nounours_soumis
par le 31/08/22
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Quelques jours de vacances auprès de ma Maitresse sont toujours les bienvenus, quel que soit le programme de chaque journée, vanille ou pas. Nous nous ressourçons mutuellement. Cela n’empêche pas de ponctuer le séjour d’évènements moins ordinaires. Et ce premier week-end en fut l’occasion, certes pas improvisé puisque la date en avait été fixée quelques semaines auparavant. Un soumis cobaye était requis à tes côtés pour contribuer à une rencontre d’initiation aux nœuds entre un de tes amis, shibariste éclairé (il refuse le titre d’expert ;-) ), et une de tes amies dominatrices qui souhaite en savoir plus sur l’art des cordes Evidemment que je n’allais pas refuser une telle proposition. Quoi que, trois dominants autour de moi, j’aurais peut-être dû ! Néanmoins ma confiance en toi est totale, donc aucune raison de m’inquiéter. Déjà, une tenue minimaliste m’a été imposée dès la sortie de la douche. La seule entorse au dress code concerne les sorties pour préparer et gérer le barbecue. Il n’aurait pas fallu choquer le voisinage. Car, pour faire honneur à ton invitée et à notre visiteur du jour, tu as souhaité que je sois apprêté seulement avec le shorty noir laissant mes fesses à l’air libre et le collier. Histoire de calmer d’éventuelles ardeurs, tu m’as aussi demandé de mettre ma cage de chasteté. Une fois n’est pas coutume, calée par mon seul vêtement, elle reste silencieuse ! Voici une tenue peu commune en ce qui me concerne pour recevoir des visiteurs. Mais grâce à toi et tes années « d’éducation », je n’ai plus aucune pudeur pour ce genre de chose. C’est devenu presque naturel.
Après quelques heures de découverte mutuelle avant et pendant le déjeuner, nous passons aux choses sérieuses en début d’après J’ai vraiment l’impression de servir comme les pros, chacun avec sa spécialité (qui modèle de pied, qui modèle de bouche, qui modèle de fesses, …) sauf que selon le sujet à expliquer je dois mettre à disposition soit mon bras, soit ma jambe, voir même mon torse, et même les deux bras au bout d’un moment. C’est un coup à finir « noué » toutes ces leçons de choses … L’essentiel est que le moment soit pédagogique. Après tout, il s’agit d’un premier contact pour assimiler les principes de base. Après, tout n’est qu’une histoire d’entrainement et de répétitions … comme les gammes !
Après un inventaire de ton « arsenal » (on aurait dit trois enfants dans un magasin de jouets !), sans que j’ai bien compris comment c’était arrivé, toujours est-il que je me retrouve à devenir cobaye pour lanières. Protégé par ma cagoule, je me mets en place « au centre de la piste ». A partir de là, je ne saurais dire qui se trouve au bout du manche à un instant précis. La seule certitude que j’ai, c’est que chacun y prend part, soit avec la langue de dragon, soit avec le fouet court. L’un comme l’autre viennent me procurer des frissons toujours aussi bons. De manière inattendue, un miracle se produit ! A priori des marques apparaissent et semblent persister, suscitant d’ailleurs une ruée sur l’appareil photo pour immortaliser ce moment. Il faut dire que cela faisait presque un an depuis la dernière fois que j’avais ainsi réagi. Reste à identifier la formule magique. J’ai bien une petite idée, mais elle n’a rien de cartésien ;-). Quoi qu’il en soit il semblerait que tout le monde s’amuse moi y compris. Pour une première rencontre, c’était plutôt réussi. Ma foi, c’est tout de même plaisant d’être au centre des préoccupations tout autant que d’être à la hauteur de tes attentes et de ta « formation ».
