par Soumeur
le 28/04/22
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Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé.
Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau.
- "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu."
Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote :
- Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ?
N'obtenant aucune réponse, je répète ma question :
- "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu".
Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond :
- il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros"
- "Mais il fait noir ici".
- "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là".
Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre...
A suivre...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
soumission, petplay
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Suggestion
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
.
La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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Par : Lady Spencer
L’orgasme masculin serait plus complexe qu’on ne le croit…
« Point culminant du plaisir sexuel, l’orgasme est une expérience subjective de quelques secondes de plaisir intense, altérant l’état de conscience »1. Cette étude française confirme qu’il fait appel à des mécanismes psychophysiologiques complexes et à un contexte psychosocial spécifique. L’orgasme et l’éjaculation ne semblent pas opposables, et l’orgasme ne serait pas comme évoqué précédemment dans la littérature la réponse physiologique à l’éjaculation.
Pourquoi est-ce important ?
Investiguer le vécu et le discours sur l’orgasme masculin peut contribuer à apporter des informations sur les troubles rencontrés, aider les patients à aborder leurs difficultés sexuelles, offrir des éléments diagnostiques et favoriser au besoin l’alliance thérapeutique. L’orgasme masculin reste peu exploré par la recherche, qui lorsqu’elle s’intéresse à la sexualité masculine focalise principalement sur l’éjaculation.
Principaux résultats
Les ressentis de l’homme ne se résument pas au processus éjaculatoire physiologique, mais intègrent le contexte relationnel de l’orgasme.
Les auteurs indiquent que l’analyse des interactions entre troubles psychologiques, sexuels et vécu orgasmique indique que les dysfonctions sexuelles et les troubles psychologiques se potentialisent pour donner sens au vécu orgasmique masculin.
Les sujets interrogés se sont inscrits dans la temporalité du processus éjaculatoire pour en distinguer deux phases : l’émission (accumulation de tension conduisant à l’irréversibilité de l’orgasme) et l’expulsion spermatique (avec une phase de contraction expulsive et une phase de passage du liquide séminal le long de l’urètre).
En plus de ce processus physiologique, l’orgasme masculin intègre le contexte relationnel de l’orgasme. Le ressenti complexe oscille entre l’amplification de la sensation de force et de puissance et l’abandon de soi par fusion avec la partenaire.
Méthodologie
Les données ont été recueillies lors d’une enquête nationale explorant la sexualité masculine à partir de 923 témoignages de sujets francophones.
Les thématiques abordées ont été croisées avec des indicateurs socio-démographiques et avec les difficultés sexuelles et psychologiques auto-rapportées.
Quelques questions de fond liées à cette étude : L’orgasme masculin se confond-il avec le mécanisme physiologique éjaculatoire ? Le vécu orgasmique masculin est-il commun à tous ou peut-on mettre en évidence des variabilités interindividuelles ? Et si elles existent, peuvent-elles être mises en relation avec les caractéristiques sociodémographiques, avec les potentiels troubles sexuels ou encore la présence de troubles psychologiques ?
Principales limitations
Les données ayant été recueillies par internet, il est peu probable que les sujets interrogés soient représentatifs de la population générale masculine.
références :
Gouvernet B et al. L’orgasme masculin est-il complexe ? Étude exploratoire des discours sur l’orgasme de 923 hommes en couple. Sexologie 2018, disponible en ligne 12 mars 2018. https://doi.org/10.1016/j.sexol.2018.02.014.
1-Alwaal A, Breyer BN, Lue TF. Normal male sexual function: emphasis on orgasm and ejaculation. Fertil Steril 2015;104(5):1051-60,http://dx.doi.org/10.1016/j.fertnstert.2015.08.033.
parution : Univadis Nathalie Barrès Lecture critique 24 avr. 2018
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Par : Olivier
Ceci est l'interview d'un addict du fétish, de son amour pour le latex et le cuir, de la scène fétichiste colombienne et de ce qui l'inspire à fabriquer son propre équipement et à créer son propre look fétish.
