par Soumeur
le 28/04/22
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Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé.
Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau.
- "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu."
Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote :
- Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ?
N'obtenant aucune réponse, je répète ma question :
- "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu".
Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond :
- il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros"
- "Mais il fait noir ici".
- "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là".
Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre...
A suivre...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
soumission, petplay
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Suggestion
Par : #
Lorsque la porte s’ouvrit, je découvris une Femme au sourire élégant, talons hauts, jupe classique, pull bleu marine, bas mortels. Elle m’accompagna au salon et m’invita à m’installer dans un fauteuil vert velours. La bouteille de whisky était déjà posée sur la table en verre, les glaçons commençaient à fondre dans la pomme, et Elle remplit deux verres du liquide ocre, avant que j’ose demander de ne pas me rajouter de glace, préférant ne pas diluer l’alcool dans une eau à deux degrés.
L’effet du premier verre fut immédiat. Je n’étais plus maître , ni de mes pensées, ni de mon corps tout entier. J’avais encore la force de me déplacer, en claudiquant, lorsqu’Elle me demanda de La suivre dans le jardin, mais Elle s’était déjà dédoublée. La substance qu’Elle avait ajoutée me rendait impuissant, mais docile.
L’arbre était un chêne. Elle m’y appuya, et me noua autour du tronc dont le diamètre était digne d’un séquoia yosémitique. Le bâillon terminait son œuvre. Elle recula, mains sur les hanches, et m’admira, fière de Sa proie. Je m’endormis.
Le seau d’eau provoqua un réveil douloureux. Mais j’avais alors retrouvé la vivacité de mon esprit, sans retrouver la mobilité de mes membres. Elle me montra Sa paire de ciseaux, son décolleté plongeant, et découpa soigneusement tous mes habits. Il Lui fallut moins de cinq minutes pour me dévêtir entièrement. Elle commença par prendre des photos, et appela Son amie qui était restée dans la véranda.
Elles me regardaient tout en se demandant ce qu’Elles pourraient faire de ce corps nu et frémissant. Elles commencèrent par cueillir quelques bouquets d’orties, et les accrochèrent à la corde aux niveaux les plus sensibles de mon anatomie. Je picotais et haletais. Elles riaient. Lorsqu’Elles commencèrent à s’agacer de mes ronronnements lourds et suppliants, Elles me giflèrent chacune à leur tour. Son amie était en fait ma voisine. Je La connaissais bien. Elle s’approcha de moi, déboutonna Son chemisier, dégrafa Son soutien-gorge, et me montra Sa superbe poitrine, que je regardais très souvent indiscrètement lorsque je La croisais en rentrant chez moi. Elle m’assura que jamais je ne pourrais L’effleurer ou La toucher. Et que je méritais par contre clairement les sévices qui m’attendaient pour L’avoir regardée aussi souvent impunément.
Elle me chuchota à l’oreille que c’était l’été, que la nuit n’était pas trop fraîche, que j’allais pouvoir rester ainsi toute une semaine, attaché à un arbre qui pouvait supporter mes somnolences. J’allais en baver. Elles viendraient me nourrir, me griffer, me chatouiller, me gifler, me rire au nez, me tourmenter, me branler, m’empêcher de jouir, se caresser devant moi, et pleins d’autres idées qui qui viendraient alors à Leur esprit en effervescence.
Lorsqu’Elles partirent, ce qu’Elles ne savent pas, un sourire se forma sur mes lèvres. Un vrai sourire. J’aimais ça.
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Par : Lady Spencer
Oui, j'aime terriblement fister
Délicatement, doucement, profondément ...
On parle souvent du plaisir de la personne fistée, on parle plus rarement du plaisir de la personne qui fiste
Dommage !
Car en termes de plaisir, j'en ressens vraiment lorsque je m'introduis dans ce ventre offert .
Je lui donne un ordre : déshabille toi
Son corps m'apparait, une peau douce, chaude, ferme.
Un corps sensuel
Un cul superbe, attirant, un cul demandeur
Il prend place sur le lit : il aime s'exhiber ainsi, presque ouvert déjà, en attente de caresses indécentes et profondes
Ses bras retiennent son front, son buste tendu frôle le drap, son dos se creuse sous la tension qu'il imprime à son corps , ses cuisses en appui et son cul tendu
Je le palpe, le découvre, le caresse, l'apprends
Mes mains vont et viennent , mes doigts se dirigent naturellement entre ses fesses
Impatiemment
Je suis désireuse de le posséder intimement : nous en avons longuement parlé, nous aimons ces jeux là, nous en avons besoin autant l'un que l'autre
Je le lubrifie et le pénètre d'un doigt : je découvre sa souplesse anale, je teste sa résistance, j'accompagne ses gémissements, je cherche sa sensibilité prostatique, la titille et la masse .
Je le quitte puis me présente de nouveau en ce cul demandeur : je place mes doigts à l'entrée de son orifice puis l'invite à s'empaler : son cul me prend, m'avale, m'absorbe : je me sens invitée, aspirée : j'aime ça ....
