Mademoiselle_Lane
par le 28/09/21
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Hum Isabelle et Jean nous invitent ce week end à nouveau.. Je sens qu’on va bien s’amuser ma chérie.
Je le regardais entre l’envie folle d’y aller et celle à appréhender ce qui va se passer.. ou pas.
Il m’enlaça et me serra fort dans ses bras.
- Laisse toi aller ! il n’y a pas de problèmes.
- Tu sais très bien que je ne veux pas que ça aille trop loin.
- Ecoute, laisse Isa faire, Jean ne te touchera pas. Je serais là donc ne t’inquiète pas.
Il me réconforta. Je sentais son sexe se durcir à l’idée de ce week-end mais j'étais aussi dans cet état.
- Hum je vois ce que cela te procure.
- Humm tu n’as pas idée combien j’étais dans un état l’autre jour, alors là je veux te voir avec Isa.
- Tu sais bien que je ne suis pas bi et que je ne veux pas lécher une chatte, ça ne m’intéresse pas.
- Calme toi, rien n’est écrit, rien n’est forcé, ce n’est que partage et plaisir. Tu ne feras jamais quelque chose que tu n’as pas envie de faire. Mais avoue, tu as adoré son massage, qu’elle te caresse…
- Je.. oui j’avoue.
- Bon sujet clos !
- Viens ici ma chérie.
Il me poussa sur la table.
- Tends moi ton ptit cul.
Je m’exécutais. Il releva ma robe et descendit ma culotte.
- Je crois que tu n’auras pas besoin de la porter. Nue en talon c'est parfait!
- Ouvre ta bouche et sort ta langue.
Il mouilla le plug et le mis en place dans mon petit cul.
- Il faut rendre à César ce qui lui appartient.
Il tapota sur mes fesses.
- Voilà, tu es parfaite et si sexy humm… Suce moi là
- Mais on est déjà en retard !
- Suce moi.
Je m’agenouillais et le pris dans ma bouche. Sa cadence était à la hauteur de son désir.
- Bonne petite suceuse hummm. Suffit, on y va.
Le porte s’ouvra.
- Hum si bon de vous voir ! Entrez.
Nous avions rapporté une bonne bouteille de Joseph Perrier.
- Comment allez vous c’était bon de vous accueillir l’autre fois. J’imagine que Véronika a bien dormi.. non ?
Elle me fixait du regard tout en passant devant moi. Cette fois-ci elle assumait et était à l’aise. Nous savions parfaitement pourquoi nous étions là. Pour ma part, c’était la grande inconnue. M. contrôlait la situation.
Jean se rapprocha d’Isabelle et lui dit :
- Voilà ton petit bonbon ma petite chienne.
M. me claqua les fesses et me poussa contre la table de la cuisine américaine. IL leva ma robe.
- Tout est bien en place.
Je rougissais.
- Deux bonnes chiennes avec leurs Maitres. Humm dit Jean.
- Isabelle a pris soin de tout préparé au sous-sol. Ma chienne a dévoré la tienne l’autre jour et ne nous a même pas conviés à les regarder.
- Oui, il est vrai, mais j’ai dû punir Véronika durement. Elle a pris cher, dit il en prenant fermement mes fesses.
- Véronika, accompagne Isabelle et écoute là !
Isabelle me prit par la main et m’attira au sous sol.
J’avançais d’un pas timide. Nous retournions dans cette pièce où ils avaient installés un sofa et un grand lit. La table de massage avait changé de place.
Je vis, interloquée sur la table de nombreux jouets sexuels..
- Oui ma chérie, tu vois bien dit-elle. On va bien s’amuser ce soir.
Elle s’approcha de moi.
- A genou belle chienne.
Naturellement je lui obeissais.
Elle coiffa mes cheveux avec douceur.
M. m’a donné ton collier à te mettre. Il m’a dit que tu étais bien obéissante. Je compte sur toi pour l’être.
Elle sera fortement mon collier.
- Voilà, tiens toi bien droite. Tu es magnifique et si racée. j'adore.
Je baissais la tête, honteuse de lui obéir ainsi et d’être nouveau soumise à ses caresses que j'aimais malgrémoi.
