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Il était "marié".
Marié non, mais vivant maritalement avec la mère de ses enfants depuis presque 20 ans.
En secret, mensonge par omission, il était allé chercher une soumise sur le Net, soumise novice qui ne lui convînt pas.
Il créa un événement, une "soirée" (ah non c'était en après-midi, un dimanche !) shibari.
Une réussite, plutôt. Malgré l'humidité des caves, la peinture pas sèche, la vie quoi, le bordel.
Après des heures passées à attacher chacune, dans une ambiance bon enfant, il la vit, là.
Elle.
Touchante.
Morte de fatigue.
La gueule en vrac.
Rousse comme elle respire.
Un potentiel.
Il alla (Ali ? Allô ? Oulala ! C'est l'hallu ! L'hallali !) lui proposer de l'attacher, ce qu'ils firent.
Sous le regard des spectateurs, pour la plupart hors-circuit BDSM, ce qui était une grande victoire pour lui en tant qu'organisateur, ouvrir cette pratique au plus grand nombre,
il essaya de la suspendre... malgré son mètre 80 à elle (enfin 78,5) et son format XL, du genre qu'on n'escalade que par la face nord. Erreur d'inexpérience.
La douleur et la peur de la femelle accrochée se faisant sentir et manifester, il la décrocha instantanément.
Un ratage, pas un râteau. Ils échangèrent leurs numéros de téléphone afin de ne pas rester sur cet échec.
Une quinzaine de jours après, retour sur les lieux du crime.
Pour une session shibari et photo privée.
Après la session, pantoufles et robe de chambre pour le modèle dans la cave voûtée fraîche et humide, ils burent une pinte de bière ensemble. Ou peut-être deux. Ou trois, qui sait ?
- Lui : quel est ton rapport à la D/S ?
- Elle : J'ai été soumise, je suis Domina, je ne souhaite plus ce type de rapport pour l'instant. Sauf si...
De ce jour, il ne se quittèrent plus sur le Net, passant leurs journées ensemble à tchatter ardemment.. Jusqu'au jour où...
elle évoqua l'idée qu'elle puisse le dominer.
- Lui : tu mérites une bonne punition pour avoir eu une telle pensée impie.
- Elle : Pardon Monsieur.
- Lui : tu as 1/2h pour qu'on se retrouve devant la mairie du 4ème, prends dans ta cuisine une spatule en bois, ce sera l'outil de ta punition, tu en auras 30 coups.
Il était 23h30. L'automne frappait à la porte. Une petite pluie fluette essayait de mouiller la terre et les corps, sans y parvenir.
23h59. Il la voit qui attend devant la mairie, pantelante de peur encore d'être en retard. Il lui fallait 40 minutes pour qu'elle vienne, et elle a tenu le délai. Elle s'est mise en danger pour ça. Il se dit que plus jamais, il ne commettra cette erreur, encore une prise de risque de cette femme qui fait tout pour se rendre digne de l'Homme, du Dom qu'il apprend encore à être à l'époque....
De chaque côté de la mairie il y a un square. A gauche un square pour enfants, en général assez fréquenté, et surtout dans l'ensemble assez accessible visuellement. A droite de la mairie, le square des vieux, beaucoup plus à l'abri des regards. Mais de toute façon, en cette nuit d'automne pluvieuse, personne dans les rues ni le nez aux fenêtres des nombreux vis-à-vis potentiels.
Il l'entraîne par la main jusqu'au parc des chenus. S'assied sur un banc, lui fait baisser culotte. L'installe OTK.
Elle lui donne sa spatule.
- Compte. Et remercie-moi.
Et le premier coup tombe.
- Un. Merci.
- Un qui ? Merci qui ?
- Un Monsieur. Merci Monsieur.
Et les 30 coups de spatule marquent son cul à elle de sa marque à lui, sublime cul rouge offert et frémissant.
- Met-toi à genoux, tu as mérité l'autorisation de me lécher la queue à travers mon pantalon, dit-il.
Et elle s’exécute, léchant et suçant le chibre dur à travers l'épais coton du treillis, tandis que le crachin s'échine et s'acharne à essayer de les humecter tous les deux, sans succès.
Il la fait se relever, la prend dans ses bras, ils s'étreignent tendrement, et il l'embrasse.
et ils ne passèrent plus un jour sans se voir physiquement. Jusqu'à ce que...
Il apprendra plus tard que sans ce geste de tendresse, elle n'aurait pas donné suite à l'histoire.
Mais la suite de l'histoire ne sera pas dite ici.