"J'ai commencé à faire du kink quand j'avais 18 ans et je sortais avec un homme qui me présentait officiellement dans le monde du fétish, mais j'avais toujours été curieux. Fétish pour moi signifie voir au-delà du sexe conventionnel et se retrouver, faire des choses que vous aimez et vous amuser avec elle. Encore et encore du fun.
Ce qui m'attire chez les autres fétichistes, c'est l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup de fétish, mais la plupart d'entre eux sont enclins à l'équipement. J'aime le latex et le cuir. Le premier équipement que j'ai acheté était une chemise et un pantalon en cuir, avec quelques gants en latex courts. Je suis un créateur de mode et j'ai utilisé mes antécédents pour commencer à concevoir mon propre matériel il y a environ 3 ans. Il était assez difficile de trouver le type d'équipement que je recherchais en Colombie, ce qui était l'une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à fabriquer des vêtements en caoutchouc et en cuir selon mon goût et mon style. Je peux facilement acheter du cuir ici en Colombie, mais je dois acheter du caoutchouc en ligne et le faire expédier.
Mon inspiration pour faire du matériel vient de partout - des films, des livres, des jeux vidéo. J'aime créer l'esthétique du bizarre sexy et jouer avec différents éléments, tels que des cornes et des lentilles de contact pour créer un look qui est en accord avec mes créations et mon équipement. J'ai quelques modifications corporelles - quelques piercings et tatouages. Ma langue attire le plus l'attention des autres - tout le monde veut savoir ce que l'on ressent lorsqu'on embrasse, lèche et rase. Je leur fais juste savoir que deux langues valent mieux qu'une haha.
J'aime jouer avec d'autres équipements non conventionnels comme les corsets, les talons et les grosses bottes. La plupart des gens parlent du mot corset et des talons à l'idée de l'utilisation féminine, mais si vous regardez en arrière, ils ont été utilisés par les hommes pendant des centaines d'années. Personnellement, j'aime les utiliser pour l'esthétique extrême qu'ils créent. J'utilise un corset de 18 " (= 45 cms) et des talons de 10" (25 cms) pour me donner de l'assurance et manipuler mes proportions et ma stature, me rendant puissant et sexy. La première fois que j'ai essayé un corset il y a 3 ans, j'en possède maintenant 12.
J'aime expérimenter et essayer de nouvelles choses et profiter du processus de création de choses à partir de rien. J'aime faire des harnais et des sous-vêtements. Avec les harnais, vous pouvez travailler avec autant d'éléments différents en matière de conception et de fabrication, qu'il s'agisse du matériau que vous utilisez, de la couleur ou de la façon dont il s'adapte à votre corps. Le temps qu'il faut pour faire une pièce d'équipement dépend; Je passe généralement une journée à faire une pièce, mais si j'ai l'impression de ne rien avoir à porter, je peux créer quelque chose en environ 2 heures.
J'aime travailler avec du latex et du cuir et infuser des éléments fétish dans l'usage quotidien. J'espère à l'avenir étendre ma petite entreprise et commencer à vendre dans le monde entier, mais je le fais pas à pas. Je voudrais en savoir plus sur les vêtements gonflables en latex et sous vide - Je suis très curieux du processus de fabrication et je veux en ressentir le sentiment sur mon corps.
Les médias sociaux sont une excellente plate-forme pour montrer mon amour du fétish, et l'équipement que je fabrique. J'aime mon corps, et mon apparence, et pour moi le fétish est une partie très importante de mon identité. C'est incroyable d'avoir différents médias pour montrer mon travail et ma créativité, non seulement dans un contexte sexuel mais aussi d'une manière artistique et axée sur la mode
La scène fétish colombienne n'est pas énorme, il y a quelques endroits où on peut porter des vêtements et rencontrer d'autres gars. J'ai rencontré beaucoup d'autres fétichistes et je me suis fait des amis grâce à mon travail. Beaucoup de gens m'ont demandé de leur confectionner des tenues et m'ont chargé de les fabriquer sur mesure - ça me fait toujours plaisir de voir quelqu'un qui aime vraiment porter une de mes créations. Les gars ici sont plus dans le cuir que dans le caoutchouc, car c'est plus accessible, mais la scène fétiche en Colombie est en train de changer - c'est déjà très différent de ce qu'il était il y a quelques années et ça grossit. Il y a plus d'endroits et d'événements qui répondent aux kinksters - nous avons même une semaine fétiche à Bogota.
