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De retour de congés, je suis impatient d’être aux pieds de Ma Maîtresse qui a décidé de me soumettre en extérieur. Direction les bois où Elle a ses habitudes près de sa table de pierre. Elle avait tout prévu et m'a fait cueillir de très beaux orties bien piquantes. Maîtresse me fait préparer un lit de feuilles d’orties où je dois m’allonger sur le ventre pendant qu'elle prépare ses cordes. Elle me ligote sur la pierre avec. Je ne peux plus bouger et Maîtresse prend possession de mon corps. Elle n’oubliera pas un centimètre carré de peau avec les orties. Les premiers instants sont piquants et je me donne pour que Maîtresse puisse extraire tous les plaisirs qu’Elle veut. Aux caresses urticantes des orties succèdent le sifflement du grand fouet que j’ai apporté à sa demande. Maîtresse le guide parfaitement et les coups s’abattent cinglant mes fesses, mon dos, mes cuisses. Je gémis rapidement de douleur et je sens que Maîtresse apprécie, Elle me transporte dans un lâcher prise rassurant et s’emballe de plus en plus. Maîtresse me débarrasse des orties avec le fouet.
Entre fouet, orties, sourire de Maîtresse et le soleil, je ne sais plus bien qui me réchauffe le plus, mais j’ai chaud, très très chaud.
La cuisson doit être égale de chaque côté alors Maîtresse me retourne en me libérant des cordes. Mon dos retrouve le lit d’orties et Ma Maîtresse me libère des orties du ventre avec le fouet. Entre temps, Elle m’a introduit un vibro dans mon anus. Je retrouve un grand plaisir car après 92 jours de chasteté, le vibro est mon premier plaisir anal. Maîtresse me traite de salope car je mouille comme une jeunette. J’ai encore droit a des belles séries de fouet et une fessée avec autant de claques que de jours de chasteté. Maîtresse se lâche de bon cœur et j’ai un peu de mal à suivre le décompte qu’Elle m’impose.
Le fouet a bien souffert à tournoyer au dessus de mon corps et Maîtresse l’achève en me fouettant avec ardeur ; il cède ! Un peu comme moi et je capitule car dans cet emballement final, la douleur m’irradie de plus en plus. Maîtresse termine en venant chercher ce qu’elle aime obtenir de moi, des «Pitié, PITIÉ», le mot sacré qui me fait dépasser mes limites de plus en plus loin. Ma Maîtresse m’extrait ces «pitiés» du fond de mes entrailles car elles lui appartiennent.
Le temps est encore passé trop vite. Vu son sourire, aucun doute, Maîtresse a apprécié.
Je ressens ce plaisir qui m’imprègne également.
Sur le chemin du retour, Maîtresse me dit que les orties me tiendraient compagnie cette nuit plus quelques jours. Je confirme, cette première nuit a été un enfer. Pas moyen de m’endormir sans des démangeaisons épuisantes. J’imagine le grand sourire de Maîtresse dans ces instants pénibles. Qu’est-ce que je ne supporterais pas pour Elle ?
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Des chaleurs enviables.
Je connais bien la morsure des orties.
Mais l'alternance fouet/orties est intéressante.
Quand aux douleurs qui suivent, ne sont elles pas les meilleures ? Elles nous rappellent la réalité de notre place quand l'apex du moment est retombé.
Bonjour Rnby , encore une fois tu t'es dépassé et tu as souffert pour ta Maîtresse qui s'en donne à coeur joie et qui n'attend qu'un seul mot pitié qui est le seul que tu as le droit de prononcer , la nuit à du être terrible avec toute ces boursouflures sur ton corps ! Bonne soirée Rnby