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C'est une pure fiction abordant la thématique du viol et du harcèlement.
Un sujet tabou, qui laisse des traces, des blessures ouvertes, des séquelles. j'aborde un sujet que j'ai malheureusement connu et où je me suis tue. J'avais 21 ans. Ne restez jamais silencieuse face à cette situation!
Aujourd'hui je vis pleinement ma sexualité et malgré ce que j'affectionne, je ne fais pas d'amalgame.. mes envies sont les miennes et le bdsm est si méconnu. Quand on est avec la bonne personne, on est justement protégé et sincèrement désiré. Tout n'est que partage et sentiments. Ceux qui prennent la soumission domination pour assouvir des pulsions ont malheureusement bien tort. C'est pour moi la relation la plus fusionnelle qui existe!
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Je sentais chacun de ses coups de rein. Il me pilonnait fermement, avec passion.
Il agrippait mes fesses. Je sens encore l’empreinte de ses doigts dans ma chair. Il me prenait si sauvagement. La seconde d’après je sentais ses baisers dans mon dos, ses caresses. L’œil du cyclone, puis la tempête reprenait vigueur. Il empoigna mes cheveux, me forçant à me relever. Je me redressais lui offrant ma poitrine. Ses mains prenaient un réelle plaisir à les malaxer fortement. alors que sa queue se frayait son chemin dans ma vulve.
Il passa sa main sous ma gorge me forçant à me cambrer, de l’autre il plaça son bras derrière mes deux coudes qui était dans mon dos.
Sa frénésie me faisait défaillir. Ses couilles battaient mes fesses.
- Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
Ces derniers coups furent si violent que la table en avait bouger.
Il claqua une dernière fois mes fesses puis me retourna pour me mettre sur le dos.
Il agrippa mes jambes les refermant contre lui et continua de me prendre. Je sentais sa verge si dure en main. Il me regardait. Soudainement il écarta mes jambes et observa sa queue entrer et venir dans ma chatte.
- Hum du beurre.
Puis il posa son pouce sur mon clitoris et le caressa en même temps qu’il me prenait.
- Ahhhhh.. ahhhhh
- C’est bon.. ma belle, prends ton plaisir…
- Je…..
- Ahhhhhhhh.. je vais…
- Jouir ? jouis, je veux te voir t’abandonner.. jouis !
Il augmenta ses coups tout en me caressant. Mes seins valsaient. La vague de plaisir qui m’envahit fut si intense.
Lui continuait de me posséder. Il se pencha sur moi et me bâillonna de sa main. Je sentais tout le poids de son corps. J’aimais ce contact, la chaleur de sa peau.
Il me murmura.
- Tu est ma petite putain. Tu es si bonne.
Je voulais protester
- Tais toi !
Il me tringlait encore et encore. Il se releva et me gifla avec une certaine douceur jusqu’à ce qu’il explose.
Il m’avait saisi sous les cuisses pour mieux me prendre. Puis au moment de jouir il se retira et éjacula sur mon ventre.
Il se retira, épuisé, transpirant et vidée.
- Tu es sensationnnelle ma belle.
- Viens dans mes bras.
Il me releva et me prit dans ses bras. Il m’invita sur son canapé. Je me lovais contre lui.
Il caressa doucement mes cheveux, m’embrassait tendrement.
- Je suis navré d’avoir était si brutal.. mais vous me rendiez si fou.
- J’ai aimé que vous me preniez ainsi. Je ne me suis jamais sentie autant possédée, désirée. C’était si intense.
- Hum.. laissez moi vous initier à ces plaisirs. Laissez moi faire de vous mon égérie, mon tout.
Je me sentais complètement surprise par la tournure des événéments.
- Maintenant taisez-vous et venez vous blottir contre moi.
J’entendais les battements de son cœur, je m’endormais doucement.
Il m’avait porté jusqu’à sa chambre. Le lendemain matin, il n’était plus là. Je voulais sortir, mais impossible, j’étais toujours enfermée. Les larmes me montaient. Je ne voulais pas rester prisonnière.
- Pourquoi cette porte est elle fermée entendais-je ?
J’entendis la voix de Peter, c’est la chambre d’Herr Ludwig, elle est toujours fermée car elle contient des dossiers confidentiels.
- Ils ferment sa propre chambre à clé ? vous rigolez, ouvrez !
