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J’aime bien les week-ends prolongés, quand nous ne sortons pas, que nous avons du temps pour nous.
Comme toujours, tu avais bien fait les choses.
Soirée coocooning.
Champagne à l’apéritif, bourgogne pour le repas, alors que tu es plutôt bordeaux, mais quand c’est toi qui choisit le vin c'est toujours en fonction de mes goûts à moi, et pour finir un verre de bas armagnac (de l’année de ma naissance, tu as aussi le sens du détail 😀) au salon.
J’ai compris à ton regard que pour la suite tu avais d’autres projets en tête.
J’ai été prendre une douche.
Je prends toujours une douche avant.
Comme une façon de me purifier, de redevenir comme la première fois.
Virginale.
Je n’aime mon odeur qu’après.
Lorsqu'elle est mélangée à la tienne.
Mon corps était encore humide quand je suis revenue.
Tu avais mis un vieux morceau de musique en sourdine.
J’ai eu envie de danser.
Tu m’as rejointe.
Nous avons esquissé quelques mouvements.
Je me sentais bien.
Pas ivre mais avec la tête qui me tournait légèrement pendant que je frottais mon bas ventre contre toi.
Ton désir ne se manifestait plus désormais seulement dans ton regard.
Et le mien était évident lui aussi.
Bon, pas terrible pour ton pantalon 😀.
J’ai commencé à te déshabiller.
Tu m’as entraînée dans la chambre.
Je me suis mise à genoux pour retirer du bout des dents ce qui me séparait encore de ce dont j’éprouvais désormais l'irrépressible besoin.
Ton instrument était désormais dressé, raide, dur.
Les hommes en certaines circonstances sont merveilleusement prévisibles 😀.
J’ai pu y goûter longuement, avant que tu me portes sur le lit.
Tu m’as attachée, bandé les yeux.
Tu t’es accroupi sur moi, pour me permettre de profiter encore de ce qui nous différencie, au niveau des parties basses de nos corps.
Puis tu t’es occupé autrement de moi.
Te servant d’autres instruments, des pinces pour mes seins, de cette cravache sous laquelle tu aimes me voir me cambrer, de ta ceinture que j'avais pris le soin de retirer pendant que je te déshabillais.
Jusqu'à ce que ma chatte soit détrempée.
Alors, seulement, tu as décidé de faire usage de cet autre instrument, celui que tu détiens en propre.
Dans ce cocktail explosif de tendresse et de violence que nous avons élaboré ensemble.
Profitant de ce que je n’avais pas à t’offrir, puisque tout ça t’appartient déjà.
Moi, mon corps, mes trous.
J’ai joui une première fois.
Puis d’autres fois.
Toi aussi. Plusieurs fois.
Avant de me détacher, de me prendre dans tes bras, en me serrant fort contre toi.
La nuit a été courte ou longue selon le point de vue que l’on adopte.
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Il est des équipements à l'usure programmée.
D'autres auxquels on découvre à chaque fois de nouvelles fonctionnalités et dont l'efficacité s'améliore à mesure que l'on s'en sert :smile:.
Thèmes:
à maxime, à mon maître
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