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le 04/05/21
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"tu es a moi pendant une semaine" "je déciderais de tout"
La voix est douce et ferme à la fois, je n'entend que le bruissement de ses habits, ses mouvements.
Mais mains sont saisies et réunies dans le dos, et un lien les fait se rejoindre, emprisonnées.
Sans un mot, elles sont tirées vers le haut, obligeant ç me mettre debout, un pieds entre mes jambes m'obligent à les écarter. Un examen méticuleux de mon corps est réalisé.., rien n'est oublié. Fugitivement la pensée d'être en consultation chez le dermatologue me traverse l'esprit. la main qui m'explore le fait avec douceur et maitrise, ne laissant rien au hasard. l'autre main m'oblige à me pencher, afin de montrer mes fesses, et mon orifice. "je vais aimer cela" dit 'elle en me redressant. Trois doigts entre dans ma bouche, que je lèche pendant qu'ils font un va et vient, et qu'ils s'en vont.
Une musique se fait entendre, d'empêchant d'entendre les mouvements autour de moi, et je reste ainsi, debout pour ce qui me semble une éternité.
Je sent le froid du metal autour de mon cou, et celui ci est inséré, et je comprend que c'est un collier.il est réglé afin de ne pas être trop serré mais de ne pas laisser de jeux. Mes mains sont relevées et je sent qu'elle lui sont reliées.La position est inconfortable, mais pas douloureuse, elle m'oblige à être cambré, ce qu'un ongle parcourant mon échine souligne.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : Dame Meg
Je t'attends, à genoux. J'ai preparé le salon, suivant tes instructions... une ambiance, des jouets allignés...
Je ferme les yeux, un peu d'appréhension... je laisse mes ongles glisser sur mes cuisses, une main s'attarde sur mon sexe... je me concentre sur mon plaisir, cherche à me détendre... j'aime ces caresses humides, chaudes... je m'aventure en moi, mes cuisses s'ouvrent...
Ta main se pose sur mon épaule, et je me fige... je ne t'ai pas entendu arrivé... ai je mal fait de me caresser?
"Continue" Je reprends un peu mal adroitement mes gestes... je sens le cuir autour de mon cou... mon collier... tes mains me caressent, s'emparrent de mes seins, ils ont pris de l'ampleur et tu t'amuses avec mes tétons... c'est sensible, j'aimerais me rebeller... mais.. . Je te laisse faire, je gémis par moment... je tente de me concentrer sur mes doigts, mon sexe... tes doigts s'ajoutent aux miens, m'ouvre un peu plus... me guide un peu, vers un orgasme.. mon corps contre ton torse mon sein emprisonné dans ta main... je cède, ruisselle...
Tu m'invites à m'appuyer sur la table, te présenter mes fesses blanches... les caresses doucement avant de me faire sentir le martinet.... alternant le dos, mes cuisses, mon cul... je gémis, s'avoure cet instant... Tu me demandes si ca va... je te réponds, encore.
Tu poursuis, ta main claque sur mes fesses, qui se réchauffent un peu plus... je me laisse aller... tes doigts me pénètrent, je gémis... je sens ton sexe forcer mon cul...peu à peu je t'accueille... je viens à ta rencontre... tes mains sur mes hanches m'impose ton rythme, provoque mes râles. Le plaisir nous envahit, tu y cèdes, te répends en moi... T'absente un instant, je reprends mon souffle doucement... Tu reviens glisser tes doigts en moi.... il ne faut pas longtemps pour que je coule, encore et encore...
Tu finis par me laisser révenir doucement à moi... avant de retirer mon collier, avec un baiser...
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Le noir. Rien que lui. La bouche ouverte et baveuse sur une boule de cuir attachée fermement autour de mon cou. Les mains menottées autour d’une tringle métallique. J’entendais Ses talons claquer le parquet ciré depuis un long moment désormais. Elle aimait m’abandonner piteusement, nu et encagé, dans un placard où flottaient Ses robes légères et Ses guêpières de dentelle noire. Son parfum m’envahissait, me faisait frémir. Dès que je l’entendais s’approcher, je pensais qu’Elle allait venir ouvrir la porte pour tourmenter un peu plus celui qui éprouvait une Frustration et un Plaisir difficiles à décrire.
