par Dame Meg
le 01/12/21
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Les bruits de l'avion me bercent, l'esprit s'évade, en quête d'un plaisir incertain, inavouables, ici et maintenant, jouir en silence... Juste par les fantasmes, les souvenirs... Dans mon siège j'imagine mes doigts, cachés sous mon manteau... Ils s'aventurent ... Mon sexe déjà humide, gonflé... Impatiente de parvenir à mon but... Doucement un doigt s'attarde sur mon bouton qui s'érige... Mon masque cache le pincement de mes lèvres ... Les yeux clos, je me concentre sur mon corps, il se crispe ... Et je ne résiste pas à me pénétrer de 2 doigts, la chaleur humide de mon sexe, ses crispations... Ici je sens mon plaisir monter... Mon corps se crispe... En quête de plaisir, d'évasion...mes cuisses s'ouvrent, ma mains se cale... Ne pas trop bouger... Juste mes doigts caressant, intrusifs... Un pincement et une vague de plaisir... Je suis trempée... Je poursuis... Mon corps se crispe un peu plus, ma respiration s'accélère ... Je sens que j'atteins mon but... Mes cuisses se referment, sur ma main... un contact plus appuyé sur mon sexe gonflé.... les vagues de plaisir de succèdent...
Je reviens doucement à moi, j'observe les nuages en dessous...
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Suggestion
Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 04/02/2016 -> 23/03/2024 - 683 Vues)
.
Naître, respirer et en pleurer..
Découvrir, marcher et tituber..
Grandir, se connaitre, et se la jouer..
Aimer, disparaitre, se torturer..
Assumer, se noyer, en plaisanter..
Partager, posséder, ou s'isoler..
Vieillir, se débattre, et ignorer..
Evoluer, oublier, se résigner..
Fusionner, pourrir, fertiliser..
Imprégner, modifier, s'aventurer..
Brûler, geler, s'atomiser..
Stagner, sillonner, être aspiré..
Rejeter, s'agglutiner, et tourner..
Créer, détruire, coloniser..
Dévorer, souffrir, se réveiller..
Ressentir, servir, s'illuminer..
et enfin Vivre...
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : #
1-Bonjour
Je m’appelle Yaelle
J’ai 28 ans
Je suis brune aux yeux marron
Avec quelques formes il faut l’avouer
2- Folle amoureuse de mon Amour et Maître depuis mes 17 ans nous avons la joie d’avoir une patate d’un an et demi qui nous rend des plus heureux
Et surtout qui déménage
3 -Je me pense être quelqu’un de simple
Mais surtout très sensible
Ayant tendance à donner tout ce que j’ai par Amour ou amitié
4 -Petite fille discrète, je me suis toujours caché derrière quelqu’un ou quelque chose de peur d’attirer le regard et de montrer trop mes sentiments.
5 -Assez peu sur de moi j’ai toujours était un peu le garçon manqué de la bande surtout en entrant au lycée regardant autant les garçons que les filles
6 -Bon il y a surement prescription maintenant
Mais j’étais un peu
Bon beaucoup
Attirée par ma meilleure amie
Mais ne voulais pas me l’admettre
7 -Mon premier baiser fut à mes 15 ans
Oui c’est tard
8 -Mon enfance fut un peu difficile
Issue d’un père violent
Et d’une mère castratrice
Ma principale occupation était de veiller sur mon petit frère
Et éviter un drame
L un j y suis arrivé
L’autre non
C’est ainsi
Je me dis que c est mon passé qui fait ce que je suis
Ne peux le renier
Et dois m en servir pour être une meilleure personne
Donc les garçons étaient des plus secondaires pour moi
9 -L indépendance que m’a offerte mon entrée au lycée
M’a permis de sortir la tête de cette ambiance
Et découvrir certains plaisirs de la vie
Plus ou moins catholiques
10 -Ma première expérience
Fut un mardi
Séchant les cours de math pour rejoindre mon amant
Dans son petit studio étudiant
Qui au final
N’était pas si franc que ca
11 -Ma phrase préféré
C’est en faisant des erreurs que l’on apprend
Même si je ne l’applique pas toujours
Je l’aime bien
12 -Lorsque j’ai rencontré mon Amour ce fut le coup de foudre
Un simple regard a suffit
A l’heure d aujourd hui un simple regard de lui
Peut me renverser
Mais pas que !!!
13 -Il y a deux ans
Suite à une révélation et une prise de conscience, il m’a fait découvrir le monde du BDSM.
