mia michael
par le 18/11/21
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Ruby arrive et, un peu à la façon d’une patronne de bordel, elle dit :
— Voyons Mesdemoiselles, retournez à vos places !
Je sais bien qu’elle n’a pas fait tout ça pour me faire plaisir, mais ça ne m’empêche pas de lui montrer ma gratitude :
— Merci pour tout, Madame.
Elle me tend un iPhone en disant :
— Tiens, c’est pour toi. Alan te montrera comment l’employer.
Après l’avoir encore remerciée, je vais près d’Alan. Je tourne sur moi-même en demandant :
— Ma nouvelle coupe vous plait ?
— Bien sûr, mais avec une queue tu es très mignonne aussi. Comme ça tu ressembles à Marilyn.
— C'est qui ?
— Marilyn Monroe, je vais te montrer.
C'est gentil... Je lui tends l’iPhone, il m’explique comment ça fonctionne. Je comprends... plus ou moins. Après m’avoir montré comment trouver un extrait d'un film de Marilyn, il me dit :
— Va dans la pièce VIP et prends une leçon de séduction.
Ah oui, je n’en ai pas encore parlé parce que je n’y ai jamais été, mais il y a une salle VIP... Là, je m’installe à une grande table avec une barre. Je regarde l’extrait de film dans lequel elle danse et chante « Diamonds are the girl’s best friends ». Pour tout dire, je ne la connais pas bien, Marilyn. Dans les familles d’accueil, je n’ai vu qu’un de ses premiers films avec les Marx Brothers où elle avait un tout petit rôle. Dans cet extrait, elle danse entourée de garçons, en remuant ses seins et ses fesses d’une façon très érotique. Par contre, elle chante avec la voix fluette de gamine de 7 ans... Mais en m’exerçant, j’arrive assez facilement à prendre une voix qui ressemble à la sienne. Quant à danser comme elle, là, je devrai m’exercer ! Une fille vient me prévenir :
— Tu dois revenir devant, Ashley.
— D'accord.
Je passe dans la grande salle et je me dirige vers Alan. Arrivée à deux mètres, après lui avoir tourné le dos, je le regarde par-dessus mon épaule en disant avec la voix de Marilyn :
— Quand est-ce que tu vas mettre ton gros engin dans mon minou, Daddy ?
Ben oui, à force de me coller à lui sur la moto, j’ai envie de le sentir en moi... Il me regarde, très surpris par mon imitation. Les deux filles le sont aussi, et même Ruby. Celle-ci va même jusqu’à me féliciter :
— Bravo, tu l’imites très bien, Ashley.
Avec la même voix, je lui réponds :
— Mais je suis Marilyn !
Elle rit à nouveau, les filles pareil. Ruby ajoute :
— Tu n’es cependant pas encore prête à danser comme elle. Ce soir, tu t’habilleras en country girl. Va te changer.
C’est vrai que je devrai pas mal m’exercer. Les clients qui sont déjà là ont assisté à la scène... Dès que je reviens, ils me demandent. L’un d’eux va jusqu’à me dire :
— C’est merveilleux de voir le sosie de la plus belle femme du 20e siècle se déshabiller pour nous.
Attention, si on me fait trop de compliments, je vais devenir trop sûre de moi... Non, je rigole, je le suis déjà assez. D’ailleurs, si j’étais assez souple, j’adorerais embrasser ma chatte à pleine bouche. Une autre chose qui me plaît, c’est me retrouver toute nue au milieu des clients et parfois des clientes, même si ce qu’on fait est limité. C’est plus chaud dans la salle VIP. Mais je n’ai vu personne y aller.
Après pas mal de danse, il est enfin 4 h du matin, le moment de la fermeture. Je remets mon vieux jean et mon tee-shirt pour ne pas salir mes beaux vêtements blancs. Alan me donne sa veste et il m’enfourche... euh... non, pas encore, il enfourche sa moto, tandis que je laisse ma veste ouverte pour presser mes seins contre son dos musclé. Ayant beaucoup travaillé ce soir, je suis fatiguée, mais mon désir pour Alan est le plus fort.
On file dans la nuit comme des chauves-souris jaillies de l’enfer (chanson « Bat out of hell » de Meat Loaf)... Arrivés au ranch, on monte silencieusement les marches pour aller dans notre chambre. Après avoir enlevé mes vêtements, je lui demande :
— J’ai pas mal transpiré en dansant, tu veux que je me lave ou que je mette du déo ?
— Surtout pas !
Chouette ! J’aime mon odeur. Dès qu'il est nu, lui aussi, on s’enlace. Le contact de sa peau m’électrise, je me frotte à lui comme une Marilyn en chaleur. On s’embrasse avec passion, puis je me mets à genoux devant lui pour discuter un peu avec sa bite. Oh, il bande ! Et moi, je mouille... Ça va aider à ce qu’on fasse plus ample connaissance dans pas longtemps. J’embrasse les poils de son pubis, j’aime son odeur virile... J’embrasse aussi ses couilles et la hampe de son sexe. Il donne un petit coup de reins. OK, j’ai compris, il veut que l’ADN de ma salive fasse connaissance avec celui de son sexe. Je tire sur la peau pour dégager le gland. Comme ça, son engin a l’air à la fois menaçant et fragile. Je le lèche...