Lorsqu’enfin Elle vint constater si je bavais toujours et si je coulais irrépressiblement, Elle se saisit de ma cage, l’entoura de Ses mains, et fit glisser Ses doigts pour effleurer un gland qui n’attendait que ça pour grossir et se frotter aux barreaux métalliques et froids. Elle aimait me voir couler. Deux semaines que je n’avais pas joui. Son sourire en coin, et Sa voix pour me dire que je n’étais pas prêt d’être libéré me faisait tressauter. Je n’étais pas au bout de mes peines. La porte se referma.
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Ca y est, je te l’ai fait. Et je te remercie de m’avoir fait ce cadeau.
Je t’avais donné rendez-vous chez toi. Je suis arrivé pile à l’heure. Tu m’attendais dans la salle de bains, agenouillée dans la baignoire. cette tenue en latex te moulait les fesses et les seins.
Tes yeux me testaient déjà. Sans un mot je me suis déshabillé. Selon nos conventions tu ne devais pas détacher ton regard du mien. Je me suis approché de toi, je bandais à peine…. Tant mieux…
« Ouvre la bouche ». Tu as ouvert la bouche.
Sans attendre j’ai agrippé ta chevelure blonde et je t’ai balancé une belle gifle, tu as été presque surprise.
J’ai saisi la laisse fixée au collier en cuir qui enserrait ton cou, je l’ai resserrée d’un cran, et tu as gémi, pouvant à peine respirer. J’ai tiré fortement, tu as failli basculer en avant mais déjà mon ventre devant toi t’a retenu.
«Pose tes mains sur mes hanches». Tu as posé tes mains sur mes hanches.
J’ai saisi ma queue et je l’ai présentée devant ta bouche. Toujours tes yeux plantés dans les miens.
Mes doigts pinçaient la verge. J’ai un peu relâché leur pression, et le premier jet a surgi, arrosant ta langue. un gémissement dans ton souffle court.
Un jet vite arrêté par une autre pression de mes doigts sur ma queue.
« Avale, chérie ». Tu as avalé d’une gorgée.
J’ai relâché un autre jet, tu as dégluti encore, j’ai recommencé à tirer sur la chaine, tu as englouti ma queue. Encore une giclée, puis une autre, une autre encore.
A chaque fois une gorgée et tu m’avalais.
J’ai commencé des va-et-viens dans ta bouche, en pissant par petites giclées… Tu as répondu par un gémissement sourd venu du fond de ton ventre, un feulement assourdi par le manteau de tes lèvres, je t’ai sentie jouir à genoux, tu as fermé les yeux.
« Tu aimes, salope? ». Tu as fait oui de la tête. tu as rouvert les yeux, et j’ai vu tant d’amour dans ton regard que j’ai laissé toute mon urine se déverser en toi, dans ta gorge, en un joli filet doré.
Tu n’arrivais pas à tout avaler, quelques gouttes ont coulé sur tes seins….
Mais tu as aspiré, bu longuement……
Et tu m’as laissé vidé, abasourdi, toi pleine de mon jus chaud et le corps parcouru de frissons….
Je t’ai relevée, t’ai prise dans mes bras, la laisse et sa chaine balançaient sur ton épaule en faisant tinter ses maillons, ta bouche sentait ma pisse, on s’est embrassés lentement, ma langue est venue fouiller ta bouche pour se mélanger à ta langue.
Je commençais à bander.
Le moment de passer à d’autres jeux.
Je t’ai aidée à sortir de la baignoire……
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Par : Ruban de Mobius
J'aurais aimé être l'auteur de ce texte, tant les 7 piliers de la Dominance me parlent. Je n'en suis donc que le traducteur, en toute humilité...
