Mademoiselle_Lane
par le 16/10/21
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Me réveiller dans ses bras, le voir me sourire, me caresser, pouvoir me blottir contre lui, me sentir juste bien. Nous nous élevions chaque jour. Quoi de mieux que d’être soi avec l’autre. Avoir conscience de nos tourments, nos névroses, les accepter ou les comprendre et sortir de schéma inconscient.
Notre soirée d’hier m’a permis de comprendre que j’avais toujours cet peur de l’abandon. Au final, à force d’y penser, nous agissons toujours de telle sorte qu’au fina l on se fait abandonner, ou bien, parfois les gens nous quittent ou que nous quittons car c’est simplement ainsi. Il ne faut pas rechercher un fautif, c'est juste que l'un ou l'autre ou les deux n'était pas bien dans cette relation. La clé à tout cela.. la sincérité, la franchise et la communication qui induisent la confiance. Les mots sont souvent utilisés mais les actes parlent. Ils peuvent parler selon notre analyse, notre logique et peut être totalement mal interprétée. C'est ainsi que nous nous conditionnons.
Les êtres humains sont si fort en général pour faire culpabiliser l’autre pour se déculpabiliser soi-même de ses actes. Souvent ce sont ces mêmes personnes qui se caractérisent pas prise de tête ou passionner du « Carpe Diem ».
Ne pas à justifier de nos agissements, évitent aussi de se remettre en question. J’ai évolué, pris du recul et que dire de la période de la quarantaine.La meilleure, même si j'ai bien encore du chemin à parcourir.
Hier soir, il m’avait poussé dans mes retranchements. La peur de le perdre comme au final lui aussi pouvait me perdre. Ce sentiment lié à mon manque de confiance en moi. Et s’il ne voulait plus être avec moi ? Eh bien c’est que cela devait se passer ainsi. Personne ne nous appartient. Il est vrai que lorsqu’on a une telle connexion si forte et où l’on s’abandonne, s’adonne si fortement que la chute est vertigineuse. La perte de ces sensations n’enlèvent en rien aux moments intenses vécus. Et cela amène à se relever et découvrir d’autres choses. En faire le deuil.
Mais il était là. Il faisait tout pour assouvir mes désirs, il me voyait avec d’autres hommes et pourtant il restait. Il m’avait confié aimé me voir prise par d’autres, que ça le rendait fou de me voir ainsi baiser, prise. Il voyait la chienne que j’étais et de l’autre, il voyait la femme que j’étais. Dans les deux cas, il me respectait.
- Ce soir, on va bien s’amuser ma belle.
- Ah oui qu’as-tu prévu ?
- Hum tu verras mais il y aura du spectacle j’ai hâte.
- Quel spectacle ?
- Hum tu verras.
- En attendant, je te propose d’aller nos détendre au spa qu’en penses tu ?
- Oh oui !!!!! tu sais combien je raffole de ça.
Il sortit alors de sa boite la clé de mon collier et me l’ôta.
Nous sortions de Deadalus pour nous rendre au thermes situés non loin de là. De vieilles thermes sublimes à l’ambiance romaine. La nudité était obligatoire. Je songeais à mes fesses marquées.
- Tu te débrouilleras petite chienne me glissa-t-il à l’oreille en me taquinant.
Dans ces thermes, il y avait une multiplicité de bains L’eau était à température de 32 dégrés d'autres bassins elle était plus froide.
Puis il y avait ces petites alcoves pour une ou deux personnes.
Il faisait juste bon, chaud. Je posais mon peignoir. Un pied puis l’autre c’était si divin. Je me sentais envelopper d’une chaleur réconfortante. Tout de suite j’étais bien, je ne pensais à plus rien.
Il me rejoignait, face à moi. Juste nous deux.
- Ecarte tes jambes.
- Humm tu es si belle. Hier tu l’étais tout autant.
Je baissais les yeux, rougissante. Une partie de moi me cachait à en parler, ll le savait.
- As-tu aimé que je t’offre à Cassandra hier ?
- Je dois dire que cela m’a terriblement excitée. Alors pour autant je ne suis pas bi, tu le sais.
- Ce n’est pas la réponse à ma question. Mets toi un doigt dans la chatte et réponds.
Je le regardais droit dans les yeux en m’exécutant.
- Oui, j’ai aimé.
- Et que je la prenne devant toi ?
