanité de l'errance
les ambitions ensevelies
le poids du vide
Le poids du vide.
Filo
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Par : Lady Dae
Le soir était tombé. La nuit, promesse de plaisirs épicés, offrait déjà son tapis d’obscurité. Une première bougie sur une table basse en bois illumina soudainement la pièce. La lumière hypnotisait déjà par sa beauté et sa grâce naturelle. Une jumelle l’a rejoignit très vite bientôt suivie de trois autres. Une chaleur nouvelle se dégageait de ce pôle de lumière qui rompait les ténèbres envahissantes.
Se faisaient face deux personnes à la lueur des chandelles. Lui, debout, parfaitement immobile, ne portait rien mis à part une de ces prisons qui le privait d’exprimer son désir. Devant ce tapis lumineux, il attendait son bon vouloir. Elle, debout en face de lui, le regardait avec gourmandise, le détaillant, imaginant mille tourments. Se saisissant d’une longue corde qu’elle gardait doublée en la pliant en deux, elle entreprit de faire, au dessus de son poignet, un tour, puis deux et enfin trois avant enfin de nouer les deux morceaux d’un nœud savant. Le poignet se retrouvait ainsi soumis à la volonté de la corde et par là-même de l’attacheuse. Elle le plaça ainsi dans le dos et le remonta en s’aidant d’un enroulement autour de l’épaule. Lui ne pouvait rien voir de ce qu’elle faisait, mais sentait que la pression ferme de la corde l’immobilisait irrémédiablement sans nul doute. Retenant son souffle, il savait par avance que cela ne faisait que commencer.
Quelques minutes plus tard, l’autre poignet subit le même sort, d’une deuxième corde aussi longue. Les deux gardiennes de coton se rejoignirent alors dans un entrelacement sensuel autour de son buste à lui. Un ballet se dessinait, enserrant davantage encore son buste et ses bras. Fière de ce premier résultat accompli, elle ajouta pourtant une troisième corde à son œuvre qu’elle prit grand plaisir à passer entre ses cuisses, serrant fermement afin qu’il en ressente la morsure à chaque mouvement. Elle ne se départissait pas de son sourire espiègle, tout en restant concentrée sur sa tâche, tournant et retournant autour de lui. Ses mains n’étaient pas pressées et s’amusaient à frôler sa peau. Lui, ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux en suivant sa progression, en ressentant les tours et détours si électrisants. Elle acheva enfin son œuvre en lui menottant les chevilles d’une nouvelle corde. S’écartant de lui un instant, elle l’admira ainsi paré, prenant le temps d’apprécier le spectacle qui s’offrait à sa vue.
Prise d’une idée soudaine, elle l’abandonna un instant, le privant de sa vue. Elle devinait ses interrogations, ses appréhensions, son excitation. Elle avait choisi cet instant justement pour dévoiler une tenue qu’il ne connaissait pas encore. Il la vit paraître, ainsi vêtue d’une longue robe de dentelle noire fendue sur le côté, dont seule, l’obscurité, pouvait dissimuler quelque chose. Elle avait aussi choisi de porter de très hauts talons gainés de cuir afin de lui emballer les sens ce que ses premiers gémissements confirmèrent. Elle s’approcha de lui, le frôla, encore et encore, suscitant son désir par sa proximité et ses mains s’égarant sur lui. Insaisissable, elle tournait et tournait encore autour de lui telle une prédatrice autour de sa proie, lui faisant humer son parfum si envoûtant. Ce soir-là, elle n’était que sensualité, provoquant de nombreux tourments contre les saillants de sa, si étroite, cage. Impuissant, il subissait sans mot dire, ne laissant échapper que quelques plaintes étouffées.
Satisfaite de ce qu’elle avait provoqué, elle lui détacha finalement les chevilles, afin de l’aider à s’agenouiller devant elle. Evidemment, l’ensorceleuse se plaça tout contre lui, le laissant poser sa joue contre elle. Grisé de l’instant, il ne put se retenir et glissa sur le dos, à terre. Sa proie, ainsi offerte promettait de délicieux jeux. Elle continua à le tourmenter de sa sensualité. Elle savait pertinemment qu’elle l’enchainait à elle, ainsi, bien plus efficacement que le moindre morceau de métal. Elle s’agenouilla finalement à sa tête, l’entourant de ses cuisses. Consciente de l’effet qu’elle provoquait, elle s’en amusait, le laissant si proche d’elle sans l’atteindre. Le temps s’était figé.
Le plaisir illuminait le regard de la belle. Elle ondulait par vagues juste au-dessus de sa bouche. Découvrant délicatement un sein, elle caressa ce dernier, puis, le surprenant, lui fit goûter. La langue timide de l’homme découvrit tendrement le sucré de sa peau, lui faisant clore les yeux gourmands. La scène, hors de la réalité, baignait de cette grâce qui n’est possible que lorsque deux êtres se rencontrent dans le vrai sens du terme. Joueuse, elle dénuda son autre sein et lui imposa le même supplice qu’au premier. Balayant les heures de douleur sous les multiples coups de cravaches, elle lui apparaissait comme le trésor qu’il avait tellement recherché. Inspirée par son chaleureux désir, elle lui fit alors toucher au paradis en le laissant la respirer. Il sentait son plaisir. Son humidité grandissante appelait avec force ce contact désiré.
