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Nous nous retrouvons à la terrasse d'un café.
Elle sort mon Collier de son sac à main, le passe à son cou. Nous nous regardons.L'instant est suspendu.
Je scelle le Collier, la petite pièce aimantée vient se loger à sa place. Clic.
- Aujourd'hui tu vas pisser pour moi, dehors.
- Je ne vais pas y arriver, Monsieur.
- Tu y arriveras.
Nous partons nous promener un peu au hasard, nous arrêtant de temps en temps quand un endroit me semble propice à une miction, suffisamment peu fréquenté pour ne pas choquer d'éventuels passants qui n'ont pas demandé tel spectacle.
Mais à chaque fois, rien ne vient.
Il faut dire que la garce a une énorme vessie, et ça je l'ai appris plus tard.
Pouvant passer 3 jours sans uriner, elle était allée consulter un médecin qui lui avait diagnostiqué... juste une vessie de compétition, hors catégorie.
Rien ne vient.
Ne voulant pas bloquer la docile, me vient alors une idée.
Nos pas nous avaient menés sur les quais.
Et là, à cinq minutes de marche, je connais un endroit secret.
Nous allons jusqu'au pont. Comme un passage magique, un petit portillon avec une poignée, qui s'ouvre, entrez, c'est ouvert...
Une petite échelle.
Une plateforme sous la pile du pont.
Le fleuve laisse couler ses eaux grises sous nos pieds, loin dessous notre plancher grillagé.
Au loin, des voitures, des gens, tout petits.
La sensation d'être en poste d'observation, et de ne pas pouvoir être vus.
- Pisse maintenant.
Le port de la non-culotte étant de rigueur, elle n'a qu'à soulever un peu sa jupe et s'accroupir.
Mais rien ne vient.
- Met-toi à genoux, ouvre ma braguette et sors ma queue.
Je la prends par les cheveux, et je pisse, sous son nez.
Ses yeux, à quelques centimètres à peine de mon sexe gonflé de désir, ne perdent pas une miette du spectacle.
- C'est à toi maintenant.
Elle s'accroupit.
Les secondes passent.
Une goutte.
Les secondes passent encore.
Trois gouttes.
Et les secondes passent.
Puis comme une digue qui cède,
l'eau relâchée soudain du barrage inonde la vallée.
Un flux de vie, un flot de furie qui jaillit avec une puissance et un déferlement inouïs.
Et elle pisse, et elle pisse, et elle pleut par trombes à faire déborder le fleuve qui coule en bas.
Et c'est interminable, et ça n'en finit pas,
le jaillissement ne faiblit pas et dure,
encore
encore
encore.
Combien de temps cela peut-il durer
encore ?
Après quelques siècles, l'ouragan finit par se calmer.
Trois gouttes perlent.
Elle a réussi.
Ils s'aiment.
Dessous, le fleuve coule ses eaux grises.
Elle sort mon Collier de son sac à main, le passe à son cou. Nous nous regardons.L'instant est suspendu.
Je scelle le Collier, la petite pièce aimantée vient se loger à sa place. Clic.
- Aujourd'hui tu vas pisser pour moi, dehors.
- Je ne vais pas y arriver, Monsieur.
- Tu y arriveras.
Nous partons nous promener un peu au hasard, nous arrêtant de temps en temps quand un endroit me semble propice à une miction, suffisamment peu fréquenté pour ne pas choquer d'éventuels passants qui n'ont pas demandé tel spectacle.
Mais à chaque fois, rien ne vient.
Il faut dire que la garce a une énorme vessie, et ça je l'ai appris plus tard.
Pouvant passer 3 jours sans uriner, elle était allée consulter un médecin qui lui avait diagnostiqué... juste une vessie de compétition, hors catégorie.
Rien ne vient.
Ne voulant pas bloquer la docile, me vient alors une idée.
Nos pas nous avaient menés sur les quais.
Et là, à cinq minutes de marche, je connais un endroit secret.
Nous allons jusqu'au pont. Comme un passage magique, un petit portillon avec une poignée, qui s'ouvre, entrez, c'est ouvert...
Une petite échelle.
Une plateforme sous la pile du pont.
Le fleuve laisse couler ses eaux grises sous nos pieds, loin dessous notre plancher grillagé.
Au loin, des voitures, des gens, tout petits.
La sensation d'être en poste d'observation, et de ne pas pouvoir être vus.
- Pisse maintenant.
Le port de la non-culotte étant de rigueur, elle n'a qu'à soulever un peu sa jupe et s'accroupir.
Mais rien ne vient.
- Met-toi à genoux, ouvre ma braguette et sors ma queue.
Je la prends par les cheveux, et je pisse, sous son nez.
Ses yeux, à quelques centimètres à peine de mon sexe gonflé de désir, ne perdent pas une miette du spectacle.
- C'est à toi maintenant.
Elle s'accroupit.
Les secondes passent.
Une goutte.
Les secondes passent encore.
Trois gouttes.
Et les secondes passent.
Puis comme une digue qui cède,
l'eau relâchée soudain du barrage inonde la vallée.
Un flux de vie, un flot de furie qui jaillit avec une puissance et un déferlement inouïs.
Et elle pisse, et elle pisse, et elle pleut par trombes à faire déborder le fleuve qui coule en bas.
Et c'est interminable, et ça n'en finit pas,
le jaillissement ne faiblit pas et dure,
encore
encore
encore.
Combien de temps cela peut-il durer
encore ?
Après quelques siècles, l'ouragan finit par se calmer.
Trois gouttes perlent.
Elle a réussi.
Ils s'aiment.
Dessous, le fleuve coule ses eaux grises.
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@pretty : Allons-y moment poésie : bon OK c'est toi l'experte médicale mais pour avoir pratiqué cette femme pendant 2 ans je peux te dire qu'elle n'était pas sujette à infections urinaires...<br />Et puis de toute façon tu la connais hein... si tu as un doute, tu n'as qu'à lui demander ! ^^
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22/09/13