- Tu en connais la réponse. Tu connais ma dualité. Maintenant, j’ai saisi une chose que je ne peux expliquer. Toi, tu acceptes de me voir avec d’autres et tu es là. Je pense que tu voulais me punir peut être et de l’autre provoquer en moi une excitation à te vouloir davantage. Je ne sais pas. On va pas dire que j’adore ça. Nous étions dans un contexte particulier.
- En effet contexte particulier. J’ai adoré te voir ainsi attachée offerte en objet sexuel, être à disposition et qu’on fasse de toi ce que tu voulais. Je l’ai baisé en pensant à toi et tout ce que je voudrais te faire subir, et tu vas les subir ma belle.
Je le regardais souriante.
- Tu connais notre règle. On parle de tout ! n’analyse pas de ton coté avec ta logique me réponda-t-il
- Oui.. tu as raison.
Il se rapprocha de moi pour m’embrasser. Il se plaça derrière moi, mon dos se posant contre lui.
- T’ai-je dit d’arrêter de te doigter ?
- Pardon.. non…
Je sentais derrière moi son sexe se durcir.
- Je vais avoir du mal à sortir de là. Tu me rends fou tu sais.
Je rigolais..
- Chacun ses problèmes, toi c’est ta queue, moi mes fesses.
Nous rigolions comme deux gosses.
Il y avait plusieurs bains à faire. Il y avait des mosaïques de partout.
Une grande salle de détente avec une verrière style Art Nouveau. Ce calme d’antan. J’adorais ces lieux avec cette atmosphère.
Il ne cessait de me provoquer de m’exciter.
Nous arrivions à des bains où la lumière était tamisée.
Une sorte de grotte, nous étions presque dans la pénombre.
Je m’étais accrochée à lui comme un petit koala. Il avançait dans l’eau. Ses mains sous mes fesses, personne ne nous voyait. Il n’y avait quasi personne. C’était génial.
Il me déposa sur une assise en pierre. Lui restant debout devant moi. Il s’empara de mes lèvres, de mes seins.
- Eh doucement, quelqu’un pourrait arriver!
- Chut…
Sa langue s’entremêlaient à la mienne. Je voulais le dévorer, lui faire l’amour. Il écarta mes cuisses et déposa ses doigts à mon entrejambe.
- Tu adores ça être doigtée petite chipie. Je sens déjà que tu es humide.
- Normal avec toute cette eau le taquinais-je.
Il prit mon cou en main et m'embrassait fougueusement.
- Vilaine. Pour la peine je ne te doigterai pas.
Je le regardais avec une air innoc
ent, qui disait si je veux.
Il me laissa quand même ainsi. Trois hommes pénétraient dans cette grotte. J’étais déçue de ne plus être seule.
- Garde tes jambes écartées.
- Non mais arrête !
- Garde tes jambes écartées.
Il se plaça a coté de moi. Les hommes se plaçaient un peu partout. J’étais la seule femme. Bizarrement on se jetait des regards furtifs sans oser se regarder. Une certaine pudeur et un respect qu’on retrouvait partout dans les termes allemandes.
Assis à coté de moi, je sentis alors sa main se poser sur ma cuisse. Il me parlait à l’oreille.
- Maintenant je vais te doigter.
Avec un geste presque naturel, sa main glissa doucement vers l’intérieur de mes cuisses. Mon cœur battait à l’idée d’être surprise. Je sentis alors un doigt pénétrer doucement dans ma chatte.
Je pinçais mes lèvres. Je tentais de rester la plus naturelle pendant qu’il s’occupait de moi.
- Il y a un homme qui te regarde. Crois-tu qu’il voit ou devine que je te doigte ?
- Mais non ..
- Si, il te regarde. Provoque le…
- Arrête avec ça.
Un second doigt pénétra.
- Regarde comment tu excites les hommes. Tu as cela en toi. Tu aimes ça, qu’on te regarde.
- Arrête s’il te plait.
- Au contraire, avec moi tu assumes ta partie sombre.
Il se redressa.
- Comme tu veux, j’arrête.
Je me sentais interdite. Je ne voyais jamais les regards des autres hommes et je ne le cherchais pas. Pourtant là où il avait raison, j’avais besoin qu’on me regarde, d’attirer l’attention.
Je me levais pour m’asseoir entre ses jambes.
A nouveau je laissais tomber mon torse contre son dos ma tête au creux de son épaule gauche.
Il m’embrassa la tempe et enroulait ses bras autours de moi.
Je prenais soin de bien placer mes fesses contre lui, de faire ses petits mouvements pour le rendre fou.
- Arrête, après je ne pourrais me retenir. Tu vas me le payer...