Ma main entre, doucement, sans forcer, j'entends ses gémissements de mâle devenir plaintes de ce plaisir femelle
Je le baise de ma main , il réclame plus de lubrifiant,
Je force son intimité à me recevoir, il se recule plus encore, poussant un peu plus en me suppliant d'entrer plus loin
Il se referme su mon poignet , m'enferme en lui et cette sensation est fabuleuse pour moi : cet instant où je me sens prisonnière de ce cul fouillé , où son sphincter s'est serré autour de mon avant-bras, cette force m'oblige à orienter ma présence pour gagner de la place
Son ventre est à moi : cette caresse est d'une intimité redoutable
Ma main tourne, mes doigts massent ses parois trempées, je frôle la zone si sensible, j'avance et recule, ses gémissements deviennent cris de plaisir, je veux m'enfoncer plus loin encore
Il me demande de ralentir pour ne pas jouir encore, son corps semble trembler de l'intérieur
Je pose mon autre main sur son dos pour le creuser plus encore et le voir prendre cette posture de femelle en chaleur
Le plaisir monte au creux de son ventre sans que je puisse savoir quand il explosera
Je suis en lui, je le tiens délicatement du bout des doigts, je le dépossède de sa maitrise, je lui offre mon plaisir, je brise sa résistance , ma main devient poing, j'aime cette sensation , je me fais dure et douce , pénétrante et sortante .
Il crie, se donne, il prend
Il en veut plus . Encore
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Par : Steph Doe
Oui allo, bonjour…
…
– Oui avec plaisir
…
– Quand ?
-…
– Vendredi prochain ? Le 6 c’est ça ?
-…
– Ha non je suis vraiment désolé je ne peux vraiment pas
-…
– Non je suis en congés vraiment désolé, s’il y a une autre date je peux m’arranger
-…
– Non ? Désolé, si jamais une autre date se libère n’hésitez pas à me rappeler, au revoir Madame.
… dingue je viens de refuser une invitation d’un grand DG tout ça parce que dans une semaine à la même heure j’ai prévu de me faire fouetter dans une cave déguisé en femme devant des gens que je ne connais pas….
…10 minutes plus tard on me propose un nouveau rdv pour le mercredi 11 ????
J-7 : j’avoue que je ne suis pas encore sûr à 100% d’avoir le courage de me présenter devant la porte, mais l’expérience est tellement tentante… et je n’ose plus faire machine arrière, Madame m’a gentiment relancé par mail. C’est décidé je ne peux plus faire machine arrière, alea jacta est…
H-6 : j’ai pris mon après-midi, mon sac avec mes affaires est prêt, j’ai du mal à me concentrer sur mon boulot, mélange de craintes, d’angoisse, de curiosité, et aussi d’envie contradictoire de dépasser tout ça
H-1 : je suis passé en voiture pour repérer l’entrée préalablement visualisée sur google street view, une petite porte renfoncée sans signe distinctif, est-ce bien là ? Je sens mon coeur qui s’accélère,… vraiment fort. Dans ma tête deux petites voix s’interpellent
– “tu vas voir ça va être incroyable comme sensations ! Tu as de la chance, tu ne trouveras pas mieux pour une première fois, elle est vraiment gentille douce et vraiment très belle ! Je t’assure je suis sûre que tu peux lui faire confiance ça se passera bien, en plus elle a dit qu’il n’y avait personne l’après-midi, tu t’inquiètes pour rien, en plus elle a déjà tout préparé, l’hôtesse qui doit m’accueillir est très sympathique parait-il”
et l’autre petite voix :
“Non n’y va pas il est encore temps de faire demi-tour, va faire un tour, il fait beau, tu ne te rends pas compte, tu t’es toujours fixé une règle, jamais en club, jamais en public, là tu cumules tout, la soumission, le public,..etc…”
Je gare ma voiture sous la mairie toute proche, il me reste une heure à attendre, trop de stress, je prends mon PC et vais travailler dans le bar en face de la Mairie, je crois que je n’ai jamais traité autant de mails en une heure !!
C’est l’heure, mon cœur s’emballe à nouveau, je retourne à ma voiture échanger mes sacs. J’avance doucement vers l’adresse, normalement une charmante hôtesse m’attend, je dois me présenter comme Camille, elle a des instructions… quelles instructions ???
“Bonjour Stéphanie, je suis Camille, je crois que vous avez des instructions me concernant.” “Bonjour Camille, je suis Stéphanie, je crois que vous avez des instructions me concernant”, non c’est pas ça, les mots se bousculent dans ma tête un peu trop irriguée d’adrénaline. Je ne sais pas si c’est moi qui marche trop vite ou si la porte se rapproche de moi toute seule mais je me retrouve d’un coup devant la dite porte tant attendue et crainte, je ne me rappelle même plus si j’ai sonné ou frappé. Rappelles-toi, “Bonjour Stéphanie, je suis Camille vous devez avoir des instructions me concernant”…
La porte s’ouvre, je m’apprête à réciter les quelques mots comme mécaniquement quand un géant à la barbe de Merlin ouvre, tout d’un coup Stéphanie est plus proche du bûcheron canadien que de la poupée Barbie imaginée.
Un petit court circuit cérébral m’arrête 2 secondes…
– “Euh…. bonjour,….. je suis Camille et….
– “Oui bonjour on est au courant, Stéphanie va venir s’occuper de vous, entrez…”
Finalement le grand gaillard à barbe est plus proche du gentil Père Noël que du bûcheron bourru.
J’aperçois Stéphanie en train d’encaisser un visiteur, diable je croyais qu’il y avait personne… m’aurait on menti ? Madame aurait elle voulu me rassurer en minimisant l’affluence ?