Après le cours de remise à niveau, il fallait bien que tu te remettes à l’ouvrage. C’est donc une soirée cordes qui nous occupe en ce mercredi soir. Une fois n’est pas coutume, la parure de cordes se transforme petit à petit en contrainte au fur et à mesure que les nœuds se multiplient autour de mon corps. En effet, tout commençait simplement par une sorte de parure de poitrine, genre soutien-gorge très revisité. Sauf que petit à petit, mon intimité se retrouve enserrée à la base puis c’est le tour des bras. A la suite de cet embellissement de couleur rouge, tu souhaites poursuivre avec la corde en chanvre brut pour « habiller » mes jambes. Après quelques tentatives infructueuses, ou qui ne te satisfont pas, tu passes au plan B (ou C ?). Mes membres inférieurs resteront libres de leurs mouvements pour cette fois. En revanche, mon torse s’en retrouve encore plus enserré et contraint. Rien pour me déplaire, au contraire. C’est si bon de se retrouver ainsi à ta merci.
A partir de la nuit de vendredi et jusqu’à celle de dimanche, tu décides que je passerai mes nuits paré de la dernière nuisette que tu as acquise. Satinée et violette, elle est du plus bel effet. Il suffit pour cela de regarder tes yeux briller une fois que je la porte. Sans compter que celle-ci s’accompagne d’un déshabillé noir. Quelle différence néanmoins avec la précédente. Ce modèle descend jusqu’au-dessus des genoux. Limite je me sentirais habillé … Si, si, c’est le jour et la nuit. Mais est-ce que cela va durer ? Mystère. Cela te ressemble peu de couvrir ton soumis avec excès. Quoi qu’il en soit, je reconnais que cette étoffe satinée est des plus agréables à porter. Cela tombe bien : trois nuits consécutives à en profiter.
En ce samedi soir, et encore dimanche, je suis en pleine interrogation interne. Suis-je en train d’affronter une période de griffes impactantes ou bien d’impacts griffants? Si je me pose la question, c’est qu’une fois n’est pas coutume tes griffes sont extrêmement présentes tout au long de la soirée, sorte de fil rouge à moins qu’il ne s’agisse d’une ponctuation inédite qui te serait propre. Mon addiction est plus que satisfaite, voir même au-delà de mes espérances les plus secrètes. Des cuisses jusqu’à la nuque, elles me font toujours autant d’effet, des frissons de plaisir au quasi ronronnement de plénitude. Malgré tout, tu ne te limites pas à tes seules « armes » au bout des doigts. Ce serait mal te connaître ! D’ailleurs tu me surprends (encore une fois et certainement pas la dernière!) en me mordant la fesse gauche. J’ignore pourquoi soudain ce soir t’est venue cette envie. Depuis toutes ces années, tu as pu avoir de multiples opportunités. Visiblement mon naturel est revenu au galop : tu viens mordre une deuxième fois pour que quelques marques fugaces apparaissent. La morsure, un grand classique que je découvre ce soir. Un tantinet de notre nature bestiale qui remonte à surface ? Ou alors une façon de marquer son « territoire » ?
Au poids sur mon dos, je comprends qu’une fessée devrait suivre. C’est, je crois, les seuls cas où tu viens ainsi me « chevaucher ». Mon instinct ne m’a pas trompé sur ce coup-là, une volée de claques à mains nues vient s’abattre sur mon postérieur. Mais néanmoins, j’ai le sentiment que tu y vas doucement. Ce serait plutôt un tour de chauffe pour me faire monter progressivement en température. Je commence aussi à déceler une nouvelle « méthode » de ta part. Il semblerait que tu commences par déposer l’objet qui va sévir sur mes fesses ou mon dos avant d’en user, le temps d’un déclic photo. Là encore, j’ai le sentiment que tu y vas crescendo. Je crois reconnaitre en premier la petite languette en cuir qui est plus stimulante que vraiment impactante. C’est déjà bien différent avec la suite. Sans hésitation, tu es en train de me « cuisiner » avec ta spatule en bois. Son contact si reconnaissable ne trompe pas et se fait bien sentir. J’ai désormais l’impression de chauffer sérieusement. Et ce n’est pas la brosse plastique qui vient me rafraichir bien au contraire. Si son contact est moins « heurtant » il n’en reste pas moins lourd. Les sensations à l’impact différent mais les effets se ressemblent étrangement. Mon postérieur aurait tendance à commencer à picoter. La cuisson se poursuit… Désormais, il me semble qu’une baguette vient sévir en mode stries mordantes. Difficile de dire laquelle tu as en main, peut-être la branche de seringa recyclée, peut-être une seconde derrière. Dans ma position, je ne peux pas en juger, quand bien même tu ne m’as pas aveuglé. J’ai même le sentiment d’avoir perdu le fil de tes divers sévices. Ma seule certitude, c’est que je ressens de plus en plus mon postérieur. Je l’imagine bien rouge à ce stade.
