par jeuxpiquants
le 23/05/21
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Elle m’avait envoyé le SMS promis, mais un peu tard: j’étais déjà reparti à Paris. Nous avions finalement convenu que je la préviendrai quand je repasserai sur Lille.
J’avais gardé de notre rencontre une brûlure cuisante pendant une bonne semaine malgré une application généreuse de biafine, mais j’avais été séduit. La connexion, l’intensité visible de son délice à me voir souffrir provoquaient mes érections rien qu’au souvenir. Encore aujourd’hui, elle est unique pour moi dans son centrage sur ma douleur.
Quelques mois étaient passés, c’était l’été. Je montais sur Lille pour assister à un concert avec des amis. Je lui envoyais mon planning de visite. Malheureusement, elle répondit à mon message qu’elle ne serait pas disponible le jour où je montais.
Un peu déçu, je me rabattais sur le programme de base: TGV, retrouver mes amis, concert, un bon dîner, hôtel et retour le lendemain matin vers Paris.
J’arrivais en gare, quand je m'aperçus qu’elle m’avait écrit.
“J’ai envie, attends moi à la sortie du métro devant la gare.”
La nouvelle me mit dans un état de désir intense. Dès la descente du train, je me ruais vers la station de métro.
Il pleuvait, et je devais avoir piteuse allure dans mon blouson sans capuche, sac à l’épaule.
Je la vis sortir du sous-terrain un peu essoufflée.
Elle me souriait.
L’idée que cette jeune femme, à l’air si candide manifeste une telle envie de prendre ma souffrance était grisante.
Elle ignora mon bonjour un peu timide, me prenant la main. Elle me tira vers l’intérieur de la gare, au sec.
Elle me guide dos au mur et m’embrasse. J’aime bien sûr.
Aux yeux des voyageurs qui passent derrière nous, nous sommes sans doute un de ces couples d’amants qui se retrouvent dans les gares.
Ce qu’ils ne voient sans doute pas, c’est qu’elle me laboure profondément le crâne, la nuque de ses ongles. Sa bouche ne m’embrasse plus vraiment. Elle aspire mon air, mes soupirs de douleur. J’ai l’impression qu’en transperçant mon crâne de ses ongles elle invoque un esprit de la douleur dont elle se gorge.
Je suffoque, mais je n’ose pas l’interrompre. Quand elle s'arrête, je suis à deux doigts de chanceler.
“Ne bouge pas”
Elle voltige, sautille au milieu des passants. En aborde un ou deux.
Tout à reprendre mon souffle, émotionné, impossiblement excité, je me contente de l’observer sans comprendre. Elle revient une cigarette à la main.
D’un geste de la main, elle m’invite à la suivre alors qu’elle sort de la gare.
Je la rejoins.
Elle tire sur sa cigarette.
“Je veux que tu penses à moi toute cette soirée et demain. Je veux que tu en chies pour moi et que pourtant tu brûles de te donner à moi.”
J’opine, incapable de parler.
De sa main libre, elle ouvre ma bouche. Je me laisse faire. Elle saisit ma langue, la tire hors de ma bouche. Elle approche doucement la cigarette, attends ma réaction. Dans une sorte d'acquiescement, je clos les yeux.
Comme prévu la brûlure est mordante et je dois lutter pour ne pas me retirer. L’instant doit être bref mais il me semble infini. J’ouvre les yeux pour la découvrir me scrutant.
Elle me lâche, m’embrasse à nouveau appuyant sur la brûlure de sa langue.
“Merci” me glisse-t-elle à l’oreille avant de disparaître dans le métro.
Je suis sonné. La pluie qui me ruisselle dessus fait du bien, mais j’ai l’impression que ma langue enfle jusqu'à m'emplir la bouche.
Je reviens au monde. Je n’ai aucune idée de combien de temps est passé. Je suis en retard. Téléphone, SMS, rendez-vous: je rejoins mes amis. La bière est fraîche sur une langue qui m’envoie périodiquement des pulsations de douleur. Je prétexte m’être mordu pour expliquer ma gène.
Le concert est bon. Mais toute la soirée je sens sa présence dans ma bouche. Je rentre tardivement à mon hôtel, un peu saoul, toujours exalté.
Je lui envoie un SMS “Toujours douloureux, vous m’avez brûlé toute la soirée.”.
Vu l’heure tardive, je ne m’attendais pas à une réponse.
"J’espère bien. Je me suis branlée en pensant à toi. J’ai joui de d’imaginer que je t'accompagnerais avec tes amis”
J’étais aux anges.
“Tu devrais te faire jouir, il parait que le foutre est souverain contre les brûlures."
“Oui Laura” répondis-je
“Et la prochaine fois préviens moi plus à l’avance, que nous prenions enfin du temps. A bientôt”.
“A bientôt Laura” répondis-je avant de suivre sa suggestion.
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rencontre sadique
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Suggestion
Par : analogique
Zéro, ou la tentation du néant.
J’ai toujours rêvé d’avoir un flingue.
Pas pour me supprimer mais plutôt pour en avoir la possibilité, en soupeser le poids et le poli au creux de la paume. Un zéro potentiel, quoi…
Un, ou le contraire de l’autre.
J’aime dormir seul, j’aime me réveiller seul, j’aime décider seul de ce que je vais faire de ma journée. Ma solitude est sans doute ce que j’ai de plus précieux. Mais j’ai bien conscience que c’est parce que j’ai une vie sociale que je peux me payer le luxe de l’énoncer en ces termes.
Deux, ou le problème de la dualité.
En moi coexistent un monstre d’égoïsme et d’arrogance et un monstre de générosité et d’humilité. La plupart des gens qui me côtoient se contentent de voir tantôt l’un ou tantôt l’autre, sans se rendre compte que les deux sont inséparables. Je suis la réunion de toute mes contradictions.
