par Maxxence
le 30/01/22
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#MMM, vous connaissez peut-être.
Le hashtag créer par Charline Vermont autrice du compte Instragram @orgasme_et_moi.
A l'origine, ce hashtag indiquait "Meufs Mecs Merveilleux.ses", qui s'est mué, dans un souci d'une plus grande inclusivité à "Mixed Marvelous Minds".
Faut-il aujourd'hui en regretter l'anglicisation alors que le processus initial portait sur l'expression d'une pensée en français ? je l'ignore.
Fait est que le hashtag #MMM est largement adopté et se croise régulièrement dans les profils d'appli de dating et les sites de rencontres, les personnes qui souhaitent indiquer qu'elles sont ouvertes à une sexualité décomplexée et bienveillante.
Ce que d'autres ont nommé de longue date sexualités alternatives (notez les pluriels).
Le glissement progressif d'un monde de sexualités aux nombreuses formes d'expressions, avec ou sans pouvoir qui s'exerce lors des jeux sensuels (D/s, soumission, shibari, discipline érotique, contrôle sensuel du partenaire...) pour une sexualité décomplexée et bienveillante, nouvelle dénomination pour des pratiques qui demeurent dans l'exécution, les mêmes que celles de nos aïeux.
C'est dans la forme, dans la communication qu'il est signifié des attentes avec une précaution importante quant aux exigences de formulations explicites, modalité inclusive et soucieuse de ne pas créer d'incertitude pour les partenaires.
Les générations antérieures aux années 1990 ont connu le consentement implicite, non sans avoir préalablement négocié les actes à venir, aujourd'hui il se doit d'y avoir une permanence dans l'acquiescement des partenaires à agir dans l'instant.
Nouveau protocole d'expression et de sa permanence, avec pour corollaire de s'assurer de ne pas outrepasser l'accord des participants afin de ne pas créer de traumatisme, de violence.
La généralisation du questionnement permanent du consentement dans l'action interroge sur la faculté à pouvoir lâcher-prise, et cela même dans l'espace/temps de déconnexion et d'envole vers les EMC (état modifié de conscience) propres à la libération de l'orgasme de quelque genre fusse-t-il.
L'enthousiasme du consentement initial doit avoir pour préalable la préoccupation des protagonistes à interroger la validité de la responsabilité de chacun à formaliser ce consentement aux actes à venir, il ne faut jamais sous-estimer la phase où il va devenir plus incertain (EMC) de pouvoir s'exprimer sans avoir à garder les pieds sur terre.
Cette quadrature du cercle doit faire autant réfléchir les plus matures comme les plus jeunes, si d'un côté, les quadras et plus doivent s'approprier ces nouveaux protocoles de dialogue et de communication, il ne faut pas que les moins de quarante ans oublient qu'il n'est pas acquis d'avoir une permanence de conscience et de capacité à exprimer en toute lucidité, sa responsabilité au travers du consentement à l'action en cours.
Comme pour l'ensemble des résonances #SexPo, les approches positives et enthousiastes des rencontres et relations amoureuses n'échappent pas aux opportunismes des prédateurs et prédatrices, aujourd'hui désignés "wokefishers".
A vous de cerner la sincérité et l'éthique de vos correspondants.
Je ne doute pas qu'il soit heureux de pouvoir mieux communiquer, exprimer de façon formelle ses actions à venir, les accompagner de paroles, de mots qui permettent une douce mélodie sensuelle.
Que les "Meufs Mecs Merveilleux.ses" puissent se rencontrer et s'épanouir, c'est toute la délicatesse que je leur souhaite.
Posté dans: Lexique/Definitions
Thèmes:
feminisme
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Au bout de combien d'invitations à "prendre un verre chez elle" honorées sans que rien ne se passe qu'une conversation polie, dois-je ou puis-je prendre une initiative claire... sans risquer un rejet offusqué, sans perdre la face...? Elle est jeune, moi... je l'ai été, mais c'est loin déjà. Elle est Chinoise, et je ne connais rien de cette culture ou pas grand'chose, et encore moins sur l'approche et l'appel, les modes, us et j'en passe de la séduction et de la persuasion. En pplus... c'est une "bourgeoise, ou une grande timide... Puis-je la dénoncer pour harcèlement discret...?