Je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de voyager pour assister à des évênements fétish, je prévois cependant un voyage en Europe plus tard dans l'année - j'espère pouvoir assister à Folsom Europe en septembre et peut-être faire un petit tour fétichiste en Europe."
Traduction : Olivier
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Par : Hedgehog
"Clac", le bruit de la porte qui se ferme me sort de mes pensées ...
Elle est partie, elle est partie et je me retrouve seul à la merci de Mélinda et de ses désirs ... Normalement, elle devait m'obéir ! Je ne comprends pas ... Non, ça ne va pas se passer comme ça, je vais lui montr...
"Déshabille toi" me dit Mélinda d'une voix ferme et sûre.
Je reste interdit ...
"Déshabille toi !, dit-elle encore plus fermement cette fois, à tel point que j'en suis impressionné, je ne l'imaginais pas ainsi ...
"Ne me le fais pas répéter une seconde fois ..., dans ton intérêt, je te le déconseille ..." me dit-elle ensuite ... Et je sens dans sa voix combien elle prend plaisir à cette éventualité ...
Je m'exécute alors, plutôt inquiet de ce qu'il pourrait m'arriver ...
Elle sourit ...
Quel délicieux sourire ...
Je l'observe sourire tout en retirant ma chemise et mes chaussures ..., j'hésite un peu en mettant mes mains sur ma ceinture ...
"Aller, retire tout" me dit elle en me transperçant de ses yeux plein de ... plein de quoi d'ailleurs ?
On dirait comme du désir et de l'envie mélangés..., mais pas tant de bientôt voir mon corps nu que plutôt de me regarder détacher ma ceinture puis déboutonner mon pantalon ... On dirait qu'elle se réjouit de me voir lui obéir pas à pas, sans résister ...
Mais je vais résister !! Je m'arrête avant le dernier bouton ...
Son regard se durcit ...
Je m'empresse de retirer ce dernier bouton et de descendre mon pantalon jusqu'à mes chevilles ...
Je le retire, je retire mes chaussettes, me voilà à une seule pièce de la nudité complète ... Il m'est difficile de cacher le désir que sa tenue du soir et de nos discussions passées éveillent en moi ... Son regard effleure cette partie de mon anatomie puis revient croiser durement le mien pour menacer ma nouvelle hésitation ...
Je retire mon boxer et me redresse complètement nu face à elle ..., je cherchant bêtement à faire quelque chose de mes mains ..., je les place plus ou moins devant mon sexe pour essayer de cacher cette érection qui tout d'un coup me gêne un peu...
Son regard à nouveau m'en dissuade ...
Je laisse mes mains et mes bras pendre le long de mon corps.
Elle me détaille des pieds à la tête...
Le temps s'étire ...
Mon érection s'obstine à ne pas faiblir ..., je ne comprends pas ...ou alors, peut être que j'aime être ainsi à nu face à ma Mélinda ..., en même temps, j'en avais tant rêvé ...
Je n'ose plus bouger ...
"Viens par ici" me dit elle.
Sa voix reste ferme ...
J'obéis à nouveau.
Tiens, voici quelques habits, ils devraient t'aller, enfile moi ça puis rejoins moi dans le salon.
Je regarde interdit les habits ...
Bon sang ..., j'en étais certain ...
"Attends Méli, je ne vais quand mêm..."
"Silence !"
" Je t'ai donné un ordre, tu obéis, un point c'est tout. Nous avons déjà parlé de ça pendant des heures au téléphone. Tu rigolais, tu disais que tu rêvais de me satisfaire et de me donner du plaisir... Et bien il est temps. Je veux le plaisir que tu m'as promis. Habille toi maintenant et vite, tu as beaucoup de choses à faire..."
Méli quitte la pièce pendant que je me rappelle cette conversations, ou devrais- je dire, "ces conversations", lors desquelles j'ai effectivement annoncé cela en le pensant sincèrement ...
Mais bon sang, je n'avais pas imaginé ça comme ça !