- Ah oui ? tu veux que j’arrête.
Ma main s’était glissée à l’arrière de mon dos pour saisir son sexe. Je commençais doucement à le caresser.
- Regarde les autres sans rien transparaitre lui taquinais-je.
- Tu ne paies rien pour attendre.. mais continue, tu masturbes divinement bien ma petite salope.
Je riais.
Je sentis alors ses mains me tenir par le haut de mes cuisses à l’entrejambe. Je sentais ses doigts me caresser , malaxer sans toucher mon sexe. Il me rendait complètement folle.
On s’amusait à se rendre fou. J’adorais ça.
Soudain, il reprit le contrôle.
Soudain ses doigts pénétraient ma chatte deux de chaque main. Il l’écartelaient.
- Tu es bien ouverte maintenant…
- Humm c’est si bon…
Jen’avais plus la force de le caresser tellement il m’avait coupé l’herbe sous le pied.
- Concentre toi, continue de me caresser petite putain.
Il savait qu’il me rendait folle et que la réciproque était vrai.
- Aimerais tu sentir ma queue dans ton cul ?
- Humm oui j’aimerai..
- Hummm…
Il frotta sa queue contre moi.
Je sentais les autres hommes me regardaient.
- Le premier là, sur ta gauche, il a remarqué notre manège. Je pense qu’il aimerai bien être à ma place. Et comme il a chuchoté à l’autre quelque chose, je pense que cela doit être par rapport à toi. Alors maintenant je ne sais pas si je vais t’enculer, pour qu’il voit comment tu aimes te montrer. La question, as-tu envie de moi ?
- Tu le sais que j’ai envie de toi.
- Alors arrête de parler, agis. Fais en sorte que je te prenne et assume.
- T’es fou, on ne peut pas faire ça ici.
- Empale toi.
Je ne me sentais pas à l’aise de le faire.
- Petite joueuse riai-til.
Il savait quelle corde sensible jouer et que je réagissais au quart de tour.
- A force de t’interdire des choses, tu oublies le goût de la liberté. Ose ! Prends les choses en main, enfin si je puis dire, dit-il d’un ton sincère.
Je m’enlevais de mon assise pour me retourner et l’embrasser. Les autres hommes ne bougeaient toujours pas.
- Tiens ton sexe que je m’empale dessus quand je me retourne lui ordonnai-je.
Je me retournais à nouveau pour m’asseoir sur sa queue.
Malgré moi j’y mis le temps. Sa queue dans mon cul qui cédait assez facilement. Je le sentais me tenir fermement par la taille, allant au plus profond de mon cul.
Le plus dur était de ne rien laisser passer au niveau de mon visage. Il faisait des mouvements de bassins très légers et les hommes nous regardaient.
- Tu sais je les regarde. Ils savent que je te prends là…
Je me sentais rougissante et si excitée à la fois.
Doucement je me posais contre lui, comme avant, ma tête au creux de son épaule gauche.. Il me parlait à l’oreille, je sentais sa queue en moi et ses doigts dans ma chatte. Avec lui, je sortais totalement de ma zone de confort.
Ses doigts si doux sur mon clitoris.
- Repense à la langue de Cassandra sur ta chatte. Repense à ses petits coups de langue, ses aspirations, pense à moi qui te regardait te faire baiser par une femme.. tu étais merveilleuse.
Il me rendait complètement folle.
- Arrête de bouger. Il me replaçait pour donner quelques coups de bassin.
- Pense à ma queue dans ton cul comme il aimerait bien te défoncer, et ma main te cajoler.
- Ma princesse, ma putain. Regarde ces mâles qui veulent te baiser. Excite les.
- Je… tu me rends folle, encore.. parle moi.
- Repense à Mickaël, comment il t’a tringlé dans les toilettes comme la petite chienne que tu es, ses coups de ceinture que je lui ai demandé qu’il te fasse.
- Humm ouiiii, j’ai adoré ça, tu m’excites trop, j’adore que tu me rendes ainsi.
- Que je te rende comment ?
- Si chienne, si putain.
- Je ne te rends pas ainsi, tu es ainsi.
Ses doigts tournoyaient autours de mon clitoris, j’avais du mal à tenir.
- Je vais.. jouir..
Mon clitoris, mon sexe étaient gonflés de désir. Je contractais mon corps, fermant les yeux, me concentrant sur sa voix qui me guidait.
- C’est ça, laisse toi aller ma chérie. Contracte toi bien, hummm je le sens sur mon sexe.