A l’heure d aujourd hui je me rends compte que c’est bien plus qu’un piment, bien plus qu’un état d’esprit c’est une façon différente d’appréhender la vie et surtout de voir son corps et son être
14 -Jusqu’ à il y a peu
J étais méfiante
Ne donnant pas de tendresse
Assez caractérielle
Je me cachais sous une carapace
Qui faisait plus de mal que de bien à notre couple
15 -Pour moi le BDSM est une boite de pandore
Que mon Maître a ouverte
A la quelle je suis devenue accro
16 -En juin 2014
Il a décidé de m’offrir mon collier
Entouré de personnes
Qui a l’époque nous tenaient à cœur
Ce fut un moment émouvant
Sentir le cuir
Ce poser sur mon coup
Comme un symbole
Plus qu’une femme
Plus qu’une soumise
Il m’offrait son être tout entier
17 -Notre première expérience
Les cordes
Elles vont devenir notre lien
Notre alliance
Notre passion
Un moyen d évasion et de plaisirs pour nous deux
16 -Des sensations nouvelles
La découverte de son propre corps
Mais surtout
Cette douce douleur qu’une cravache ou un martinet peut procurer
18 -Mon pseudo était une évidence
Et nous tenait a cœur plus que tout
Il est tout simplement le prénom en version féminin de mon Maître
La soumission c’est révélé à moi
Mais ne fut en réalité qu’une confirmation
19 -Grâce à ce monde mon Maître m’a permis de faire des expériences plus enrichissantes les une que les autres. Mais surtout de découvrir certaines parts de moi-même
20 -J’ai découvert ma bi sexualité grâce à la formation d’un trio avec mon Maître et une jeune femme dont je n oublirais jamais le corps et pour qui j’ai ressentis bien des sentiments
Aujourd hui la relation fini je ne veux en garder que le positif
La découverte
L’amitié
Et la fierté lorsque je voyais le regard de mon Maître dans nos rapports a trois
21 -Encore plus percutant
Ce monde nous a permis de rencontrer des personnes hors du commun
Et avec qui nous avons liés bien plus que des liens d’amitiés
Un lapinou, un tonton m et sa gentille, une tata giclette et que dire d’une bonne fée ou d’un papé et sa miss (et bien d'autres aussi qui se confirment )
Des gens dont le cœur n’a que l’amour pour raison
Et qui
Pour moi
Forment une famille
Dont on ne peut se passer
Que l on Aime et qui nous manque quand elle n’est pas la
22 -Bon je vous donne mes surnoms dans notre petit groupe
Petit cœur
Kinder Buenos
Petite orchidée et son bouton
Oui
C’est bien ca
Ca n’a rien à voir
Lol
23 -Merci Ennawelle pour ce chalenge
Même si peu présente
J’y ai pris beaucoup de plaisir
24 -Comment finir ce jeu
Je ne sais pas trop
Ce que je sais
C’est que je suis heureuse de faire partie de ce monde
Il y a deux ans je suis arrivée sur ce site
Perdu
Triste
J’y ai rencontré des personnes hors du commun
Cree des liens
En ai perdu
Avec grande tristesse
Vécu des moments de joie
Des moments d émotion
Pas une seule fois je regretterais ce choix
Fait il y a un peu de temps
J’aurais un regret
Le concours
Qui apportait tant
Et qui avait une signification particulière pour moi
Qui me manque
25 -Mon dernier point ne peut revenir qu’à Toi
Mon Maître
Mon Amour
Mon Amant
Je voudrais te remercier pour tout ce que tu m’apporte depuis tant d’années
Par quoi tu es passé
Par Amour
Merci d’être Toi
De m’avoir offert le plus beau cadeau
A chaque regard que je pose sur elle
Je te vois
Toi
Revois ce regard qui c est posé sur moi
Il y a 11 ans
Notre parcours est ce qu’il est
Je me fou des on dit
Des critiques
Ils ne savent pas l’Homme que tu es
Le père, le conjoint si respectueux si aimant
C’est la compagne la mère et Ta soumis qui parle
MERCI
Merci d’être ce que tu es
Mon Amour et âmes sœur
Je suis fière de t appartenir
Bonus* : Ha oui j oubliai
Un brin dyslexique
Et fâchée avec l’orthographe
Ne m’en voulez pas si ça pique les yeux
Bonne et douce soirée à Vous
Yaelle
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Par : Rich
Voici le jeu du portrait québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope).
36 choses sur moi pour Thutale.
01- Ce portrait a été une épreuve difficile à honorer.
02- Je n'aime pas parler de moi.
03- Manque de bol pour moi, ce questionnaire demande des choses sur moi, or vu la personne qui me l'a demandé, je ne tiens pas à inventer. En dehors de mes romans et autres créations, je n'invente pas.
04- Si ce n'avait pas été Thutale, peut-être aurais-je requis d'être exempté, mais ça on ne le saura jamais.
05- Je me suis beaucoup demandé comment j'allais remplir ce questionnaire
06- Je suis quand même plus à l'aise pour raconter des histoires, inventer des fictions, enfin faire l'écrivain, quoi, que pour parler de moi.
07- Je suis aussi beaucoup plus à l'aise pour argumenter sur une question, éventuellement j'aurais été plus à l'aise autrefois pour polémiquer.
08- De plus en plus, polémiquer m'ennuie, mais vous n'êtes pas à l'abri quand même !
09- Je ne rentre pas dans les cases, il va falloir s'en accommoder. Et en plus je suis politiquement tout ce qu'il y a de plus incorrect.