Le ciel s’emplit d’étoiles lorsque, enfin, il l’atteignit…
Divine découverte…
Cadeau inimaginable…
Communion de deux êtres…
Elle le ressentait, elle vibrait…
Il lui appartenait déjà sans aucun mot émis…
Quelle délicieuse obscurité….
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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Par : La Louve
1- j'ai un angiome tubéreux sur le visage, beaucoup moins visible que ds mon enfance mais ca m'as valu les jolis surnom de "la cramé" et la "contagieuse"...et mon crapouillot de la part de ma mère mais c’était affectueux
2- je regrette d'avoir du être la nounou pour un couple d'amis de mes parents, a la finale je devais m'occuper bien plus souvent du papa que des enfants. j'avais 14 ans
3- je suis pas maternelle
4- a 16 ans, je me suis prise des droites dans la gueule accompagné de "salope" pendant une demi heure par ma mère quand elle a découvert ma sexualité active.
5- quand les gendarmes on dit a mon ex "elle vous a peut être quitter en douce", il a répondu "impossible, elle serait jamais partie sans son PC"
6- je supporte mal le silence ambiant
7- la mort n'est qu'une étape, j'ai vu des fantomes
8- Mon père aurait préféré que je ne vois jamais le jour
9- dans la disposition de mes meubles, les portes sont toujours dans mon champs de vision
10- je suis plus salé que sucré... j'adore les gateaux apéro
11- Madame rêve...un peu trop.
12- j'ai beaucoup de mal a parler de moi
13- je suis pas tjrs delicate quand je suis franche
14- je m'entends mieux avec les hommes que les femmes, elle n'aiment pas ma liberté d'esprit et ma tolerance dans le couple...ni que je leur dise que leur bonhomme ont bien du courage pour les supporter...(délicatesse légendaire je vous dit...)
15- pendant longtemps, ma 1ere pensée du matin, au reveil, c'etait merde...je me suis encore reveillée
16- je suis partie de chez ma mere a 18 ans et 1 mois
17- j'ai accouché de ma fille a l'aube de mes 19 ans
18- je suis pas comme ma mère
19- j'aime tt ce qui touche a l'erotisme et la sexualité
20- je bois 2L de coca par jour
21- je suis ponctuelle
22- vers 10-11 ans j'ai decouvert que les jets de la piscine donnaient d'agreable sensations sur ma mimine
23- un homme torse nu en jeans attise mes sens et rendent mes yeux tt brillant
24- comme si cela suffisait pas, mon vrai prenom est aussi atypique que mon visage, l'histoire de ce prenom m'as toujours fait sourire...jaune...
25- quand je n'ecoute pas de musiqque, je la marmonne
26- mon meilleur ami a aussi été mon 1er Dom
27- je ne sais pas etre egoiste
28- chieuse, mais pas chiante
29- je n'ai jamais été amoureuse du pere de mes deux grands, il a été une "excuse" pour quitter le domicile familiale
30- qd je fais une nuit blanche, je deteste entendre au petit matin les 1er petit zozios et voir le jour se lever, c'est en generale là que je part me coucher
31- la 1ere BD erotique sur laquelle je suis tombé, chez des amis de mon pere, au milieu des luky luke et lagaffe, etait ex libris eroticis, j'ai adoré du haut de mes 12 ans et demandais souvent qd est ce qu'on retournait labas... pour la collection de lagaffe...biensure quoi d'autre ?
32- a 7 ans j'ai vu ma mere et celui qui allait devenir mon pere faire des galipettes, je les ai regardé jusqu'a la fin
33- la seule chose de bien rangé chez moi c'est mon PC
34- j'aime la sensualité, pas la vulgarité
35- j'adore scene de menage
36- j'ai souvent héritée du petit nom "ma puce"...vu que je depasse pas le metre 50
37- Mon fils et moi aurions pu mourir le 18 septembre 2014, 106 contre deux camions de chantier,
3 tonnes x2 contre 700kg, bizarrement j'ai pas fait le poids...
38- le matin j'ai une tete de con et je parle pas
39- je deteste d'ailleurs le matin...quand mon reveil sonne je lui reponds avec amabilité de fermer sa gueule
40- ah oui je parle un peu vulgairement parfois...bon ok souvent
41- j'aime l'ironie et l'humour noir
42- je prend tres bien les choses, parfois trop bien, alors que parfois je devrais pas, je me vexe pas facilement
43- j'aime pas les fleurs, a part la rose noire, mais j'aime les plantes vertes, dommage j'ai reussi a faire crever un ficus, pourtant on peut pas dire que ca demande beaucoup d'entretiens...
44- je m'ennui devant la télé
45- je suis tres frileuse, moi qui adore ne porter qu'un tee shirt, je suis malheureuse en hiver, pas de bol la Normandie c'est pas la meilleur region niveau chaleur...
46- ma mere a lacéré ma passion pour les chevaux en refusant que j'en fasse mon metier, motif : ecole trop loin de la maison pour me surveiller
47- j'avais 50 francs d'argent de poche par mois a partir de mes 16 ans
48- j'ai commencé ma premiere cigarette a 13 ans, une gitane piqué avec des copines lors d'une soirée des parents a la maison, ptin c'etait degueu...je suis devenue fumeuse reguliere a 16 ans
49- a 17 ans, mon petit ami m'as bourré la gueule pour coucher avec moi
50- tant qu'on est dans le sujet je bois rarement, 2-3 verres de malibu on va dire tous les 6 mois ou tt aussi rarement et qu'un seul, ca monte vite au crane, kir vin blanc au resto
51- j'aime qd MON HOMME me dit les choses cash, plutot que de me sortir les violons...et l'orchestre j'en parle meme pas...
