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À l’intérieur, c’est beaucoup plus grand que je ne pensais. Il y a pas mal d’Hispaniques. Les gardes qu’on a vus sont attablés dans le fond du restaurant. Il y a aussi le grand Texan qui m’a appris à fouetter. En nous voyant arriver, il me demande :
— Alors, Summer ne t’a pas vendue ?
Ça va me poursuivre, ça. Il me prend par la main pour me faire asseoir sur ses genoux, puis il dit à Summer :
— Je peux te l’emprunter ? Je voudrais lui montrer quelque chose dans les toilettes.
— Bien sûr.
Eh, oh, je suis là moi ! On peut me demander mon avis avant de m’emprunter ! Et puis, je me doute de ce qu’il va me montrer ! Summer me regarde et je devine ce qu’elle pense : "Comment elle va s’en sortir ?"
Je réponds :
— Ça tombe bien, je dois faire pipi.
Summer me sourit, elle apprécie ma réponse... Pourquoi faire la Sainte Nitouche, j’ai envie qu’il me baise depuis que j’ai senti la barre dure de son sexe contre mes fesses, et puis vous êtes déjà au courant de tout ce qui m’a excitée, cet après-midi. Il me dit à l'oreille :
— Depuis que j’ai senti ton cul contre moi, j’ai envie de te prendre en levrette.
Vous voyez : pareil ! Un de ses copains se lève en annonçant :
— Je vais faire le guet...
Les toilettes se composent d’un lavabo et deux cabines avec des w.c. Le Texan me dit :
— Penche-toi et tiens-toi au lavabo.
Quand je suis en position, penchée en avant et bien cambrée, il se met à genoux derrière moi. C’est gentil, je ne pensais pas que c’était son genre. Il écarte mes fesses pour me lécher plusieurs fois, depuis le clito jusqu’à l'anus. Charmante attention, mais ce n’était pas nécessaire de m’humidifier, ma chatte s’est déjà chargé du job ! Il se relève, me prend par les hanches et s’enfonce en moi lentement mais à fond. Ouch ! Il est bien monté...
Il me baise à grands coups de reins, j’en avais besoin depuis que... qu’on m’a obligée à fouetter ces filles. Quelques minutes plus tard, je jouis. Repenser aux filles punies, ça a été la goutte d’eau. Il continue 5 ou 6 minutes de plus et je sens que je vais repartir, quand il jouit, lui aussi. Eh ! C’est vite ! Il se retire et me donne une claque sur les fesses en disant :
— Bouge pas !
— J’ai pas eu le temps de...
Oui, je le dis... même si ce n’est pas adroit. Il répond :
— Reste dans cette position et tais-toi.
Il ouvre la porte, son ami entre et, sans un mot, même pas "Vous permettez ?", il enfonce son sexe en moi et se met à me baiser. Ils me traitent vraiment comme une pute... ou... comme une esclave. Quelques coups de reins plus tard, je jouis à nouveau. C’est bon, quand ils sont deux, même un peu rapides ! Le copain jouit lui aussi en vitesse, puis il repart sans un mot. Heureusement qu’il ne dit pas "Au suivant !" Deux, c’est bien et ça me suffit. Je passe aux toilettes pour faire pipi et pour expulser le petit cocktail de spermes dont ils m’ont fait cadeau. Quand je reviens vers notre table, je suis un peu gênée. Tout le monde me regarde en souriant. Je vais vite m’asseoir sur une banquette près de Summer et je trempe un chips dans du "guacamole" qui se trouve au milieu de la table. C’est chouette, Venice !
Je suis plus calme. Si, si... me faire baiser par deux mecs dans les toilettes, ça calme. Je m’amuse bien avec les amis de Summer. On boit de la tequila, ils disent des "shots", ça pique, mais c’est bon... La soirée se prolonge et vers 3 h du matin, Summer me dit :
— Demain à 10 h on a rendez-vous avec ton agent. Faut qu’on y aille.
— On peut pas rester encore un peu ?
— Non, viens.
Pppffff... Après avoir dit au revoir à tout le monde, on rentre. Je chantonne dans la voiture pendant le retour, je suis bien... même si tout tourne un peu autour de moi.
Dans sa chambre, on se déshabille et je l’enlace en disant :
— Merci Summer, c’est la meilleure soirée de ma vie.
— T’es bourrée...
Elle me repousse et va faire pipi en disant :
— Tu vas être belle demain...
M’en fous, j’ai juste envie d’elle. Depuis le pied du lit, je me glisse entre ses jambes et je colle mes lèvres à sa chatte. Elle murmure :
— T’es insatiable, toi.
Mais, elle me laisse faire. Je m’endormirais bien là... mais dès qu’elle a joui, elle me repousse et je me mets dans le lit. Au milieu de la nuit, je dois vite aller dans la toilette pour vomir. Ouch ! Je vais arrêter de boire des "shots" ! Je me rendors péniblement...
— — —
Le lendemain matin, je suis réveillée par Summer qui me secoue en disant :
— Allez, debout !
Elle me traîne sous la douche... L’eau est froide. J’ai beau pousser des cris, elle me maintient sous le jet. Ouch ! Ça réveille. Elle finit par me lâcher, en me disant :
— Tu as 5 minutes pour te maquiller et t’habiller....
J’ai mal à la tête... Je ne boirai plus jamais de ma vie ! J’ai juste le temps de me coiffer un peu et d’enfiler ma robe que Summer me tire hors de la chambre. On monte en voiture et... on va où déjà ? Ah oui, chez un agent. Le moteur fait trop de bruit et j’ai des hauts le cœur.