10- Je suis tellement conscient désormais de la brièveté de nos destins que j'essaie de ne pas perdre de temps à des choses inutiles à mes yeux.
11- Ce questionnaire n'est pas un exercice inutile, il m'oblige à prendre des chemins de traverse, il n'est pas une perte de temps selon mes critères.
12- Puis-je en profiter pour promouvoir ma passion pour la fessée et ma qualité de fesseur ?
13- « Ecrire est une forme sophistiquée de silence » A. Baricco
14- Je pense être assez sophistiqué.
15- Il existe beaucoup d'autres portraits qui ont existé, autant d'impasses. Seule une personne a eu droit à la dernière, mais c'était quand même une impasse.
16- Il y avait assez peu à retirer de ces impasses, et le présent portrait ne ressemble pas vraiment aux autres : facettes et complexité.
17- Quand je ne parle pas de moi, je visite beaucoup moins d'impasses. Très peu en fait. Heureusement, sinon je n'arriverais jamais à écrire livres, articles et autres.
18- J'aime réfléchir, mais quelquefois de façon assez radicale, cela fait toucher aux limites du raisonnement, et toujours très peu conventionnelle.
19- Je me suis longtemps « réfugié » dans la lecture (en même temps j'adorais ça!) : c'était la seule activité où je pouvais être tranquille dans mon coin et où on me donnait raison en cas de litige avec une fille !
20- J'aime bien l'idée de pratiquer une activité « sacrée », dont l'exercice expert et très respecté ne semble réservé qu'à une petite partie de la population, comme la lecture… ou la fessée.
21- Si c'est ça être élitiste, je veux bien, mais en toute simplicité.
22- Je suis un lecteur boulimique avant d'être un écrivain.
23- Une mauvaise orthographe me gêne beaucoup pour lire correctement car je recherche le sens, alors que je peux lire sans problème en miroir.
24- Enfant, j'ai lu et relu secrètement des dizaines de fois mes passages préférés de la Comtesse de Ségur : les fessées de Sophie dans « Les malheurs de Sophie » et surtout « Les petites filles modèles » (cul nu !), l'écho de la fessée/fouettée de Palmyre dans « Les petites filles modèles » et la fouettée de Maria Petrovna dans « Le Général Dourakine ».
25- Les fessées d'« Un bon petit diable » ne m'ont jamais intéressé, elles ne sont pas méritées et je ne m'occupe pas des fesses masculines, mais j'aurais bien aimé que cette ahurie de Juliette s'en prenne une bonne, qu'elle méritait amplement, histoire d'être confrontée au réel, ça lui aurait fait les... pieds.
26- Il paraît que j'ai laissé à mes condisciples (et durant toute ma jeunesse) l'image d'un garçon qui ne souriait jamais. Ils ont raté mes « bons » moments.
27- Aujourd'hui encore, je souris plus avec les yeux, c'est plus discret, mais je souris aussi avec la bouche. Il m'arrive même de rire ! Si si...
28- Pour autant, je n'ai jamais été triste. Juste réfléchi, très réfléchi...
29- Trop réfléchi ?
30- J'ai l'habitude de vivre en marge, en faisant ce que bon me semble
31- Je peux tout plaquer dans l'instant et sans regret si ça ne me convient plus. Le monde est vaste...
32- Je suis très très indépendant.
33- Mais non je ne suis pas compliqué à vivre… Il faut juste me laisser agir comme je l'entends.
34- Attention au second degré !
35- J'ai autant de plaisir, c'est à dire beaucoup, à piloter un prototype au Mans qu'à conduire un vieux tracteur, ou à piloter un avion. J'aime les belles trajectoires, les plus efficaces. Je m'ennuie sur la route actuelle, c'est dangereux.
36- Le BDSM déteindrait-il sur moi ? Bien que « spécialiste » (?) de la fessée, que j'administre désormais avec une regrettable parcimonie, mais toujours avec une grande passion, je suis attiré depuis peu par d'autres envies, d'autres curiosités qui ne m'avaient pas encore effleuré l'esprit, comme de gifler une soumise en la regardant droit dans les yeux, par exemple. On ne finit jamais d'apprendre.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : Abyme
À tous ceux, croyants ou suiveurs, qui croient encore que noël est l'anniversaire de Jésus, et le fêtent dans ce sens, il serait peut-être temps de connaître enfin la vérité.
1) Entre le 21 et le 25 décembre, le solstice d'hiver est la période où les jours recommencent à s'allonger, il était déjà célébré par tous les peuples envahis et convertis par les catholiques romains, car c'est le recommencement, le plus beau prétexte de fête de l'année.
2) Pour la plupart, c'était l'anniversaire du dieu Mithra. C'était aussi en Egypte l'anniversaire du fils d'Isis (fixé là encore en raison du solstice d'hiver). Et Yule est le mot caldéen pour l'enfant, le 25 décembre c'était une grande fête païenne, le jour de l'enfant, pour les anciens Saxons et Germains.