Suggestion
Par : Maxxence
Révision du monde, sous le signe du "patriarcat".
En lieu et place de proposer des études et des connaissances qui se fondent sur les cadres scientifiques, de plus en plus de publications sociologiques, ethnologiques et cramouille sur le paternalisme, en phénoménologie. Ainsi, pour déconstruire le concept du "mâle alpha" créer de toute pièce par un incertain Schenkel tout juste après la Seconde Guerre mondiale. A-t-on la nécessité, en ce début de troisième décade du XXIe siècle, de forger des arguments à la sauce woke afin de ne pas sombrer dans un propos qui ne serait pas compatible avec la déconstruction et le féminisme politique extrêmes.
Autant en résumé la connaissance contemporaine : —— Le mâle alpha n'existe pas chez le loup.
Pas plus qu'il n'existe dans la nature animale mammifère, la moindre démonstration d'une prévalence d'un mâle sur la communauté. Voilà-voilà.
Un monde devrait s'écrouler, non pas pour les kéké-alpha, ceux-là ont depuis toujours brillé par la niaiserie de leurs besoins de faire plus que le voisin, sans se soucier de la viande à l'étalage, de la grasse qui accepte volontiers d'exposer ses bourrelets à la cadavérique qui n'a plus de peau sur les os, quiconque à jeter un oeil distrait sur l'iconographie BDSM, à largement de quoi prendre du cliché le plus anorexique aux bottérines silhouettes, que le corps soit mâle ou femelle, cela ne se genre pas ces choses-là, Môssieur !
Qu'ont-ils donc besoin de justifier par des biais méandreux, des sophistications malsaines, dans le but d'acculer le quidam qui n'est en rien responsable de la situation induite par ces sophismes?
En quoi, la terreur, les harcèlements des intersectionnels se légitimeraient du fait qu'un ethnologue à la petite semaine ait un jour cru voir (dans un zoo) un loup qui castagnait les autres et en fit une déduction hasardeuse et oisive.
Qu'est-ce qui pourrait justifier les violences scripturales en bande organisée, lorsque les amateurs de rôles de pouvoir, questionnent les degrés de responsabilité?
Par quelle tricherie, les sectaires de la wokosphère, peuvent-ils détruire les échanges que certaines spécialistes de la philosophie ou de la sociologie des sexualités alternatives et plus particulièrement le BDSM, considèrent comme un des environnements particulièrement conscients des principes de consentements de l'équité des rapports de pouvoir dans le couple, dans les rapports de genre ?
Force est de constater que nous vivons, dans le péribole BDSM, un encerclement par une armée de colons qui s'en prennent aux groupes les plus progressistes de la relation humaine dans ses aspects sensuels, sexuels, sentimentaux, un environnement qui est probablement des plus sensibles aux abus, aux excès, aux dépassements des responsabilités communément engagées.
Comment les acteurs du BDSM peuvent-ils tolérer ces assauts quotidiens, cette pollution des débats, ces attaques jusque dans les plus infimes espaces des relations de pouvoir. Comment, celles et ceux qui s'inclinent, se soumettent, aspirent à être sous le joug d'une amante, car il est notoire que la demande de lien asymétrique est d'abord et avant tout recherché par des individus du genre mâles, loin des salamalecs patriarcaux des porteuses de lances ultra-féministes.
En niant ici, dans le cénacle BDSM, le fait que les personnes qui s'intéressent aux relations de pouvoir, qui s'éveillent aux sensualités atypiques, aux sexualités alternatives, sont soucieuses du bien être psychique, physique de leurs partenaires. Que les notions de genre sur ici, des plus fluides et des mieux partagées, de la soumise phallique à la prêtresse enculeuse, du Totor réac et sectaire à Monsieur Switch for ever, qu'icelle se réveille en icelui, que celui qui dort au pied du lit se réveille perclus de saines douleurs qui font son bonheur d'être sous le joug d'une amante intraitable.
Toutes ces variations amoureuses, sensuelles, sexuelles, démontrent que les attaques dans le domaine du BDSM sont le fruit de personnes ayant ostensiblement le désir de créer de la difficulté, de perturber les débats, de parasiter les progrès et les consciences prudentielles, en détournant du fond, par des artifices, des sophismes pervers, les êtres en désir de sensualité, de plaisir, de jouissances, sont harcelés, poursuivis par quelques intrus véhéments dont la santé mentale est à questionner.