- Un dominant est un souverain, mais jamais un tyran. Mais gouverner exige la compréhension, et la compréhension exige de l'humilité.
- Un dominant est fier, mais jamais arrogant. Mais la fierté exige la dignité et la dignité exige de l'humilité.
- Un dominant inspire le respect, mais jamais la peur. Mais le respect exige la sérénité, et la sérénité exige de l'humilité.
- Un dominant emploie la force, mais jamais la violence. Mais la force exige la connaissance, et la connaissance exige de l'humilité.
- Un dominant analyse, mais jamais ne juge. Mais l'analyse exige le discernement, et le discernement exige de l'humilité.
- Un dominant reçoit, mais ne prend jamais. Mais recevoir requiert de savoir donner, et le don exige de l'humilité.
- Un dominant complète, mais ne tente jamais de changer. Mais pour compléter, il faut être capable de voir ce qui est là, non ce qui manque, et cela exige avant tout de l'humilité.
J. Mikael Togneri
Source : http://www.idahobdsm.com/articles/7pillars.html
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Elle est Switch mais ne le sait pas encore, elle as voulut être dominé, prise en main puis s'est ravisé... nue à la fenêtre elle me disait que "non"... que "oui" elle prenait des décisions hâtives. Elle aurait voulu essayer ça puis ceci, ont en discuter, je la titiller, elle aimer ça, puis s'est ravisé.
Elle prenait des décisions, puis s'est envolée... Elle m'as laissé, là, las.
Elle m'as goulument avalé, puis elle as aimé recommencer. Je lui disais que non mais il lui fallait comprendre alors je prenais le temps de lui expliquer. Elle était nue à mes côtés. Enfin elle prenait les décisions et continuer à me les briser, mon bijou si précieux. Elle aurait du écouter, je lui donner la direction, elle as tout casser, brisé, milles morceaux de mon bijou elle en as fait.
Elle est Switch et d'ailleurs quelques mois après ne le sait toujours pas. Elle veut encore et toujours... les yeux vers le bas... elle prend ses propres décisions. Ne veut pas m'écouter... Je la revois nue dans les cabinets.
Je n'ose pas décrocher mon combiné elle me reprocherais de ne pas l'avoir prise en main, d'avoir fauté. Mais c'était sa décision... Elle n'entend pas les cris d'amour... elle ne verra pas l'écrit de mes sentiments que j'avais à lui faire partager. Je n'ai même pas à en décider...
Mon bijou regarder dont ce qu'elle en as fait... Elle brille pour moi c'est un souvenir précieux... il s'est brisé.
Six mois que je n'ai pas écrit... je ne vous ai donc pas dit... une fois de plus ont m'as brisé. Mon bijou c'est "elle" que je souhaitais combler. Elle m'as dit que "non" un souvenir d'hier, "elle" m'as dit que non je ne suis pas maître de mes décisions.
Frapper plus fort ou laisser des marques indélébile, le temps l'aurait rendu amer, fébrile. Pour la rendre heureuse et docile j'ai préférer lui rendre sa liberté... et puis après tout c'est elle qui as décider.
Elle prend ses propres décisions sans écouter, elle entend juste le souvenir d'hier, l'image imparfaite d'une fessée bien mérité au-quelle elle as eu droit mais dont elle ne s'est pas donné l'accès, mettre sa main au creux de la mienne... puis lui donner la direction. Moi je me suis laissé tenter.
Mon bijou est de nouveau sur le marché, prenez ce temps si précieux pour apprendre à vous laisser Dominé avant de dire "je veux..." "Je souhaite..." je voudrai..." puis enfin prendre la décision de ne pas acquiescé aux désirs de celui qui veux vous emmener vers de nouveaux horizons, passionnés.
Mon bijou n'est pas à vendre, ni à acheter, il faut miser sur son avenir, investir son potentiel, le polir poliment, le choyer tendrement, lui donner matière à être fière et complaisant.
La seul et unique décision qu'il reste à prendre c'est de s'abandonner, non pas baisser les bras mais relever le menton, courber l'échine, monter sur ses hauts talons.