3) En Rome antique pré-chrétienne, il y avait une fête des Saturnales du 17 au 24 décembre, où les gens se livraient à tous les plaisirs (hem) et s'échangeaient des cadeaux. Donc avant de se convertir, les romains eux-mêmes célébraient le solstice d'hiver, le retour du cycle bénéfique du Soleil, dans un sens totalement païen.
4) Plus tard, sous prétexte de briser la foi en Mithra, l'église catholique romaine rusée avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus, et y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables. En plus, cette fête coïncidait avec leur ancien festival idolâtre des Saturnales. Peu à peu c'est la version "anniversaire de Jésus" qui a pris la place des anciennes traditions.
Le mot moderne pour ce genre de mélange de pratiques païennes et l’adoration du "vrai Dieu" est "syncrétisme". Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18:21, 29).
5) Les bons chrétiens l'ignorent en majorité, mais toutes les églises savent très bien que le 25 décembre ne peut pas être l'anniversaire de Jésus, néanmoins elles restent silencieuses. Luc (2:8 & 11) précise que les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux de moutons au moment de la naissance de Jésus, ce qui est impossible à cette époque, et de surcroît la nuit.
6) C'est seulement depuis 354 ap. J-C que noël est célébré le 25 décembre (évidemment, les disciples et apôtres de Jésus n'ont jamais célébré noël ! ) et officialisée en 529 par Justinien. Et noël n'est ni établi par Dieu ni basé sur la Bible. Le Christ a dit : “C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes“ (Matthieu 15:9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit : “Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition“ (Marc 7:9).
Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela
7) Même le sapin de noël tire son origine du rituel païen du culte des arbres, et n'a donc rien à voir au départ avec la fête catholique.
8) L'image du père noël, du costume rouge et d'une barbe blanche a été créée en 1931 pour la pub de Coca Cola, illustrée par l'artiste Haddon Sundblom.
9) Selon "l’Encyclopedia of World History" de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod (Baal) en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de Saint Nicolas. En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé ce sévère et vieil évêque original en un nouveau et "joyeux St-Nick" dans son Knickerbocker History of New York (la plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise "Old Nick", que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.
10) Les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenaient du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver
Noël n'a donc rien à voir avec Jésus Christ, hormis la manipulation des envahisseurs romains catholiques. Tout serait donc païen ou/et mensonger dans cette fête ; on ment même aux enfants pour qu'ils croient au Père noël, et rappelons que tout mensonge est censée être l'œuvre du diable (Jean 8:44).
Cette coutume de noël est donc une supercherie sur toute la ligne, qui avec le temps devient une tradition que tout le monde suit aveuglément, encouragée par le commerce et le consumérisme.
En conclusion je citerai Herbert W. Armstrong :
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année… où vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le "merveilleux esprit de Noël". La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son "esprit". Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, "l’esprit de Noël", non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards. Cela fait partie du système économique de Babylone ! »
Bref faites comme moi : boycottez noël et célébrez le solstice d'hiver, qui est à mon sens la chose la plus importante et naturelle à célébrer dans l'année. Rassemblez votre famille autour d'un bon repas quand ça vous chante et non pas quand le calendrier des traditions détournées vous l'ordonnent, relayé par la télé et le système.
Faites des cadeaux souvent et quand ça vous chante à vos proches, et efforcez-vous de les faire vous-mêmes, au lieu de consommer ce qui est prévu pour cela au dépens de votre créativité et de vos initiatives. Ne voyez pas tout cela comme une corvée dont il faut s'acquitter à tout prix pour faire absolument comme tout le monde comme si c'était un devoir. Résistez aux influences du système, pour être vous-mêmes !
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Par : analogique
Zéro, ou la tentation du néant.
J’ai toujours rêvé d’avoir un flingue.
Pas pour me supprimer mais plutôt pour en avoir la possibilité, en soupeser le poids et le poli au creux de la paume. Un zéro potentiel, quoi…
Un, ou le contraire de l’autre.
J’aime dormir seul, j’aime me réveiller seul, j’aime décider seul de ce que je vais faire de ma journée. Ma solitude est sans doute ce que j’ai de plus précieux. Mais j’ai bien conscience que c’est parce que j’ai une vie sociale que je peux me payer le luxe de l’énoncer en ces termes.
Deux, ou le problème de la dualité.
En moi coexistent un monstre d’égoïsme et d’arrogance et un monstre de générosité et d’humilité. La plupart des gens qui me côtoient se contentent de voir tantôt l’un ou tantôt l’autre, sans se rendre compte que les deux sont inséparables. Je suis la réunion de toute mes contradictions.
Trois, l’art du trio.
Dans la musique comme dans l’alcôve, j’aime bien les trios. C’est le point d’équilibre d’une collectivité qui laisse de la place à l’expression des individualités qui la composent.
Dans une assemblée de plus de trois personnes, j’ai tendance à penser que l’intérêt qu’on peut porter aux humains est généralement inversement proportionnel à leur nombre.
Je songe déjà à sauter le quatre, ou la tyrannie du carré.
Je n’aime pas les carrés, je préfère caresser des courbes, mais je concède que les parties carrées peuvent arrondir les angles.