Je suis seul dans la salle de bain où elle m'a amené, je regarde les habits ..., puis je regarde la porte par laquelle elle est sortie...
Je soupire alors avant de me décider à prendre les bas et à les enfiler ...,
"Franchement, j'ai l'air malin tiens ..."
Je passe la jupe ..., elle est à ma taille ..., quelle idée de lui avoir donné mes mensurations ... tout me va ..., j'enfile le chemisier avec son décolleté ...
Pourquoi ne suis-je pas surpris qu'il n'y ait pas de culotte ...?
En même temps, c'est sûrement pour lui permettre de glisser sa main sous ma jupe, hum, je sens que ça va me plaire ça !
Les chaussures maintenant ..., un faible espoir ..., non, j'arrive à rentrer dans ces chaussures à talon ..., heureusement qu'ils ne sont pas hauts ...
Bon sang, j'avais parlé de ça pour rire !
Je ne pensais pas me retrouver ainsi !
"Viens !" dit sa voix impatiente ...
Je me dépêche d'ajuster cette longue perruque rousse , d'enfiler mes gants noirs et me voilà qui sort pour la rejoindre, l'air complètement ridicule, habillé en soubrette de la tête aux pieds ... et à deux doigts de me tordre les chevilles, tout en bénissant Méli d'avoir pris des talons bas ...
Elle me regarde à nouveau, s'approche de moi puis ajuste quelques petites choses par ci par là ...
Elle se recule un peu et sourit d'un air satisfait.
"Voilà, tu es très bien, enfin à ta place."
"Ecoute, lui dis-je, voilà, c'est amusant mais francheme..."
"Décidément, c'est vrai que tu es long à la détente...", me dit elle de sa voix si ferme. "Le weekend commence à peine ... et tu vas m'obéir pendant toute sa durée ..., et crois moi sur parole, je te ferais obéir aux moindres désirs dont nous avions parlé, que tu acceptes à ma première demande ou que tu ais besoin de motivation supplémentaires pour le faire ..., dit elle en indiquant de la main une petite table dans le coin du salon.
J'allais lui répondre quand la vue de cette table me coupa toute envie de dire le moindre mot ... Il y avait là des menottes, une cravache, un ou deux petits godes et d'autres objets qui échappèrent totalement à mon cerveau après que j'ai vu le gode ceinture posé lui aussi sur cette table ...
Tandis que mes yeux restaient fixés sur lui, la voix de Mélinda raisonna dans ma tête :
"Hé ! Je te parle, ne me fais pas répéter une fois de plus !"
"Pardon Mélinda, dis je d'une voix toute tremblante, je suis désolé, pardonne moi, je n'ai pas entendu ... je ..., j'ai pensais à autre chose ..., je ne voulais pas désobéir, excuse moi, pardon ... s'il te plaît, redis moi ce que tu m'as demandé et je le ferais tout de suite !"
Elle sourit ..., son regard s'est porté sur la table puis sur moi, et son sourire semble rempli d'une incroyable satisfaction ...
Bon sang, c'est certain, quoi qu'elle me demande, je le ferais, le gode ceinture, c'est bon pour mes fantasmes hein, je ne tiens pas à le tester ...
Je la regarde alors, désormais près à obéir à ses moindres demandes tandis que je regrette maintenant qu'elle ne m'ait pas donné de culotte ...comme si ce petit bout de tissus pouvait me protéger ...
Mais quand j'entends à nouveau sa voix, je suis pris d'un léger frémissement d'inquiétude teinté d'une folle envie de ne pas la décevoir ...
"Bien, maintenant que les choses sont claires voilà ce que tu vas faire..." me dit, toute souriante, Mélinda ...
Et ma peau frissonne soudain d'une tenace d'angoisse à l'énoncé de mes futures tâches et de ses si nombreux désirs ...
Bon sang !! Le weekend commence à peine !!
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Par : M des Sens
.............
Après quelques verres et discutions, notre hôte apparut et annonçait la suite....
Enfin, j'allais découvrir ce qui m'attendait....
Muriel à mon bras, je suivais la foule.