"Cheri ce soir tu me vois pas! - ah bon tu sors? - non je t'encule." par exemple...quel romantisme...j'ai bien dit MON HOMME !
52- sinon je ne trouve plus rien a rajouter.
53- ma plus grande terreur est de voir une défenestration.
54- j'aime pas lire, je depasse rarement le titre, le seul livre que j'ai avaler jusqu'au dernier mot, c'etait antigone de Jean Anouilh.
55- j'ai herité du gene nocturne de papa, donc couche (trop) tard
56- je cherche pas le contacte humain, plutot solitaire
57- je suis caline
58- il m'as fallu 6 mois et un cauchemar pour comprendre et accepter que mon 1er fils etait mon fils et non pas une erreur de parcours
59- j'ai des enfants formidable...
60- je deteste parler au telephone
61- j'ai un genoux foireux, j'ai peur que ca me pose des soucis pour les cordes
62- j'adore commencé une gaterie au repos et la sentir prendre forme sous mes va et vient
63- j'ai pas le souvenirs de bons moments passées avec ma mère
64- la seule personne avec qui je n'ai aucun mauvais souvenirs etait ma grand mere
65- j'aime pas les chats, enfin si, chez les autres, le mien s'apelle mimine...ou connard...
66- j'ai du bosser pas plus de 3 mois dans ma vie
67- je suis pas venale, pas depensiere, parait meme pas assez, je sais pas vraiment me faire plaisir
68- je n'ai ni Dieu ni Maitre, mais je respecte les croyances et convictions des autres
69- un peu raleuse, mais souvent avec humour
70- je suis pas la meilleure femme de menage, mais j'aime faire la vaiselle avec la musique ds les oreilles
pour finir une anecdote signé mon deuxieme et dernier fils:
fils dit : merde !!!
maman dit: non on dit zut
plus tard papa taquine maman et maman dit : je t'emmerde
fils repond: non maman on dit je t'enzut !!
*********************************************************************
08/08/2016
Je me qualifierai pas de Soumise, ni dans l’âme, ni dans le caractère, mais je peux l’être dans l'attitude je dirai plutôt borderline, j'aime le D/s, la cérébralité, le douceur comme la violence, un peu maso, ouverte d'esprit et plutôt débridée.
La première fois que j'ai entendu parlé du BDSM, c'etait via une plateforme de jeu 3D, en 2013, la discussions s'est engagée et nous avons longuement parlé du sujet, enfin plutôt lui du coup, puis çà m'as intrigué....rien d’étonnant pour quelqu'un qui aime la sexualité et qui en est curieuse quelque soit sa forme, donc j'ai fouiné le sujet, par différent forum, site, et discussions avec des Doms, très vite je me suis faite mon idée....Moi Soumise ? JAMAIS !!!... mouai on en reparlera hein....ceci dit, j'ai vite compris le cotés sain de ses relations, cette façon de tt dire, d’être honnête, dont les choses sont posées et claires, contrairement au vanille ou finalement tous l'monde y l'sais, mais personne y'l'dis.
J’étais en couple à ce moment là, couple qui commençait à vaciller. la décadence à continuer et moi pendant cette année je continuais à m'informer sur ce monde, puis viens septembre 2014, le 18 précisément, jour où j'ai eu un accident important de voiture avec mon fils, pour faire court, une tite 106 contre deux camions de chantier type master et taille au dessus bah j'ai pas fait trop le poids hein, et puis s'en ai suivi une série de coup de massue sur le coin de la gueule durant 1 an, mon couple vacillait de plus en plus, et moi, je réalisais de plus en plus que je ne voulais plus vivre comme ça... jusqu’à ce que rien ne soit plus sauvable, une lutte acharnée pour lui faire comprendre qu'il me perdait, mais en vain, dans cette période le D/s a pris un peu plus de place ds ma tete, je ressentais un besoin qu'on prenne la relève, qu'on me décharge de mes responsabilités, et surtout qu'on m'aide à surmonter ma séparation qui était inévitable, j'ai du moi même l'accepter et ca a pris 6 mois, sauf que mon ex lui la refusait catégoriquement, ça a pris 1 an pour qu'il déménage, et çà a été dur, durant ces 1 an, je lui demandais de partir...et il répondait que non. il était bien ici, qu'il me ferait chier jusqu'au bout "parceque je t'aime MOI."
J'ai eu un guide, virtuel, beaucoup par sms, plus qu'un Dominant, un soutiens morale et un coup de pied au cul aussi qd je faisais les choses de travers ou que je me laisser bouffer.
je continuais toujours à fouiner le sujet, mais je n’étais pas prête a passer au réel, vu le contexte, un peu logique, je n’étais pas dans des conditions sereine pour me lancer la dedans, puis même en perdition, il était hors de question de tromper mon ex, je voulais faire les choses ds l'ordre, d'abord clore ce chapitre. mais une chose devenait de plus en plus limpide pour moi, c’était un monde qui correspondait a ma façon de penser et a ma liberté sexuel, refoulé et bridé jusqu'ici.
Octobre2015....enfin il part....après 12 ans de couple....
Le jour de son départ, le1er, ce fut dur, pour tt le monde,
même si il était hors de question que je lui montre.
