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Je n’aimais pas quand sa mère, Mme Joubert, m’emmenait au bois ! Je préférais l’avoir pour moi seul. Elle, en revanche, s’en faisait une fête et semblait ravie quand elle me passait ma laisse et me tirait jusqu’au au parking où elle m’enfermait dans le coffre de la voiture et prenait la route du bois.
Là, pas loin d’un réverbère, elle m’attachait à un arbre, abaissait mon pantalon sur mes chevilles et me faisait assoir comme un toutou avec l’ordre de ne pas bouger.
« Tu fais moins le malin maintenant ! Je vais t’apprendre qui commande ! »
Une fois sagement assis sur mon postérieur, elle faisait mine de partir, me laissant seul. Bien que je la sus cachée pas loin, impatiente de se régaler de ce qui allait m’arriver, l’inquiétude de ne plus la voir me paralysait. Puis les premiers bruits de pas se faisaient entendre et les premières ombres s’approchaient. La première queue déballée devant mon nez marquait le signal du début de mon calvaire. Il me fallait sucer à la chaîne tout ce qui ressemblait à un phallus tandis que l’attroupement grossissait…
La tâche semblait insurmontable, dès que je finissais avec un, un autre surgissait plus vigoureuse que la précédente. Je suçais sans répit ne cherchant même pas à voir les propriétaires de tous ces sexes en attente. J’offrais ainsi ma bouche aux plus impatients, forcé d’accepter les plus douteux, jusqu’à l’épuisement et le renoncement. Les gifles et les coups de genoux dans les côtes pleuvaient alors, me forçant à finir le travail. Il y avait aussi les doigts qui s’introduisaient en moi et qu’on me faisait parfois lécher.
Si l’un d’eux cherchait à me pénétrer, Mme Joubert intervenait avec sa cravache pour remettre de l’ordre… ou se joignait à la mêlée et m’arrosait de coup de cravache, pendant qu’on me montait dessus.
Quand l’attroupement s’était dispersé, me laissant exsangue, couvert de terre et de sperme, Mme Joubert me faisait remonter dans le coffre et me ramenait chez sa fille. Parfois, sous le porche, elle me gratifiait d’une fellation si elle voulait que je laisse Pat tranquille ou, au contraire, m’en privait pour que je passe ma frustration sur elle.
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