Pour s'en convaincre, il nous suffit de regarder quelques mois, quelques années en arrière, pour nous rendre compte que les vindicatifs, les intégristes déterminés qui ont promu ces idées, qui ont violenté par le verbe de nombreuses personnes nouvellement venues, sans connaissance ou conscience de la présence de ces régiments de forcenés du devoir de culpabilisation de tout homme blanc hétérosexuel. Il est interdit de nommer ici, fait est. Il n'en est pas moins vrai que nous pouvons regarder vers l'Est et ses quelques crânes rasés au genre diffus et à la personnalité définitivement troublé. Nous pouvons sans aucun doute mettre en évidence les propos délétères de personnes transitionné, qui par leurs maux, n'ont de cesse de diffuser une haine des personnes à la vie sociale ordinaire. Il est frappant que des "alliés" des intersectionnels, nous prouvent quotidiennement, qu'à 45, 50, 60 ans et plus, les "grandes révélations" du non-binaire et de la fluidité de genre ou des affres du patriarcat justifie leurs agressions perpétuelles à l'endroit de quiconque s'exprime dans les normes sociales en vigueur aujourd'hui.
Aucune volonté de ces bandes organisées pour instruire toute présence nouvelle, d'y apporter peu à peu une bienveillante instruction, les "éveillés" (comme ils se définissent) agissent comme une secte ou celles et ceux qui ne sont pas dans leurs extrémismes, dans leurs volontés de dresser les femmes contre les hommes, les indéterminés contre le mâle-cis, dans l'unique but de pourrir, de brûler les terres d'un espace que sociologues et philosophes considèrent, à la lumière de leurs études, comme un univers avant-gardiste, précurseur, sensible aux notions de pouvoir et à ce qui en découle tant sur les champs intimes que dans les domaines sociaux.
Les sexualités alternatives ont le bénéfice d'éduquer à la prudence.
Les sensualités atypiques permettent de stimuler les consciences à la responsabilité de soi, conséquences de ses choix, de ses actes pour soi comme sur autrui.
Les amours différentes offrent à celles et ceux qui s'en approchent, le pouvoir de cheminer dans des pratiques qui s'accompagnent de réflexions dont la qualité dépasse le cadre du pret-à-penser, il n'y a que de très rares comportements marginaux, qui sont rapidement mis en lumière, pour démontrer combien ces d'explorations de soi sont propices à la recherche d'un épanouissement intime et non une zone borgne, de non-doit, de prédation hors norme.
Je sais, simplement, que mes pairs dans cet environnement sont largement instruits sur les devoirs de prudences, sur les examens de responsabilités, sur les consciences de la qualité de la communication, qu'ils sont attachés à la qualité de leurs paroles, à la sincérité de leurs émotions, à la vigueur de leurs désirs. Tout ce dont les miliciennes et la soldatesque woke abhorrent.
Par delà de ces êtres acariâtres et malséants, il est un fait : l'amour, le désir, les jouissances seront plus grands, indéniablement riches d'universalités.
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• Science : Les meutes de loups n'ont pas réellement de mâles alpha et de femelles alpha, l'idée est basée sur un malentendu.https://phys.org/news/2021-04-wolf-dont-alpha-males-females.html
• Clichés : « Mâles alpha », « violence naturelle », « exclus du sexe » : ces mythes d’extrême droite qui grignotent le discours sur la sexualité. https://www.nouvelobs.com/idees/20210504.OBS43637/males-alpha-violence-naturelle-exclus-du-sexe-ces-mythes-d-extreme-droite-qui-grignotent-le-discours-sur-la-sexualite.html
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Par : mael
Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée:
-Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs .
Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon.
-avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide.
Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets:
-A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré.
Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Par : Comte de Noirceuil
Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis.
Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée.
Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones.
Découvrir l’objet
Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres…
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Par : #
Jeune sous officier de 25 ans dans les années 80, solitaire, beau gosse me trouvaient les filles, à l'époque, séductueur plutot d'épouses mariées, aventureux, sans lendemain, pas envie de vivre en couple.