Une fois passé la porte, mon fils l'a regardé partir à la fenêtre, il m' a dit "Maman, tu viens pas dire au revoir à Papa" "Non mon Cheri...".
J'avais mal, mal d'avoir échoué, il a fallu que je paraisse forte et que je console mon fils, lui expliquer ce qu'il savait déjà,
que c'était mieux ainsi.
Le soir arrive, mon fils couché, je me suis assise sur une chaise, les coudes posés sur mes cuisses, les bras ds le vide, j'ai regardé chaque recoins du salon comme si c'était la première fois, écouté ce lourd silence, et je me suis dit à haute voix " putain..." Je venais de me prendre la réalité en pleine gueule...j' étais désormais seule, avec la responsabilité de mon fils. "et maintenant...tu fais quoi...?"
A ce jour, je n' ai tjrs pas trouvé de réponse à cette question.
le calme et la sérénité reviennent, et puis je ne me reconnais plus....mes pensées changent, mon passé si lourd que je portais depuis toujours s'apaise, semble reprendre sa place, dans le passé, et non plus dans le présent, je change d'optique petit à petit, de façon de voir les choses, moi qui était tt le temps stressé du lendemain, a présent je m'en foutais, enfin c'est pas le mot, disons que je ne trouvais pas les réponses, et je n'arrivais meme pas à me poser de questions, je ne voyais pas d'avenir, tt semblait flou et totalement inconnue. tout çà s’étend et évolue petit à petit jusqu'a aujourd'hui.
7 mois avant ce fameux octobre, sur mon jeu, je croisais un homme de temps en temps, nous parlions de tt de rien, on apprenait à se connaitre sans grande intention, enfin pour moi, vu le flinguage que je subissais je ne voyais rien d'autre.
en décembre, après un sale coup de mon ex (2 mois seulement après la séparation, et alors que la veille il me pleurait de revenir, Monsieur se tape une gonzesse....et qui plus est, en présence de mon fils -_-"), et en même temps cet homme commençait a être un peu plus explicite dans ces propos....ou c'est moi qui les entends plus clairement, alors je me laisse aller vers cette relation, après tout, ce n’était que virtuel, un jeu, et puis ça m'occuperait un peu....et le temps passe....et la relation deviens plus serieuse, moins "in game", on descends clairement tt les deux une pente "dangereuse" : le reel....les personnages s'effacent, les personnalités plus ou moins jouées, sont remplacées par notre propre personnalité, la vrai, le virtuel s'efface pour faire place au réel, Monsieur sors du placard et Mademoiselle née doucement entre ses mains....ai je dis "Moi Soumise ? JAMAIS !!!" ? ....ah bah ravale tes mots cocotte.....
le lien, les sentiments, l'emprise, et ce, des deux cotés, deviennent de plus en fort et le D/s s'installe, son cotés latin y fait beaucoup, et ça me plait, énormément, ça en devient une relation a double sens, il me fais évoluer autant que moi je le fais grandir et le révèle à lui même, une belle, forte, intense histoire qui prend fin 6 mois après, donc en juin 2016...bah vi....le vanille à découvert le chocolat....et nous voila comme deux cons chacun de notre cotés, a morfler du manque de l'autre....mais c'est comme ça, nous sommes tjrs en contacte qd même, mais plus de la même façon.
disais-je dans mes premiers mots que je ne me qualifierai pas de Soumise ? je me souviens même d'un com posté sur une de mes photos "bon courage à celui qui voudra entendre Maître dans ma bouche"
Mais j'ai été Sa Soumise...et il a été Mon Patron...comme quoi...il suffit parfois de croiser une personne, une seule...
Voilà... un complément aux 70 verités, qui abordait le passé
Voilà... ou nous en sommes aujourd'hui.
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Par : #
1 Ma mère a abandonné l'idée de me faire des frères et sœurs, je lui ai suffit...
2 Je ne l'ai pas embêté longtemps.. à 15 ans je volais de mes propres ailes
3 Je les ai brulé quelques fois mes ailes mais je reste un ange...
4 La phrase précédente fait allusion à mon prénom.. devinez...
5 j'ai horreur de l'injustice sous toutes ses formes, je peux devenir une vrai tigresse pour défendre ce qui me semble juste
6 Ma devise est "Quand on veut , on peut"
7 Pour l'instant je trouve la vie belle! Espérons que ça dure...
8 Quand je mourrai, je voudrai faire éparpiller mes cendres sur la prairie de mon cheval.. un peu d'engrais, ça peut pas faire de tort..
9 Je pleure devant la petite maison dans la prairie, après je me traite d'imbécile..
10 Mes genoux sont moches, moches, moches, bhouuuuuuuuuuuu!!(Je pleure)
11 j'ai(à ce qu'il parait) beaucoup d'humour(quand je veux!!)
12 j'aime les loups..
13 C'est moi!!!!
14 L'âge de ma dernière fille
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Par : Thutale
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.)
1. Je suis née alors que mes parents n’avaient pas encore fini leur croissance. Ma seule existence a suffi à geler à jamais l’ambiance dans ce qui venait de devenir ma famille.
2. Quelques coups du destin plus tard, tout cela a dérapé en mode free-style dans un bad trip permanent dans mon entourage d’enfant. Héroïne, acides, overdoses, suicides.