Marié non, mais vivant maritalement avec la mère de ses enfants depuis presque 20 ans.
En secret, mensonge par omission, il était allé chercher une soumise sur le Net, soumise novice qui ne lui convînt pas.
Il créa un événement, une "soirée" (ah non c'était en après-midi, un dimanche !) shibari.
Une réussite, plutôt. Malgré l'humidité des caves, la peinture pas sèche, la vie quoi, le bordel.
Après des heures passées à attacher chacune, dans une ambiance bon enfant, il la vit, là.
Elle.
Touchante.
Morte de fatigue.
La gueule en vrac.
Rousse comme elle respire.
Un potentiel.
Il alla (Ali ? Allô ? Oulala ! C'est l'hallu ! L'hallali !) lui proposer de l'attacher, ce qu'ils firent.
Sous le regard des spectateurs, pour la plupart hors-circuit BDSM, ce qui était une grande victoire pour lui en tant qu'organisateur, ouvrir cette pratique au plus grand nombre,
il essaya de la suspendre... malgré son mètre 80 à elle (enfin 78,5) et son format XL, du genre qu'on n'escalade que par la face nord. Erreur d'inexpérience.
La douleur et la peur de la femelle accrochée se faisant sentir et manifester, il la décrocha instantanément.
Un ratage, pas un râteau. Ils échangèrent leurs numéros de téléphone afin de ne pas rester sur cet échec.
Une quinzaine de jours après, retour sur les lieux du crime.
Pour une session shibari et photo privée.
Après la session, pantoufles et robe de chambre pour le modèle dans la cave voûtée fraîche et humide, ils burent une pinte de bière ensemble. Ou peut-être deux. Ou trois, qui sait ?
- Lui : quel est ton rapport à la D/S ?
- Elle : J'ai été soumise, je suis Domina, je ne souhaite plus ce type de rapport pour l'instant. Sauf si...
De ce jour, il ne se quittèrent plus sur le Net, passant leurs journées ensemble à tchatter ardemment.. Jusqu'au jour où...
elle évoqua l'idée qu'elle puisse le dominer.
- Lui : tu mérites une bonne punition pour avoir eu une telle pensée impie.
- Elle : Pardon Monsieur.
- Lui : tu as 1/2h pour qu'on se retrouve devant la mairie du 4ème, prends dans ta cuisine une spatule en bois, ce sera l'outil de ta punition, tu en auras 30 coups.
Il était 23h30. L'automne frappait à la porte. Une petite pluie fluette essayait de mouiller la terre et les corps, sans y parvenir.
23h59. Il la voit qui attend devant la mairie, pantelante de peur encore d'être en retard. Il lui fallait 40 minutes pour qu'elle vienne, et elle a tenu le délai. Elle s'est mise en danger pour ça. Il se dit que plus jamais, il ne commettra cette erreur, encore une prise de risque de cette femme qui fait tout pour se rendre digne de l'Homme, du Dom qu'il apprend encore à être à l'époque....
De chaque côté de la mairie il y a un square. A gauche un square pour enfants, en général assez fréquenté, et surtout dans l'ensemble assez accessible visuellement. A droite de la mairie, le square des vieux, beaucoup plus à l'abri des regards. Mais de toute façon, en cette nuit d'automne pluvieuse, personne dans les rues ni le nez aux fenêtres des nombreux vis-à-vis potentiels.
Il l'entraîne par la main jusqu'au parc des chenus. S'assied sur un banc, lui fait baisser culotte. L'installe OTK.
Elle lui donne sa spatule.
- Compte. Et remercie-moi.
Et le premier coup tombe.
- Un. Merci.
- Un qui ? Merci qui ?
- Un Monsieur. Merci Monsieur.
Et les 30 coups de spatule marquent son cul à elle de sa marque à lui, sublime cul rouge offert et frémissant.
- Met-toi à genoux, tu as mérité l'autorisation de me lécher la queue à travers mon pantalon, dit-il.
Et elle s’exécute, léchant et suçant le chibre dur à travers l'épais coton du treillis, tandis que le crachin s'échine et s'acharne à essayer de les humecter tous les deux, sans succès.
Il la fait se relever, la prend dans ses bras, ils s'étreignent tendrement, et il l'embrasse.
et ils ne passèrent plus un jour sans se voir physiquement. Jusqu'à ce que...
Il apprendra plus tard que sans ce geste de tendresse, elle n'aurait pas donné suite à l'histoire.
Mais la suite de l'histoire ne sera pas dite ici.
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