Se donner et s'abandonner... vers d'autres horizons, passionnés. Mon bijou... mes envies, mes passions... mes décisions... c'est mérité !!
Maintenant il va falloir cravaché... ;-)
Allons à l'encontre d'autres traîtrises et trahison, un cœur brisé c'est remplacer un hôte par son autre. Toujours veiller, faire attention lorsque l'un et l'autre cherche le mieux dans vos imperfections, la roue de secours, le meilleurs ami(e)s qui là/le baise lorsque vous êtes au charbon prétextant toujours : "il/elle à quelques imperfections" "il/elle ne le saura jamais"
Une caverne visitée par quelqu'un d'autre laisse des traces que le propriétaire reconnait à tous les coups.
C'est comme se servir de son gourdin pour débroussailler un terrain voisin, après l'effort le réconfort... comment se dire ou se laisser entendre que son hôte n'as pas de besoin, pas d'effort à faire s'il n'accepte même plus le réconfort que vous lui procuriez... une anguille sous roche. Quand il y a un doute c'est parce qu'il n'y a en réalité que des certitudes.
Mon bijou... Ma décision.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : Hedgehog
"Clac", le bruit de la porte qui se ferme me sort de mes pensées ...
Elle est partie, elle est partie et je me retrouve seul à la merci de Mélinda et de ses désirs ... Normalement, elle devait m'obéir ! Je ne comprends pas ... Non, ça ne va pas se passer comme ça, je vais lui montr...
"Déshabille toi" me dit Mélinda d'une voix ferme et sûre.
Je reste interdit ...
"Déshabille toi !, dit-elle encore plus fermement cette fois, à tel point que j'en suis impressionné, je ne l'imaginais pas ainsi ...
"Ne me le fais pas répéter une seconde fois ..., dans ton intérêt, je te le déconseille ..." me dit-elle ensuite ... Et je sens dans sa voix combien elle prend plaisir à cette éventualité ...
Je m'exécute alors, plutôt inquiet de ce qu'il pourrait m'arriver ...
Elle sourit ...
Quel délicieux sourire ...
Je l'observe sourire tout en retirant ma chemise et mes chaussures ..., j'hésite un peu en mettant mes mains sur ma ceinture ...
"Aller, retire tout" me dit elle en me transperçant de ses yeux plein de ... plein de quoi d'ailleurs ?
On dirait comme du désir et de l'envie mélangés..., mais pas tant de bientôt voir mon corps nu que plutôt de me regarder détacher ma ceinture puis déboutonner mon pantalon ... On dirait qu'elle se réjouit de me voir lui obéir pas à pas, sans résister ...
Mais je vais résister !! Je m'arrête avant le dernier bouton ...
Son regard se durcit ...
Je m'empresse de retirer ce dernier bouton et de descendre mon pantalon jusqu'à mes chevilles ...
Je le retire, je retire mes chaussettes, me voilà à une seule pièce de la nudité complète ... Il m'est difficile de cacher le désir que sa tenue du soir et de nos discussions passées éveillent en moi ... Son regard effleure cette partie de mon anatomie puis revient croiser durement le mien pour menacer ma nouvelle hésitation ...
Je retire mon boxer et me redresse complètement nu face à elle ..., je cherchant bêtement à faire quelque chose de mes mains ..., je les place plus ou moins devant mon sexe pour essayer de cacher cette érection qui tout d'un coup me gêne un peu...
Son regard à nouveau m'en dissuade ...
Je laisse mes mains et mes bras pendre le long de mon corps.
Elle me détaille des pieds à la tête...
Le temps s'étire ...
Mon érection s'obstine à ne pas faiblir ..., je ne comprends pas ...ou alors, peut être que j'aime être ainsi à nu face à ma Mélinda ..., en même temps, j'en avais tant rêvé ...
Je n'ose plus bouger ...
"Viens par ici" me dit elle.
Sa voix reste ferme ...