– “Bonjour Camille, je suis au courant j’ai quelques instructions, où préférez vous vous changer ? ici dans l’entrée ? Sinon il y a les toilettes”
Je ne me vois vraiment pas me changer dans cette entrée où commencent quelques va et viens bien trop denses à mon goût
-“Je préfère les toilettes”
– “Parfait, allez-y ensuite je vous donnerais vos instructions”
Je rentre dans les toilettes et ferme le loquet, frêle protection contre ce qui va arriver ensuite, comme dernier moment suspendu .
Je me change, difficile dans cette pénombre, le rouge blafard que diffuse asthmatiquement la lampe ne me facilite pas la tâche.
La clenche se baisse plusieurs fois comme pour mieux me presser, j’entends de nouveaux visiteurs, ça parle ça rigole dans le vestibule, j’ai l’impression que tout Paris s’engouffre dans cette petite entrée, chaque accessoire enfilé correspond l’arrivée d’un nouveau groupe de personne et dire que Madame m’avait assuré qu’il n’y avait personne le vendredi après-midi, ai-je finalement écouté les conseils de la mauvaise petite voix qui m’a guidé jusqu’ici ?
Ca y est j’ajuste ma perruque, mes affaires “civiles” sont au fond du sac, je regarde le loquet, dernier rempart protecteur contre mon futur proche, le bruit sec libère l’ouverture de la porte, Camille fait face au public qui est massé dans l’entrée, je sens quelques regards des hommes et des femmes qui attendent manteau à la main, les discussions continuent. Je baisse les yeux, je ne vois personne, me persuader qu’il n’y a personne autour de moi, non, non il n’y a personne.
Stéphanie me complimente sur ma tenue et me demande de la suivre, elle est charmante, de longues jambes fines mises en valeur par des talons aiguille. Elle me demande de descendre les escaliers, je descends doucement, trop doucement, vite, vite allons en bas il dois y avoir moins de monde, à chaque marche descendue la vision du sous-sol se découvre lentement à mon regard.
Mon Dieu, il y a des gens au bar, et assis à toutes les tables, mon cœur s’emballe à nouveau j’ai à peine le temps de prendre la mesure du piège dans lequel je suis tombée que Stéphanie me demande de m’agenouiller par terre au pied des escaliers juste à côté d’un groupe de trois personnes, un homme et deux femmes. je m’exécute, je suis à genoux, assise sur mes talons aiguille je baisse la tête pour ne pas voir les invités et me cacher moi-même par la même occasion.
Je vois les jambes de Stéphanie qui remontent l’escalier, j’ai l’impression d’être abandonnée,combien de temps dois-je attendre, est-ce déjà une punition ? Madame m’avait demandé d’être à l’heure, j’espère qu’elle ne va pas tarder. De la peur de rencontrer Madame, j’ai maintenant hâte qu’elle vienne me sauver, qu’elle me fasse n’importe quoi pourvu qu’elle m’extrait du regard des autres. Le pire c’est les bribes de conversation du groupe derrière moi je perçois un mot de temps en temps, les femmes posent beaucoup de questions, l’homme semble habitué à l’univers.
blabla…belles jambes pour un travesti…blabla…pourquoi à genoux…blabla…c’est comme un rite…blabla…montrer sa soumission…blabla…position d’attente…blabla…respect…blabla…
les mots se bousculent je sais qu’ils parlent de moi, j’ai les yeux baissés, je ne vois que mes cuisses. Je m’aperçois que les jarretières de mes bas ne sont pas tout à fait alignées, j’espère que Madame ne le verra pas… je ne sais pas depuis combien de temps j’attends j’ai l’impression d’une éternité… quand va elle arriver me sauver ??? Un visage, une voix déjà entendue me manque tout d’un coup.
Mes genoux commencent à être douloureux et à genoux sur mes talons aiguille n’arrange rien
derrière la conversation continue…blabla…cage de chasteté…blabla…
D’autres personnes continuent de descendre cet escalier, de plus en plus de monde, est-ce que ça va s’arrêter ? J’en entends encore d’autres, je ne vois que les chaussures, qui défilent sous mon regard, des chaussures d’hommes, des escarpins,…
Tout d’un coup je sens deux mains me prendre le visage comme on prend affectueusement le visage d’un enfant, une voix douce, me demande de me relever, je ne me rappelle même plus des paroles mais elles sont pour moi comme une libération, heureuse, enfin sauvée alors que ça n’a même pas encore commencé. Madame est toujours aussi belle, elle me présente à ses deux amis qui me paraissent charmants, je dois maintenant l’aider à se transformer, je deviens l’actrice de ma propre soumission.
Me voilà maintenant dans une alcôve bien accueillante et moins peuplée malgré quelques regards curieux, Madame commence à se dévêtir et je participe à cet effeuillage, elle sort ses bas, porte-jarretelles, chaussures, il fait sombre, j’adore cette ambiance tamisée qui laisse deviner les formes sans les dévoiler complètement.
Je suis accroupie pour mieux libérer Madame de ses vêtements, ses jambes se dévoilent, elles sont fines, magnifiques, le dernier rempart de la pudeur tombe au sol.
Elle s’assoit et tend ses jambes vers moi pour que je lui enfile ses bas, je sens un gonflement entre mes jambes, alors que je suis dans mon univers érotique préféré, étonnamment le réveil de ma partie masculine n’est que bref, ma concentration pour enfiler correctement les collants est telle que mon esprit masculin n’est pas capable de gérer les deux.