Je n’aime pas les mesures binaires à quatre temps, parce qu’elles sont en position hégémonique dans la musique occidentale. Par conséquent je m’emploie à en jouer et à en entendre le moins souvent possible.
Cinq.
C’est actuellement le nombre de femmes qui se disent ouvertement amoureuses de moi. Deux au moins espèrent vivre avec moi une relation exclusive. C’est beaucoup trop pour moi, et cela les condamne à être malheureuses. L’excès d’amour est aussi problématique que sa carence. Sans affects, la vie serait décidément plus simple. Mais sans doute aussi bien plus ennuyeuse, il faut l'admettre.
Six.
Voilà un chiffre qui ne m’inspire rien du tout.
Si, à y bien réfléchir, c’est la première énigme du nombre d’œufs dans la boite destinée à leur commercialisation. Pourquoi six? Je me pose parfois de drôles de questions.
Sept.
J’ai probablement beaucoup plus que sept amis. D’ailleurs je ne veux surtout pas entreprendre de les dénombrer: cela m’obligerait à faire des choix, à les mettre dans des cases, à les y inclure ou à les en exclure. Il m’est beaucoup plus agréable de penser qu’il y a un nombre indéterminé de personnes avec qui j’ai des relations indéterminées mais globalement sympathiques et parfois sexuelles.
Huit.
C’est le nombre de bit dans un octet dans le système binaire, que je m’efforce ne pas partager avec mon ordinateur. C’est ce refus du système binaire qui motive ma décision de ne jamais me positionner en terme de «j’aime» ou «je n’aime pas», raison pour laquelle je n’ai aucune raison de participer à ce jeu du portrait québécois autrement que par cette proposition spontanée, puisque jamais je ne dirai que «j’aime», même si je lis souvent avec intérêt.
Neuf. Quoi de?
Je m’autorise volontiers les glissements de sens.
Rien ne me glace autant qu’un logement neuf, qu’une voiture neuve, qu’un instrument neuf. J’aime la patine des choses qui ont vécu. C’est vrai aussi pour les gens; je m’acoquine souvent plus facilement avec ceux qui sont un peu cabossés.
Dix.
Je déteste le rapport que beaucoup entretiennent à l’endroit des chiffres ronds: cette manière de fêter les décennies, les centenaires, en perdant complètement de vue que cela n’a de sens que dans le système décimal, dont l’adoption est le plus arbitraire des choix humains.
Onze.
En référence au point précédent, je confesse que par esprit de contradiction un peu puéril, je suis enclin à développer une affection particulière pour les nombres premiers.
Douze.
La facilité conduirait à dire que c’est là la deuxième énigme de la boite d’œufs. Il m’arrive de ne pas reculer devant la facilité.
Treize.
En années, c’est l’âge où j’ai commencé à caresser les seins de Soraya. Elle avait dix-sept ans et ne semblait pas moins émue que moi. Il y a peut-être des affinités particulières entre les nombres premiers successifs?
Quatorze.
J’ai tendance à fuir les habitudes sociales de la période dite «des fêtes». Je préfère débrancher mon téléphone, m’enfermer chez moi avec des réserves de pâtes et de riz et attendre que ça passe pour remettre le nez dehors. L’affluence des foules dans les magasins me déprime. Mais indépendamment de la date retenue pour le faire, je peux concevoir qu’on se souhaite la bonne année parce que c’est un truc cosmique: une année, c’est un tour de manège autour du soleil. J’en profite pour vous souhaiter que la prochaine rotation vous soit délicieuse.
Quinze.
Ça y est, je commence à me lasser de la linéarité des chiffres énoncés les uns derrière les autres. C’est déjà étonnant que je sois parvenu jusque là. Je vais dorénavant en sauter quelques-uns. Et puis je trouve ça plus éloquent de laisser des trous et des zones d’ombre, ça laisse marcher l’imagination…
Dix-sept.
Aujourd’hui nous sommes le dix-sept janvier et j’ai une amie qui projette d’aller à la soirée «girl-power» avec moi… Ça peut être intéressant, et en même temps je ne suis pas sûr de m’y sentir très à ma place. Nous verrons bien: c'est dans plusieurs heures et tout peut arriver... Ou pas.
Dix-neuf.
Je n’aime pas trop parler de moi à la première personne, pas plus qu’en général je n’aime lire ou écouter des gens qui parlent d’eux à la première personne. Sans doute parce que je suis persuadé que quoi qu’on dise, on ne fait jamais que parler de soi, alors autant tenter de le faire avec un peu d’élégance et quelques détours. J’aime bien lire ce qu’écrivent les contributeurs de ce forum parce que j’ai cependant une insatiable curiosité des autres.
Oui, parce que pour moi, bdsm.fr est avant tout un forum. D’ailleurs, je ne lis presque jamais la rubrique «articles», trop souvent nombriliste à mon goût, et je crois bien que c’est la première fois que j’y publie quelque chose. Autrement dit, c’est un «dit-neuf»; oui, j’admets que c’est un peu tiré par les poils.