Une cravache a dû faire son passage mais c’est un objet bien reconnaissable qui ramène mes neurones sur terre. La morsure triangulaire ne trompe pas et comme je te sens proche, c’est sans aucun doute la petite langue de dragon qui vient cracher son souffle enflammé sur mon postérieur avant de s’attarder sur mes épaules. J’ai bien l’impression une fois encore que me corps est plus conciliant avec les dragons : je crois comprendre que des marques triangulaires viennent d’apparaitre, je suis ravi que mon corps t’apporte cette satisfaction tout comme je suis ravi que tu m’infliges ces sensations si stimulantes quand bien même elles sont mordantes. Mais j’aime ça …. Tout comme toi ! Je suppose qu’une raquette de ping pong a dû faire son œuvre, malgré tout, je n’arrive pas en être certain. Elle a pourtant un contact des plus larges. Mais où étais-je donc ce samedi soir ? Plutôt où était ma tête ? Pour le tout dernier instrument, je dois avouer que tu m’as aider quand je t’ai entendu parler d’un cœur marqué sur mon dos. Y en a que deux dans ta collection : c’était la conclusion de la cravache cœur. Mais le véritable point final tu l’as consacré à tes griffes qui avaient déjà ponctué toute la soirée. C’est un florilège sur presque chaque surface de mon dos, sous toutes formes. Simplement électrisantes en parcourant mon épiderme, taquinantes quand elles se transforment en salade de griffes (du genre chatouilles mais en beaucoup beaucoup mieux), ou en encore lacérantes quand elles semblent vouloir se planter dans mes chairs, laissant au passage de belles lignes rouges. Quelle que soit la forme, j’adore, c’est ça les addictions. Et je ne peux pas m’en cacher : ces frissons me font onduler sous leur passage, je ne peux m’empêcher de grogner ou de ronronner. Tu clôtures la séance en m’expliquant que demain tu t’occuperas de mon autre face.
La journée se termine par une seconde nuit en nuisette. Elle me permet de me rendre compte que le satin est une matière glissante, tant sur mon corps que sur les draps. Le lendemain matin, tu me fais même ajouter les chaussures à talons. Pas commun du tout comme tenue pour le lever. En revanche, je ne devrais pas attraper froid avec la nuisette qui couvre mes épaules et mes bras. Ma Maitresse est trop bonne avec son soumis ! Tes yeux brillants en me découvrant en bas de l’escalier suffisent à mon plaisir. Tu es visiblement ravie de ta décision.
Pendant que je sirote mon chocolat chaud dans cette tenue légère, tu m’indiques que tu me verrais bien avec le shorty rouge pour la journée. Par chance, il ne fait pas trop chaud. Sinon j’aurais eu droit à un sauna portatif. Décidément, tu sembles commencer à prendre goût à « habiller » mes journées et mes nuits. La seule exception à cette tenue minimaliste concerne les sorties en dehors de la maison. Une fois vêtu d’une tenue classique, il est impossible de soupçonner la présence de ce sous-vêtement rouge en-dessous. J’ai quand même l’impression qu’il me couvre un peu trop à ton goût. Moi je l’aime bien tant qu’il ne tient pas trop chaud et que je ne m’y coince pas dans la fermeture éclair. Sinon il est parfait même sur toute une journée.
Chose promise, chose due, en ce dimanche soir, comme tu me l’avais laisser entendre, tu me fais installer sur le dos, non sans avoir d’abord recouvert le lit avec mon désormais compagnon d’(in)fortune, le drap en vinyle violet. Ma face avant doit être un tantinet jalouse étant donné qu’elle n’a eu le bonheur de subir tes assauts hier soir. Une fois encore, tu me laisses profiter du spectacle. Il ne faudrait peut être pas que je m’y habitue.