J'obéis à nouveau.
Tiens, voici quelques habits, ils devraient t'aller, enfile moi ça puis rejoins moi dans le salon.
Je regarde interdit les habits ...
Bon sang ..., j'en étais certain ...
"Attends Méli, je ne vais quand mêm..."
"Silence !"
" Je t'ai donné un ordre, tu obéis, un point c'est tout. Nous avons déjà parlé de ça pendant des heures au téléphone. Tu rigolais, tu disais que tu rêvais de me satisfaire et de me donner du plaisir... Et bien il est temps. Je veux le plaisir que tu m'as promis. Habille toi maintenant et vite, tu as beaucoup de choses à faire..."
Méli quitte la pièce pendant que je me rappelle cette conversations, ou devrais- je dire, "ces conversations", lors desquelles j'ai effectivement annoncé cela en le pensant sincèrement ...
Mais bon sang, je n'avais pas imaginé ça comme ça !
Je suis seul dans la salle de bain où elle m'a amené, je regarde les habits ..., puis je regarde la porte par laquelle elle est sortie...
Je soupire alors avant de me décider à prendre les bas et à les enfiler ...,
"Franchement, j'ai l'air malin tiens ..."
Je passe la jupe ..., elle est à ma taille ..., quelle idée de lui avoir donné mes mensurations ... tout me va ..., j'enfile le chemisier avec son décolleté ...
Pourquoi ne suis-je pas surpris qu'il n'y ait pas de culotte ...?
En même temps, c'est sûrement pour lui permettre de glisser sa main sous ma jupe, hum, je sens que ça va me plaire ça !
Les chaussures maintenant ..., un faible espoir ..., non, j'arrive à rentrer dans ces chaussures à talon ..., heureusement qu'ils ne sont pas hauts ...
Bon sang, j'avais parlé de ça pour rire !
Je ne pensais pas me retrouver ainsi !
"Viens !" dit sa voix impatiente ...
Je me dépêche d'ajuster cette longue perruque rousse , d'enfiler mes gants noirs et me voilà qui sort pour la rejoindre, l'air complètement ridicule, habillé en soubrette de la tête aux pieds ... et à deux doigts de me tordre les chevilles, tout en bénissant Méli d'avoir pris des talons bas ...
Elle me regarde à nouveau, s'approche de moi puis ajuste quelques petites choses par ci par là ...
Elle se recule un peu et sourit d'un air satisfait.
"Voilà, tu es très bien, enfin à ta place."
"Ecoute, lui dis-je, voilà, c'est amusant mais francheme..."
"Décidément, c'est vrai que tu es long à la détente...", me dit elle de sa voix si ferme. "Le weekend commence à peine ... et tu vas m'obéir pendant toute sa durée ..., et crois moi sur parole, je te ferais obéir aux moindres désirs dont nous avions parlé, que tu acceptes à ma première demande ou que tu ais besoin de motivation supplémentaires pour le faire ..., dit elle en indiquant de la main une petite table dans le coin du salon.
J'allais lui répondre quand la vue de cette table me coupa toute envie de dire le moindre mot ... Il y avait là des menottes, une cravache, un ou deux petits godes et d'autres objets qui échappèrent totalement à mon cerveau après que j'ai vu le gode ceinture posé lui aussi sur cette table ...
Tandis que mes yeux restaient fixés sur lui, la voix de Mélinda raisonna dans ma tête :
"Hé ! Je te parle, ne me fais pas répéter une fois de plus !"
"Pardon Mélinda, dis je d'une voix toute tremblante, je suis désolé, pardonne moi, je n'ai pas entendu ... je ..., j'ai pensais à autre chose ..., je ne voulais pas désobéir, excuse moi, pardon ... s'il te plaît, redis moi ce que tu m'as demandé et je le ferais tout de suite !"
Elle sourit ..., son regard s'est porté sur la table puis sur moi, et son sourire semble rempli d'une incroyable satisfaction ...