Ayant plus ou moins reconnu l’avenue qu’on prend, je demande à Summer :
— Il habite près de Topanga ?
— Oui, sur la plage à Malibu.
Cool... On arrive devant l’entrée. Depuis la voiture, Ashley sonne, puis annonce dans le parlophone :
— Summer.
La grille s’ouvre. Elle me dit :
— On va se faire engueuler.
Aaah ? Ça commence bien... L’entrée est quelconque, mais par contre, la propriété est superbe : une grande maison à un étage avec une piscine entourée de végétation0 La plage et la mer sont un peu en contrebas, il y a un escalier en bois pour y arriver. Et maintenant, je sais nager... Devant la maison, une grande femme bien en chair et vêtue d’une robe noire nous attend. Elle n’a pas l’air commode. Derrière cette elle, il y a deux filles en uniformes de servante avec toute la panoplie : petit tablier et coiffe sur la tête. Ce sont sans doute des esclaves, mais je n’ose pas le demander. La femme dit :
— Bonjour Mademoiselle Summer, bonjour Mademoiselle Ashley..
Summer répond :
— Bonjour Madame Stone. De quelle humeur est le patron ?
— Comme vous imaginez.
Summer grimace, tandis que les servantes font une révérence quand on passe devant elles. J’adore ça...
On suit Madame Stone jusqu’à une terrasse qui donne sur la piscine. Sous une grande toile, un vieux petit bonhomme est assis derrière une table, sur laquelle se trouvent un PC et des papiers. Derrière lui, il y a aussi deux servantes en uniforme, les mains croisées sur le pubis, la tête baissée. Summer lui dit :
— Bonjour Monsieur Leyssens, désolée pour le retard.
— Bonjour Summer. Tu devrais être là depuis 10 minutes !
— Je sais on a perdu dans un embouteillage. Ça m’arrangerait que vous n’en parliez pas à Monsieur Sam.
— Redevable ?
Elle lui serre la main, en disant :
— Redevable.
Mais c’est quoi ça ? Ils font partie d’une secte ? Moi aussi, si je me souviens bien, je suis "redevable" à Summer. Je ne sais même plus pourquoi.
Le petit bonhomme me regarde attentivement, avant de me dire :
— Tu as des cernes sous les yeux. C’est toujours comme ça ?
— En fait... hier soir, j’ai mangé mexicain, Monsieur. Je ne suis pas habituée à ce genre de cuisine et j’ai été malade durant la nuit...
— Moi aussi, j’ai du mal à supporter cette nourriture. Bon, passons pour cette fois. Alors, tu es prête à faire tout ce qu’il faut pour réussir dans le cinéma ?
— Oui, Monsieur.
— À coucher avec des hommes, des femmes ?
— Oui, Monsieur.
— Tourner nue ne te pose pas de problème ?
— ... Euh... non.
— Alors enlève ta robe, que je voie comment tu es faite... Tu peux garder ta culotte.
— Ça ne va pas être possible, Monsieur...
Tête du gars qui se demande à quoi je joue. J’enlève ma robe par le haut d’un mouvement félin – si, si – et j'ajoute :
— J’ai pas de culotte.
C’est bien joué, non ? Je tourne sur moi-même pour qu’il puisse admirer ma plastique... de rêve. Il me dit :
— Je prendrais bien quelques photos, si ça ne te dérange pas.
— Au contraire, j’aime qu’on me photographie.
Il crie :
— Syl ! Appareil photo.
Une servante arrive en courant et se met à genoux devant lui. Elle lui tend un appareil photo qu’elle tient à deux mains. J’en veux des esclaves, moi, c’est trop cool ! Le gars a l’air aussi vieux que les séquoias du parc naturel qui se trouve pas loin, et pourtant, il se lève avec souplesse et se met à tourner autour de moi. Je prends des poses de pin up. Il me fait même des compliments... à tel point que je lui dis :
— Ce serait intéressant que je pose avec une esclave nue0
— Très bonne idée.
Il crie :
— SYL, à poils et aux pieds, de notre invitée !
La fille enlève son tablier, sa robe noire et vient se mettre à genoux devant moi. Je lui dit :
— Regarde-moi !
Elle obéit et, comme je m’avance un peu, ses lèvres s’enfoncent dans les poils de ma chatte. Je regarde Monsieur Leyssens, qui hoche la tête en souriant. C’est un feu vert ça, non ? Alors j’écarte les jambes en disant à Syl :
— Tu ne veux pas être fouettée ?
— Non, Maîtresse...
— Alors, fais-moi jouir.
Elle glisse son fin visage entre mes cuisses et colle sa bouche contre ma chatte. Je mouille son visage.
Putain, je me doutais qu’une fille qu’on menace du fouet devait lécher comme une reine... façon de parler, bien sûr. Elle me lèche, me suce... Spencer fait des photos en pied, elle et moi, et puis de mon visage. Il me dit :
— Regarde l’appareil, je veux t’avoir quand tu jouis.
Ce seront des photos vraiment indécentes, je... jouis en tenant le visage de l’esclave collé à ma chatte. Spencer est tellement content qu’il me dit :
— Monsieur Sam a raison tu es une future star.
— Merci, je ferait pour ne pas le décevoir.
Une secrétaire, pas une servante, passe la tête pour dire :
— Monsieur King est là, Monsieur.
— J'arrive.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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