Trois, l’art du trio.
Dans la musique comme dans l’alcôve, j’aime bien les trios. C’est le point d’équilibre d’une collectivité qui laisse de la place à l’expression des individualités qui la composent.
Dans une assemblée de plus de trois personnes, j’ai tendance à penser que l’intérêt qu’on peut porter aux humains est généralement inversement proportionnel à leur nombre.
Je songe déjà à sauter le quatre, ou la tyrannie du carré.
Je n’aime pas les carrés, je préfère caresser des courbes, mais je concède que les parties carrées peuvent arrondir les angles.
Je n’aime pas les mesures binaires à quatre temps, parce qu’elles sont en position hégémonique dans la musique occidentale. Par conséquent je m’emploie à en jouer et à en entendre le moins souvent possible.
Cinq.
C’est actuellement le nombre de femmes qui se disent ouvertement amoureuses de moi. Deux au moins espèrent vivre avec moi une relation exclusive. C’est beaucoup trop pour moi, et cela les condamne à être malheureuses. L’excès d’amour est aussi problématique que sa carence. Sans affects, la vie serait décidément plus simple. Mais sans doute aussi bien plus ennuyeuse, il faut l'admettre.
Six.
Voilà un chiffre qui ne m’inspire rien du tout.
Si, à y bien réfléchir, c’est la première énigme du nombre d’œufs dans la boite destinée à leur commercialisation. Pourquoi six? Je me pose parfois de drôles de questions.
Sept.
J’ai probablement beaucoup plus que sept amis. D’ailleurs je ne veux surtout pas entreprendre de les dénombrer: cela m’obligerait à faire des choix, à les mettre dans des cases, à les y inclure ou à les en exclure. Il m’est beaucoup plus agréable de penser qu’il y a un nombre indéterminé de personnes avec qui j’ai des relations indéterminées mais globalement sympathiques et parfois sexuelles.
Huit.
C’est le nombre de bit dans un octet dans le système binaire, que je m’efforce ne pas partager avec mon ordinateur. C’est ce refus du système binaire qui motive ma décision de ne jamais me positionner en terme de «j’aime» ou «je n’aime pas», raison pour laquelle je n’ai aucune raison de participer à ce jeu du portrait québécois autrement que par cette proposition spontanée, puisque jamais je ne dirai que «j’aime», même si je lis souvent avec intérêt.
Neuf. Quoi de?
Je m’autorise volontiers les glissements de sens.
Rien ne me glace autant qu’un logement neuf, qu’une voiture neuve, qu’un instrument neuf. J’aime la patine des choses qui ont vécu. C’est vrai aussi pour les gens; je m’acoquine souvent plus facilement avec ceux qui sont un peu cabossés.
Dix.
Je déteste le rapport que beaucoup entretiennent à l’endroit des chiffres ronds: cette manière de fêter les décennies, les centenaires, en perdant complètement de vue que cela n’a de sens que dans le système décimal, dont l’adoption est le plus arbitraire des choix humains.
Onze.
En référence au point précédent, je confesse que par esprit de contradiction un peu puéril, je suis enclin à développer une affection particulière pour les nombres premiers.
Douze.
La facilité conduirait à dire que c’est là la deuxième énigme de la boite d’œufs. Il m’arrive de ne pas reculer devant la facilité.
Treize.
En années, c’est l’âge où j’ai commencé à caresser les seins de Soraya. Elle avait dix-sept ans et ne semblait pas moins émue que moi. Il y a peut-être des affinités particulières entre les nombres premiers successifs?
Quatorze.
J’ai tendance à fuir les habitudes sociales de la période dite «des fêtes». Je préfère débrancher mon téléphone, m’enfermer chez moi avec des réserves de pâtes et de riz et attendre que ça passe pour remettre le nez dehors. L’affluence des foules dans les magasins me déprime. Mais indépendamment de la date retenue pour le faire, je peux concevoir qu’on se souhaite la bonne année parce que c’est un truc cosmique: une année, c’est un tour de manège autour du soleil. J’en profite pour vous souhaiter que la prochaine rotation vous soit délicieuse.
Quinze.
Ça y est, je commence à me lasser de la linéarité des chiffres énoncés les uns derrière les autres. C’est déjà étonnant que je sois parvenu jusque là. Je vais dorénavant en sauter quelques-uns. Et puis je trouve ça plus éloquent de laisser des trous et des zones d’ombre, ça laisse marcher l’imagination…
Dix-sept.
Aujourd’hui nous sommes le dix-sept janvier et j’ai une amie qui projette d’aller à la soirée «girl-power» avec moi… Ça peut être intéressant, et en même temps je ne suis pas sûr de m’y sentir très à ma place. Nous verrons bien: c'est dans plusieurs heures et tout peut arriver... Ou pas.
Dix-neuf.
Je n’aime pas trop parler de moi à la première personne, pas plus qu’en général je n’aime lire ou écouter des gens qui parlent d’eux à la première personne. Sans doute parce que je suis persuadé que quoi qu’on dise, on ne fait jamais que parler de soi, alors autant tenter de le faire avec un peu d’élégance et quelques détours. J’aime bien lire ce qu’écrivent les contributeurs de ce forum parce que j’ai cependant une insatiable curiosité des autres.
Oui, parce que pour moi, bdsm.fr est avant tout un forum. D’ailleurs, je ne lis presque jamais la rubrique «articles», trop souvent nombriliste à mon goût, et je crois bien que c’est la première fois que j’y publie quelque chose. Autrement dit, c’est un «dit-neuf»; oui, j’admets que c’est un peu tiré par les poils.
Vingt-trois.