Je reconnus la voix de Lintzer. J’allais me cacher tout de suite sous le lit.
La porte s’ouvrit. Je vis les bottes de cet horrible homme. Il semblait fouiller la chambre. Quand soudain il pris en main la robe que j’avais que j’avais laissé dans la salle de bain, celle que je portais au bal.
Je la vis retombée au sol.
- Intéressant…
Puis il quitta la pièce.
Je n’osais plus faire de bruit. Peter vint m’ouvrir la porte
- Comment allez-vous Mademoiselle Lane ?
- Je vais bien mais cet homme, que faisait-il ici ?
- Je ne le sais pas mais il est clair qu’il cherche quelque chose ou quelq’un.
- Quand revient Herr Ludwig ?
- Pas avant demain. Il m’a dit de m’occuper de vous, de vous faire apporter quelques toilettes et en aucun cas de vous faire sortir de la chambre.
- Très bien, je ne bougerai pas.
Un peu plus tard dans la journée, j’entendis du grabuge plus bas. Je n’ai pas eu le temps de me mettre sous le lit, que la porte fût défoncée.
- Je le savais ! je savais que ma Prinzess était ici.
Face à moi Herr Lintzer. Son regard était menaçant. Il s’approcha de moi, je reculais dans le coin de la chambre.
- Nous n’avions pas fini notre entrevue la dernière fois.
Il agrippa mon bras si fermement.
- Suivez-moi !
- Lâchez moi connard ! lâchez moi !
Je me débattais. Il me força à descendre les escaliers. Arrivés au rez de chaussée, il me regarda.
- Amenez là dans mes appartements privés et attachez là fermement. C’est une sacrée sauvage !
- Lâchez moi !!!!!
- Taisez-vous sinon vous aurez la mort du majordome sur la conscience.
Je tentais de me calmer. Je vivais un réel cauchemar.
- Peter, Peter…
- Hans… je suis navré, il l’a trouvé ! Il l’a emmenée
- Quoi ? il l’a emmené ? où ça ? il a parlé de ses appartements privés.
- Le salaud, je vais le tuer.
On me jeta dans une voiture comme un vulgaire paquet. On me mit un tissu sur le visage. Je ne savais pas où j’étais. Je sentais des bras vigoureux me diriger puis au final m’attacher fermement à une chaise.
J’attendais, tremblante.
Soudain, je sentis une main appuyée sur mon épaule. Puis une gifle s’abattre à travers le tissu.
Elle me sonna par sa puissance. Je compris qu’il était là. Je sentais alors sa matraque parcourir mon corps.
- Je dois reconnaitre que tu es une sacrée belle putain. Cela fait des semaines que tu m’as échappé. Et on ne m’échappe pas et tu n’aurais jamais dû tenter de t’échapper.
Il ôta le tissu sur mon visage.
- Je t’avais repéré à la soirée, tu pensais que tu allais passer inapercue ! Ton amie Claudia a été coriace mais j’ai réussi à lui délier la langue.
- Claudia, que lui avez-vous fait ?
- Oh rien, ne t’inquiète pas, elle est bien au chaud, elle réconforte mes collègues. Je lui ai montré comment elle doit être, elle est devenue bien obéissante maintenant, comme toi tu vas l’être.
Je le regardais et je lui crachais au visage.
- Vous êtes un fou !
Il ôta mon cracha avec ses doigts et les mis dans sa bouche.
- Hummm…
- J’aime les sauvageonnes comme toi. Je vais te faire manger dans ma main.
- Allez vous faire voir !
- Amenez moi Claudia, tout de suite !
Je vis ma Claudia quelques minutes plus tard. Elle portait une robe rouge de soirée, un maquillage outranciel.
- Messieurs, baisez moi ça de suite.
Je voyais Claudia, comme droguée, elle se laissait faire.
- Non arrêtez je vous en prie, ne faites pas ça.. Je..
- Oui vous ?
- Que voulez-vous de moi ?
- Que tu sois ma petite chose obéissante. Tant que tu seras gentille et que tu obéiras, Claudia sera épargnée. Un seul faux geste de ta part…
- C’est bon j’ai compris…
- Ramenez là dans sa chambre ! et détachez notre invitée
Messieurs. Je vous convie à une petite séance de dressage ce soir. Je vais vous montrer comment on mate les pouliches.