Non loin, j’aperçus Serge et Claire qui discutaient sur le chemin nous conduisant à une grande Salle....
La salle était assez vaste, pas grand meuble, ni décoration ne montrant guère l'utilité première de ce lieu...en dehors des jeux....
Au milieu de la pièce se trouvait une table juste assez large pour qu'une personne puisse s'y allonger et pas très longue non plus....
Elle était entouré de ces sièges de prière....donc l'assise était basse avec un petit coussin pour les genoux...et le dossier montant assez haut pour y poser les coudes....
Je souriais à la vue de ces derniers, me disant que les Saintes prières n'auraient certainement pas la même Sainte dévotion...
Il y avait une de ses chaises à la tête de la table et deux autres de chaque cotés....
Le reste de la salle comportait différents fauteuils qui entouraient cette Sainte Table...
Et la pièce était éclairée par de très grandes bougies disséminées ça et là...donnant une atmosphère très intimiste et de quiétudes fortes agréables...
Certaines personnes prirent directement la direction des fauteuils et s'y posant, faisant face à la Sainte attraction...
Je remarquais, ce qui m'amusa beaucoup, que seul les dominants prirent par dans les fauteuils...et les « possédés » restaient soit debout bien à la droite de leurs « Mains », soit directement entre leurs jambes....
Muriel m'indiqua le chemin directement vers la table....
Et je senti la pression monter, et cette gène d'être en spectacle devant d'autres personnes... enfin surtout autant...même si ce n'était pas la première fois...mais j'avoue que je n'ai jamais trop apprécié ce genre de situation avec autant de monde....
Une petite pancarte avec le numéro « 3 » se trouvait sur l'un des dossiers de chaises...
Muriel s'agenouilla dans une élégance féminine remarquable...prenant soin de sa robe...relevant légèrement celle-ci, tout en descendant...et me laissait pleine vue sur le dessin de cette vallée fort « attire l'œil »...
Elle m'invita ensuite à me mettre de l'autre coté de la chaise...vérifiant que la distance me séparant d'elle était suffisante pour œuvrer à son aise...
D'autres personnes prirent part autour de la table de supplice...certains accompagnés comme moi...d'autres seuls...
Quelques instant après, notre suppliciée arriva, toujours accompagnée de son bourreau encagoulé la trainant par sa chaine ...
Le brou-ha des conversations se tue...et tout le mode n'avait d'yeux que pour cette suppliciée guidée vers sa destinée...
Les personnes non accompagnées, au tour de la table, laissèrent libre place à ce convois, pour que la belle torturée puisse s'y installer...
Elle était nue, son dos toujours bien marqué de sa « mésaventure » précédente...
Son bourreau finit de l'installer en lui écartant ses jambes et ses bras, qu'il prit soin d'attacher aux pieds de la table....
Le Maître de cérémonie entra...Le silence fut total...
....
A ces mots, les hommes seuls ouvrirent leurs pantalons...et commencèrent cette danse des Sens de leurs Saint Graal...
Je me trouvais à la hauteur des Seins de la suppliciée. En fasse de moi, un homme très décontracté, buvait sa coupe de champagne pendant que sa compagne s'attardait de sa bouche à dresser cet étendard...
Je sentis les mains de Muriel déboutonner délicatement mon Pantalon, et plongea sa main pour en tirer sa convoitise...
Sa main était un peu froide au contact de ma peau. Mais très vite, je sentis cette « Fierté » être entourée d'une douce chaleur des plus agréable....
Sa bouche était un véritable délice ...
Muriel s'activait savamment dans un doux mélange de va et vient de sa main et des jeux de langue...
Tournant, cherchant le moindre recoin qui me serait sensible agréablement....en ce Graal dressé pour l'honoré de ses gestes des plus fort et surtout délicieux....
Mon esprit ne s'occupait plus des gens qui nous entouraient, ni même de la raison pour laquelle tout cela était fait...en fait je ne voyais même plus ce qui se produisait tout autour de moi, d'elle...
Je me laissais simplement prendre à ce tourment des Sens...
Je ne fus pas le premier à répandre cette sève de supplice... mais je ne me rendis compte que de ce fait...que lorsque je sentis l'instant fatidique...pointer
Muriel sentit ce moment de Moi....