J’oubliais tout, je ne pensais qu’à ce plaisir montant encore et encore ; Je me concentrais sur ses doigts, sa voix, je revivais tout ces derniers jours vécus si intense.
- C’est ça jouis ma chérie, jouis..
Je refermais mes cuisses, je tentais de ne rien laisser transparaitre ; Je fermais les yeux, mes lèvres se pinçaient.
- Ouvre tes yeux pendant que tu jouis, regarde autours de toi.
La jouissance était terrible. Je voyais ses hommes me regarder. Mon visage malgré mon impassibilité a dû laisser transparaitre ma jouissance.
Je me laissais retomber totalement contre lui.
Il me cajolait.
- Allez viens là mon petit koala.
Nous ressortions de l’eau. Il cherchait mon peignoir et m’emmitoufla dedans.
Il me prit par la main. Allez viens un bon hammam et ensuite du repos.
Je savourais cette journée.
La journée se terminait doucement.
Arrivés aux vestiaires, il pénétra furtivement dans ma cabine et la verrouilla. Sans me laisser le temps de réfléchir ou de parler, il mit sa main sur ma bouche. Il posa ma jambe sur le banc et me pénétra sauvagement la chatte.
Aucun son ne pouvait sortir de ma bouche.
Il me pilonnait si fermement.
Aucun mot ne sortait de sa bouche, il me baisait seulement. Je sentais ses couilles claquer. Ses vas et viens intenses c’était si bon, je mouillais terriblement.
Sa main sur ma bouche m’excitait et m’empêchait totalement de crier.
- Bonne petite salope.
L’attaque fut fulgurante avec de si bons coups de reins.
- Chut… je ne veux rien entendre.
Il me tringla sans aucun ménagement, éjaculant sur mes fesses.
- Rhabille toi maintenant ma chienne, je t’ai préparé une belle surprise digne de nous ce soir.
Il sortit aussi rapidement qu’il était entré, me laissant souiller de sa semence sur moi.
Nous nous étions rejoins à la sortie des thermes. J’avais pris le temps pour me sécher les cheveux.
- Comment te sens tu ?
- Humm merveilleusement bien et détendue.
- Humm parfait tu vas en avoir besoin dit-il en claquant mes fesses avec espièglerie.
Arrivés à Deadalus, Cassandra nous attendait.
Elle m’adressa un tel sourire.
- Conduisez là à sa chambre qu’elle se prépare. Je la veux à 19h30 dans ma chambre.
Kassandra me tenait par le bras.
- Allez petite chienne, dans ta chambre. Tu vas te faire belle pour ton Maitre. Voici ta tenue.
Je me parais de ma tenue assez affriolante, des bas, un masque en dentelle.
Cassandra arriva à l’heure.
- Tu es superbe. Laisse moi te regarder.
Elle palpa mes seins, tira sur mes tétons. Elle s’approchait de moi tout en me murmurant.
- Le goût de ta chatte me manque déjà.
Elle passa sa main sur mon entrejambe.
- Suis moi.
Je pénétrais dans la chambre de Monsieur.
Il était là, habillé en smoking, il était magnifique.
- Vous êtes..
- Taisez-vous !
Sa voix était autoritaire. Je compris que je devais à son regard, entrer dans nos jeux.
- Venez ici.
Je m’approchais. Je restais debout devant lui, pendant qu’il me tournait autours. Il prenait de temps, m’effleurant.
- Relevez vos cheveux.
Je m’exécutais.
Il fixa mon collier et remis son cadenas.
- Ce soir, vous serez exposée et à mes ordres ma chère. Vous n'avez pas le droit de parler, sauf si je vous autorise.
- Allez la mettre dans sa cage Cassandra.
Je vis alors son sourire. Elle me banda les yeux.
Elle me fit avancer hors de la chambre. Je ne savais pas où nous allions
Tout ce que je devinais c’est qu’elle me fit pénétrer dans une cage et m’enchaina au sol.
Elle fixa une oreillette à mon oreille droite.
- Allez couchez petite chienne.
9 personnes aiment ça.
Grahf
Superbe, as usual…
J'aime 17/10/21
Quelle belle série, on attends le prochain épisode avec impatience... Une retranscription fidèle du lâcher prise qu'un.e soumis.e se doit de réaliser pour totalement se libérer. Un beau cheminement que celui de l'apprentissage de son être intérieur.
J'aime 19/10/21
Rêve de Triade
Superbe, on souhaiterait presque pour vous que ce ne soit pas qu'une fiction. :-)
J'aime 04/03/22