Pourquoi le dire au début ou à la fin? C’est le jeu du portrait québécois, importé ici par Wondersalope qui a eu là une idée foutrement sympathique parce qu’il y a des gens qui écrivent des chouettes choses à leur sujet, et qui en plus se débrouillent pour être agréables à lire.
Vingt-neuf.
Pour une raison mnémotechnique très personnelle sur laquelle je ne m’étendrai pas, me fait penser au jeudi noir de la crise éponyme.
Trente-et-un.
Je n’aime pas me mettre sur le mien, j’ai l’impression d’être dans un déguisement qui ne me va pas. Je garde et porte mes fringues très longtemps. D’ailleurs je mets encore parfois des choses que j’avais déjà au lycée.
Trente-sept.
Impossible de me rappeler avec précision si, enfant, j’érotisais la prise de température rectale. Mais à y bien réfléchir, je crois que oui...
Quarante-et-un.
C’est le nombre exact d’ampoules électriques qu’il y a dans l’endroit où je vis. Mais elles ne sont pas toutes en état de marche parce qu’il m’arrive de négliger de les remplacer, parfois pendant plusieurs années.
Quarante-trois.
C’est le dernier nombre de bougies que j’aurais pu souffler si je me prêtais au jeu des cérémonies familiales avec leur protocole. Mais je fuis tous les protocoles et me soustrais à ces obligations: pour mon anniversaire, je me débrouille toujours pour laisser mon téléphone éteint. C’est une fête secrète, entre moi et moi, mais une fête tout de même: j’aime bien vieillir, et j’ai même tendance à penser que je me bonifie avec l’âge.
Quarante-sept.
Voici qu’approche la cinquantaine… de points, quand bien même il restera des trous noirs. Il est donc grand temps d’arrêter là la logorrhée. Bien le bonsoir.
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Par : Lisa
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope)
1- Je suis bloquée à 26 ans psychologiquement depuis 10 ans....
2- À force de le répéter à tout le monde, on dit que je suis formidable.
3 - Je suis addicte aux séries américaines, et totalement frigide aux fictions françaises
4 - Je tiens pas en place, je voyage dès que je peux. Il faut donc m'attacher pour me garder sur place
5 - Je fais du volley et du badminton 4 fois par semaine afin de me défouler et taper dans quelque chose
6 - J'adore les guilis aux pieds et dans le dos. Je m'en lasse pas.
7 - Je dors avec ma première peluche (elle a été refaite plusieurs fois)
8 - Mon meilleur amant fut mon meilleur ami
9 - j'habite Bordeaux et j'aime pas le vin
10 - Je suce encore mon pouce (à défaut d'autres choses )
11 - Je fais les meilleures lasagnes du monde ( enfin presque...), mes amis m'obligent toujours à en faire
12 - Je suis maniaque et bordélique dans certains domaines. Bref, paradoxale
13 - Je suis susceptible mais avec un grand cœur donc pas rancunière
14 - Au strip-poker, je joue depuis l'âge de 14 ans et je perds pas....ou on me laisse gagner (à méditer)
15 - Mes amis sont primordiaux dans ma vie, n'ayant pas de famille, ils sont ma référence.
16 - À cause de mon boulot, j'ai perdu un bébé et depuis je n'arrive plus à y croire.
17 - J'aime pas le café mais je ferai un effort si George le demande
18 - Je ne suis pas frileuse sauf à l'intérieur. Toujours paradoxale
19 - J'adore la lingerie sexy
20 - L'âge tardif à laquelle j'ai perdu ma virginité. Je me suis bien rattrapée depuis qu'on se rassure.
21 - J'adore faire une sieste quand je peux...
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Par : Lady Dae
Le soir était tombé. La nuit, promesse de plaisirs épicés, offrait déjà son tapis d’obscurité. Une première bougie sur une table basse en bois illumina soudainement la pièce. La lumière hypnotisait déjà par sa beauté et sa grâce naturelle. Une jumelle l’a rejoignit très vite bientôt suivie de trois autres. Une chaleur nouvelle se dégageait de ce pôle de lumière qui rompait les ténèbres envahissantes.
Se faisaient face deux personnes à la lueur des chandelles. Lui, debout, parfaitement immobile, ne portait rien mis à part une de ces prisons qui le privait d’exprimer son désir. Devant ce tapis lumineux, il attendait son bon vouloir. Elle, debout en face de lui, le regardait avec gourmandise, le détaillant, imaginant mille tourments. Se saisissant d’une longue corde qu’elle gardait doublée en la pliant en deux, elle entreprit de faire, au dessus de son poignet, un tour, puis deux et enfin trois avant enfin de nouer les deux morceaux d’un nœud savant. Le poignet se retrouvait ainsi soumis à la volonté de la corde et par là-même de l’attacheuse. Elle le plaça ainsi dans le dos et le remonta en s’aidant d’un enroulement autour de l’épaule. Lui ne pouvait rien voir de ce qu’elle faisait, mais sentait que la pression ferme de la corde l’immobilisait irrémédiablement sans nul doute. Retenant son souffle, il savait par avance que cela ne faisait que commencer.
Quelques minutes plus tard, l’autre poignet subit le même sort, d’une deuxième corde aussi longue. Les deux gardiennes de coton se rejoignirent alors dans un entrelacement sensuel autour de son buste à lui. Un ballet se dessinait, enserrant davantage encore son buste et ses bras. Fière de ce premier résultat accompli, elle ajouta pourtant une troisième corde à son œuvre qu’elle prit grand plaisir à passer entre ses cuisses, serrant fermement afin qu’il en ressente la morsure à chaque mouvement. Elle ne se départissait pas de son sourire espiègle, tout en restant concentrée sur sa tâche, tournant et retournant autour de lui. Ses mains n’étaient pas pressées et s’amusaient à frôler sa peau. Lui, ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux en suivant sa progression, en ressentant les tours et détours si électrisants. Elle acheva enfin son œuvre en lui menottant les chevilles d’une nouvelle corde. S’écartant de lui un instant, elle l’admira ainsi paré, prenant le temps d’apprécier le spectacle qui s’offrait à sa vue.