Soudain, j’entendis la voix de Jean et M.
- Hum quelle belle pièce !
- N’est ce pas, je l’ai aménagé spécialement pour nos petites soirées.
- Ta chienne est superbe M. Isabelle adore les mater. Il semblerait que la tienne soit très sensible au doigté et à la prise en main ferme d’Isabelle.
- Eh bien laissons le soin à Isabelle de la mater, avec les règles que nous nous sommes fixées. J’ai toujours voulu voir ma chienne dressée par une autre femme.
- Oh Voilà qui est parfait, nous pouvons toujours reprendre les rennes quand bon nous sommes.
Isabelle m’agrippa les cheveux et me tourna vers la table de massage. Elle tenait une cravache en main. Elle me fit mettre à plat ventre, les jambes sur le sol.
- Relève ta robe m’ordonna t-elle en me claquant les fesses avec la cravache
- Hum parfait, tu t'éxécutes à la perfection.
Elle caressa mes fesses. Je sentais ses cuisses contres moi.
- Humm si douce.. Ce plug a sa place. As-tu aimé ce que j’ai fait l’autre fois ?
J'hésitais à répondre... Elle me cravacha avec force.
-Oui.. j’ai beaucoup aimé, répondais-je à peine audible.
- Je m’en doutais petite chienne. Tu es déjà là toute trempée à l’idée que je m’occupe de toi.
- Tiens ma cravache en bouche!
Elle écarta alors mes fesses et donna de gros coups de langue partout.
- Hum ma mouille est un réel nectar. Tu mouilles tant. Nous n’aurons aucune résistance à te prendre je crois.
Elle glissa ses doigts sur ma chatte…
- Mais regardez moi cette cochonne !!! J’en ai plein ma main.
Je tentais de me relever.
- Qui t’a permis de te relever ma chérie ?
Elle appuya sur mon dos.
- Couchée !
- Je vais te bâillonner avec ce gag-ball pour éviter de t’entendre gémir. Ouvre ta bouche et rends moi ma cravache.
- Je vais la mettre sur ta croupe, ne la fais pas tomber sinon je devrais te punir.
Voilà, tu es parfaite ainsi. Elle repris la cravache en main
- Relève toi maintenant.
Sans ménagement elle me retourna. Je regardais M. dans les yeux. Son regard était des plus tendres et à la fois des plus pervers.
Elle était juste derrière moi, caressant mes bras, mon cou. Je sentais son souffle dans mon cou, sa langue me lécher. Elle passait la cravache sur mon entrejambe.
Avec douceur, elle ota ma robe. Tombant au sol, elle dévoila ma nudité. Je me laissait faire, mes bras long du corps, je regardais toujours M. dans les yeux.
Elle tourna ma tête vers elle et donna un coup de langues sur le gag-balle et mes lèvres.
Elle passa la cravache sur mes seins et les écrasa avec, contre moi.
- Mets tes bras devant toi et tiens la cravache!
Elle la déposa sur le revers de ma main.
- Je ne veux pas voir descendre tes bras, ni la faire tomber. Est ce bien clair? même quand je te doigte.
Sans prévenir, elle saisit brutalement mes seins, jouant avec les malmenant avec une certaine fougue. Elle mit sa main sur mon cou pour me maintenir et descendit l’autre vers mon sexe.
Elle s’accroupit, et me fit comprendre avec ses mains d’écarter mes pieds.
Je sentis alors sa main passer par l’arrière au niveau de mon sexe. Elle l’englobait. Passant de l’arrière à l’avant.
M. demanda : Est-elle bien humide ?
- Oui Monsieur, elle l’est.
Elle continua de me caresser allant toujours d’avant en arrière, jouant avec mon petit clitoris.
Je voyais M. avoir le sexe dur, tentant de se contrôler pour me pas se caresser. Jean semblait plus lui dans le contrôle.
M. prit alors ma laisse et m’attira à lui. Je me retrouvais pencher en avant, les fesses tendues avec la cravache ne devant toujours pas la faire tomber.
- A genou m'ordonna M.
IL sortait sa queue de son pantalon, la caressant.
Il prit la cravache en main.