Elle retira sa bouche...
Et en continuant à jouer de sa main, dirigea mon corps pour faire face à la suppliciée...
Cela ne fit qu'augmenter mon plaisir...
Étrangement alors que le changement de chaleur aurait put engendrer l'inverse....tout comme le fait d'être perturber du déplacement....
Elle s'activa encore plus rapidement dans ses gestes...mélange de relâche et serrage de ce précieux Graal en sa main...
Je commençais à trembler...le plaisir était là...ne faisant qu'augmenter...
Je voyais alors les autres hommes, certains ayant déjà sévis, d'autres étant, tout comme moi sur le point de livrer leur sentences....
Je me souviens avant de livrer ma propre sentence, que mon regard regarda furtivement tout autour...
Je voyais juste quelques personnes souriantes, d'autres discutant....
Mais la délicatesse, la dextérité et surtout le plaisir d'exploser ne me permirent pas d'observer plus avant....
L'explosion me fit presque tressaillir, je me retins au dossier de la chaise....Le Jet, dans des soubresauts, se répandit, par à-coup sur le corps de cette belle suppliciée, déjà bien « marquée » d'autres sentences....
Malgré le plaisir qui me fut bien présent, je remarquai que la belle torturée, en fait, ne bougeait quasiment pas....aucun son ne sortait de sa bouche....elle subissait tout simplement...
Mais seulement, lorsque la chaleur de cette Mâle liqueur venait toucher une partie de son corps...elle frissonnait et se contractait par la brusque présence de chaleur....Mais rien de plus....
Je me sentais totalement me vider....et quand, de mon « Don » de supplice il fut finit...Muriel, tout en me souriant, me fit me retourner vers elle....Et de sa bouche termina son œuvre jusqu'à la dernière petite goutte....Nettoyant ainsi cet arme de torture dont elle était l'usagée....
Elle se releva. Me déposa un tendre baiser sur la joue....
Murmura-t-elle à mon oreille....
J'en souriais....
Comment ne pas en être satisfait...Elle avait l'art et la manière de jouer de cette instrument....
Elle reboutonna mon pantalon....Pendant que le dernier finissait encore son œuvre....
Puis tout le monde applaudi de ce dernier livrant...
La suppliciée, que je puis alors vraiment détailler, était totalement recouverte de cette liqueur de Mâles....de la tête presque aux pieds....
Étrange vision de salissure...étrange composante de ce liquide assez visqueux sur le corps joliment nue et fait....
Le bourreau détacha la torturée....
qui une fois fait....s'agenouilla devant notre hôte
Tête basse, bras tendus vers lui...
Dégoulinante et nue....
Bien que j'y pris plaisir, grâce à Muriel, de cette scène étrange....je ne compris vraiment pas l'intérêt d'un tel acte....le plaisir même que cette « torturée » pouvait y trouver....n'est-il que de satisfaire les désirs et vils sévisse de son Possédant...
Mais de cette expérience, j'en garde le fait qu'il ne m'est franchement pas d'intérêt....
Que je le fasse seul sur le corps de celle qui me fait l'honneur d'être pour moi ...oui....et je trouve cela très plaisant...Mais là que cette personne en soit totalement recouverte....et par d'autres......je ne m'y ferai vraiment jamais....
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Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux.
J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée.
Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher.
Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête.
Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner.
Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent.
Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs.
A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris.
Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé.
A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ?
Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée.
Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées…
On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer.
La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement,
Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial.
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Thomas Duval, photographe, propose actuellement à Bruxelles en Belgique une exposition, que nous relayons ici en clin d'oeil : bondage végétal.
Quinze fruits et légumes ont été ligotés pour cette série, dont l'idée lui serait venue après avoir fréquenté les cuisines des Grands chefs de la gastronomie.
Du 3 mai au 3 juin : Pour plus d'informations, consultez le site de la galerie
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Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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Par : M des Sens
Dans mon passé j'ai vécu, exploré, testé, goûté aussi tout les pans de ce Jardin des Sens avant d'en arriver à ce que je suis aujourd'hui...
On m'a souvent demandé...