Voilà une vraie intimité. J’aime son odeur et son goût, parce qu’il me plaît et que je suis super excitée. Je n’ai pas baisé depuis des jours et même mon majeur ne m’a pas câlinée. Ma bouche va et vient sur son sexe. Par moment, son gland caresse mes amygdales et j’ai le nez dans ses poils, alors que l’instant suivant, il est "seulement" entre mes lèvres... Comme j’aime autant qu’il ne jouisse pas trp vite, mon mouvement se ralentit. Comprenant le message, il me dit :
— Couche-toi sur le dos.
Ouiiiii ! Il s’allonge sur moi et m’embrasse, tandis que ma chatte se contorsionne pour que son sexe s’enfonce en moi. Ouch ! Ça y est ! Enfin !
Si c’est un éjaculateur précoce, je le tue... Non, c’est une image. Je croise les pieds sur ses reins et l’enfonce au plus profond de mon ventre. Il attrape mes poignets pour les maintenir au-dessus de ma tête, en disant :
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Jouir...
— Dis-le mieux que ça.
Au point où j’en suis... je réponds :
— J’ai trop envie. S’il vous plaît...
— Regarde-moi !!!!
— Ouiiiiii...
Oh ça y est ! Mon bas-ventre se contracte et des spasmes me parcourent... C’est boooonnn....
 Voilà. Allez, on se repose maintenant. Ah non, il continue... Ce n’est vraiment pas un éjaculateur précoce. Il garde mes poignets prisonniers de ses mains pour dire encore :
— Parle...
J’ai juste envie de me reposer... et là, j’ai une idée. Je lui dis :
— J’ai envie de sentir votre sperme remplir ma chatte. Je veux des enfants de vous, les allaiter et... oooohhhh, oouii...  
Je jouis à nouveau, lui aussi et il remplit mon minou de sa semence. Je suis pleine, je vais déborder sur les draps.... Tout à coup lourd, il se laisse aller et il est lourd sur moi, je lui dis :
— J’étouffe !
Il bouge pour que nos corps se décollent, car on est en sueur. Je mets ma main en conque sur ma chatte pour garder son sperme en moi... Pas pour avoir des enfants, bien sûr. Je me mets sur le côté, lui derrière moi. Ma chatte ronronne de plaisir et je m’endors.
***
Quand je me réveille,je suis toute seule dans le lit. Alan s’est levé sans me réveiller. Je me lève pour vite aller dans une pièce où il y a un vieux lavabo. Je grimpe dessus pour faire pipi... Ensuite, je pousse un peu, pour éliminer le souvenir de nos étreintes qui est toujours dans ma chatte. Juste après l’amour, c’est super de garder le sperme de son amant en soi, mais le lendemain, quand ça coule le long des jambes, c’est moins glamour. J’en profite pour faire une petite toilette sommaire, puis je m’enduis d’écran total, de la tête aux pieds. De nos jours, le bronzage n’est plus du tout à la mode dans le Sud.
Je vais les rejoindre sur la terrasse et, dans une pose de pin up, je reprends ma voix enfantine pour leur demander :
— Bonzour, y aurait une petite place pour une fille de la campagne ?
Ils sont sciés ! Les filles s’exclament :
— Tu es aussi belle que Marilyn !
Et aussi :
— Le blond te va trop bien...
Ouais, d’accord avec elles... Tommy a pris son bloc et il dessine à toute allure. J’embrasse Alan sur la bouche et les autres aussi, dans la foulée. La seule qui ne dit rien, c’est Pearl. Normal, une esclave n’a le droit d’ouvrir la bouche que si on l’interroge, ou pour donner du plaisir. Je lui dis :
— Apporte mon déjeuner.
— Oui Maîtresse.
Je regarde ses fesses bouger, tandis qu’elle se dépêche d’aller dans la cuisine. Il faut être juste, ces Noires ont une qualité, leurs culs !
J’explique tout ce qui s’est passé : le coiffeur, manucure, pédicure et puis l’iPhone pour imiter la voix de Marilyn...
Pearl revient avec mon petit déjeuner pain, beurre et confiture. Il n’y a toujours pas d’œufs au bacon, mais ce n’est pas de sa faute... Juste, c’est juste... Par contre, elle renverse du café en me servant. Là, ça change tout : une esclave maladroite doit absolument être punie. Les autres me regardent pour voir ce que je vais faire. Vous comprenez bien que si je laisse passer sa maladresse, ça me fait perdre la face... et puis, oui, c’est vrai, j’ai trop envie de fouetter ses grosses fesses. Je lui dis :
— Le fouet !
— Ouiii... Maîtresse.
Elle court vers la cuisine... Soit, elle a hâte d’être fouettée, soit elle veut m’amadouer en me montrant à quel point elle obéit bien. Elle revient se mettre à genoux devant moi, mais je veux d’abord manger. Alan me demande :
— Ce sera la première fois que tu fouettes une fille ?
— Oui...
Après avoir mangé, c’est le moment de m’occuper de Pearl. Je lui demande :
— Combien de coups de fouet pour une maladresse ?
À genoux, la main tendue pour me tendre le fouet, elle pleurniche :
— Dix coups, Maîtresse.
— Je pensais t’en donner que cinq, mais c’est toi qui décides, d’accord pour dix.
C’est pas très gentil, mais amusant, non ? Enfin, ça dépend si on fouette ou si on est fouetté...
Les filles rigolent.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
 
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