Bon sang, c'est certain, quoi qu'elle me demande, je le ferais, le gode ceinture, c'est bon pour mes fantasmes hein, je ne tiens pas à le tester ...
Je la regarde alors, désormais près à obéir à ses moindres demandes tandis que je regrette maintenant qu'elle ne m'ait pas donné de culotte ...comme si ce petit bout de tissus pouvait me protéger ...
Mais quand j'entends à nouveau sa voix, je suis pris d'un léger frémissement d'inquiétude teinté d'une folle envie de ne pas la décevoir ...
"Bien, maintenant que les choses sont claires voilà ce que tu vas faire..." me dit, toute souriante, Mélinda ...
Et ma peau frissonne soudain d'une tenace d'angoisse à l'énoncé de mes futures tâches et de ses si nombreux désirs ...
Bon sang !! Le weekend commence à peine !!
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Par : Switcher
Comment cette maîtresse, m'a imposé la bisexualité ?
Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. En revanche, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de « pédé ».
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement la sodomie.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré un certain désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami que je ne connaissais pas. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors ma maîtresse a dit qu’elle me faisait porter des sous-vêtements féminins et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir avec un string, des porte jarretelles et de bas résille. Quand je suis revenu, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j'ai très envie de voir te faire sodomiser. Viens nous rejoindre dans le lit » J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être sodomisé par un homme.
En arrivant dans la chambre,j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation. Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya ma tête d’une main et se branla le clito de l’autre. Peu après, tout en continuant à sucer, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ?» dit-elle.
Je sentais que le sexe de cet ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma maîtresse en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander et je pourrais profiter de le voir se faire mettre ».
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, réfréner un gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me traitait de pédé, d’enculé.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé, cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma maîtresse, en me faisant souffrir et il y réussissait. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas au fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de salope, de lopette…
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Par : BDSM
Le candaulisme désigne la pratique qui consiste pour un homme ou pour une femme de regarder son partenaire habituel avoir une relation charnelle avec une autre personne (ou plusieurs !). Si le candaulisme a parfois les faveurs de ceux qui ont une défience sexuelle et qui préfère assister aux ébats sexuels de leur moitié, et "profiter" ainsi de leur plaisir, le candaulisme est également très apprécié comme pratique sexuelle par ceux qui n'ont aucun problème d'ordre physionomique : c'est en gros la corde de l'esprit de compétition entre le partenaire habituelle et la maîtresse ou l'amant d'un jour qui suscite l'excitation. De nombreux pratiquants du candaulisme témoignent de l'intensité inégalée de l'orgasme qu'ils ressentent dans le cadre de cette pratique.
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Par : M des Sens
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Après quelques verres et discutions, notre hôte apparut et annonçait la suite....
Enfin, j'allais découvrir ce qui m'attendait....
Muriel à mon bras, je suivais la foule.
Non loin, j’aperçus Serge et Claire qui discutaient sur le chemin nous conduisant à une grande Salle....
La salle était assez vaste, pas grand meuble, ni décoration ne montrant guère l'utilité première de ce lieu...en dehors des jeux....
Au milieu de la pièce se trouvait une table juste assez large pour qu'une personne puisse s'y allonger et pas très longue non plus....
Elle était entouré de ces sièges de prière....donc l'assise était basse avec un petit coussin pour les genoux...et le dossier montant assez haut pour y poser les coudes....
Je souriais à la vue de ces derniers, me disant que les Saintes prières n'auraient certainement pas la même Sainte dévotion...
Il y avait une de ses chaises à la tête de la table et deux autres de chaque cotés....
Le reste de la salle comportait différents fauteuils qui entouraient cette Sainte Table...
Et la pièce était éclairée par de très grandes bougies disséminées ça et là...donnant une atmosphère très intimiste et de quiétudes fortes agréables...
Certaines personnes prirent directement la direction des fauteuils et s'y posant, faisant face à la Sainte attraction...