J’ai dû enlever mes gants afin d’être plus précis dans mes gestes, je remonte les bas doucement le long des longues jambes de Madame, je sens à la fois le nylon que j’adore et la peau si douce de Madame. Les deux bas sont enfilés, elle se lève mon visage est maintenant à la hauteur de son entrejambe, j’ai une envie irrésistible de déposer un baiser sur ce triangle à portée de lèvres. mais cela ne se fait pas, je ne veux pas faire honte à Madame, je remonte très haut ses bas et mes phalanges touchent doucement son entrejambe, elle ne dit rien et est attentive à mes mouvements.
Je dois maintenant attacher son porte-jarretelle, il fait noir je n’y vois rien, mes doigts essaient de trouver les minuscules crochets, les fesses rebondies de Madame sont magnifiques, que j’aurais envie de les embrasser, mais ça ne se fait pas. Je suis tellement concentrée que je ne bande même plus je n’ai même plus le temps d’y penser je veux juste que Madame soit fière de mon travail.
Ouuuppss, une petite erreur, il faut recommencer, je suis à la fois désolée de cette erreur et ravie d’avoir à recommencer et prolonger ainsi le plaisir. Je lui enfile ses talons, j’ai l’impression d’être dans un rêve, je l’aide à enfiler sa robe qui met en valeur sa poitrine ferme et qu’elle porte fière. J’ai envie de lui embrasser les tétons de jouer avec du bout de ma langue, mais ça ne se fait pas…
Il est temps de passer aux choses sérieuses, que va-t-il se passer maintenant ? Je suis Madame dans sa longue robe, elle est aussi belle et désirable qu’inaccessible et qu’impressionnante.
Nous arrivons dans cette salle qui me parait immense comparée à l’alcôve que nous venons de quitter. Madame enlève sa robe, elle a une poitrine vraiment magnifique, j’ai l’honneur de devoir l’attacher au niveau des poignets, son Maître me demande de la caresser je ne me fait pas prier, j’en profite pour caresser ses seins qui me font si envie je regrette d’avoir mes gants, je ne peux profiter de ce trop court instant comme suspendu dans le temps. On m’invite à m’asseoir en face. Des spectateurs commencent à faire un demi cercle pour profiter du spectacle, il y a une autre travestie qui assiste à la scène.
Je suis maintenant assise pile en face de Madame qui est passé en un instant de Maitresse à Soumise, elle a maintenant un bandeau sur les yeux, les bras en l’air, sa poitrine dégagée, la lumière rouge tamisée diffuse derrière et découpe la silhouette parfaite de Madame qui n’est plus que l’ombre de celle qui me demander de la vêtir.
Ses jambes sont légèrement écartées droites, magnifiques. J’ai une envie irrésistible de venir me mettre à genoux devant elle et de venir lui embrasser les jambes et remonter doucement vers son entrejambe pour goûter à ce fruit défendu. Alors même que ma partie masculine commence à se sentir à l’étroit entre mes jambes croisées, son Maître lui afflige un premier coup ce qui calme dans la seconde mes ardeurs masculines.
Mon cœur manque de sortir de ma poitrine sur 3 battements, les seins de Madame s’agitent sous les coups, Dieu que c’est beau de la voir s’abandonner, les coups vont crescendo, je n’arrive pas à décrocher mon regard de cette poitrine qui s’agite. Le bruit des coups m’impressionne, je ne réalise pas encore que je vais être à sa place, maintenant son Maître viens la caresser entre ses jambes j’aimerais encore venir l’aider, étonnement je n’ai même pas envie de lui faire l’amour juste de sentir ma langue s’enfoncer doucement pour son plaisir. Les coups pleuvent de plus en plus fort et de plus en plus vite même sur cette poitrine, on sent que la violence des coups s’approche de la limite de Madame mais elle a confiance, ça se sent, elle se donne en spectacle et elle a des spectateurs, je sais qu’elle aime ce théâtre. Les spectateurs passifs semblent hypnotisés par la scène et ils peuvent maintenant entendre la jouissance de Madame se libérer. Madame tient à peine debout et semble épuisée. On la détache, j’ai envie de la prendre dans mes bras pour la soulager et lui dire mon admiration. Mais il semble que c’est à mon tour, je passe de l’anonyme spectateur à l’actrice passive, il y a beaucoup trop de monde autour à mon goût, beaucoup trop, Camille est très timide.
Mais je suis là aussi pour connaitre cette nouvelle sensation alors je me laisse faire, j’ai pleine confiance en Madame et je la laisse m’attacher les poignets, il commence à y avoir du bruit autour de moi, des conversations, du mouvement.
Madame utilise un bas pour me bander les yeux, j’adore, je suis maintenant dans le noir, mon sens favori est annihilé. Madame me sussure des mots à l’oreille, sa voix est à la fois douce et ferme, étrange sentiment émotionnel.
Je sens maintenant de petits coups pas très agréables sur les fesses, le haut des cuisses, je m’attendais à un martinet mais ça doit être une badine, plusieurs petits coups rapides, j’avoue que je n’aime pas du tout, puis un blanc, j’attends, quelle va être la suite ? La même chose plus fort ? Je ne supporterais pas cette sensation.
Puis tout soudain je sens des lanières qui me caressent doucement le dos comme pour bien me faire comprendre de profiter quelques secondes de ce moment de fausse douceur.
Le premier coup est pour mon postérieur, je sens qu’elle relève ma jupe, le second est plus fort je serre les mains accrochées aux poignées qui pendent du plafond, je ne peux me libérer et reste prisonnière, le troisième coup est encore plus fort dans le dos, je sens une décharge dans toutes mes jambes, incroyable sensations jamais ressenties, mes jambes ne sont plus que du coton je serre les poignées de plus en plus fort et pourtant je cambre les reins pour présenter encore et encore mes fesses au supplice, les lanières me caressent maintenant le dos.
