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-Colonel Valeri, j'ai encore une mission spéciale pour vous.
-S'il s'agit d'aller botter le cul des $$££#!! américains, des anglais et autres qui se battent en Ukraine, je suis toujours partant. Vous le savez bien.
-Oui, c'est de cela dont il s'agit. Les Américains et les anglais bombardent la centrale de Zaporijia pour essayer de provoquer une catastrophe nucléaire. Ils pensent qu'ils ne risquent rien sur leur ile ou de l'autre coté de l'Atlantique. Les nuages radioactifs seront pour l'Europe.
-on pourrait raser toutes les villes américaines et anglaises et couler tous leurs portes avions. Ils ne peuvent pas arrêter nos missiles hypersoniques.
Le général Makarov rit de la boutade et sort une bouteille de Vodka.
-Pour l'instant les ordres c'est de les laminer sous des déluges d'obus et de missiles et d'avancer doucement pour protéger nos hommes. Rien ne presse. Votre nouvelle mission c'est d'aller repérer des batteries étrangères à 50 km de Zaporijia et de les signaler. Nos missiles feront le reste. Ce qui va vous intéresser c'est qu'un ensemble de lance missiles est tenu par une générale US, Jennifer, gradée de Wespoint, une lesbienne pure, une folle qui oblige ses marines à pisser accroupis comme des gonzesses. C'est pour leur sécurité il parait. Pisser debout c'est faire de vous des cibles, qu'elle leur raconte. Voici ses photos. Elles vont vous plaire.
-Pas mal du tout cette bouffeuse d'hamburgers et de chattes humides. Pas mal du tout. Elle doit avoir un cul bien serré.
-Vous aller avoir l'occasion de vous la taper. Nous avons réussi à l'alpaguer avec la sublime Lena, notre agent spécial parmi les forces ukrainienne. Jennifer est devenue complètement folle de sa chatte blonde. Elle se la tape tous les soirs. Nous la tenons.
-Da, entre des cuisses bien humides.
Le général remet une enveloppe avec toutes les instructions au Colonel Valeri. Ils trinquent encore, avec une excellente Vodka.
-A la Russie éternelle.
-Au joli cul de cette $$$###! de jennifer. Avant il faut que je passe aux transmissions voir mon officier de liaison.
Ils rient de bon cœur et trinquent encore. Le Colonel Valeri s'eclipse et file vers le bunker des transmissions retrouver la sublime Assya, une bombe sexuelle, blonde et bien galbée de partout avec des yeux de félin gris bleu avec des pointes d'émeraude. Il la trouve devant son ordi et des écrans. Il se glisse comme une ombre, l'empoigne par la crinière, la couche sur son bureau, la trousse et la sodomise d'un coup violent. Assaya hurle de douleur. Valeri n'en a que faire. il la pistonne comme un sauvage. A présent elle hurle de plaisir. On doit l'entendre dans tout le bunker. Valeri explose sa jouissance en elle. Il n'en a rien à foutre du plaisir d'Assya. De toute façon, les femmes russes sont comme des poêles en céramiques. Longues à chauffer et inarrétables ensuite. Quelle belle salope cette Assya. Elle en redemande encore et encore. Il faut être le colonel Valeri pour tenir la cadence avec cette championne nympho de l'armée russe. Assya ne le laisse qu'après l'avoir complètement vidé de tout son sperme et plus. Elle rajuste sa jupe et reprend son travail comme si rien n'était, redevenue plus froide qu'un glaçon de l'Arctique.
-On fait comme d'hab. Allez file. Je vais prendre soin de toi.
Veleri s'éclipse, sa grosse enveloppe à la main. Il va l'étudier dans sa cabine. Il est entrainé à tout mémoriser. aucune note. Il est heureux d'avoir Assya comme officier de liaison. C'est presque une partie de lui même. Elle ne fait jamais défaut dans cette guerre impitoyable du renseignement militaire.
Ce que le Colonel Valeri adore c'est traverser les lignes ennemies comme une ombre. Le loup de l'Oural, c'est son surnom, est vraiment incroyable. Personne ne le voit, ne l'entend, pourtant lui observe tout et transmet tout à Assya qui fait le reste pour l'artillerie. Plus de 50 km parcourus, il se rapproche des lances missiles commandés par Jennifer. Cela l'amuse. Il adore prendre des risques et cela lui donne toujours une furieuse envie de baiser.