Prise d’une idée soudaine, elle l’abandonna un instant, le privant de sa vue. Elle devinait ses interrogations, ses appréhensions, son excitation. Elle avait choisi cet instant justement pour dévoiler une tenue qu’il ne connaissait pas encore. Il la vit paraître, ainsi vêtue d’une longue robe de dentelle noire fendue sur le côté, dont seule, l’obscurité, pouvait dissimuler quelque chose. Elle avait aussi choisi de porter de très hauts talons gainés de cuir afin de lui emballer les sens ce que ses premiers gémissements confirmèrent. Elle s’approcha de lui, le frôla, encore et encore, suscitant son désir par sa proximité et ses mains s’égarant sur lui. Insaisissable, elle tournait et tournait encore autour de lui telle une prédatrice autour de sa proie, lui faisant humer son parfum si envoûtant. Ce soir-là, elle n’était que sensualité, provoquant de nombreux tourments contre les saillants de sa, si étroite, cage. Impuissant, il subissait sans mot dire, ne laissant échapper que quelques plaintes étouffées.
Satisfaite de ce qu’elle avait provoqué, elle lui détacha finalement les chevilles, afin de l’aider à s’agenouiller devant elle. Evidemment, l’ensorceleuse se plaça tout contre lui, le laissant poser sa joue contre elle. Grisé de l’instant, il ne put se retenir et glissa sur le dos, à terre. Sa proie, ainsi offerte promettait de délicieux jeux. Elle continua à le tourmenter de sa sensualité. Elle savait pertinemment qu’elle l’enchainait à elle, ainsi, bien plus efficacement que le moindre morceau de métal. Elle s’agenouilla finalement à sa tête, l’entourant de ses cuisses. Consciente de l’effet qu’elle provoquait, elle s’en amusait, le laissant si proche d’elle sans l’atteindre. Le temps s’était figé.
Le plaisir illuminait le regard de la belle. Elle ondulait par vagues juste au-dessus de sa bouche. Découvrant délicatement un sein, elle caressa ce dernier, puis, le surprenant, lui fit goûter. La langue timide de l’homme découvrit tendrement le sucré de sa peau, lui faisant clore les yeux gourmands. La scène, hors de la réalité, baignait de cette grâce qui n’est possible que lorsque deux êtres se rencontrent dans le vrai sens du terme. Joueuse, elle dénuda son autre sein et lui imposa le même supplice qu’au premier. Balayant les heures de douleur sous les multiples coups de cravaches, elle lui apparaissait comme le trésor qu’il avait tellement recherché. Inspirée par son chaleureux désir, elle lui fit alors toucher au paradis en le laissant la respirer. Il sentait son plaisir. Son humidité grandissante appelait avec force ce contact désiré.
Le ciel s’emplit d’étoiles lorsque, enfin, il l’atteignit…
Divine découverte…
Cadeau inimaginable…
Communion de deux êtres…
Elle le ressentait, elle vibrait…
Il lui appartenait déjà sans aucun mot émis…
Quelle délicieuse obscurité….
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Par : Abyme
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
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Par : loic33
1-j'ai eu une enfance heureuse ,choyé et avec beaucoup d'amour.
2-A la naissance j'ai failli passé déjà de l'autre coté
3-rebelote à 3 ans et à 23 ans
4-j'adorais la natation surtout quand j'ai failli faire couler le moniteur qui m'a appris
5-j'ai aimé les sports d'équipe
6-j'ai embrassé ma 1 ere fille à 12 ans mais déjà c'est elle qui m'avait attrapé
7- A 15 ans j'ai fait le Tour de Gironde en Solex et j'ai tellement adoré qu'après j'ai participé au 24H du solex avec un engin qui roulait à plus de 100km/H
8-la voile m'a accroché, et je revis régulièrement ces longues nuits à dormir sur le pont à la belle étoile
9-Punaise décider socialement pour les autres ce n'est pas facile
10-Je me sens l'âme d'un Don Quichotte, à vouloir toujours me battre contre les moulins à vent
11-Je dis toujours ce que je pense mais en mettant les formes et le temps
12-j'adore le Saint Honoré et le Vacherin avec plein de Meringue
13-J'aime la crème fouettée , mais on est pas obligé de se limiter à la crème
14- "la liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres " précepte qui me suit toujours
15-Roi Faune vous en avez imposé 35 , ce n'est pas rien
16-la famille c'est sacrée
17-Découvrir son "Moi "tardivement à des avantages et des inconvénients
18-Avantage= on a l'expérience de la maturité même tardive
19-Inconvénient=" j'ai une vie et il est difficile de tout concilier" , et ma frustration de ne pas le vivre est d'autant plus grande
20-Avec l'expérience on apprend la patience
21-Ce construire ne ce fait pas en un jour mais chaque étape quand on est bien conduit et bien guidé est encore plus fort.