3. Les premières années de ma vie, ça n’a pas été l’extase. Du coup par contraste, la vie c’est toujours génial maintenant.
4. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour accepter, tolérer, de poser le bout des orteils sur Terre.
5. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour oser me lier à un autre être.
6. J’ai fait beaucoup d’excès pour ne plus avoir mal, et encore davantage pour me faire mal, et il m’a fallu des années pour m’en remettre. Je ne pense pas être capable de faire une autre fois ce chemin.
7. Un jour, j’ai compris que si je ne changeais pas j’allais périr ou pire.
8. J’ai longtemps porté un abîme en moi, mais je suis sevrée de toute souffrance.
9. J’ai longtemps confondu être fort et bander ses forces pour tenir le cap dans le déséquilibre. Mais aujourd’hui je suis détendue et stable.
10. J’ai tellement changé au cours de ma vie que même moi je ne me reconnais pas. La métamorphose est devenue my way of life.
11. J’adore l’introspection.
12. Un jour, j’ai trouvé ma place sur Terre.
13. La spiritualité est le fil conducteur de ma vie.
14. Je suis bien à ma place dans mon boulot. Je crois que je suis exactement à ma place.
15. J’ai besoin d’intensité, peu importe que ce soit heureux ou malheureux ; toutes les sensations d’être en vie m’intéressent.
16. J’ai besoin d’authenticité. Et être d’une telle profondeur que la plus grande transparence ne la trahisse point. (C’est un idéal.)
17. J’aime chaque représentant de l’Humanité, chaque expression de la Vie, j’aime les choses animées et les choses inanimées, comme les galets ou les étoiles, et toutes les choses vertes et vivantes.
18. Je peux entrer en transe en scandant mentalement de la poésie, en contemplant un buisson de fleurs ou en posant le regard dans le profond du ciel.
19. J’ai un idéal de bodhisattva. Enfant je voulais prendre les souffrances de l’humanité sur mes épaules. J’aimerais encore mais j’ai compris que ça ne marchait pas comme ça. Et que la souffrance avait sa raison d’être.
20. J’ai fait partie de plusieurs fraternités.
21. J’ai vécu dans des communautés anarchistes, des ashrams, des fermes autogérées. Des villas avec piscine, des squats, des maisons troglodytes, des maisons aux carreaux cassés où le vent glacé s’engouffrait, des demeures classées monuments historiques.
22. Je porte une étrange pureté.
23. J’oscille sans cesse entre solitude et grégarité, fusion et individuation.
24. J’ai franchi plusieurs fois l’équateur. Je me suis baignée dans tous les Océans dont la température est raisonnable.
25. J’ai appris à aller vers mes points de fascination.
26. Je m’installe parfois debout sur la tête pendant dix minutes sans bouger.
27. J’ai glané des petits pois dans les champs par des nuits de pleine lune.
28. J’ai fait du béton toute nue (et c’est pas malin).
29. Je peux aimer et être aimée, fusionner sans me perdre, et perdre l’amour sans en être détruite.
30. Je lis et relis en boucle certains livres : Tolkien, Bradley, le Zarathoustra de Friedrich, la Consolation de philosophie de Boèce.
31. Je suis en tout sans mesure.
32. De tous les ressentis, celui qui m’est le plus nécessaire est le sentiment de liberté.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
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Par : Abyme
Puisque Thutale me le demande, je me plie à ce jeu consistant à parler de moi, de ma vie et de mes secrets...
1. Je suis né par accident, de deux parents adolescents hippies et naturistes, obligés de se marier. Si l’avortement avait été déjà légal je ne serais pas là. J’ai un quart de sang corse.
2. Le jour du premier pas sur la lune, mes parents et moi y avons assisté en direct, c’était un dimanche soir. Je leur ai dit « C’est mal fait, je préfère Les Envahisseurs ».
3. La même année, j’ai vécu ma première humiliation publique : le maître d’école avait refusé de me laisser sortir faire pipi alors que je me tordais d’envie, car il ne restait que 10 minutes de classe. J’ai fait dans ma culotte et ai subi la risée de toute la classe et ai dû nettoyer pendant la récréation.
4. J’ai appris à lire pratiquement seul avec Tintin et Le Petit Prince. Je savais déjà lire et écrire en entrant au CP.
5. Tout petit j’avais déjà une bonne oreille musicale. Ma mère me montrait en spectacle à ses copines : je devais reproduire des génériques télévisés en chantant, ou n’importe quelle chanson de la radio, et je ne me trompais jamais.
6. Enfant, j’ai appris à sculpter sur des bouts de gruyère à la fin des repas. Mon premier succès fut le buste du Général de Gaulle de 6 cm de haut. Ma mère a essayé de le garder, mais un jour il fallu le jeter.
7. Ma mère était libertine nymphomane. Mais à l’époque on n’utilisait pas ce terme, on préférait dire « salope » ou « traînée ».
8. À 10 ans et demi, mon frère m’a demandé de l’enculer, ce que j’ai fait.
9. À l’école j’ai toujours été premier en dictée, orthographe et français, alors que je n’ai jamais appris mes leçons.
10. Mon dépucelage, à 15 ans, était une grande blonde du même âge, notre histoire a duré plus d’un an. Plus tard elle est devenue mannequin aux USA.
11. À 16 ans j’ai eu la chance de voir mes BD publiées dans un journal régional. Mon personnage était un oiseau sur sa branche, qui dispensait des pensées subversives.