Madame vient me chuchoter dans l’oreille, je sens son souffle sur mon lobe, ses paroles sont denses comme un liquide qui entrerait dans l’oreille et iraient directement irriguer le cerveau, il n’y a plus de filtre, mes sensations sont directement connectées à la voix de Madame et aux coups qu’elle m’inflige, il n’y a tout d’un coup plus personne autour de moi mon cerveau a fait le vide, il y a Camille, Madame et son martinet.
Maintenant je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et qui s’agrippe fermement à mes bourses juste pour me rappeler ma condition masculine soumise. Je n’arrive pas à bander mais je sens la jouissance. Le coups reprennent, je n’entend plus rien autour de moi, je sens des mains qui me caressent les jambes, quelqu’un est à mes pieds et profite de mon corps sans que je ne puisse et ne veuille rien faire. Mon abandon est total, j’ai joui, sans jouir, une grande première pour moi.
On me détache, ça n’a pas dû durer très longtemps mais je suis épuisée, mes jambes me tiennent à peine ma respiration forcée a dû suroxygéner mon cerveau car mon esprit est complètement embrumé, suis épuisée mais heureuse d’avoir franchi le pas dans ce nouveau monde pour moi.
Madame a été parfaite, rassurante et ferme, elle m’a beaucoup apporté, j’espère qu’elle a eu elle aussi plaisir à m’accompagner dans ce parcours initiatique. Je mets plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Ca y est je l’ai fait.
Nous descendons au bar, scène surréaliste, une femme nue sous sa robe largement ouverte sur son intimité, deux hommes qui discutent deux travestis autour de la même table… rien ne semble étonner les convives. Comme si cela ne suffisait pas une charmante jeune femme vient se joindre à nous avant de se faire dénuder, attacher et suspendre au plafond…
Je prends congés, le papillon se transforme à nouveau en chenille dans les mêmes toilettes, je rentre chez moi il semble que je sois seul encore 1/2h je ne peux résister de me caresser en rejouant la scène dans ma tête comme si j’était sorti de mon corps et assister à ma propre flagellation, je revois l’ombre chinoise de Madame, ses longues jambes gainées de nylon, sa poitrine fière qui s’agite, tout s’accélère dans ma tête, je jouis, étonnamment ma jouissance est légèrement douloureuse, est-ce dû à cette jouissance non aboutie tout à l’heure… mon dos me brûle tout d’un coup, tellement que je dois allais voir dans un miroir si il y a des marques dans le dos, je suis rassuré, aucune marque, Madame me l’avait promis.
Ca y est il y a maintenant du monde dans la maison, je redescends sur Terre, Madame m’a sorti de mon quotidien pour m’accompagner sur une autre planète, bien bien loin… et j’ai aimé ça…
merci Madame ????
Votre dévouée
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
__________________________________
Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Par : Maxxence
Outrage - L’OLNI de la rentrée littéraire 2017.
On enfile les clichés comme autant de perles de pluie de pays où il ne pleut pas.
Si je ne l'ai pas lu mil fois, je ne l'ai jamais lu.
Pourtant, comme le paradoxe des perles de pluie, c’est rare, précieux.
Je ne suis pas qualifié pour parler style. Cependant je crois être de ceux qui apprécient, par leurs lectures du genre, que l’ouvrage proposé par Franck Spengler chez Hugo Roman est un de ces pavés qui compteras comme témoignage qui marque son temps.
Il en fut de même pour Baise-moi, pour Confessée/Noli me tangere, la trilogie de Dugas, le classique de Duriès, pour «Emmanuelle », pour « Histoire d’Ô », pour « Barbarella », pour « le con d’Irène » ou l’ »Histoire de l’Oeil ». Ouvrages confidentiels ou populaires, qui marquent une étape singulière dans le cycle perpétuelle de l'écriture amoureuse.
Un temps où le filtre n’a plus sa place.
Sans filtre, aurait été le sous titre idéal.
Pour celles et ceux, nombreux, qui ont une culture des forums sentimentaux ou sexo-sentimentaux(1) du Net, ils y retrouveront un quasi-annuaire des situations douloureuses, des situations de manipulations, des situations d’engouements et de déceptions.
C’est un chaud/froid, un sucré/salé. Qui sait, si cela ne serait pas cette cinquième saveur littéraire, l’umami du récit.
Cruel, tripale, assassin et si vivant, vibrant, chavirant. Mot à la mode, primal.
Dérangeant, c’est le mot pour exprimer le sentiment qui m’enserre à la lecture de ce récit. L'inconfort, la gène, l'au delà de la pudeur. J'y retrouves des provocations de sentiments de malaise, de troubles érotiques avec des touches d'envie de ne pas en être le témoin. Brusque ou brutal, comme pour les « 120 journées de sodome », si chère à Sade, plus contemporain avec le génialissime « Château de Cène », là ; Bernard Noël nous fait passer de la bandaison festive à l'effroie glacial. Je tente ici de vous restituer les inconforts vécus, les allégresses coupables, les audaces prescrites, les débauches contraintes.
Tout est en rime avec l'oxymore.
Le sentiment d’être dans le «dedans» de l’autre est effrayant, stimulant, dynamisant, cette posture ne me laisse jamais indifférent. J’ai l’impression d’une dualité qui est celle de l’écrivaine. J’ai des chaos émotionnels, comme la narratrice, j’ai des frissons, alors je monte le son. Il est difficile de s’endormir derrière une telle décharge. Pourtant, je garde profondément encré, un étrange sentiment de mal-être. Je suis incapable de dire que j’ai aimé, ou détesté.