Il tirait sur la laisse pour que je sois courte et colla mon visage à ses couilles.
- Sens le désir que j’ai pour toi… sens la.
Isabelle s’était redressée et appuya ma tête contre la queue de M.
- Bonne chienne qui veut ronger son os.
M. s’amusa de la situation. Il bloqua ma tête ainsi contre sa queue.
- Cambre toi mieux que ça ! dit-il en claquant mes fesses.
Je sentais Isabelle à quatre pattes en train de me lécher la chatte comme une belle minette qui lèche son lait.
Je vis Jean s’approcher pour admirer sa chienne à l’œuvre.
Elle écarta mes fesses offrant mes orifices à la vue de ce dernier.
Cela me rendait excitée d’être ainsi exhibée.
Jean appuya sur la tête d’Isabelle pour qu’elle enfonce sa langue dans ma chatte.
- C’est ça.. lèche mieux que ça !
Elle me dévorait littéralement sous l’emprise de Jean. M. me tenait toujours fermement la tête, m’empêchant de me mouvoir.
M se leva. Il tira sur la laisse me forçant à marcher à quatre pattes à ses cotés. Il me conduisit vers la table de massage.
Au milieu de la table, il me força à me mettre sur le dos dans la largueur de la table. Ma tête était dans le vide.
- Humm une barre d’écartement. Puis je ?
Il m’attacha ainsi et remonta les jambes vers un système de poulie au plafond.
M. positionna au mieux ma tête pour qu’elle soit à hauteur de sa queue et si l’envie lui prenai de me prendre ains par n'importe lequel de mes trous, tout était à bonne hauteur.
- Isabelle, maintenant, peux tu me montrer comment tu dilates ma petite putain ?
- Hum oui avec grand plaisir. La sienne est particulièrement étroite. En plus avec un plug dans son petit cul, humm…
Elle commençait par s’amuser avec le plug. De mon coté je salivais, la bave coulant de ma bouche.
Je sentis Isabelle me caresser avec douceur, puis insistance. Sa bouche se posa sur mon clitoris, l’aspirant, encore et encore.
Elle jouait avec le contour de ma chatte afin que je me dandine à l’implorer de me doigter. Je voulais qu’on me fourre maintenant.
M. s’était agenouillé pour me parler.
- Humm tu es divine ma chienne. Te voir ainsi me comble. Ma petite pute.
Il se releva et alla s’asseoir et admirer en live sa chienne.
Elle glissa un doigt dans ma chatte, un seul. J’étais frustrée.. Elle savourait. Elle récoltait avec son doigt ma mouille. Je la devinais en train de le lécher tout en regardant Jean.
- Doigte la entendis-je.
Elle glissa alors un autre doigt dans ma chatte.
- Tu en veux plus n’est ce pas ? me questionna Isabelle.
Je fis oui de la tête.
- Oui bien sur que tu en veux plus, petite chienne en chaleur.
Elle enfonça un troisième doigt, au plus profond comme pour m’arracher un cri de plaisir. Elle s’était redressée me toisant de haut.
Elle caressait en même temps mon clitoris avec son pouce. Je me dilatais doucement..
- TU es si accueillante, si ouverte… le quatrième va passer sans souci.
Elle me donnait de sacrés coups à son poignets.
Puis sans prévenir, elle me doigta si forcement, si vivement.
- Allez ... montre nous la fontaine que tu es! petite pute.
- Messieurs regardez moi ça!! elle en met partout, incapable de se retenir.
Mes cris de gémissements se terminait dans mon gag-ball.
Elle avait complètement pris possession de ma chatte, j'étais si trempée. Je sentis alors son pouce vouloir franchir mon tunnel.
- Hummmm… hummmmmm…… Hhhhhhhhhhhhhhummmmmmmmmmmm
- Cesse de crier… voilà ça passe…. Regarde comment ma main va te baiser.
M. s’était levé. Il avait redressé ma tête pour forcer à regarder ma chatte avec le poing d’Isabelle.
Il était frénétique.
- Oh oui c’est bon.. je sais…me dit Isabelle.
De l’autre, je sentis la main d’Isabelle prendre un certain rythme.