Sportifs, militaires, nous avions l'habitude de prendre une douche à coté des vestiaires. Douches communes tous ensemble, quel que soit le grade. "Bonjour,... ça va ?.... à demain..." , échanges neutres et polis, jusqu'au jour ou un jeune capitaine, à peine 30ans m'invite. "On se croise, on ne se connait pas, après le travail, venez boire un verre, j'habite à trois stations de métro d'ici" .
Naif, réellement naif, je me rends chez lui, juste pour échanger, aucune idée derrière la tete. Juste une amitié naissante. Assis dans son salon, devant un petit apéro, il mets une K7 vidéo érotique, se caresse à travers son pantalon. Il sort son sexe et se masturbe naturellement.
Dans ma culture à l'époque, se masturber est mal, honteux, je pose ma main sur la sienne d'une façon volontaire pour qu'il arrete. En meme temps je touche son sexe sans arrière pensée. Et c'est là que tout a basculé, ma vie chamboulée par ce simple geste spontanné. en disant "Arretez..."
J'avais honte pour lui, franchement, se masturber... Naturellement j'ai pris son sexe chaud dans ma main, des doux va et vient réconfortants, et sentir ma puissance devant ce jeune et beau capitaine, je voulait lui donner du plaisir. Tout en restant vêtu, j'ai approché mes lèvres de son sexe pour ressentir encore plus son désir, son plaisir jusqu'à ce qu'il s'abandonne dans ma bouche. Ensuite je l'ai embrassé, partageant sa semence.
Première fois que j'avais un rapport avec un homme. Je suis rentré ensuite chez moi, en banlieue, honteux, de part mon éducation et mes valeurs.
Nous nous sommes revus au mess, cotoyés dans les couloirs, complices sans que plus rien ne se passe, de part ma volonté. Il aurait voulu continuer. Nous avons eu des mutations, nos chemins ne se sont plus croisés.
Qu est il devenu ? De mon coté des regrets... la bisexualité n'éxistait pas dans les années 80.
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Par : soma06
CONFIANCE / RECIPROCITE / COMPLICITE / SENSUALITE :
1 CONFIANCE
Ce n'est pas anodin que de pratiquer une relation BDSM !
En premier lieu, le Soumis doit avoir une confiance aveugle envers son Maître, car il y a des risques à se laisser librement & volontairement dominer autant sensuellement, physiquement & sexuellement!
Le soumis peut en effet se retrouver dans une situation bien délicate où alors il lui sera impossible de demander une libération ou de pouvoir se libérer lui-même !
C'est déjà arrivé de trouver un soumis incapable de se libérer!
Le Maître doit également avoir une entière confiance avec celui qui a accepté de se livrer, une fois bien clairement établi les limites des deux complices bien réciproques!
J'ai pu ainsi me laisser entraver dans des lieux privés ou publics en toute confiance envers celui qui aimait ainsi voir mon corps offert et disponible en toute sérénité et confiance ! Je savais qu'il prenait du plaisir à me voir ainsi immobilisé autant que j'en prenais à me savoir à sa disposition !
2 RECIPROCITE :
Ce n'est guère évident de trouver une réelle réciprocité entre le soumis et son Dominant : j'avoue avoir eu le bonheur et la chance d'avoir pu expérimenter une réelle réciprocité avec deux de mes anciens Maîtres !
Je suis toujours venu chez mes Dominateurs sans crainte du risque de pouvoir me trouver dans une situation indésirable !
3 COMPLICITE :
Pas toujours sur de trouver une agréable complicité entre les deux partenaires complémentaires et pourtant bien opposés !
Quels bonheurs et plaisirs surement partagés de se savoir réellement complice de son dominateur !
Savoir et parfois voir que son Dominateur prend autant de plaisirs à Vous contraindre qu'il en à Vous dominer physiquement, sensuellement et sexuellement !
Avoir la possibilité de sentir son corps à la complète disposition d'un Maître qui est vraiment complice d'une relation Dominant-Dominé !
4 SENSUALITE :
Personnellement c'est un passage obligé : je n'entrevois guère une relation Domi/soumis sans une réelle sensualité !