22-Punaise j'ai envie d'une bonne assiette d'huitre à déguster en face du bassin D'Arcachon avec un bon Sancerre blanc
23-Si je ne juge pas les autres , alors laissez moi me juger seul
24-J'aime et j'ai besoin d'échanger
25-je préfère OUI ou Non à "Peut être"
26-rien ne vaut même avec mon expérience s'abandonner pour lâcher prise que de résister pour subir
27-Echanger avec des personnes qui se comprennent c'est très fort pour tout le monde
28-Loic ce n'est pas mon prénom
29-J'ai eu la chance de rencontrer une Domina formidable et je sais qu'une autre prendra le relais pour parfaire mon "Moi" à son image
30-Attention j'ai ma personnalité et j'espère moi aussi lui apporter ce quelle attend pour s'élever avec Moi
31-Roi Faune je vous ai battu
32-je suis admiratif de tous ceux qui vivent à fond leur vérité
33-Merci au Site , j'ai rencontré plein de personnes qui me permettent d'aller vers mon "Moi"
34-plus qu'une ,alors je vous embrasse toutes et tous qui " liker" mes photos, même les autres
35-Bon Mesdames qui me lisez, n'ayez pas peur d'échanger avec moi , je ne vous en voudrai pas
Je vous respecte et vous aime
Loic
RAPPEL DES RÈGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Loic33 »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : #
CHAPITRE 01
RETOUR À LA RÉALITÉ
Michel Lévesque était directeur financier d'un groupe hôtelier. À vingt deux ans il était le plus jeune directeur et l'un des plus ambitieux du groupe entier. Il s'était rapidement fait un nom et les autres directeurs l’appréciaient. Il avait travaillé dur, de manière très volontariste et il avait un talent particulier pour se faire obéir. Ils appréciaient également son attitude obstinée, qui signifiait que quiconque se mettant en travers de son chemin était habituellement écarté. Cependant son personnel avait une vue quelque peu différente du jeune homme ambitieux. Dès son arrivée à la direction du département, il avait licencié quatre filles et rappelé à l'ordre deux autres filles. Elles voyaient en lui un lèche cul dont le premier souci était de s'occuper de ses propres intérêts. Lorsqu'il se montrait soucieux de leur bien-être, et c'était tout à fait rare, cela dépendait entièrement du bénéfice qu'il pourrait en tirer.
Il était 10 heures lorsque Michel s'est réveillé avec un affreux mal de tête et cette sensation terrible que la pièce était en train de tourner. Il s'était saoulé la nuit précédente et aussi il n'en était pas très étonné. Il a jeté un coup d'œil autour de lui. La pièce lui était peu familière. Pendant un moment c'était confus et ensuite tout commencé à lui revenir.... "Oh Mon Dieu" soupira-t-il profondément.
Il y avait dix-huit personnes dans le département, toutes des jeunes femelles à part un nouveau jeune homme. En conséquence, il y avait toujours un anniversaire, un mariage ou un nouveau bébé à célébrer, et les pots après le travail étaient habituels. C'était d'un de ces pots que Michel souffrait en ce moment. Sa fiancée Jade, qui travaillait dans le même bureau, avait donné une excuse pour ne pas y participer, mais étant leur directeur il s'était senti obligé de participer aux occasions plus importantes comme des prochains mariages. Esprit d'équipe et tout cela ! Il détestait ces événements, c'était toujours pareil et ce sans exception. Ils avaient terminé dans un bar enfumé, avec les filles qui devenaient de plus en plus saoules, plus bruyantes et tapageuses alors que la soirée progressait.
Malheureusement, il avait également trop bu et quand ils se sont tous rendus ensuite à la maison de Samantha, elle a suggéré qu'il reste pour lui éviter de conduire. Ayant trop bu pour discuter, il accepta. Grande, grande erreur !
Avec sa tête toujours en train de tourner, il a regardé plus attentivement la pièce où il était. Il y avait plusieurs mannequins exposant des vêtements, des robes à moitié finies et un long portique avec des vêtements terminés. Samantha était une excellente ouvrière couturière et passait tout son temps disponible à concevoir et composer des vêtements pour compléter son modeste salaire. C'était à cause de Michel si elle était mal payée. Elle avait demandé à plusieurs reprises une augmentation, et avait deux fois sollicité une promotion. À chaque occasion, il avait refusé. Elle avait gardé sa rancune en elle, mais elle avait peu de moyens de le contrer. En conséquence, elle n'avait pas d'autre option que de continuer son travail de couturière. Elle avait besoin de ce deuxième travail afin d'avoir un niveau de vie décent.
La salle où était Michel, se doublait d'une salle de travail et il y avait un miroir énorme sur le mur pour les essayages de robe. Samantha avait des talents divers et pouvait faire presque n'importe quoi mais elle avait tendance à se spécialiser sur les robes et les accessoires nuptiaux car il y avait beaucoup plus d'argent à gagner. Elle avait eu également un ou deux clients riches avec des enfants en bas âge qui avaient de temps en temps besoin de quelque chose de spécial pour leurs jeunes filles, et elle est devenue tout à fait habile pour coudre la petite robe de dentelle avec tous ses ornements pour surboum ou communion. La plupart du temps cependant, on lui demandait de faire des robes de mariage pour les filles du bureau, et il y avait toujours un flot régulier de commandes pour la maintenir occupée.
Il y eu des coups à la porte. "Bonjour Michel, c'est moi Samantha. Je vous ai apporté du café, êtes-vous dans une tenue décente ?" Elle ne s'était pas occupée de son patron pendant la nuit, mais il se faisait tard et elle voulait qu'il parte pour pouvoir profiter de sa maison pour elle-même.
"Ouais, juste une minute" gémi-t-il. Il s'est levé du lit et a chancelé jusqu'à la porte mais s'est arrêté complètement quand il a senti quelque chose de très doux et féminin flotter autour de ses cuisses. Il a regardé vers le bas. "Merde !" a-t-il murmuré. C'était une chemise de nuit. Une chemise de nuit bleue transparente de dentelle, de satin avec des rubans minces au-dessus de ses épaules, un lacet brodé autour du buste et un ruban bleu passé autour de son cou. "Oh Mon Dieu" a-t-il hurlé, en se figeant.