Alain était en train de la prendre alors qu’elle me fistait.
Ne tenant plus, M. ôta le gag ball pour le mettre sur mon cou.
Il enfonça sa queue dans ma bouche. Ma tête à l’envers, que de sensation. Il avait mis sa main sur ma gorge, j’adorais cela. Il tenait alors mes seins bien fermement. Je prenais des coups de partout. Ma bouche, ma chatte. J’étais leur jouet sexuel ce soir.
Alain tenait Isabelle par les épaules. Elle se redressa . Elle ôta sa main. IL l'attrapa par les cheveu et appuya son visage contre la chatte
- Lèche la bien. Prends toute sa mouille !!! bonne chienne que tu es lui lança t il.
Au bout de quelques minutes il lui ordonna:
- Allez file, va chercher un gode ceinture. tu meurs d'envie de te la faire.
Il lui claqua les fesses. M. savoura la bave qui coulait de ma bouche, ne me laissant aucun répit.
Il était comme possédé. j'adorai sa perversion.
Il tourna autours de la table et admira ma chatte écartée, offerte.
Il donna un claque dessus puis un bon coup de langue..
Pendant que M. avait donné son coup de langue, isabelle empala le gode dans ma bouche.
- Petite salope….ça se sent que tu aimes sucer des queues.
Elle étrangla mon cou et me donna des tapes sur le visage. Elle agrippa ensuite mes seins, et tritura mes tétons comme il se doit.
J’étouffais mes cris. Elle me torturait.
- Suffit maintenant, lache ton nonos.
Elle planta le gode dans ma chatte et commença à me baiser*
- Voilà petite chienne… on y est. Je vais prendre un plaisir à te prendre ainsi.. Elle encercla mes cuisses de ses mains et me culbutait ainsi. Je sentais chacun de ses coups.
M. était venu à nouveau prêt de moi, me planter à nouveau son sexe dans sa bouche.
- Quel joli tableau dit Alain. J’adore quand ma femme en baise une autre…
- Tu en as eu assez Isabelle, vient t’occuper de ton Maitre.
Elle se retira.
- Que diriez vous d’aller sur le lit ?
M. me détacha de mes contraintes. Isabelle reprit ma laisse en main.
Nous nous disposions l’une en face de l’autre sur le lit à quatre pattes.
- Ne bougez pas mesdemoiselles, vous êtes sublimes.
Isabelle me regardait droit dans les yeux. Alain se plaça derrière elle et commença par la prendre.
M. me força à la regarder ainsi en tenant ma tête face à elle.
Il me tira par les cheveux pour qu’Isabelle puisse disposer de ma chatte.
Alain lui força sa tête contre ma chatte.
- Léche ! leche moi cette salope.
Il lui claqua les fesses avec une telle rudesse. Je sentais sa langue jouer encore et encore sur mon sexe.
M. lui malaxait mes seins et regardait Isabelle s’occuper de mon con. Il me disait combien j’étais une belle salope.
Alain était frénétique. Je sentais combien il la possédait violemment. Sans aucun ménagement il lui enfonça des doigts dans son fion alors qu’il l’a prenait.
Elle se redressa, criant.. oh ouii encore, défonce moi bien !!!
Il lui tirait les cheveux, exposant alors sa poitrine à notre regard. Ses seins volaient. Il la baisait rudement. Sa tête était à présent contre le lit. Il avait saisi ses mains qui était le long du corps e
M. me parlait.
- Ca t’excie hein ma chienne ? de voir qu’elle est prise ainsi ?
- Je..
- REgarde la bien.. ouvre tes yeux.
J’hochais la tete par l’affirmative.
IL la jeta sur le lit. Il n’avait pas fini son affaire, mais il avait besoin de faire tomber la tension.
Isabelle était haletante, elle restait en position. Jean lui avait interdit de bouger.
Quant à moi, M. m’avait demandé de me mettre sur ses genoux et de lui présenter mes trous en écartant mes fesses. Il s’assura que mon gag ball soit à nouveau bien à sa place à me bâillonner.
-Isabelle ? viens récupérer ton plug qui est dans le fion de Véronika.