Le Maître doit exercer une sensualité forte sans brutalité qui doit mener son soumis à une soumission réelle, non exclue d'une forte sensualité bien réelle!
Le Maître doit pouvoir parcourir l'ensemble du corps de son soumis sensuellement jusqu'à la limite du supportable sans devoir exercer une brutalité trop souvent inutile!
La Domination n'exclue pas la sensualité, bien au contraire : elle peut être d'une violence souvent plus efficace que la brutalité!
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Par : Comte de Noirceuil
Il est un phénomène issu de la culture japonaise adepte des mangas et autre pop-culture qui a conquis une bonne partie de la jeune génération.
Le cosplay qui autrefois était assez marginal, a envahit cet espace de pop-culture laissé à l’abandon.
Durant les salons, conventions, ils ont même leur concours.
Force est de constater que beaucoup d’adeptes et de passionné(e)s redoublent de travail et d’imagination pour confectionner leur « costumes » dans le moindre détail et cela donne des résultats impressionnants...et sexy !
Car dans cette culture, il y a un point qui revient souvent dans les manifestations ou le cosplay est représenté, c’est que cela frôle souvent avec un petit côté sexy (Ce qui pose certains problèmes aussi avec certaines personnes malintentionnée durant ces salons, mais c’est un autre sujet.) voire pour certain(e)s un peu trop pour la fréquentation jeune qui arpente ce type d’événement.
Durant ces conventions, je me suis toujours demandé si ces personnes avaient dans leur fantaisie, le fantasme de le faire en costume ?
C’est de là que m’est venu l’idée d’un jeu en costume ou en cosplay.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/hot-cosplay/
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Par : Maxxence
Je.
Je suis rond, gros, obèse. Je déborde, je suis excessif. Je parle en mon nom et témoigne, je ne donne aucun ordre, je donne mon avis. Je, parce que ce qui sort de JE c'est le fruit de mon expérience, mes réflexions, mes lectures, mes influences, mes curiosités, mes opinions, mes arbitrages(1).
Je. Moi-moi-moi. Puisqu'il est nécessaire de répondre aux injonctions de "les autres", ma façon d'aborder les événements, les sentiments, les émotions, les autres, c'est par mes sens, cela me concerne donc, et si je veux pouvoir projeter ce que je reçois, je dois pouvoir me l'approprier, le ramener à ce que je connais : donc à moi. Ramener à soi dans le souhait de comprendre, entendre, recevoir ce qui émane de faits, d'autrui, d'événements, il faut être cohérent et avoir un écho en soi.
Je. Je suis principalement autodidacte, alors j'ai réinventé la roue et le bonheur veut qu'elle puisse tourner. Certains jugent cette roue imparfaite, qu'ils le jugent ainsi. Qu'y puis-je ?
Je. Je crois disposer de valeurs ancrées solidement, d'être sincère, transparent, fiable, engagé, précautionneux dans mes entreprises amoureuses, désireux d'entrer dans le monde de l'autre et d'élever notre relation à une construction positive dans un mode d'expression alternatif qui est la sexualité BDSM.
Je. J'aime l'emprise, je la revendique, la recherche et je tends à la mettre en œuvre avec mes partenaires, avec le soin particulier à ce que celle-ci, sans aucune sophistication, puisse être vécue dans le désir d'accompagner ses explorations du plus sombre au plus lumineux, avec audace, avec désir d'animer les émotions, nos émois, avec et vers des pratiques amoureuses, sensuelles, sexuelles atypiques. Des expériences qui encouragent les émotions intenses, uniques, puissantes. Qui créer de nouvelles perspectives, avec le soin de ne jamais meurtrir l'âme de celle que j'aime, avec la prudence de ne point abîmer l'amour, les liens émotionnels, sentimentaux qui nous lie.
Je. Je suis conscient d'avoir pour certains, l'odeur du souffre, d'être selon leurs présentations, un individu toxique. Un être à fuir. Un danger. Un harceleur (#legaliste). Je ne suis pas soucieux de "mon" image, ils perdent leurs temps. Je ne suis pas un prédateur, je n'ai rien à craindre des faits, de la justice, des jugements, parce que je suis loyal, responsable de mes actes, de mes initiatives, des résultats qu'ils ont produits.