Samantha s'est montrée impatiente et a poussée la porte. "Bon vous feriez mieux d'être décent parce que... Oh !" et elle a éclaté de rire. Elle a posa la tasse avant qu'elle ait renversé le café. "Bien, bien. Je sais que je vous ai dit de faire comme chez vous, mais regardez vous. Vous auriez du me dire que vous aimez porter une chemise de nuit pour dormir. Il y a quelques dessous vraiment mignons pour petites poupées là-bas" a-t-elle taquinée, en pointant certaines de ses fabrications mousseuses de dentelles suspendues au-dessous de la tringle.
"Oui, oui... très drôle. Ainsi c'est une de vous est qui responsable de ce... cette situation... et de toute façon, où sont mes vêtements ?" s'est il irrité.
"Oh non. N'essayez pas de rapporter ceci sur nous, nous n'avons rien à faire avec ceci. Ne vous rappelez-vous pas ? Vous étiez si saoul la nuit passée ; vous titubiez ici et avez commencé à jeter vos vêtements dehors aux passants par la fenêtre. Vous pourriez même encore trouver quelques choses si vous regardez là dehors. Malheureusement pour vous il a plu aussi vos affaires risquent d'être inutilisable à cette heure. Vous étiez dans un tel état, hurlant et criant, nous avons du vous laisser seul."
"Oh Mon Dieu" a-t-il gémi, en tenant sa tête. Il s'est vaguement rappelé d'avoir gesticulé envers quelques personnes qui faisaient du bruit à l'extérieur et d'avoir jeté des choses dehors, mais la réalité de la situation commençait seulement à lui apparaître. Il était un cadre supérieur, responsable de la discipline d'un personnel jeune et il aurait beaucoup de difficulté a essayer d'expliquer tout ceci – ivre mort, en restant la nuit chez une fille de son personnel, et le pire de tout, en se réveillant dans la chemise de nuit d'une fille. Si son patron entendait parler de ceci, il serait vraiment dans la merde. En plus, comment pourrait-il jamais l'expliquer à sa fiancée, Jade ? Cependant il ne se rappelait toujours pas comment il en était venu à se mettre dans la chemise de nuit.
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Par : renaiSSance31
par renaiSSance
1) Je suis une femme qui pendant longtemps à détesté les hommes et surtout les violents.
2) Je trouve énormément de plaisir d'offrir à l'autre sans en attendre forcément de retour.
3) Je suis fêlée du bocal, mais je me soigne ... rire, on l'est tous un peu
4) J'ai été une petite souris grise qui se cachait sous des vêtements informes La féminité était proscrit chez moi.
5) J'aime le calme, la nature et le chant des petits oiseaux.
6) Depuis mon entrée dans le BDSM, j'ai enfin fait la paix avec moi-même et les autres.
7) Je suis aussi une ancienne libertine, mais cette facette de moi, n'a plus vraiment cours. J'ai trop eu de richesse en étant soumise.
8) Je suis têtue comme une mule et ne démords pas de ce en quoi je crois même si ce n'est pas forcément le meilleur.
9) Pour moi la soumission est un équilibre à ma vie normale et je ne cherche pas le grand amour, juste le respect et la confiance.
10) Par l'écrit d'un blog, j'ai réussi à m'accepter et à vivre sereinement.
11) Je déteste le mensonge, l'hypocrisie et les grands détenteurs de la vérité
12) Ma famille proche et quelques amis savent ce que je suis.
13) Je ne cherche pas à revendiquer mon état d'esprit et je respecte tjrs l'autre et ses propres idées.
14) J'ai atteint un âge où je pense être assez sage et ayant la réflexion adéquate à la situation qui se présente
15) Ouf dur dur de dire ce que je suis....lol
16) Je suis une écorchée vive d'un passé incestueux digérer et qui ne me pourri plus. J'en parle sans honte et sans culpabilité.
17) Je sais que mon mari va lire cet article, alors je le remercie sincèrement pour tout l'amour dont il m'entoure et cet acceptation qu'il a de me laisser entre les mains d'autres personnes
18) Je pense que la communication et l'échange est un principal ingrédient dans toute relation que cela soit de couple, d'amis ou bdsm
19) J'ai été maso et je le suis tjrs, mais privilégie maintenant les plaisirs de l'esprit
20) Le masochisme était pour moi, une forme d'expier une culpabilité et j'en faisais une auto destruction.
21) Je remercie mon 1er maître pour m'avoir fait me découvrir, m'apprendre à me contrôler et de m'avoir protéger contre moi-même
22) J'ai peu d'interdits et les limites à mes yeux sont faîtes pour être dépassées. Bien entendu dans une relation dite bien posée.
23) Je ne joue pas à la soumise, mais vis et pense en soumission.
24) Dans la vie de tous les jours, j'ai tendance à être soumise par mes actes, mais je ne me laisse pas marcher sur les pieds.
25) Je reconnais vite les fantasmeurs et les "baiseurs" faisant leur emplette comme au supermarché
26) Je peux dire que j'ai un noyau d'amis dans le bdsm et que ce ne sont pas juste des amis virtuels, même si nous ne nous voyions pas souvent
27) L'amitié n'est pas à mes yeux un grand agenda rempli de pseudos
28) Je travaille et oui comme beaucoup rire et j'aime mon travail.
29) Ah une chose est sure, ce n'est pas facile de se dévoiler.
30) Enfin, sachez tous que nous sommes maître de notre destin dans le sens ou nous-même prenons les décisions et quelque soit les conséquences cela sera votre choix.
Bonne continuation à tous quelque soit la route empruntée
Défi réussi, mission remplie !