Il contourne des postes de sentinelles, toutes américaines. Cela le fait sourire quand il pense à la propagande occidentale et à ses conneries sur le rôle défensif de l'otan, la non belligérance et j'en passe. Ils sont bien là et tirent bien sur l'armée russe avec le meilleur de leur technologie. Il repère le logement de Lena à l'intérieur du périmètre de défense des américains. Encore une sentinelle, une femme black superbe avec son fusil d'assaut sur la poitrine. La garde du corps de Jennifer probablement. Il en renifle la présence. Il neutralise cette sentinelle au couteau, sans le moindre état d'âme. De toute façon elle n'a rien senti avec sa lame noire plus coupante que le meilleur des rasoirs.
Valeri arrive dans la chambre. Il trouve Jennifer en train défoncer la chatte de Lena qui couine au feeldoe. Un bon atemi derrière la nuque et Jennifer s'effondre ko.
-Nous n'avons pas beaucoup de temps. Allons à la cave. Il soulève jennifer, qui pourtant fait bien son poids comme beaucoup d'américaines, comme si de rien n'était. A la cave il trouve de quoi l'attacher et la bâillonner. Quelques baffes suffisent pour la réveiller. Elle est tétanisée de peur. Elle se pisse dessus. C'est vrai que Valeri pue la mort. Elle sait qu'elle vit ses derniers instants.
Valéri la retourne et la sodomise d'un coup. Le pire outrage pour une lesbienne. il lui remplit les fesses et la chatte de son sperme puis la neutralise pour toujours.
Il remonte avec Lena dans la chambre. Là il ne fait pas semblant. il la bâillonne, la tabasse hard et l'attache. Puis il prend une latte en bois et lui marque bien son joli cul bombé. Il lui enfonce dans les fesses le feeldoe de Jennifer. Il essaie de bien maquiller pour faire croire à une agression par un détraqué sexuel. La survie de Lena en dépend. Il pose un baiser d'adieu sur son front et repart comme une ombre.
Dans quelques heures l'alerte sera donnée et les ricains voudront couper les couilles du détraqué qui a liquidé leur générale. Il est temps de refranchir les lignes ennemies comme une ombre. Il transmet toutes les positions à Assya. les missiles russes ne tardent pas à faire un bon nettoyage. Cela lui donne du temps.
Quelques jours plus tard il retrouve Assya dans son bunker.
-Cela te dit quelques jours de permission avec moi en Crimée?
La bombe sexuelle ne s'est pas faite prier. De toute façon elle dit toujours oui au Colonel Valeri. Elle aussi adore son job.
La morale de cette histoire c'est que les hommes ne doivent pas pisser assis comme des gonzesses.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
guerre, sexe, adrénaline, bdsm
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@sylvie35, cool, les réactions c'est toujours intéressant. Cela montre que la fiction a parfaitement fonctionné, que des lecteurs sont "rentrés" dans une histoire et cela les a fait bouillir, ou rire, ou bander, bref peu importe, le but est de "faire rentrer et réagir". Il faut pour cela que la fiction soit réaliste...qu'elle "colle" à la réalité. Mais de grâce ne pas oublier que c'est une fiction et rien d'autre.
@Sylvie35 la question est vraiment intéressante. Par exemple: Quels sont les avantages de la fiction ?
«L'avantage de la fiction est qu'elle oblige à choisir un point de vue – à l'opposé du reportage, qui se veut objectif.21 sept. 1998 le temps. ch Suisse Tout est dit : Il faut choisir un point de vue dans une fiction et s'y tenir. Quelles sont les limites de la fiction ?
La fiction propose des idées en action, incarnées, plus concrètement perçues, et donc un message plus facile à comprendre . Elle limite le discours théorique ou le réduit au minimum. La force d'identification
La fiction entraîne la sympathie ou le rejet ou l'identification avec le(s) personnage(s) Qu'est-ce que la fiction et la réalité ?