Je. Parce que ce "moi" et ce que JE suis forme un tout qui fait que ce que je façonne comme comportement de communication, d'interrogation, d'interventions, de réflexions sont puisés dans les artères de celui que JE suis, de mes expériences et mes connaissances. S'il m'arrive de faire fausse route, je sais le reconnaitre ; quand bien même qu'il me faudrait, comme autrui, j'imagine, un temps afin d' apprivoiser l'idée que je puisse m'être fourvoyé. Je suis organiquement engagé dans mes actes militants, dans mes relations amoureuses, dans ma loyauté aux amitiés.
Je. Je n'use d'aucun artifice pour être "autre chose", "donner une image", le ton qui m'est imputé à l'écrit est une dimension qui est exprimée comme je le fais à l'oral, avec les différences qui résident dans le fait que la communication écrite et verbale n’est pas perçue de la même façon. Je ne sais pas dire autrement que "comme je parle, je vais l'écrire".
Je. Je n'ai pas l'intention de blesser, chagriner. Ce n'est jamais l'intention "par défaut". Lorsque je veux cogner, je l'assume, je le fais savoir, je n'hésite pas et j'endosse, sans la moindre attente de clémence ma responsabilité d'aller à l'affrontement. JE suis responsable de mes propos, de mes actes, JE ne suis pas comptable des interprétations qu'en font les autres.
Je. Pour m'effacer, écouter (tenter d'entendre!), pénétrer l'autre autrement que par ses orifices, recevoir ou percevoir la subtilité des peurs et des fantasmes, la création d'une histoire nouvelle. J'ai pour charge et besoin ; de redevenir un être inexploré, à l'égale de mon alter ego avec qui je vais cheminer sur les sentiers et les espaces non défrichés que nous allez créer, de concert. Les acquis "techniques" ne sont que compétences au service d'une aventure, pas de l'intelligence émotionnelle, parce que l'autre est unique. Mon JE, puissant(2) me permet de m'effacer, de n'être qu'une forme d'esprit qui a pour ambitions, vocations, de percevoir/recevoir/comprendre/entendre l'Autre, dans le but, dans le désir d'aller vers des latitudes inexplorées, agir à façon afin de créer une odyssée, de façonner des souvenirs, de manipuler -en conscience- la création composée à quatre mains.
Je. JE suis continûment remis "en jeu". Je suis blessé. Je suis amoureux. Je suis heureux. Je suis en colère. Je suis curieux. Je suis en éveil. Je suis mutilé. Je suis dans l'ennui. Je suis joyeux. Je suis déprimé. Je suis : vivant.
Je. Je ne m'excuserais pas, jamais, d'être dans ces modalités où il m'est nécessaire de ramener à ce que JE suis afin d'accéder au pouvoir de percevoir, concevoir le propos d'un tiers, pour entendre, comprendre l'autre, toi, le monde autour de MOI. Sans être certain d'y parvenir, et sans aucun doute, JE suis animé par le désir concret et sincère d'y parvenir.
Je, Je, Je ...
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1) Arbitrer, dans le contexte présent, le mot revêt le sens d'une décision prise en conscience, d'agir avec réflexion, distance afin de motiver mes choix, à l'inverse de la pulsion, de l'animalité d'une attitude instinctive. Ce n'est pas juger, c'est choisir une option et l'exprimer, la motiver. Juger est une appréciation morale, éthique, philosophique sur un comportement. Si je dois juger, alors j'emploie le mot, sans difficulté, sans tourner autour du pot. Je sais juger avec légèreté ou ironie ou bien fermeté, parfois avec ce qui en découle, à regret, d'actions judiciaires à mettre en œuvre, s'il le faut - #Legaliste.
2) "Mon JE, puissant" je restitue ici une perception qui m'est souvent retournée, lorsqu'on me dit que je "ramène tout à moi", je comprends ce qui en agace plus d'un/e, c'est ma manière à moi-je, de comprendre ce qui m'est transmis, c'est ma façon d'aborder ce qui je reçois
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues)
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Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".
Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.
Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante.
Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork
sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.
A quoi reconnait-on une "Brat" ?
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Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues...
Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation.
Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.
Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement.
Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.
Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé.
La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer.
Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence.
Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu.
Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience.
Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.