Je remarquais, ce qui m'amusa beaucoup, que seul les dominants prirent par dans les fauteuils...et les « possédés » restaient soit debout bien à la droite de leurs « Mains », soit directement entre leurs jambes....
Muriel m'indiqua le chemin directement vers la table....
Et je senti la pression monter, et cette gène d'être en spectacle devant d'autres personnes... enfin surtout autant...même si ce n'était pas la première fois...mais j'avoue que je n'ai jamais trop apprécié ce genre de situation avec autant de monde....
Une petite pancarte avec le numéro « 3 » se trouvait sur l'un des dossiers de chaises...
Muriel s'agenouilla dans une élégance féminine remarquable...prenant soin de sa robe...relevant légèrement celle-ci, tout en descendant...et me laissait pleine vue sur le dessin de cette vallée fort « attire l'œil »...
Elle m'invita ensuite à me mettre de l'autre coté de la chaise...vérifiant que la distance me séparant d'elle était suffisante pour œuvrer à son aise...
D'autres personnes prirent part autour de la table de supplice...certains accompagnés comme moi...d'autres seuls...
Quelques instant après, notre suppliciée arriva, toujours accompagnée de son bourreau encagoulé la trainant par sa chaine ...
Le brou-ha des conversations se tue...et tout le mode n'avait d'yeux que pour cette suppliciée guidée vers sa destinée...
Les personnes non accompagnées, au tour de la table, laissèrent libre place à ce convois, pour que la belle torturée puisse s'y installer...
Elle était nue, son dos toujours bien marqué de sa « mésaventure » précédente...
Son bourreau finit de l'installer en lui écartant ses jambes et ses bras, qu'il prit soin d'attacher aux pieds de la table....
Le Maître de cérémonie entra...Le silence fut total...
....
A ces mots, les hommes seuls ouvrirent leurs pantalons...et commencèrent cette danse des Sens de leurs Saint Graal...
Je me trouvais à la hauteur des Seins de la suppliciée. En fasse de moi, un homme très décontracté, buvait sa coupe de champagne pendant que sa compagne s'attardait de sa bouche à dresser cet étendard...
Je sentis les mains de Muriel déboutonner délicatement mon Pantalon, et plongea sa main pour en tirer sa convoitise...
Sa main était un peu froide au contact de ma peau. Mais très vite, je sentis cette « Fierté » être entourée d'une douce chaleur des plus agréable....
Sa bouche était un véritable délice ...
Muriel s'activait savamment dans un doux mélange de va et vient de sa main et des jeux de langue...
Tournant, cherchant le moindre recoin qui me serait sensible agréablement....en ce Graal dressé pour l'honoré de ses gestes des plus fort et surtout délicieux....
Mon esprit ne s'occupait plus des gens qui nous entouraient, ni même de la raison pour laquelle tout cela était fait...en fait je ne voyais même plus ce qui se produisait tout autour de moi, d'elle...
Je me laissais simplement prendre à ce tourment des Sens...
Je ne fus pas le premier à répandre cette sève de supplice... mais je ne me rendis compte que de ce fait...que lorsque je sentis l'instant fatidique...pointer
Muriel sentit ce moment de Moi....
Elle retira sa bouche...
Et en continuant à jouer de sa main, dirigea mon corps pour faire face à la suppliciée...
Cela ne fit qu'augmenter mon plaisir...
Étrangement alors que le changement de chaleur aurait put engendrer l'inverse....tout comme le fait d'être perturber du déplacement....
Elle s'activa encore plus rapidement dans ses gestes...mélange de relâche et serrage de ce précieux Graal en sa main...
Je commençais à trembler...le plaisir était là...ne faisant qu'augmenter...
Je voyais alors les autres hommes, certains ayant déjà sévis, d'autres étant, tout comme moi sur le point de livrer leur sentences....
Je me souviens avant de livrer ma propre sentence, que mon regard regarda furtivement tout autour...
Je voyais juste quelques personnes souriantes, d'autres discutant....
Mais la délicatesse, la dextérité et surtout le plaisir d'exploser ne me permirent pas d'observer plus avant....