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Yuri »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
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Par : Lisa
1 - Je m'y colle que pour toi.
2- Je trouve Bruce Willis des années 80-90, super sex avec son Marcel blanc dans Piège de Cristal, une journée en enfer....
3 - J'adore Charlie Sheen et notamment dans Platoon, bref, j'adore les bad boy.
4 - J'aime mater des films d'horreur ou bien gore, seule et tard la nuit. Même pas peur !!!
5 - Je suis au lit avec mon doudou (cf. Ma première peluche refaite).
6 - J'ai fêter mes 30 ans à NYC, et mon fantasme est de coucher avec un américain. Je sais pas pourquoi, sûrement le côté bad boy....
7 - J'ai presque tous les péchés sauf l'avarice, l'orgueil, l'envie, la paresse.... Bon ben en fait non, juste le pêché d'être génial et formidable.
8 - Ma plus grande douleur avoir perdu un bébé, 48 h seulement après avoir appris que j'étais enceinte.
9 - J'ai déjà fait une opération de chirurgie esthétique.....remboursée par la sécu.
10 - J'ai adoré donner des lignes à des dominants pour qu'ils les fassent juste pour moi.
11 - J'adore les animaux, ils me déçoivent jamais et me rendent au centuple mon amour
12 - J'ai mal au doigt
13 - J'aime pas l'humour "cour de recrée"
14 - Je suis fan d'un chanteur qui fait pas l'unanimité.
15 - Je donne souvent un petit truc à un SDF que je croise avant d'aller au boulot. Il a 2 chiens, dont une âgée et il fait toujours attention à elle. Il me touche, il est très gentil.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour JolieRose»,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
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Par : Abyme
À tous ceux, croyants ou suiveurs, qui croient encore que noël est l'anniversaire de Jésus, et le fêtent dans ce sens, il serait peut-être temps de connaître enfin la vérité.
1) Entre le 21 et le 25 décembre, le solstice d'hiver est la période où les jours recommencent à s'allonger, il était déjà célébré par tous les peuples envahis et convertis par les catholiques romains, car c'est le recommencement, le plus beau prétexte de fête de l'année.
2) Pour la plupart, c'était l'anniversaire du dieu Mithra. C'était aussi en Egypte l'anniversaire du fils d'Isis (fixé là encore en raison du solstice d'hiver). Et Yule est le mot caldéen pour l'enfant, le 25 décembre c'était une grande fête païenne, le jour de l'enfant, pour les anciens Saxons et Germains.
3) En Rome antique pré-chrétienne, il y avait une fête des Saturnales du 17 au 24 décembre, où les gens se livraient à tous les plaisirs (hem) et s'échangeaient des cadeaux. Donc avant de se convertir, les romains eux-mêmes célébraient le solstice d'hiver, le retour du cycle bénéfique du Soleil, dans un sens totalement païen.
4) Plus tard, sous prétexte de briser la foi en Mithra, l'église catholique romaine rusée avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus, et y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables. En plus, cette fête coïncidait avec leur ancien festival idolâtre des Saturnales. Peu à peu c'est la version "anniversaire de Jésus" qui a pris la place des anciennes traditions.
Le mot moderne pour ce genre de mélange de pratiques païennes et l’adoration du "vrai Dieu" est "syncrétisme". Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18:21, 29).
5) Les bons chrétiens l'ignorent en majorité, mais toutes les églises savent très bien que le 25 décembre ne peut pas être l'anniversaire de Jésus, néanmoins elles restent silencieuses. Luc (2:8 & 11) précise que les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux de moutons au moment de la naissance de Jésus, ce qui est impossible à cette époque, et de surcroît la nuit.
6) C'est seulement depuis 354 ap. J-C que noël est célébré le 25 décembre (évidemment, les disciples et apôtres de Jésus n'ont jamais célébré noël ! ) et officialisée en 529 par Justinien. Et noël n'est ni établi par Dieu ni basé sur la Bible. Le Christ a dit : “C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes“ (Matthieu 15:9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit : “Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition“ (Marc 7:9).
Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela
7) Même le sapin de noël tire son origine du rituel païen du culte des arbres, et n'a donc rien à voir au départ avec la fête catholique.
8) L'image du père noël, du costume rouge et d'une barbe blanche a été créée en 1931 pour la pub de Coca Cola, illustrée par l'artiste Haddon Sundblom.
9) Selon "l’Encyclopedia of World History" de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod (Baal) en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de Saint Nicolas. En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé ce sévère et vieil évêque original en un nouveau et "joyeux St-Nick" dans son Knickerbocker History of New York (la plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise "Old Nick", que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.
10) Les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenaient du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver
Noël n'a donc rien à voir avec Jésus Christ, hormis la manipulation des envahisseurs romains catholiques. Tout serait donc païen ou/et mensonger dans cette fête ; on ment même aux enfants pour qu'ils croient au Père noël, et rappelons que tout mensonge est censée être l'œuvre du diable (Jean 8:44).
Cette coutume de noël est donc une supercherie sur toute la ligne, qui avec le temps devient une tradition que tout le monde suit aveuglément, encouragée par le commerce et le consumérisme.
En conclusion je citerai Herbert W. Armstrong :
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année… où vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le "merveilleux esprit de Noël". La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son "esprit". Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, "l’esprit de Noël", non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards. Cela fait partie du système économique de Babylone ! »
Bref faites comme moi : boycottez noël et célébrez le solstice d'hiver, qui est à mon sens la chose la plus importante et naturelle à célébrer dans l'année. Rassemblez votre famille autour d'un bon repas quand ça vous chante et non pas quand le calendrier des traditions détournées vous l'ordonnent, relayé par la télé et le système.