Un des gardes me détacha. Je mettais ma main sur ma joue, sa gifle m’avait sonnée.
- Deshabillez-vous !
- Je…. Non je vous en prie.
- Deshabillez-vous !
- Messieurs, arrachez lui ses vêtements !
- Non c’est bon, je vais me déshabiller. Vous êtes abject !
- Toutes vos rébellions, je les note. Je punirais Claudia personnellement.
Je me retrouvais ainsi nue, face à ses hommes. Je tentais plus bien que mal de cacher mes seins et mon sexe.
- Ne te cache pas. La beauté ne se cache pas voyons !
Il se leva de sa chaise et se mit à ma hauteur.
Il était plus petit que moi mais vous compreniez à son regard qu’il ne plaisantait pas. J’aurai tout fait pour lui prendre sa matraque.
Il releva ma tête avec sa matraque.
- Très très jolie…
Il passa sa matraque sur l’ensemble de mon corps. Il me força à écarter les jambes en tapotant sur l’intérieur de mes cuisses.
- Mains sur la tête.
- Voilà une belle position de présentation.
- Messieurs, voici Mademoiselle Véronika. Espionne française, complice de Claudia. Une belle femelle blanche avec des seins en pomme parfait. Elle sera parfaite pour la baise.
Quand je sentis sa matraque passer sur mon sexe, je refusais de céder à qu’ils voient mes pleurs.
- A genou !
Je ne voulais pas céder, je me souviens de la dernière fois.
Il m’agrippa le cou et me força à me mettre au sol, à genou. Il me donnait quelques coups dans les reins avec ses chaussures puis il alla s’asseoir.
- Viens jusqu’à moi maintenant à quatre pattes.
- C’est ça.. applique toi, j’aime que l’on soit racée et digne.
Dans ma tête je voulais le tuer. Je pensais à mes moments avec Hans. Il devait me chercher, je l’esperais.
- Maintenant, nettoie mes bottes.
Je me relevais.
- Allez vous faire…
- Tssss… pas de rébellion, n’oublie pas.
- Allez y tuez nous toutes les deux maintenant !
Ma réaction l’avait surprise.
- Allez y tuez moi maintenant ! n’est ce pas ce que vous allez faire de toute façon, c’est bien ce que vous voulez non ? Vouloir soumettre une femme car vous n’êtes pas capable d’attirer une femme et de vous faire aimer autrement qu’en la torturant ?
Il sortit son pistolet et le braqua sur moi.
- Ouvre ta bouche, sale petite pute.
Il m’enfonça le pistolet dans ma bouche. Je ne faisais que penser à des moments heureux, je faisais tout pour ne pas sangloter. Ne pas lui donner se plaisir de lui supplier.
- Suce le…
- J’ai dit suce le !
Voyant que je n’obéissais pas, il faisait des vas et viens avec le canon.
- Maintenant LECHE MES PUTAINS DE BOTTES !
Je tremblais si fort, mon corps trahissait mes émotions. Je commençais alors à m’exécuter. Léchant ses bottes.
- Vous voyez messieurs, comme elles deviennent rapidement dociles. Elles ne demandent que ça.
- Suffit maintenant.
Retourne toi, mets toi en boule, que je vois tes jolis orifices.
- Quel sublime objet d’art, ne trouvez-vous pas messieurs ?
C’est là que j’entendis une porte claquer et je reconnus la voix d’Hans, il était venus me chercher.
- Eh bien voilà ! je savais bien qu’il était aussi un espion. D’ailleurs il est sous surveillance lui aussi. Je vais me faire un plaisir de me débarrasser de lui devant toi ma belle.
- Arrêtez, je vous en prie.. faites de moi ce que vous voulez mais laissez le !
Il m’agrippa par les cheveux et me plaça devant lui.
Hans pénétra dans la pièce avec ses hommes.
- Lâchez La Lintzer.
- Vous êtes une honte pour notre pays Ludwig. Lâchez vous arme où je lui colle une balle dans la tête. C’est ce que vous voulez ?
- Hans, ne l’écoute pas tue le !
Je vis Hans, rendre les armes, mes yeux commencèrent alors à se mouiller.
- Humm, je crois qu’avant de le tuer, je vais d’abord abuser de toi devant lui et lui comment on possède une putain.