Par quoi une "Brat" est elle attirée ?
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Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci.
Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger.
Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.
La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :
- Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face.
- Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne.
- L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.
Que fait fuir une "Brat" ?
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Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite,
comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant.
Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.
L'excitation compulsive d'une "Brat"
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Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée.
Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.
Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ?
Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.
Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.
La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.
En conclusion ?
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Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.
Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004)
marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille.
L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.
https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I
(Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")
A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat".
Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.
Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.
Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles.
Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...
Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice.
Cette liberté qui n'aura jamais de destination.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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morsure de ceinture !
Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur
Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures.
Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur.
Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture.
Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude
Autour de nous, toujours le silence, la quiétude
Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris
Ma respiration s’altère, ma raison aussi.
Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis.
« Et présente-moi donc ton petit cul »
Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois.
L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses.
Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre.
« Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il
« Oui, Monsieur. »
« Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il
« Vous m’enculez, Monsieur »
« Comment ? » il m’interrompt
« Comme une chienne. », je réponds.
Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne
Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne.
Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir.
« Répète.»
« Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? »
« Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Allongée dans ce lit, ses pensées la tourmentent, elle ne sait pas où ça la mènera, mais elle sait ce que son instinct lui dicte, là tout de suite.
Lentement elle se rapproche de lui, jusqu’à se retrouver collée à son dos, à sentir sa peau toucher la sienne. Ce contact l’électrise, elle sent monter en elle cette chaleur qu’elle avait oubliée.
Il dort, ou du moins fait comme s’il dormait. Alors, doucement, elle pose sa main sur son épaule. Ses doigts glissent le long du dessin, en apprenant chaque courbe, chaque détail. Lentement, elle fait courir sa main sur son bras. Elle se demande à cet instant ce qu’il ressent, lui. Mais au fond d’elle elle se fiche de ce qu’il pense. Elle a carte blanche, tant qu’il ne la repousse pas, elle compte bien en profiter.
Après avoir appris les courbes du dessin, ses doigts remontent sur son épaule, pour attaquer sa nuque et redescendre gentiment le long de son échine. Toujours du bout des doigts, elle détaille chaque vertèbre, chaque parcelle de peau qu’elle peut toucher. Rien ne lui échappe …
Puis c’en est trop, elle veut connaître son odeur, la douceur de cette peau que ses doigts explorent depuis de longues minutes.
Tendrement elle pose un premier baiser sur son épaule chaude. Cette chaleur … comme ça lui a manqué …
Elle colle sa bouche à sa peau et hume son odeur, s’imprégnant pour quelques instants de tout ce que cela représente pour elle. La douceur de ce moment la rend tellement calme, elle pourrait rester ainsi des heures durant, à caresser et embrasser sa peau … sans un mot, sans un geste, juste profiter du moment !
Sa bouche court le long de ses épaules, embrassant à la volée, tendrement, lentement, langoureusement … Le souffle court, elle s’écarte un instant, pour calmer le feu qui monte en elle.
Il bouge … se met sur le dos, et elle se retrouve alors la tête sur son cœur. Mon Dieu, elle ne sait pas depuis combien de temps elle n’a pas ressenti cela, mais cette chaleur monte en elle, doucement, progressivement, l’envahissant jusqu’au plus profond d’elle-même …
Toujours sans un mot, elle pose sa main sur son torse et la fait voyager. Lentement, elle remonte jusqu’à sa clavicule, saillante, mais pas trop. Ses doigts en dessinent le contour pour en apprendre chaque millimètre. Ensuite elle les fait descendre au milieu de son torse, glissant dangereusement vers son nombril … ultime limite de leurs non-dits …
Pendant que sa main explore et découvre ce torse d’homme, elle écoute son cœur battre dans sa poitrine. Malgré elle, elle se surprend à savourer ce rythme endormi, comme une musique qui la berce elle aussi, sans parvenir à l’endormir.
Elle le sait, la nuit touche bientôt à sa fin … alors elle emmagasine des souvenirs. Cette odeur, la texture de sa peau sous ses doigts et contre ses lèvres, le rythme de son cœur et ce sentiment de sécurité à ses côtés … tout ce qui a fait de ce moment un instant magique …
Elle emmagasine pour ne plus oublier ce qui la rend femme …
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