12. La même année (1978) j’ai fondé mon premier groupe. C’était du hard rock, notre nom était Cyanürr. J’étais chanteur-bassiste.
13. Mes parents ont divorcé lorsque j’avais 11 ans, ce fut la guerre entre eux, et mon frère et moi avons été pris en otages, puis séparés : lui chez ma mère et moi chez mon père. Je n’ai retrouvé ma mère qu’à l’âge de 17 ans et demi, âge où j’ai quitté mon père pour entamer 3 ans d’errance en stop & SDF.
14. Je n’ai pas mon bac ni fait d’études (à part 2 ans de psycho, à 30 ans, j’avais fait croire que j’avais mon bac). J’ai toujours eu la moyenne sans travailler. Je n’ai jamais appris mes leçons, j’en étais incapable. Je suis autodidacte pour la plupart de ce que je fais.
15. Un jour, j’ai rencontré mon double parfait : sosie exact, même prénom et même date de naissance. Mon premier roman évoque cette rencontre hors du commun.
16. J’ai toujours été si étonné par le besoin de croire des humains que j’ai fait mes propres études autodidactes de théologie. Fasciné par le mysticisme et l’astro-physique à la fois, j’ai toujours considéré que la croyance religieuse était une espèce de tare, une béquille bénéfique pour les crédules qui en avait besoin. J’ai découvert pourtant que même des gens intelligents pouvaient être croyants, voire fanatiques, ce que je ne me suis jamais expliqué.
17. L’authenticité a toujours été mon crédo : l’honnêteté et la transparence, le fait de ne jamais mentir, me permettent d’être spontané, crédible et totalement libre. J’ai toujours résisté aux influences (y compris l’enseignement), qu’elles soient artistiques, politiques, spirituelles, etc.
18. J’ai découvert la vraie puissance de l’amour lorsque ma fille est née. Ce fut une renaissance.
19. Je suis à la fois un misanthrope cynique et un philanthrope ébahi. Un solitaire sauvage qui s’accorde une multitude de rencontres et d’échanges.
20. Je suis convaincu que la Poésie est le substrat de toute forme d’art.
21. Le fait de vivre en Inde a accentué ma circonspection rebelle envers le système sociétal dans lequel nous sommes coincés en occident.
22. Mon atelier était le QG local des Indignés sous Sarkozy. En parallèle, j’étais rédacteur en chef d’un journal dissident intitulé « Le Dazibao du Chaos », dont la particulartié était de s’afficher dans la rue, et dont la diffusion s’est interrompue en 2012.
23. J’ai pratiqué le judo pendant 9 ans et le kung fu pendant 13 ans. Et l’escalade libre (sans sécurité) toute ma vie, jusqu’à ce que mon handicap du dos me force à arrêter le sport.
24. Cela fait dix ans que je devrais porter un corset pour soutenir ma colonne vertébrale, mais j’ai toujours refusé, par crainte d’en être dépendant. Et je suis toujours debout.
25. J’ai créé une personne virtuelle que je fais vivre depuis huit ans. Elle a participé à plusieurs forums du net, et elle a sa page FB.
26. Cela fait 15 ans que ma fille devrait être morte. Grâce au succès d’une opération du cœur, son espérance de vie est devenue normale.
27. Ma boisson préférée est le jus de fruits. Je bois un peu d’alcool parfois mais je n’accepte pas d’alcooliques chez moi. Mon atelier-loft est un salon de thé.
28. Plus jeune, j’étais un grand timide. Je n’ai pratiquement jamais dragué de ma vie. En général j’ai toujours préféré qu’on vienne à moi plutôt que de solliciter.
29. Depuis ma rupture en 2006 avec la femme que j’aimais, je cultive l’indépendance (opposé de dépendance) et évite l’engagement exclusif. Je me suis rendu compte, comme un cap d’évolution, de maturité, que ce fonctionnement solitude/diversité/liberté me convient parfaitement, et me permet d’expérimenter, d’explorer, de vivre libre, d’être parfaitement bien dans ma peau.
30. Un jour je me suis retrouvé en tête à tête avec Serge Gainsbourg et nous avons discuté pendant trois quarts d’heure.
31. Un jour j’ai dû poignarder un homme (dans son bras, avec son propre couteau) pour sauver ma vie.
32. Lorsque j’avais 19 ans, la maison Barclay m’a proposé un contrat pour un album, mais j’ai refusé (ils voulaient que je traduise mes chansons en français alors que je les avais composées en anglais).
33. Dans le même style : Actes Sud ont accepté le manuscrit de mon premier roman, en 2002, mais comme j’ai refusé d’en changer la fin, le contrat ne s’est jamais fait.
34. Il existe en France 4 femmes qui ne veulent plus faire l’amour avec d’autres hommes après m’avoir connu (dont une depuis 8 ans et une autre depuis 7 ans).
35. Peu après ma séparation avec la mère de mes enfants, je me suis retrouvé un jour sur la plage avec une amante, à une fête en plein air où se trouvaient par hasard mon ex et ma maîtresse, qui venaient de faire connaissance. Elles sont venues me gifler toutes les deux à la suite sans explication, et celle qui m’accompagnait, après leur avoir demandé des éclaircissements, est venue faire de même ensuite. J’ai estimé que je le méritais et ai accepté la sentence sans réagir. J’ai fini la soirée seul.