Alain était assis à côté de M. Mes jambes étaient sur les cuisses d’Alain. Je sentais ses mains me maintenir fermement les chevilles et profiter de la vue sur mon anatomie.
M. écarta mon inter fessier.
Il regardait Isabelle enlever mon plug. Elle passa ensuite sa langue sur mon anus.
Je lâchais un cri malgré moi de soulagement, de désir.
Elle continua a se délecter autours de mon petit anus.
M. lui offrant un accès illimité.
- Humm elle est si bonne.
- Elle est toute à toi, fais en ce que tu veux Isabelle lui lança M.
Elle prit la place des mains de M. Elle écarta au mieux mes fesses. Elle glissa sa main. 4 doigts et son pouce qui se baladait autours de mon anus.
- C’est bon ma chienne ?
Je hochais toujours la tête.. oui…
Elle entreprit alors de me fouiller l’anus.
- J’adore aussi élargir les petits fions étroits.
Je couinais.
Ses doigts rentraient comme si c’était du beurre fondu.. Mon maitre récolta ma salive pour m’enduire l’anus. Isabelle quant à elle avait tout préparé.. elle huila sa main.
- En douceur ma belle, en douceur.
Elle me pénétra d’abord avec deux doigts .
- Hummm j’adore voir quand ça cède.. Regardez moi cette petite cochonne… encore un troisième… Tu peux couiner autant que tu veux, si tu voyais ta mouille.
Je me dandinais.. hummmm.. hummmm…
- Juste quatre doigts, la prochaine fois on travaillera encore plus ton anus.. ne t’inquiète pas.
M. me parlait et me complimentait en me disant combien je suis une belle perverse.
- VIens sur moi m'ordonna M. Je vais t'enculer maintenant que tu es dilaté.
- Prends ma queue et empale toi..
- Hummm Oui comme cela. bien au fond.
Il m'attira à lui, mon dos contre son torse. Il m'embrassa le cou.
Alain ordonna à Isabelle de se mettre à quatre pattes devant nous et de m'observer quand j'étais sodomisée. De sortir la langue.
M. me giflait les seins, parfois la joue. Il m’agrippa par le cou et serra aussi fort qu’il avait jouis… Il me plaqua à lui et resta ainsi. Epuisé.
- C'est bon tu peux lui lécher la chatte !
Isabelle venait me lécher la chatte, la queue de M. toujours en moi.
Elle me caressait le clitoris. J'étais si trempée. Elle s'amusait en meme temps qu'elle aspirait mon clitoris à me doigter..
- C'est ça ma chienne, fais toi bien léchée.. après avec été fistée et défoncée de partout. regarde toi!!! une bonne putain...
- Hummm hummmm....
Mon corps tremblait par la jouissance et les coups de langue d'isabelle. Son doigté...
- Isa, viens t'occuper de ton Maitre, maintenant;
Elle se plaça a quatre pattes devant lui. Ouvrant sa bouche, sortant sa langue.
- Leche moi les couilles , et nettoie mon anus!
Elle le dévorait.
Il éjacula dans sa bouche. Elle avala tout ne laissant rien.
Nous étions épuisés par ce début de soirée.
Isa… allez va laver ta chienne ! Allez vous au lit, on vous rejoint...
16 personnes aiment ça.
D'âme Libertine
Mmmm quelles experiences !!! Merci.
J'aime 29/09/21
CYRUS dsl
superbe texte , très difficile de tenir sa jouissance jusqu'au dernier mot
J'aime 29/09/21
Mademoiselle_Lane
Merci 1f642.png
J'aime 29/09/21
CYRUS dsl
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J'aime 29/09/21
Mademoiselle_Lane
c'est peut etre parce que je le vis dans ma tête 1f642.png
J'aime 29/09/21
softail
Tellement "prenant" qu'on en vient à espérer une suite 1f60a.png
J'aime 03/10/21 Edité
Romurex
Un régal de vous lire... 1f60b.png
J'aime 01/10/21
mademoiSElle Craquant
humm Divin....1f60d.png
J'aime 03/10/21 Edité
Grahf
Et bien, c'est très.....excitant tout simplement
J'aime 03/10/21