A peine étendu tu me fais redresser et m’approcher de toi sur le rebord du lit. Les cliquettements métalliques annoncent une paire de pinces. Surprise, ce sera les pires qui soient pour ce soir. Par pire, je veux dire celles qui se terminent par trois fines griffes rétractables. Pendant longtemps, les japonaises ont trusté le haut du podium, désormais elles sont descendues d’une marche. Mais revenons à mon premier tourment du soir. La première me donne l’impression de transpercer le têton gauche : une sensation vive et intense, encore plus fulgurante lorsque que tu laisses délicatement pendre la chainette sur ma poitrine. Tu mets en places la seconde sans insister. J’ai bien l’impression qu’il va falloir de l’entrainement pour accepter la première morsure avant que ma poitrine s’habitue et tolère leur présence, d’autant plus qu’ailleurs, elles finissent par être supportables, enfin façon de parler, c’est un maso qui s’exprime. Bien décidé à les laisser en place un peu plus longtemps tu cibles une zone située un peu plus bas et tout aussi sensible, me semble-t-il. Elles vont donc faire leur office sur mes couilles. Elles y sont tout aussi transperçantes à la mise en place ce qui doit m’arracher un gémissement mais je dois reconnaitre que je finis par les supporter après les premières secondes fulgurantes … Evidemment, je ne risque pas de les oublier : elles se font bien sentir tout au long de leur séjour, se transformant en un lancinant pincement, assurément stimulant. Mes sens ainsi mis en éveil, tu poursuis ton œuvre en titillant mon sexe avec la petite languette en cuir, plus que mordante, elle est surtout surprenante, me faisant inévitablement sursauter, entrainant aussi la chainette qui elle-même titille les pinces. Perverse Maitresse que tu es ! Comme toutes les pinces, l’effet n’est jamais terminé tant qu’elles n’ont pas été retirées, et encore après quelques secondes de récupération. Etonnamment, celles-ci me semblent finalement plus « douces » quand tu les enlèves.
Après cette « mise en bouche », tu m’invites à m’étendre à nouveau et tu montes d’un cran avec la petite cravache cœur, peut-être pour exprimer tes sentiments à mon égard. Elle aussi a les mêmes effets sur moi, stimulante sans être mordante. Claquement de gants latex, tintement métallique, je pense que je sais ce qui va arriver. Dire que la première fois, j’étais particulièrement inquiet et ne voulait pas regarder. Cette fois, je ne regarde pas plus, simplement pour concentrer mon esprit sur les sensations. Etant donné que tu te saisis de mon pénis de ta main gantée, délivrant ainsi un contact tout doux, presque chaud, j’attends que se présente la sonde urétrale. Limite je l’attends. Etonnant renversement des choses en quelques mois.
Passé le premier picotement aux premiers millimètres d’introduction, ce n’est que plénitude ensuite. Dans un premier temps, tu l’aides à avancer. Mais, à t’écouter, elle s’enfonce lentement toute seule, tu n’as pas besoin de l’aider, juste de surveiller et de profiter du spectacle. De mon côté, je ressens à la fois une chaleur interne pas du tout désagréable et aussi cette sensation bien étrange que je suis en train de me vider. J’ai beau savoir que ce n’est pas possible avec la sonde en place mais mon cerveau n’a pas l’air d’accord. Pour résumé, c’est un sentiment de totalement perdre le contrôle, très, très étrange et aussi excitant. Une fois arrivée à la longueur que tu souhaitais, tu t’amuses alors à la faire coulisser : tu es tout simplement (et crûment) en train de me « baiser » la queue. Déroutant mais si planant. Une main gantée l’enserrant, une tige métallique la comblant, que demander de plus ? Toutes les bonnes choses ont une fin : tu retires cette intruse pour passer à quelque chose de différent.