J’ai été le témoin, consentent, d’une livraison sans filtre.
Cela fait écho, avec mes envies, mes habitudes d’habitué du sérail «bédéhaissèmesque» à la française. Cela pose une lumière blafarde sur la part sombre, celle que j’évite de fréquenter, qu’il nous arrive de croiser, malgré nous. Cela résonne profondément dans l’envie qui m’anime de savoir ce qu’il y à dans l’intimité de l’autre, pas en lurker(2), pas en voyeur, en explorateur de l’intimité. Moi qui aime questionner, là, j’ai bien plus de réponses que je ne puis en poser. C’est violent, cela me fait violence. Je suis impressionné, et déconcerté.
Déconcerté par le fait que l’auteure ne pose pas le moindre filtre.
Elle me fait peur. Voilà la vérité, nue, crue.
Le froid est là, dans ces peurs, ces stigmates qui montent.
Et pourtant, le chaud est là, soufflé sur des braises ardentes, sur des pulsions amoureuses puissantes, sur des ivresses de sensations, d’émotions, de folles libertés, de liens puissants qui chavire une liberté sans limite. A croire que les bornes des limites n'ont pas de frontière avec Maryssa.
J'ai une envie, simple, sincère, celle de vous recommander la lecture de cet Ouvrage Littéraire Non Identifié, d'y réagir, de vous en effrayer, sans jamais vous y perdre.
Vous aurez, peut-être, l'étrange culpabilité de l'excitation.
Maxence Lascombe, 4 août 2017
Le livre :
Outrage
Maryssa Rachel
Hugo Roman
Aout 2017
ISBN : 9782755635720
http://www.hugoetcie.fr/livres/outrage/
sur amazon
https://www.amazon.fr/Outrage-Maryssa-Rachel/dp/275…
a la FNAC
https://livre.fnac.com/a10615041/Maryssa-Rachel-Out…
1. (BDSM, PolySphère, anarchi-relationnelles et compagnie)
2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lurker
Umami : fr.wikipedia.org/wiki/Umami
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Par : M des Sens
Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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Par : Dame Meg
Tu as sortie mon collier. .. juste quelques mots "ce midi..."
La matinée m'a semblé longue et courte à la fois, mon corps est impatient et tellement tendu. J'ai préparé à manger, j'ai tourné en rond, imaginer des scénarios. ..
Un sms, "attends moi nue dans la chambre"... Je me déshabille, me blottis sous la couette. J'opte pour un peu de crème sur ma peau en attendant. J'entends la porte qui s' ouvre et se referme... Je me cache sous la couette, sans trop savoir quoi faire. Tu arrives. ..
"Assie toi", je m'a genoux sur le lit. Tu attaches le collier, m'allonges, mes mains attachées à la tête de lit, mes yeux bandés...
Tu en profites, tu t'attaques à mes seins, je peux difficilement me débattre... je prends sur moi, c'est si sensible... trop. Un instant de pose, j'entends des bruits. .. Tu me demandes ma langue, tu y déposes quelques chose, et le retire... comme un timbre poste... Je ressens les effets, chaleur piquante, et goût du gingembre, c'est si particulier... Tu écartes mes cuisses et frottes doucement mon clitoris avec le gingembre, la chaleur se répend... mes cuisses s'ouvrent, je cherche ton contact... tes doigts se glissent en moi, me font gémir, me font jouir rapidement... tu viens caresser le reste de mon sexe, parcourir mes lèvres, la chaleur m'envahit, m'excite...
Ta langue prend le relais, c'est si bon, la douceur de ta langue sur mon sexe gonflé.
Tu me retournes, caresses mes fesses, glisses ton doigt le long de ma fente... La chaleur se dissipe... mais tu commences à claquer mon cul... griffer mon dos... je me sens bien.... tu poursuis. ... juste des "encore" sortent de ma bouche. .. viens le moment où tu n'y tiens plus...où ton sexe m'enculle, où je gémis, où je suis à toi... où tu glisses le gingembre dans ma chatte humide.... et je suis bien...
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
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La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : #
Le son ne précède pas le contact comme elle l'aurait cru. Elle s'attendait à un cliquetis net, un carillonnage métallique mais le bruissement est mat, sourd. Mangé par le temps, le fer est devenu muet. A peine un frottement ou un craquement entre les maillons grossiers, épais.
La chaîne encercle son torse et son cou, plaquée sur sa gorge, embusquée derrière l'échelle, soulignant sournoisement un sein avant de retomber sur son flanc. Les mains sont retenues quelques échelons au-dessus par des poignets de vieux cuir raidi. Le métal presse ses chairs, appuie sur son cou, dur et froid, freine l'air qu'elle avale à petite gorgée. En descendant d'un cran, sa gorge s'écrase contre la chaîne qui bloque, étrangle. Le souffle court irrite la trachée, le fourmillement des mains gagne les tempes. La chaîne se relâche d'un cran. Elle aspire l'atmosphère dense de bois et de poussière humide à grosses goulées.
Allongée. La chaîne enserre, serpentine liane lourde et placide. Elle pèse sur son ventre comme une main, s'enroule autour de son corps pour venir, vicieuse, caresser l'entrejambe, pénétrer le sexe, langue glaciale, gode implacable qui glisse sa froidure à l'orée bouillonnante. Choc thermique.