La relation qu'entretiennent la réalité et la fiction est pragmatique et cognitive. La fiction narrative peut être considérée comme un instrument interprétatif pouvant nous aider à comprendre le monde qui nous entoure. Dans la réalité, nous sommes amenés à raconter et interpréter la vie comme si elle était un roman.6 déc. 2016
Oups! Désolée. Je n'ai pas pu m'en empêcher. Je n'ai rien contre les réactions, au contraire, mais les appels à la censure, les grands mots (facho, fermer ta gueule) sortis à tort et à travers, dès qu'un écrit ne plaît pas, et les gens qui prennent tout au premier degré, ça me fait bouillir.
Effectivement, je pense que varier les points de vue est toujours instructif et la fiction s'y prête bien. Bon courage ! J'aime bien vous lire, parfois j'adhère, parfois ça me choque, mais dans tous les cas c'est intéressant.
C'est vraiment un sujet intéressant. Prenons Camus et son Caligula, est ce une apologie du viol , du crime, ...? Non c'est une fiction à partir d'un personnage qui a existe. Prenons Camus toujours, dans l'étranger est ce une apologie du crime? Non c'est une fiction. Et le but est d'avoir une ligne et de si tenir. Que des gens veuillent censurer c'est juste la preuve que la fiction fonctionne. C'est la réaction qui est intéressante. Le colonel valeri, cent pour cent militaire, pro russe, pro poutine, sodomisateur, expert en couteau, etc...c'est la ligne dans ces fictions. C'est la 2e. J'espère que bdsm.fr continuera de les publier car j'ai des suites toujours dans cette ligne de fiction.
J'espère lire la suite. C'est amusant ces histoires de renseignements militaires et d'actions vues du côté russe. Le colonel Valeri me semble réaliste. J'aime bien le général bigeard côté français qui avait sauté sur Dien Bien Phu pour gagner....j'adore ceux qui vont au bout.
Choix audacieux de positionnement fictionel, cela souligne une liberté d'esprit que j'applaudi.
Si je peux me permettre, je dirais que le récit gagnerait en force à ajouter une certaine profondeur au personnages, nottament émotionelle... Le colonel Valeri bien que machine à tuer (et à baiser apparemment), reste un humain avec des expériences chargées d'émotions, non ? Idem pour les autres protagonistes.
En l'état, le côté très expéditif m'enlève toute saveur.
Curieuse de voir la prochaine brève.
Dans tous les cas : vive la liberté et à bas la censure.
Remarques très interessantes Éloïse, je vais essayer d'en tenir compte. J'essaie de faire court, d'aller dans les successions d'actions. En plus, j'écris directement sur le site, d'un jet, comme cela vient. C'est amusant d'écrire de la sorte, sans plan, sans savoir l'histoire. Le colonel Valeri vit sa vie fictive indépendamment de moi.
Je comprend, c'est amusant, et déjà pas facile d'étaler une histoire ainsi... et amener de la profondeur en si peu de lignes est très difficile.
ladite profondeur ne sera complète qu'au travers de l'ensemble des brèves, on évoque quelque souvenirs relativement brièvement de ci de là, on insiste rapidement sur ce que qu'évoque pour le personnage telle ou telle action, ce qui le fascine chez telle ou telle personne ou ce qui le rebute, cela amène du mystère...
je n'en dirais pas plus. Au plaisir
La confirmation de la présence physique de soldats de L'OTAN en ukraine vient d'être confirmee par le numéro 2 de l'armée britannique. Des royal marines des SAS des Seals des commandos des forces spéciales se battent directement contre les russes. Des forces spéciales françaises sont aussi présentes. Normalement tout cela reste secret. La question est pourquoi ce général anglais en parle til? C'est pas un débutant....rien n'est fait par hasard ou erreur. Histoire de dire: L'OTAN n'en a plus rien à foudre d'être considéré comme co belligérant. Écrire permet de voir. Des marines et autres américains sont bien présent au plus près des combats.
Comprendre quelque chose à cette affaire, c'est comme essayer de voir à travers un épais brouillard. Tout ce que je sais avec certitude, c'est que l'on nous enfume de part et d'autre, et pas qu'un peu...
Tiens, au fait, on n'a toujours pas de nouvelles de l'enquête sur le sabotage des gazoducs. Apparemment il y a des vérités qu'il vaut mieux laisser au fond de l'eau