Zuip
par le 20/06/22
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Tu ne jouiras pas !...
Alors qu’elle est allongée sur le dos, leur visage si près, il lèche ses lèvres. Elle est sous lui. Et elle subit. La douceur de sa langue qui passe et repasse, s’immisce à peine, se glisse entre les lèvres gonflées, à peine, frôle, passe et repasse, lèche, tandis que sa main, posée sur son pubis, couvre sa vulve, l’ouvre d’un doigt, écarte les lèvres humides, se glisse jusqu’à son clitoris, doucement la branle, il la caresse, de son doigt et de sa langue, doucement il la fait monter, guettant l’accélération de son souffle, la crispations de ses reins, il la fait monter, se cambrer, se tendre, sous son doigt et sous sa langue, il la fait monter – et la maintient : au bord du jouir.
Il la tient. En son pouvoir, il la tient. Il en joue
La caresser pour la faire monter, la tenir, la maintenir, d’un imperceptible mouvement du bout de son index, suspendre son geste et qu’elle en râle, ravale sa rage et sa salive, aussitôt reprise, du bout du doigt, elle remonte vite, le souffle suspendu, elle s’accroche, se crispe, attend : son bon vouloir.
Il la sent tendue. Aussi tendue que sa bite est dure.
– Tu me fais bander, dit-il, en empoignant sa vulve, toute sa vulve qu’il presse, il voudrait la broyer, là, fasciné par son beau visage défiguré par la douleur, son masque de femme fatale qui geint des sons rauques, hoquète son souffle, souffre.
Elle voudrait jouir et elle souffre.
Brutalement il lâche sa chatte, la libère, lui laisse calmer le rythme de sa respiration, avant de se glisser le long de son ventre et d’enfouir sa tête entre ses cuisses.
*
Alors qu’il a enfoui sa tête entre ses cuisses, il la caresse, du bout de la langue la frôle. Sa langue frétille et s’agite sur son clito.
La petite salope mouille, creuse les reins, frotte sa vulve et ses lèvres sur son menton, cherche le contact. Son souffle s’accélère, elle monte et se cambre, tandis qu’il empoigne ses seins, les presse, pince ses tétons, les écrase jusqu’à ce qu’elle se torde sous lui en criant, et il doit la maintenir pour qu’elle n’échappe pas à sa langue. Bien malgré elle.
Alors il empoigne ses fesses, écartant largement ses cuisses de ses bras, écartant ses fesses avec ses pouces, il lui bouffe la chatte et le cul. Littéralement. Sa bouche et sa langue s’énervent dans le con et le cul. Son nez plonge dans le con quand il vrille sa langue dans son anus ; il lape, il lèche, il mâchouille. Reprend les seins dans ses mains. Pince et tord ses tétons.
Quand il sent qu’elle va jouir : il l’abandonne.
*
Plus tard, il s’empare de ses seins, de ses tétons tendus, il les pince pour qu’elle respire plus vite, laisse échapper de sa bouche de petits cris, il les pince pour lui couper le souffle, il sent bien qu’à la fois elle résiste et se laisse emporter par le plaisir et la douleur qu’il lui inflige en pinçant fort, écrasant ses tétons, les tordant, les tirant, pressant tout le sein dans sa main, l’écrasant comme il le ferait d’une orange pour en exprimer le jus.
Il lui travaille les seins, les torture, les presse et les pétrit, les écrase l’un contre l’autre. Il les fait gonfler, durcir. Ses seins bandent.
Secouée de spasmes, « je pourrais en jouir », dit-elle.
Alors il la gifle.
Il la gifle encore.
Plusieurs fois.
Puis lui ouvre brutalement les cuisses.
Ecarte les lèvres de sa chatte :
– Mais tu en trempée !...
Vite, il enfonce deux doigts dans son con : et la branle.
Il la branle vite et fort.
Sous les coups de boutoir de ses doigts, toute sa main qui cogne en elle, elle halète, râle, mais aussitôt qu’elle va jouir, il cesse, reste immobile, planté là dans son ventre, attend qu’elle redescende.
*
Elle n’en peut plus. Elle le hait.
A quatre pattes sur le lit, elle lui fait face. Les yeux fauves, la bouche mauvaise :
– Ça vous amuse ?
Alors il l’attrape, la retourne, l’agrippe ferment par les hanches et lui fout brutalement sa queue dans la chatte, la baise à peine, un peu, puis, lui écartant les fesses, il plonge sa pine dans son cul. Elle crie et elle subit.
Il l’encule.
Fort.
Violemment.
Appuyant sur ses reins, tirant ses cheveux pour qu’elle se cambre, qu’elle prenne sa pine, toute sa pine au fond de son cul.
– Je suis qui pour toi ?
– Vous êtes mon Maître !
– Tu ne jouiras pas…
*
Elle n’en peut plus.
Cela combien d’heures qu’il s’occupe d’elle ? Qu’il la caresse, qu’il la torture ? Cela fait combien d’heures qu’elle est en son pouvoir ? Qu’elle le subit, qu’il la fait monter… sans la faire jouir ?
Elle n’en peut plus.
Alors du fond de son ventre, elle crie :
– Vous êtes mon Maître ! Vous êtes mon Maître et je vous aime ! Je vous aime, Monsieur. Faites-moi jouir ! Faites-moi jouir ! Je vous en supplie…
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