"Mais pourquoi dis-tu que tu n'aimes pas ?"...
Et bien simplement parce que j'ai gouté...
Alors voilà un Pan de moi que vous dévoile....Et là je sais...que c'est vraiment pas pour moi... ;)..Peut-être certains seront surpris...Mais je suis ainsi ...
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(Gary Grant et Randolph Scott)
Il y a des années (pfff), alors que je ne savais si cette passion devait pleinement être le fil conducteur de ma vie, j’ai vécue une aventure je devrais dire plutôt une expérience différente.
A l’époque, je faisais mes études et je devais partir à l’armé.
Et oui je fais partis de ceux qui n’ont pu y couper. Je naviguais, en ce temps, entre les passions et une relation classique.
Cette dernière, j’en étais totalement fou amoureux…que voulez-vous…le cœur à sa raison que la raison ignore.
Puis vint le jour ou je dû me rendre à ce service d’intérêt que militaire. Et ce qui devais arriver arriva, celle qui faisait battre mon cœur me tournait sans raison le dos….
Comme si simplement elle attendait ce moment pour prendre la fuite…enfin
Coupé un peu du monde, même si j’étais sur Paris, je n’arrivais pas à l’oublier, même les passions que j’avais à l’époque avaient un gout âpre bizarrement.
C’est fou comment l’amour peut vous toucher si fort en vous.
Pendant près de 4 mois je tentais en vint de reconquérir sont cœur…
Désabusé par mes efforts, je décidais de tourner cette page.
Et je commençais à me poser moult question sur l’amour et mes relations avec les femmes.
Chaque soir, je sortais dans les rues Parisienne tentant d’oublier cette femme. Je résidais à l’époque dans le marais et de nouvelles et étranges pensées me traversaient l’esprit.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu très prisé et charmant, il est surtout réputé non pas pour la demeure de Victoire Hugo, mais pour sa couleur des plus gaies et étranges d’un monde très masculin aux relations très exclusivement…masculines
A force de me promener dans ce quartier avec une coupe de cheveux des plus évoquant pour cette population…je me fis mainte fois aborder
Il est des plus surprenant de constater, que ce milieu est très ouvert et n’hésite pas à vous aborder facilement par contre vous leurs dites simplement Non, ils n’insistent que très peu…Bon nombreux devraient en prendre bonnes graines ;-)
Un soir, plus sombre que d’habitude, je cédais à une invitation dans un petit bar près de la place des Vosges car la personne, déjà plusieurs fois croisé et charmant au demeurant, m’inspirait confiance dans sa démarche simple et sans « arrière pensée »….heu un peu naïf sur le coup, mais…la tentation d’être avec quelque et de parler simplement m’était plus important que ses éventuelles arrières pensées.
Nous parlâmes ainsi pendant la grande majorité de la nuit…
Il m’expliquait comment il avait découvert son homosexualité, je lui faisais part de ma vie un peu turbulente avec les femmes …
Tout se passait comme si nous avions été de vieux amis, rien ne transparaissait de ses intensions…un peu cachées…
Puis nous vinrent à parler de mon questionnement, plus précisément à mes déboires et le fait que je ne savais pas réellement ou j’en étais dans cette sexualité qui été la mienne…
Il m’écouta avec un grand intérêt…et me proposa d’aller prendre un dernier verre chez lui…
Je refusai sur le coup…lui indiquant qu’il était des plus tard pour moi, mais que le lendemain, je serai flatté, et ne verrai pas d’inconvénient à honorer sa proposition.
Il en fut des plus charmé, bien sur, et me donna son adresse en me donnant rendez-vous le lendemain soir.
Le lendemain, je me rendis donc à l’adresse indiquée, juste à cotés de la place des Vosges…
Son appartement était cossus mais pas extravagant comme je me l’attendais d’un homme de son bord, si je puis dire…
Il avait préparé un repas à mon honneur…un repas Japonnais….
Il fut très bon, enfin si je m’en souviens bien…
Puis nous terminâmes par un verre…heu que dis-je plusieurs verres Saké assis tout deux confortablement dans un canapé de son salon.