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Par : M des Sens
Histoire d'un passé....bien éloigné, d'un monde que j'ai connu, qui me fit "naître" et "Être"
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Je m’approchais du premier bocal.
La main un peu tremblante, j’y plongeai la main pour en ressortir un petit bout de papier plié en quatre….
Serge, mon « Mentor » en ce Jardin des Sens, se trouvait derrière moi….et je me souviens de son ricanement moqueur à mon sujet….
….
Je dépliais le papier…
En de belles lettres, dans un style d’antan, y était écrit…simplement…
Je montrai à Serge ce bout de papier, avec une petite fierté..
J’avais donc le droit de me présenter devant le deuxième bocal…
Je tendis le papier à notre hôte de « Cérémonie »…
A nouveau, je pris un papier…
Dans la même écriture, le mot « Bukkake » s’y trouvait….avec un nota bene…
Là, fut mon étonnement, je ne savais ce que c’était…
J’ouvris des yeux des plus étonnés, et me tourna vers Serge en lui montrant, alors que lui-même venait de tirer le même papier de « Participant »…
, me dit-il en rigolant….
Je déplaçais alors vers le troisième et dernier bocal, tendant, une fois encore ce papier de providence ou de malchance.. Peut-être…
Un simple numéro se trouvait présent…:
Étrange jeu de chance, mais, je savais que j’allais encore découvrir biens des choses en mes pas de ces jeux de Sens…
D’autant que, Claire et Serge avaient, tous deux, un malin plaisir de se jouer de moi en ne me dévoilant que peu de temps avant « l’évènement » ce qu’il allait se passer…
….
Je me retrouvai avec une multitude de questions quant à ce fameux « Bukkake »…
Une pratique ?
Un accessoire ?
Et puis, à quoi pouvait bien servir ce numéro…..
Mais l’heure n’était pas encore aux réponses…Je le savais…
Nous étions là, dans cette somptueuse demeure, avec d’autres convives depuis près de 2 jours…
Nous avions reçu l’invitation d’amis pour fête l’anniversaire de la Dame des lieux…
J’adorai ces petits week-ends, qui étaient pour moi, la découverte, à chaque fois, de ce Jardin d’indécence …et qui plus est, toujours dans des situations vraiment différentes de ce que j’avais pu vivre jusqu’alors…
Le thème de ce week-end, en sus de l’anniversaire de notre convive, était l’époque napoléonienne….
Et j’avoue, pour la gente féminine, les tenues de cette époque laissaient libre évasion du regard sur les belles robes d’époques…invitation à s’engouffrer sous cette longueur trainante….et laissant deviner les courbes, en de beaux balcons, des Monts de ces Dames…
Mais l’heure fut de se préparer pour l’apéritif….qui sonnait le début des « festivités » encore inconnues …. pour moi
Serge et moi, nous nous étions rendues directement aux bars. Vêtu comme des Nobles de cette époque...
En bottes de hussard, qui claquait à chacun des pas, un « pantalon » d'époque bien moulant, blanc, rehaussées sur le devant par des boutons dorés, disposés sur chaque flan, permettant de laisser l'ouverture facile pour l'accès à cet « instrument » fort utile quand le besoin physiologique se fait présent....(mais pas que...)...Une chemise tout aussi blanche et à l'encolure droite, qui donnait à la tenue de tête un aspect bien strict...Une veste des plus cintrée, dessinant bien le corps, très haut sur le devant, presque à hauteur de nombril, et très longue sur l'arrière, presque comme une queue-de-pie...Le col en était tout aussi droit que celui de la chemise...
Serge avait agrémenté sa tenue identique à la mienne d'un beau couvre-chef, et d'une belle canne, qui, plus tard, servit à ses fins sur sa belle Claire....
A l'arrivée au Bar, nous avions reçu une cocarde, que nous devions arborer sur notre veste...Chaque cocarde correspondait à un thème qui allait suivre...
La mienne avait juste une Lettre « B », certaines avec un numéro en plus, d'autres des lettres différentes....Certaines avec « S », je compris, plus tard signifiait « Spectateur », d'autres avec « F », signifiaient « Fouet ».....
Lorsque je reçus la mienne, en échange de ce fameux passe, on me dit que je devais également profiter pour trouver le « 3 » qui m'était associé....
L'ambiance était des plus conviviales près du bar. J'admirai les belles, mais aussi les messieurs dans ses tenues vraiment plaisantes.
Les discussions étaient des plus variées, allant de la vie de famille aux trouvailles nouvelles de certains à user dans ces Passions des Sens.
J'aimais me retrouver dans ces genres de rencontres, entre découvertes et vivre un jeu de rôle le temps d'un week-end grandeur nature...Un dépaysement total et des plus variés.
J’aperçus alors, une damoiselle, dans une belle robe d'un vert « Pistache », très élégante dans cette tenue qui arborait la fameuse cocarde que je devais trouver...
Elle n'était pas tellement à mon gout physiquement, certes, pas laid, mais loin de mes propres critères de la gente féminine....
Je m'approchai d'elle pour me présenter...et entamait la discussion lui indiquant qu'Elle devait être celle qui devait m'accompagner pour ce fameux « Bukkake », dont, encore je ne savais vraiment rien....
Je me souviens qu'elle fut très amusée que je ne connaisse pas cela....
