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J étais dans mon bureau classant des papiers lorsque tu es rentrée.
Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte.
Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ?
Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours.
Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole.
Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ?
Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole.
D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé.
Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation !
Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút.
Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part .
Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais.
Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant.
De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder.
Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance....
Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien.
Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !!
Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce.
Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !!
Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps.
Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison .
De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements.
Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître...
D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire.
Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit :
Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci
Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre .
Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours.
Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte.
Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ?
Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours.
Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole.
Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ?
Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole.
D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé.
Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation !
Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút.
Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part .
Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais.
Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant.
De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder.
Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance....
Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien.
Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !!
Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce.
Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !!
Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps.
Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison .
De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements.
Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître...
D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire.
Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit :
Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci
Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre .
Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours.
Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
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