Faites des cadeaux souvent et quand ça vous chante à vos proches, et efforcez-vous de les faire vous-mêmes, au lieu de consommer ce qui est prévu pour cela au dépens de votre créativité et de vos initiatives. Ne voyez pas tout cela comme une corvée dont il faut s'acquitter à tout prix pour faire absolument comme tout le monde comme si c'était un devoir. Résistez aux influences du système, pour être vous-mêmes !
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47 ! ça fait un paquet,non ? Mais bon, si c’est un souhait de maîtresse Isis, je m’exécute.
1.Homme de bientôt 48 ans, 1m75, 72 -74kg, bien dans ma peau, pas trop mal dans ma tête, je suis d’origine vanille mais depuis toujours attiré par le reste du monde. J’aime les sentiers rocailleux ou l’on se fait surprendre agréablement.
2 Je ne suis pas typé méditerranéen et pourtant, dans mes veines coule le sang chaud de l’Espagne. J’en suis fier, même si je ne le revendique pas au quotidien.
3 Plus jeune, j’étais très branché « Sex, drug and Rock’n’Roll «
4 Je ne partage pas ma vie BDSM avec mes amis de tous les jours, du moins pas encore ;-)
5 je suis tombé dans ce drole de monde par pur hasard…et le hasard fait bien les choses !!!
6 Je possède 6 guitares. Chacune d’entre elles a une histoire. La guitare est instrument que l’on serre contre soi, c’est enivrant et sensuel.
7 J’ai déjà eu une aventure avec des hommes, mai je préfère les femmes.
8 J’ai un chat tout noir et super gentil. Il s’appelle Hector.
9 Je suis un homme sensible et très très calin. J’aime la douceur d’une peau de femme et je pourrais passer des heures à caliner une femme avant d’aller plus loin.
10 Les jeux de cordes, ça me plait enooooormement !
11 J’aime boire avec mes amis et refaire le monde.
12 J’avoue, je suis bagarreur…. La dernière fois que j’ai rossé un mec, c’était au CM2 !
13 J’ai beaucoup voyagé à moto. Je roule depuis 25 ans
14 Ma partenaire de jeux, en mode domina, est à tomber raide !!!!
15 J’ai déjà fait de plan sexe à 3.
16 Depuis que j’ai découvert le monde BDSM mes attirances évoluent à vitesse V.
17 J’aime faire plaisir au quotidien à ceux que j’apprécie.
18 Dans ma tête, il y toujours de la musique.
19 Je ne planifie jamais mes vacances, toujours à l’arrache.
20 J’ai un kyste sur mon testicule droit qui me fait mal de temps à autres.
21 Je suis skieur. J’adore skier en poudreuse avec mes 2 potes. Je me sens libre. Je suis libre.
22 Je suis très souvent de bonne humeur.
23 Je ne suis pas soumis et je ne suis pas dominateur…. J’aime la savoir à ma merci pour son plus grand plaisir et j’aime être à ses pieds pour la satisfaire. Compliqué ? Nan !
24 Je passe des heures à caresser mon chat. J’aime les chats. Tous les chats. Les chattes aussi. Ok, je sors….
25 J’ai été plusieurs fois amoureux, vraiment très amoureux. Toujours de femmes. A chaque rupture subie, j’ai cru mourir. Pourtant, je suis toujours prêt à recommencer, quitte à souffrir plus encore. Je pense que mon coté maso est là.
26 Dimanche 19/1, j’ai participé à mon premier munch. J’ai flashé sur JunonBee et sa crinière… Cette fille, c’est du pur rock’n’roll, sur !
27 Je ne suis pas très bon guitariste. Helas.
28 Ma partenaire de jeux est une fée. Etre à ses coté me rend profondément heureux.
29 J’aime le jazz, en live si possible. Sinon, Eric Legnini, Ibrahim Maalouf ou Peter Wolf…. Whaou !
30 Je n’ai pas d’enfant, par choix. Je commence à penser que ce choix n’était pas le bon.
31 Quand mes amies pleurent, c’est vers moi qu’elles viennent pour se faire consoler.
32 La tarte à la myrtille est ma spécialité !
33 Je ne supporte pas la douleur, et je n’aime pas faire mal… sauf si c’est pour son plus grand bien !
34 Mon boulot ne me passionne plus, c’est juste alimentaire. Triste, non ?
35 Isis, t’as vraiment forcé : 47, pfiuuuu
36 Je me suis deja fait pincer les fesses par une femme dans la rue !
37 J’ai beaucoup d’imagination et je suis bon bricoleur. Ça vous donne des idées ?
38 J’aime courrir et faire du VTT. J’aime l’effort, suer, rentrer couvert de boue et les jambes en coton, content d’aller prendre une douche.
39 Ce we, j’ai fait des choses à ma partenaire de jeux que je n’avais jamais fait à personne.
40 Je suis gourmand, j’aime le chocolat et les sucreries en general.
41 Je suis un ancien fumeur pas très tolérant ave les fumeurs.
42 Je suis attiré par la photographie, depuis toujours. J’ai des dizaines d’idée de mise en scène. Va quand même falloir que je me cotise pour m’acheter un bon appareil photo.
43 J’ai eu une relation hot avec une de mes collègues.
44 Je suis troublé quand je sens que je plais à une femme, et gêné quand il s’agit d’un homme.
45 J’aime faire la cuisine, surtout des prototypes que je prends un malin plaisir à faire goûter à mes amis. Personne n’est encore mort d’empoisonnement !
46 Je ne veux pas perdre toute ma couleur vanille. Je l’aime bien.
47 Je repense souvent à Lydia, une jeune espagnole rencontrée à 17-18ans avec qui j’ai passé un superbe été.
Finalement, ca n’a pas été aussi long que ça !
A qui le tour?
Daninou
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