Ce qui eut le mérite de me détendre ...car il faut bien le dire, malgré cette tenue que j'arborai avec fierté, je n'en menais guère large sur la suite des évènements...Je savais bien qu'il s'agissait là, d'un jeu de Sens....mais parfois, difficile d'appréhender les choses que l'on ne connait pas....
Elle prit soin de m'expliquer les rudiments de base de ce « terrible » tourment...
Elle ajouta simplement, que son rôle, serait qu'elle œuvrerait en lieu et place de ma personne, pour en « tirer » ma Sève, sentence appliquer à la personne tourmentée....et qu'elle s'y appliquerait des mieux qu'elle puisse en espérant satisfaire aussi ma personne dans ce plaisir manuel....
J'avoue que cela me déconcertait quelque peu, mais j'étais aussi présent pour découvrir tous les chants de ce Jardin de Luxure et que l'envie d'en savoir, de gouter plus m'était des plus présent...
Notre conversation fut coupée par notre hôte. Il nous invitait tous, une trentaine de personnes, à le suivre à l'extérieur, et que le début des supplices allait commencer ...Pour la tourmentée....
Une petite estrade était là, dans le jardin, déjà présent, une tribune de discours en son coin.
Une mise en scène d'un bourreau cagoulé trainant au bout d'une chaine la suppliciée s'avançait vers cette estrade.
Notre hôte, dans un grand discourt de juge, annonçait ce qui allait se dérouler....
...
Bien sûr, cela n'était qu'un jeu, ou tous étaient là pour participer, tous étaient volontaires dans ce scénario anachronique...
Mais il faut l'avouer, cela est des plus déconcertant...
Mais cependant, l'excitation, le plaisir subtil des jeux, de la mise en scène m'étaient là...et je n'allais pas partir sans profiter de ce sublime séjour d'en-temps...
Notre hôte continua en invitant à monter sur l'estrade les « bourreaux » affublés de cocarde « F ».
Mon numéro « 3 », qui se prénommait Muriel, était à mes côtés. Elle se « crocheta » à mon bras, un sourire plaisant se dessina sur mon visage, qu'elle me rendit, et nous continuions ainsi, sagement à écouter....
Ils étaient trois, chacun leurs tours, ils se présentèrent.
Montrant, et démontrant leurs matériels et arts particuliers du maniement d'un instrument qui n'est pas à la portée de tous.
L'un d'eux donnait des conseils sur les différentes techniques. (Je me souviens de son accent très prononcé Australien...qui donnait à la scène un côté particulier et très cinéma)
Un autre, au pied de l'estrade, invitait certains à user, dans le vide, de leurs instruments de torture....
J'aimais ces côtés aussi, de découverte et de pratiques. Un enrichissement vraiment plaisant sur les divers Pans de cette Passion. Et qui plus est, permettait aussi de savoir, comprendre, mesurer potentiellement les risques ou pas de certaines pratiques. Tout comme aussi savoir si l'on peut fléchir vers ses affres.
Après le temps des démonstrations et explications, notre hôte indiquait au bourreau encagoulé, qu'il était temps, à présent de se rendre vers la première sentence de la suppliciée.
Chacun emboîtait le pas à cette « funeste » tête de cortège. Il était amusant, de voir que malgré un côté lugubre, ce cortège était très joyeux, et quelque peu indiscipliné. Entre rires de certains, et les coupes de champagne qui claquaient, il avait plutôt l'air d'heureuses retrouvailles....et non de « funestes » suppliques prochaines pour notre tourmentée....
Au fond du grand Jardin de la propriété était disposé des lanternes-tempête qui formaient un grand cercle touchant cette « terrible » potence....
Lentement, l'ensemble des convives prit part tout autour du cercle, à l'extérieur, pendant que le bourreau cagoulé, œuvrait dans l'attache de la suppliciée...
Les trois compères désignés bourreau de la sentence, prirent part dans le cercle, déposant leurs attirails de tortures sur une table déposée là.
Chacun leurs tours, vérifiaient la distance séparant tant la foule amassée que celle de leur cible de choix....
Ce n'est pas parce que cela est une « torture » qu'il ne faut pas prendre de précaution quand même...
Puis l'encagoulé s'éloigna, le Maître de Séance, prit la parole.
Il annonça alors à la pénitente le sort qui lui était réservé et le nombre reçu de « Marque ».....En disant ces mots, il dénuda le dos de la Belle...En releva la chevelure longue, qu'il attacha soigneusement sur le haut de sa tête....
Se recula en sortant du cercle....
....
Et les premières marques apparurent rapidement.....
Des applaudissements venaient parfois ponctuer les prouesses gestuelles qu'effectuait le tortionnaire...
Parfois, l'on entendait une rumeur d'exaltation, parfois d'étonnement....
Cela m'était étrange voir étranger, mais j'avoue avoir plus apprécié la gestuelle dans le maniement de pareil instrument que de la scène en elle-même...
Encore aujourd'hui, même si je trouve parfois beaux ces actes, je n'en suis cependant nullement Friant dans l'acteur...et surtout pas du tout intéressé outre mesure....
J'admirai la capacité de la Belle ainsi torturée et j'étais des plus admiratifs des marques laissées....
La séance fut terminée dans un tonnerre d'applaudissements.
Puis le Maître de cérémonie invitait, qui le souhaitait, à mirer le résultat sur la Belle toujours attachée....
Puis après un temps de « dégustation » de cette Belle attachée...elle fut détachée...
Notre hôte recouvrit cette suppliciée...et nous indiquait qu'il fallait retourner à la demeure pour prendre encore quelques verres avant de passer à la suite....
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