L’ambiance était des plus chaleureuses et conviviales…
A un moment donné…je ne me souviens plus exactement quand dans une conversation…mais… sa main venait de se poser sur ma jambe…
Avec l’autre il prit soin de déposer son verre, puis le mien sur la table basse.
Nos regards se croisèrent…une atmosphère différente venait de naître…
Sa main libre vint se placer derrière ma nuque...
Je restais impassible...
Il approcha sa tête de la mienne...
Des images me parcouraient l'esprit...mais je ne réagissais pas...
Ses lèvres se rapprochaient alors peu à peu des miennes.
Et je restais sans réaction, laissant aller l’instant, sans bouger.
Il me déposa alors un baiser, un simple baiser….
Je ne sais si c’était l’effet de l’alcool ou autre mais j’étais dans un brouillard, troublé aussi par l’instant, par ce qu’il venait de faire en toute simplicité…
Il écarta son visage, me souri, avec un petit sourire de coin…comme pour dire… « Et bien tu veux ou tu veux pas .. ?».
Je lui souriais alors en retour, son visage s’illumina…
Sa tête pris alors une direction plus descendante…et au passage, il prit le soin d’ouvrir mon pantalon…Sa main vint prendre l’objet de son désire, qu’il porta à sa bouche.
Je me laissais toujours faire, mais la réaction de sa quête lui indiquait bien l’émois que j’avais…c’est parfois mieux que des mots.
Il s’appliquait avec une dextérité redoutable…montant descendant lentement mais sûrement…j’avais rarement eu un délice aussi subtile, délicat…heureusement que depuis, certaines personnes féminines m’ont prodiguées pareil tourment…si non …rires
Puis, pour la première fois de ma vie, je sentis alors en mon endroit interdit, une entrée douce et délicate…un effet des plus étranges m’envahit alors…il assurait le rythme de cette entrée avec celui du tourment.
Étrange moment, je vous avoue, et encore aujourd’hui que cette endroit est pour moi des plus difficile d’entrée bien que j’en accepte parfois l’entrée…même un thermomètre y a une difficulté grande …Vive les nouveaux thermomètres qui n’empruntent plus ce chemin.
Mais également, je sais que j’adore le faire ‘subir’ à la gente féminine ce tourment, et je comprend que parfois cela est des plus difficiles, voir impossible…
L’homme a, en cet endroit, un point important et très sensible et qui lui procure un plaisir très certain parfois plus fort que le Saint Graal et les tourments que l’on puis lui faire subir.
Puis, il vint à y introduire un deuxième doigt…toujours avec une grande délicatesse…Un plaisir certain m’envahit, il le comprit. Il activa le tourment, les frissons m’envahissaient, les tremblements faisaient leurs apparitions…
Il tenta alors un troisième doigt…mais là…je l’arrêtai immédiatement…il n’insista pas, comprenant vite que cela était déjà bien…voir trop peut-être, heu…même sur.
Il arrêta donc ses tourments, comprenant que cela n’irait pas plus loin en ce qui me concernait.
Il m’offrit alors, un préservatif, qui mit délicatement sur ce mat dressé, je l’y aidais quelque peu. Il en profita alors pour retirer ses affaires.
Il se mit alors directement à califourchon sur moi…pris en main l’objet désiré et le présenta doucement à son antre…il était aussi très ‘tendu’, mais il se grandit encore plus lorsque peu à peu, il descendit sur ma ‘fierté’...j’étais des plus étonné que sans préparation cela pouvait avoir lieu…
Mais très vite ma réaction fut sans appel…pour lui, pour nous…
Le mat peu à peu dresser perdit de sa rigidité…
Comprenant que là c’était vraiment trop, en quelque sorte…il arrêta…nous arrêtâmes.
Nous continuions s cependant à discuter, à en discuter…le reste de la soirée
Mais une chose est sur et certaine…malgré cette expérience quelque peut délicieux…je ne suis nullement fait pour ce genre de rapport…
Et donc je pris conscience que l’homosexualité, même dans l’adversité du temps, ne serait pas du tout mon chemin. Et que malgré le cœur des plus blessé, les femmes auront toujours mes faveurs et ma préférence.
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