Là encore, je fais confiance à mon ouïe. Etrangement je ne cherche pas vraiment à regarder pour anticiper ce qui va se passer, je me laisse guider par les sons. Cette fois, c’est le frottement d’une pierre à briquet, suivi de quelques minutes où je ne sens rien venir. Cela doit être une bougie en train de lentement se liquéfier. Bingo, la première goutte chaude à atterrir confirme mes prévisions. Toujours aussi « brûlant » ce premier impact, tandis que les suivants tiennent plus de la piqure rapide. Les gouttelettes tombent sur tout mon pénis mais je finis par comprendre que tu cherches à viser mon gland, sadique que tu es. Un petit cri de satisfaction vient accompagner la réussite de ton objectif. Néanmoins tu poursuis ton œuvre pendant quelques minutes encore, histoire d’en mettre un peu partout. Comme le printemps succède à l’hiver, le décirage fait suite au cirage. Il semblerait que la cravache (une des grandes cette fois) ne réussisse pas à en faire sauter beaucoup. Oups ! Pourtant il n’y a plus le moindre poil à cet endroit où elle aurait pu s’agripper. Je vais avoir du boulot en fin de soirée.
Tu me gratifies alors d’une salade de griffes gantées sur tout le sexe en insistant particulièrement sur les couilles. Cela n’arrive pas souvent mais mon Dieu que c’est stimulant ! C’est un mélange de chatouilles (qui me font m’exclamer de manière irrépressible) et de je ne sais quoi d’excitant. Les stimulations se multiplient : tu en viens même à saisir mon membre, en y exerçant une série de pressions tout en me titillant les couilles avec l’autre main. Je ne peux que gémir et couiner sous tes assauts, mais uniquement de plaisir. Encore et toujours. Je pensais finir la soirée sur le dos, mais tu m’as réservé une petite surprise.
Une fois installé à genoux sur le bord du lit, tu reprends ta cravache et tu passes à l’attaque. Avec mon intimité ainsi offerte et accessible tu t’en donne à cœur joie en essayant de frôler au plus près, mixant effet ventilateur et frottement stimulant. Comment puis-je rester immobile sous un tel traitement ? C’est tout bonnement impossible. Retour au calme pour le clou de la soirée, ou plutôt la conclusion. Un gel froid commence à couler dans mon sillon fessier, prémisse certain à une pénétration anale. Pendant quelques instants, j’ai la fâcheuse impression que tu vises à côté. Pourtant, je t’entends me dire que je serais réfractaire. Je reconnais que j’en ai peut être perdu l’habitude depuis quelques temps, mais je ne peux pas être contre une telle offrande de ta part. Finalement avec un peu de patience, tout rentre dans l’ordre … et pas queue. Ton gode noir finit par bien me pénétrer, jusqu’à la garde, les couilles noires de latex venant buter contre mes fesses. Tu t’évertues alors à me sodomiser avec application faisant coulisser en avant et en arrière cet appendice, d’une main experte. J’en gémis de satisfaction. Sans le savoir, tu as comblé un léger manque ;-)
Si cette sodomie était le point d’orgue de cette belle soirée, tu conclues avec un dernier assaut de tes griffes, cette fois à nu, sur mes fesses et mon sexe. Je suis aux anges, après avoir été comblé successivement par deux orifices …
Il ne reste plus qu’à enfiler ma tenue choisie pour cette dernière nuit. Je vais finir par m’habituer à cette nuisette.
7 personnes aiment ça.
MseSamantha
Merci mon Nounours pour ces moments délicieux
J'aime 31/08/22
nounours_soumis
c'est à moi de remercier ma Maitresse d'avoir fait en sorte que ces moments soient possibles 1f60d.png1f618.png1f60d.png1f618.png
J'aime 31/08/22
Stanley34
Très beau compte-rendu ! Et le shorty l'est non moins ! Où peut-on trouver cette jolie pièce de vêtement ?
J'aime 31/08/22
nounours_soumis
@Stanley34 c'était chez Démonia mais pour l'instant il semblerait qu'ils ne le fassent plus
J'aime 31/08/22
Stanley34
Merci tout de même !
J'aime 31/08/22