Vingt-trois.
Pourquoi le dire au début ou à la fin? C’est le jeu du portrait québécois, importé ici par Wondersalope qui a eu là une idée foutrement sympathique parce qu’il y a des gens qui écrivent des chouettes choses à leur sujet, et qui en plus se débrouillent pour être agréables à lire.
Vingt-neuf.
Pour une raison mnémotechnique très personnelle sur laquelle je ne m’étendrai pas, me fait penser au jeudi noir de la crise éponyme.
Trente-et-un.
Je n’aime pas me mettre sur le mien, j’ai l’impression d’être dans un déguisement qui ne me va pas. Je garde et porte mes fringues très longtemps. D’ailleurs je mets encore parfois des choses que j’avais déjà au lycée.
Trente-sept.
Impossible de me rappeler avec précision si, enfant, j’érotisais la prise de température rectale. Mais à y bien réfléchir, je crois que oui...
Quarante-et-un.
C’est le nombre exact d’ampoules électriques qu’il y a dans l’endroit où je vis. Mais elles ne sont pas toutes en état de marche parce qu’il m’arrive de négliger de les remplacer, parfois pendant plusieurs années.
Quarante-trois.
C’est le dernier nombre de bougies que j’aurais pu souffler si je me prêtais au jeu des cérémonies familiales avec leur protocole. Mais je fuis tous les protocoles et me soustrais à ces obligations: pour mon anniversaire, je me débrouille toujours pour laisser mon téléphone éteint. C’est une fête secrète, entre moi et moi, mais une fête tout de même: j’aime bien vieillir, et j’ai même tendance à penser que je me bonifie avec l’âge.
Quarante-sept.
Voici qu’approche la cinquantaine… de points, quand bien même il restera des trous noirs. Il est donc grand temps d’arrêter là la logorrhée. Bien le bonsoir.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
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La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
2000 vues
Par : #
1. Je me suis déjà pliée à cette exercice, sous un ancien profil alors je réitère ici.
2. J'ai 25 ans, je suis maman d'une petite fille de 6ans qui est ma fierté, mon petit bonheur quotidien.
3. Mon Amour en a 2, nous formons une belle famille recomposées, c'est un travail quotidien pour arriver à ce que cela fonctionne et que chacun trouve sa place, mais on s'en sort très bien au final
4. Je commence ce portrait en parlant de ma famille parsque celle ci est mon piliers, ma force, la chose qui as le plus de valeurs à mes yeux.
5. Je suis une catastrophe ambulante, j'ai deux mains gauches et la tête dans les étoiles, ce qui ne doit pas être évident à gérer tout les jours pour les gens qui m'entoure, rire.
6. Je suis une personne créative, avec tout ce que cela implique, rêveuse et désordonnée, impulsive et passionnée.
7. J'ai toujours eu le sentiments de ne pas être à ma place, je me suis souvent sentie "de trop" sûrement du à un grand manque de confience.
8. Je suis une ancienne "toxico", j'ai écumé les raves à partir de 13ans, en avalant toute sorte de pilules et poudres diverse.. Quand je vois ce que sont devenu certaines de mes connaissance de cette époques de ma vie, je me dit que j'ai eu de la chance et que je peut être fière de mon changement de cap!
9. Je suis borderline, toujours en constante recherche de limite, même si avec l'âge je devient plus réfléchi maintenant.
10. Du plus loin que je me souvienne j'ai toujours eu des fantasme bizarre, dont la moitié me sont toujours inavouable ^^
11.j'ai une sainte horreur de parler de moi, l'exercice devient difficile la pour le coup..
12.je suis une personne très emphatique, amoureuse de l'autre, je veux croire que les gens ne sont pas si mauvais, et je vit en suivant mon coeur, même si cela m'a valu quelque claques, les expériences positives me force à ne pas changer ma perception de l'autre.
13. Je m'intéresse énormément au religions en général, car même si je ne suis pas croyante, je pense qu'il y a quand même une force, un truc qui nous échappe et qu régi quelque part notre univers.
14.je suis un fan des romans d'amour. J'ai des bouquins dans tout les coins de la maison! Même si j'aime lire des chose plus.. Intelligente, ce genre d'histoire me fait rêver,rire, sourire.. Bref me permettent de m'évader.
15. Je suis très éclectique en musique, dans ma playlist on retrouve en vrac du Louise attaque, Émilie Simon,lauryn hill,orelsan,soad,bachar Ma-kalifé...
16. Je vais faire une pause, la je ne sais plus quoi raconter pour le coup ^^
17. Reprenons: je suis une emerdeuse, demandai à Bailons, il pourra vous dire à quel point je peut devenir insupportable
18. Je suis une Salope. Une vrai. J'aime le cul comme pas possible, une vrai chienne en chaleur, toujours exciter.
19. Pendant une période de ma vie j'ai eu un nombre pas possible d'amants.. Impossible pour moi de les compter, je suis sur que j'en oublierai la moitié.