36. J’ai déjà fait une semaine de prison.
37. Les trois femmes que je fréquente en ce moment le plus régulièrement portent toutes les trois le même prénom, par coïncidence.
38. J’ai dormi des centaines de nuit dans des cimetières de campagne.
39. J’ai inventé des petites choses qui, si j’en avais déposé les droits, auraient pu me rendre riche (le pin’s, le Yalta jeu d’échec à trois joueurs, la poche A4 dans le dos d’une veste, le soundtrack de roman…)
40. J’ai été en froid avec mon père pendant 30 ans. Juste avant de le retrouver, j’avais en tête l’image d’un homme plus jeune que celui que j’étais devenu.
41. Avant de passer derrière l’objectif et de devenir photographe, j’étais modèle, mannequin et comédien. Plusieurs photographes, publicistes et cinéastes ont exploité mon image.
42. J’ai rencontré 9 femmes de ce site, dont 7 avec qui j’ai eu des relations sexuelles, et dont 4 avec qui ça s’est reproduit plusieurs fois.
43. Lorsqu’on me lit (ici notamment), on peut croire que je suis prétentieux, égocentriste, vantard ou même mythomane. Mais lorsqu’on me rencontre on s’aperçoit que non, au contraire : je suis quelqu’un de généreux, attentionné, humble et vrai.
44. J’ai atteint un stade de ma vie où je me sens heureux et libre, en phase avec mes convictions. Je vis hors-système, en toute marginalité (et pauvreté par choix). Il ne se passe pas un jour sans que je crée. L’art, la création et l’expérimentation sont mon moteur de vie principal. Le sexe y est inclus mais est loin d’en être l’élément principal.
Règles du jeu :
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j’aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Abyme",
3) publier ce texte dans la section Articles,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui likeront votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous likez sans être obligé de faire des devoirs, laissez juste un commentaire.
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez le refaire.
Jeu & règles établis ici par Wondersalope.
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Par : ???? Perefouetteur
Allez, puisque j'ai été piégé (bien malgré moi, pfiouuu ...), voici, pour Linsoumise, quelques trucs à se mettre sous la dent ...
1- C’est quasiment un exercice narcissique auquel Linsoumise nous convie … allons-y.
2- Au chapitre pître, je suis né un 1er avril
3- Difficile pour un pître d’être pris au sérieux au premier abord … mais ça m’a toujours fait rire d’être pris pour un branleur – et aujourd’hui je le revendiquerais même
4- D’ailleurs j’adore glander, comme ça, procrastiner sans objectif dans la journée
5- Pour un branleur, je bosse beaucoup trop d’ailleurs … mais en activité, j’ai horreur de la routine, du redondant, du manque de créativité, dans lesquels beaucoup se complaisent … beurk !
6- J’ai un chat, récupéré de dehors ; enfin une chatte en fait.
7- Sitôt intégrée au foyer, elle fut en chaleur, et il fallait lui choisir un nom … mon plus jeune, 5 ans à l’époque, a proposé « Toutouffe » … adopté ! (je ne sais pas d’où lui est venue l’association d’idée, mais il a de l’avenir ce bon jeune !)
8- Ce regard du véto, quand il a fallut qu’il inscrive « toutouffe » dans son registre … arrff !
9- Je me suis mis à fumer la pipe il y a 15 ans environ, pour arrêter de cloper … bah encore maintenant je fume la pipe
10- Un truc qui m’émerveille : découvrir un nouvel univers dans lequel j’ai envie d’entrer … pour moi ce fut successivement la recherche universitaire (ça m’a quitté), l’exigence conviviale du goût et des meilleurs vins, les aventures sexuelles, et enfin le bdsm ..
11- Ah ! enfin, vous dites-vous, on va parler cul ;-) !
12- Tout doux, on va y aller progressivement …
13- Premières expériences sexuelles à 11-12 ans environ … comme un truc naturel (bon c’était plutôt « touche-pipi » à l’époque)
14- Enlevé par un pédophile vers 13 ans, il m’a sucé (ma première vraie pipe en quelque sorte !), s’est branlé, a juté dans son chiffon, et m’a laissé repartir
15- Le plus emmerdant ensuite c’est d’expliquer aux parents pourquoi j’ai mis plus d’une heure pour aller chercher le pain …
16- J’ai été un mari trompé … enfin trompé, non, elle avait mon consentement (ça l’a toujours étonné d’ailleurs)
17- J’ai toujours aimé la compagnie des femmes, même collégien (et même autant que je m’en souvienne au primaire), j’avais autant, voire plus, d’amies que d’amis
18- Encore aujourd’hui, sauf que maintenant ce sont parfois d’anciennes amantes rangées des voitures …
19- Bref !
20- Après séparation, nouvelle vie avec une compagne, peu à peu en couple libre
21- Re-séparation, aventures sexuelles diverses, vanilles, et refus de ma part de trouver autre chose que des relations du type sex-friend
22- Plus ça va, et moins je comprends ce besoin d’exclusivité si répandu …
23- Tiens, un blog intéressant sur les questions autour de la non exclusivité : les fesses de la crémière (tapotez ça sur votre moteur de recherche)
24- Ai-je été libertin ? je l’aurais été vraiment si j’avais rencontré des gens intéressants dans ce milieu …
25- J’y ai plutôt rencontré des faux-semblants, de la méfiance, de la vacuité, et ce fossé entre un discours libertaire et la fermeture d’un petit monde recroquevillé …
26- Peut-être pas tombé sur les bonnes personnes, tant pis.