- Messieurs attachez le. Enfermés les autres.
Hans se retrouva attaché à une chaise.
- Je suis si désolée…lui répondis je
- C’est moi qui le suis de ne pas t’avoir protégé de lui…
Nous voilà en pleine fête ! Champagne !!!! je veux du champagne.
- Lintzer, laissez la partir ! elle n’a rien à voir dans notre affaire d’égo.
- Oh que si, vous me l’avez enlevée Vous l’avez laissé s’échapper. Depuis on vous surveille. Je vais m’occuper d’elle personnellement. Elle ne craint rien avec moi. Je la sauterai quand je le voudrais, sinon elle sera baisée tous les soirs par mes hommes, elle avec sa copine Claudia. Et quand je me serai lassée d’elle, je lui collerai une balle dans la tête.
Il venait de me glacer. Il venait de me faire perdre le dernier espoir qui me restait. Je venais de trouver un homme, des sentiments naissants et tout était piétiner, en une fraction de seconde.
- Veronika, allez viens me sucer maintenant.
Il défit sa braguette et en sorti sa queue.
- Si je sens tes dents, je lui colle une balle, compris.
Il fourra sa queue dans ma bouche et tenait ma tête. Il me for(cait ainsi à prendre un rythme soutenu.
- Oui prends la bien au fond… rohh mais quelle suceuse !
- Ludwig, regarde ta putain comme elle est douée ! je comprends ce que tu lui trouves.
- Ne t’arrête surtout pas.. Continue, allez applique toi !
De ses deux mains collés à la tête il me forçait vigoureusement. Quand il fut sur le point d’éjaculer dans ma bouche, j’ai profité de ce moment là pour le mordre si férocement qu’il n’avait pas son pistolet pointé sur Hans.
Il hurlait pissait le sang. Je me retrouvais la bouche avec son sperme, l’envie de vomir. Juste une demi seconde pour me saisir de son pistolet.
Les deux autres soldats ne bronchèrent pas. Je mis le pistolet sur la tempe de ce connard.
- Détachez le ! tout de suite.
- Jetez vous armes aux sols.
J’étais en crise de nerf. Je pleurais comme il n’était pas possible de pleurer. Comment un homme pouvait détester à ce point les femmes !
Il m’avait poussé à bout. J’attrapais la bouteille de champagne pour enlever le gout répugnant de son sperme dans ma bouche. J’étais si écoeurée. L’odeur reste, le gout aussi. Je me suis mise à vomir sur le sol.
Hans avait pris ma place.
- Tourne toi Véronika, je ne veux pas que tu vois ça.
J’entendis une détonation. Lintzer tomba sur le sol. Mort.
Il me prit alors dans ses bras et m’enlaça si fortement.
- Tu es une femme forte ! je suis là !
Je n’arrivais plus à réfléchir. J’étais en état de choc… Je criais juste. Claudia…
- Claudia.. claudia, ton amie est ici ?
Je fais un hochement de la tête.
Ses hommes libérés, ils firent le tour de la maison. Ils trouvèrent Claudia enfermée dans une chambre, complètement droguée.
Homme me prit dans ses bras et m’emporta loin de ce lieu atroce.
La suite : Chapitre 5
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Comme toujours Mademoiselle_Lane, j'aime beaucoup vos récits et cette série est passionnante dont j'ai lu les 4 premiers chapitre d'un coup. L'introduction de celui ci est si vrai, c'est bien la relation la plus fusionnelle et j'ajouterai la plus passionnelle également ou l'amalgame n'a pas de place. Merci à vous
Je vous remercie j'aimerai prendre plus de temps à faire encore mieux.. Ecrire m'apaise, les idées viennent mais j'aimerai pls de temps pour scénariser, me documenter.. et je suis aussi à l'écoute de sujet pour écrire .
J'aime
28/09/21
En fait etre proche du BDSM.. que je n'aime pas cette expression. chacun en a ses envies, ses codes. Rien de pire que les clivages qui sont souvent faits. J'en ai ma vision, vous avez la votre et on ne peut plaire à tout le monde. J'aborde des sujets qui sont dans l'ordre de la fiction. La psychologie humaine peut aller dans tous les sens mais pas dans les cases . Ce n'est que mon avis. En tout cas je suis ravie et encore mercie pour vos mots