20. J'ai eu ma première expérience sexuel avant mes 14ans.
21. J'ai eu ma première aventure bisexuel à 14ans
22. Ma premières expérience à 3 à même pas 15ans et ce fut aussi ma première approche plus ou moins bdsm, même si à ce moment là je n'en avait pas conscience.
23. Pour moi le Bdsm est une chose inextricablement rattacher au sexe..
24. Je suis maso mais ne l'assume pas.
25. Je suis sadique mais cela est nouveau pour moi.
26. Je l'ai déjà dit, mais, la première fois que l'on m'a mis des menottes j'ai fait une attaque de panique.
27. J'adore danser, même si je ne sais pas le faire (et oui, deux mains gauche, deux pieds gauche^^)
28. En plus d'être une Salope, je suis une allumeuses.
29. Je n'ai jamais pris l'avion.
30. J'adore, le thé, je peut en boire des litres à longueur de journee.
31. J'ai actuellement les cheveux Hyper court. Mais je les est eu long, tressée, rose,violet,bleu, raser à moitié ou entièrement.. J'aime changer de tête et me réinventer au gré de mes envies.
32.je me suis faite percée une 15 de fois mais il ne m'en reste plus que 3.
33. J'espère cette année faire plus de rencontre avec les gens d'ici. Mettre des visages sur les pseudo avec lesquels je discutés, voir si cela match autant en vrai que derrière l'ecran..
34. J'adore les dessins animée!
35. Enfin au bout de ce satanée portrait, ça tombe bien je ne savais plus quoi vous dire!
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour lilirose"
3)le publier dans la section " articles"
4)me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : #
57 choses de moi pour Donna25
1/ Je suis né en 1966
2/ Je suis soumis depuis plus de 12 ans
3/ Je vis en couple
4/ J’ai, avec ma compagne, 5 enfants en tout
5/ Je suis un soumis très cérébral
6/ j’ai un cap de cuisine
7/ J’ai exercé plein de métiers et actuellement je suis dans les fleurs
8/ J’aime le charisme des dominant(e)s
9/ J’adore porter de la lingerie féminine
10/ Je n’aime pas trop me travestir
11/ J’aime beaucoup la viande
12/ Je déteste les légumes mal préparés
13/ Je suis un épicurien
14/ J’aime beaucoup le sport (sauf les pompes)
15/ Je suis très curieux
16/ Je ne suis pas très bon en nouvelles technologies
17/ Je suis plus majordome que soumis maso
18/ J’aime être nu
19/ Je me trouve trop gros
20/ Je suis un autodidacte
21/ J’aime les discussions intelligentes
22/ Je suis jamais satisfait de moi
23/ Je suis très famille
24/ J’aime énormément ma compagne
25/ J’ai peur de la mort
26/ je déteste la solitude
27/ J’aime le soleil
28/ Je n’aime pas trop les vacances
29/ Je m’ennuis vite
30/ J’aimerais pouvoir plus vivre ma condition de soumis
31/ Je n’aime plus rouler longtemps
32/ Savoir et transmettre sont mes moteurs
33/ J’aime l’océan, pas la mer
34/ J’aurais aimé être une femme avec mon caractère masculin
35/ Si j’avais été femme, je n’aurais pas eu d’enfants
36/ Je suis pour le mariage
37/ Je ne crois pas a la fidélité
38/ Je suis bi
39/ J’ai toujours aimé ma part de féminité
40/ Je ne pleurs presque plus
41/ J’ai des soucis de santé du aux excès
42/ J’aimerais vivre longtemps
43/ Je n’ai plus beaucoup de rêves
44/ J’adore l’eau sous toutes ses formes
45/ J’aime les orages
46/ j’aime l’odeur du goudron après la pluie
47/ Je raffole du chocolat
48/ J’aime les couleurs vives
49/ J’ai une préférence pour l’amitié avec des femmes
50/ Le bdsm fait parti de moi, je n’aime pas les séances et la vénalité
51/ Je n’aime pas la politique
52/ L’avenir de mon Pays m’angoisse
53/ J’aime la fessée
54/ J’aime la politesse et le respect
55/ J’aime les mots et les maux
56/ J’aime l’humour et la dérision
57/ Je suis sur qu’on peut et doit rire de tout
58/ Je dépasse ma liste….comme ça vous garderez les 57 que vous préférez
59/ J’aime repousser mes limites en SM
60/ Je suis sincère dans mes phrases.
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Par : #
Thutale, voici quelques petits secrets que je dévoile dans le cadre de ce portrait Québecois...
1- Ayant eu un père autoritaire, qui me donnait parfois des coups de martinet pour se faire comprendre, je fus une fois fascinée et intriguée par une marque légèrement boursouflée qui zébrait ma cuisse...
2- J’ai toujours aimé les scènes de flagellations dans les péplums ou westerns, je m’imaginais être à la place des femmes attachées recevant le fouet qui laissait des marques sanglantes…
3- Après une période d’adolescence rebelle et un premier mariage trop "calme", l’envie de sensations fortes est venue juste après mon divorce, il y a une bonne dizaine d’années. Cette liberté acquise, je découvrais alors des sites comme tiscali, wanadoo, ou msn qui proposaient des tchats divers (notamment des salles bdsm)et j’ai vite trouvé ça très prenant et enrichissant mettant des mots sur mes ressentis inconscients.