27- J’ai eu des fantasmes de soumis fut une époque (il y a 7-8 ans), enfin je les qualifie ainsi aujourd’hui, c’était assez confus pour moi à ce moment là
28- Notamment celui-ci : le dard bien raide, à l’orée de son œillet, elle me branle doucement, m’approche, je vais pouvoir entrer mais … non, elle me repousse doucement … me suis branlé un certain nombre de fois sur cette scène !!
29- En période de couple libre, l’une de mes amantes était une vraie furie dès que je lui pinçais les pointes des seins … le bouton qui réveillait la furie !
30- Au début, disons le, son comportement m’a un peu dépassé …
31- Elle a donc assez naturellement pris le dessus au départ, mais je n’en tirais aucun plaisir cérébral, je me sentais comme un observateur … comme étranger à la scène, même si c’était bien ma queue qui était en elle.
32- Et puis, peu à peu, comme une évidence, j’ai repris les choses en mains, décidé de m’écouter ; puisqu’elle était toute énervée, une fessée pour la calmer … et visiblement elle aimait ça, et moi aussi … l’engrenage était lancé !
33- Puis après la fessée, une prise sauvage dans la cuisine …
34- Et peu à peu, au fil des rencontres, une maîtrise de la bête, et le plaisir enfin complet, pour moi, aussi pour elle visiblement … plus je la contraignais, plus elle jouissait, plus je prenais plaisir, cérébralement et queutalement ;-) !
35- une révélation … il y a 4-5 ans, pour situer. Grâce lui soit rendue, elle m’a révélé à moi-même en fait.
36- Et depuis, de rencontres en recherches sur le bdsm, la domination ne m’a pas quitté, j’ai juste mieux appris à gérer cette domination, quelques codes de base …
37- Et au fil des rencontres, à devenir un meilleur dom
38- Forcément attentif, c’est dans ma nature en quelque sorte, mais en imposant mon chemin
39- Cette tension entre l’attention à l’autre, et l’écoute de soi, est aussi ce qui me fait vibrer … un équilibre sur le fil, que quelques règles permettent de circonscrire bien sûr, mais qui se construit différemment avec chaque soumise que j’ai eu la chance de croiser
40- Et voilà … je conserve quelques amantes vanilles, et heureusement car je n’ai plus de soumise depuis 2 mois …
41- Et puis, je trouve mon équilibre ainsi : quelques amies / amantes vanilles, à voir de temps à autres, une soumise pour laquelle je m’investis réellement.
42- C’est con que je n’ai plus 42 balais, j’aurais bien terminé là-dessus
43- Ah si un dernier truc
44- Attention aux pervers narcissiques les filles
45- J’en ai récupéré quelques-unes, qui sont passées entre les griffes de ces grands malades
46- Mention particulière pour Bulle Romaine, qui semble défendre le prétendu D, lequel me semble avoir toutes les mentions requises, un beau spécimen me semble-t-il
47- D’expérience elles en ressortent en doutant d’elles-mêmes, détruites dans leur confiance en elles-mêmes, et ça met bcp de temps à se reconstruire la confiance en soi
48- Tchüsss
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Par : lugtaranis
1) j'habite la plus belle région du plus beau pays du monde le sud ouest .....
2) je suis un peu fou voir des fois completements ...
3) mais j'aime la folie ...
4) petit j'ai failli empoisonner toute ma famille avec la recette du gloubilbouga de casimir ...
5) j'aime les echanges, discuter avec les gens ...
6) l'amitie et quelque chose de sacrée pour moi ....
7) j'aime les nouvelles technologies que je ne maitrise absolument pas et j'aime aussi les antiquités ...
8) quand j'aime c'est forcément avec passion et fougue ...
9) je ne tient pas en place il faut que je bouge tout le temps ....
10) je peux craquer sur un simple regard,les yeux disent plus de choses que les mots ..
11) il m'arrive d'avoir le caractere d'un vielle ours a la sortie de sa taniere ...
12) j'ai parfois besoin de solitude ...
13) bon il m'arrive parfois d'etres fleur bleu mais bon chut..................
14) je suis rester un grand enfant ....
15) je suis un bon vivant j'aime la bonne chaire ....
16) j'aime découvrir de nouvelle choses, besoin d'experiences ....
17) il faut que je l'avoue je suis mauvais perdant alors je peux tricher ou etres de mauvaise foix pour gagner mais toujours avec humour .....
18) j'adore rire de tout meme de la mort .....
19) je suis un carnivore et j'aime le sang (aaaaaa).......
20) un peux ecolo sur les bords.....
21) les regrets ne serves a rien .........................................
22) je n'aime pas voir mes amis tristes ........
23) a l'école j'etatais plutot réveur,je le suis rester d'ailleur .....
24) je suis nul en orthographe mais bon a ce niveau ce n'est plus un secret pour personnes ....
25) j'aurai tendance a prefere la campagne a la ville ...
26) là je commence a secher mais bon je gruge une ligne .....
27) je n'aime pas les gens adepte de la pensées unique ,les redresseurs de torts qui penses mieux que tout le monde ....
28) je ne juge jamais les gens sur leur preferences leur gouts etc.................;
29) pour le sport c'est rugby....
30) je peux me passer de la television mais pas de musique .......
31) voilà adéléa j'éspere que sa te va bon gros bisous a toute et tous
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