4- Puis, après quelques semaines de discussion sur un tchat, j'étais très excitée de devoir suivre des ordres pour rencontrer ce dominant que je trouvais charmant. Je me suis retrouvée les mains attachées en croix, les yeux bandés et des pinces aux seins...j'ai beaucoup aimé et j'en ai voulu plus...
5- Certaines de mes rencontres furent instructives… d’autres plus excessives m’ont permis de mieux définir mes limites.
6- Dans mon périple, une invitation par un dominant assez extrême m’a fait passé une soirée riche en sensations mais a laissé des traces trop importantes (les 2 fesses mauves)… une remise en question avec une pause s’est ensuite imposée.
7- C’est un peu plus tard que j’ai rencontré mon Maitre (un coup de foudre immédiat) grâce aux mêmes sites et qui a su me ramener en douceur vers des plaisirs BDSM communs en reprenant tout depuis le début.
8- En temps normal j’ai un caractère très fort à tendance dominante (merci maman..) ce qui fait que je ne me place pas d’entrée en "soumise" mais j’ai en moi un besoin d’être contrôlée et guidée pour équilibrer ma vie.
9- Je ressens une envie permanente de procurer du plaisir à l’être aimé, il est donc important pour moi que mon Maitre soit aussi mon mari. Je ne saurais mener une double vie (vanille et bdsm).
10- L’idée de dominer physiquement ne m’a jamais attiré. J’aurais trop l’impression de faire "mal" et je suis plutôt passive. Maintenant, s’il m'est demandé de le faire ce serait uniquement sous Ses ordres et Son contrôle, et ce qui me plairait le plus serait d’exciter tout en frustrant…
11- J’aime "offrir" ma soumission et mon plaisir passe par la fierté que je lis dans Son regard ou un sourire de ma bonne tenue en soirée.
12- J’aime les marques laissées par le fouet après une intense séance, mais je marque peu
13- J’adore sentir la cire chaude couler et figer ma peau jusqu’à sa délivrance au couteau…
14- Naturellement, je suis plus attirée par les pratiques SM que D/s, mais par amour et pour un certain équilibre dans notre relation, petit à petit j’apprends à bien me tenir en situation D/s.
15- J’aime beaucoup relever les défis, étant très joueuse et curieuse, mais il faut que cela respecte l’approbation de mon Maître qui connaît mes limites physiques et morales. Il arrive parfois que je souhaite aller plus loin que ce que je ne peux supporter.
16- L’absence de pratiques pendant une dizaine d’années pour raisons familiales, nous a permis de reprendre petit à petit nos jeux oubliés mais terriblement excitants, renforçant notre relation de couple.
17- Je suis plus endurante sous le fouet d’autres dominant(e)s, mais j’ai besoin d’être constamment sous Son regard et de sentir Sa présence.
18- C’est au pied du mur que l’on s’élève le mieux et c’est grâce aux épreuves de la vie que l’on se sent vivant et que l’expérience se développe.
19- Les cordes m’effraient et m’attirent en même temps. J’admire les suspensions, toutefois réaliste, je sais que je ne pourrais être aussi gracieuse que les personnes que je vois suspendues.
20- Pour vivre bien, il faut souvent accepter de se remettre en question et redéfinir nos priorités.
21- Je ne suis pas attirée par les femmes et pourtant j’ai vécu quelques expériences qui m’ont laissé de très bons souvenirs.
22- J’adore mes fesses et mes seins, et j’ai réussi à vaincre pas mal de complexes en prenant plaisir dans l’exhibition.
23- On ne peut pas changer le passé, mais on peut en faire une force pour s’améliorer dans l’avenir.
24- D’un naturel optimiste et toujours reconnaissante (quoiqu’on en dise), je suis parfois naïve et peut paraître manipulatrice alors que je ne cherche qu’à être appréciée de mon entourage (défaut des empathiques).
25- J’ai atteint ma limite au partage. Croyant faire plaisir (encore et toujours), je me suis brulé les ailes et je m’en mords encore les doigts…
26- Ce que j’ai raté dans ma vie, je le referais encore mais en mieux réfléchi.
27- Ce que j’aime dans le BDSM c’est qu’il y a tant de pratiques à découvrir de la plus soft à la plus hard, que l’on ne peut que s’épanouir et laisser exprimer nos sensations les plus intenses... Rencontrer, partager, discuter, apprendre et jouer avec d’autres adeptes sont aussi des moments exaltants… Cependant, on garde à l’esprit que tout doit être fait avec respect, sécurité, confiance et dialogue…
28- Ne jamais dire jamais, je découvre jour après jour que certaines choses qui me rebutaient commencent à me faire de l’effet.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife et se développe sur BDSM.fr.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour saphyr »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça
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