L'explosion me fit presque tressaillir, je me retins au dossier de la chaise....Le Jet, dans des soubresauts, se répandit, par à-coup sur le corps de cette belle suppliciée, déjà bien « marquée » d'autres sentences....
Malgré le plaisir qui me fut bien présent, je remarquai que la belle torturée, en fait, ne bougeait quasiment pas....aucun son ne sortait de sa bouche....elle subissait tout simplement...
Mais seulement, lorsque la chaleur de cette Mâle liqueur venait toucher une partie de son corps...elle frissonnait et se contractait par la brusque présence de chaleur....Mais rien de plus....
Je me sentais totalement me vider....et quand, de mon « Don » de supplice il fut finit...Muriel, tout en me souriant, me fit me retourner vers elle....Et de sa bouche termina son œuvre jusqu'à la dernière petite goutte....Nettoyant ainsi cet arme de torture dont elle était l'usagée....
Elle se releva. Me déposa un tendre baiser sur la joue....
Murmura-t-elle à mon oreille....
J'en souriais....
Comment ne pas en être satisfait...Elle avait l'art et la manière de jouer de cette instrument....
Elle reboutonna mon pantalon....Pendant que le dernier finissait encore son œuvre....
Puis tout le monde applaudi de ce dernier livrant...
La suppliciée, que je puis alors vraiment détailler, était totalement recouverte de cette liqueur de Mâles....de la tête presque aux pieds....
Étrange vision de salissure...étrange composante de ce liquide assez visqueux sur le corps joliment nue et fait....
Le bourreau détacha la torturée....
qui une fois fait....s'agenouilla devant notre hôte
Tête basse, bras tendus vers lui...
Dégoulinante et nue....
Bien que j'y pris plaisir, grâce à Muriel, de cette scène étrange....je ne compris vraiment pas l'intérêt d'un tel acte....le plaisir même que cette « torturée » pouvait y trouver....n'est-il que de satisfaire les désirs et vils sévisse de son Possédant...
Mais de cette expérience, j'en garde le fait qu'il ne m'est franchement pas d'intérêt....
Que je le fasse seul sur le corps de celle qui me fait l'honneur d'être pour moi ...oui....et je trouve cela très plaisant...Mais là que cette personne en soit totalement recouverte....et par d'autres......je ne m'y ferai vraiment jamais....
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Par : Dame Meg
Tu as sortie mon collier. .. juste quelques mots "ce midi..."
La matinée m'a semblé longue et courte à la fois, mon corps est impatient et tellement tendu. J'ai préparé à manger, j'ai tourné en rond, imaginer des scénarios. ..
Un sms, "attends moi nue dans la chambre"... Je me déshabille, me blottis sous la couette. J'opte pour un peu de crème sur ma peau en attendant. J'entends la porte qui s' ouvre et se referme... Je me cache sous la couette, sans trop savoir quoi faire. Tu arrives. ..
"Assie toi", je m'a genoux sur le lit. Tu attaches le collier, m'allonges, mes mains attachées à la tête de lit, mes yeux bandés...
Tu en profites, tu t'attaques à mes seins, je peux difficilement me débattre... je prends sur moi, c'est si sensible... trop. Un instant de pose, j'entends des bruits. .. Tu me demandes ma langue, tu y déposes quelques chose, et le retire... comme un timbre poste... Je ressens les effets, chaleur piquante, et goût du gingembre, c'est si particulier... Tu écartes mes cuisses et frottes doucement mon clitoris avec le gingembre, la chaleur se répend... mes cuisses s'ouvrent, je cherche ton contact... tes doigts se glissent en moi, me font gémir, me font jouir rapidement... tu viens caresser le reste de mon sexe, parcourir mes lèvres, la chaleur m'envahit, m'excite...
Ta langue prend le relais, c'est si bon, la douceur de ta langue sur mon sexe gonflé.
Tu me retournes, caresses mes fesses, glisses ton doigt le long de ma fente... La chaleur se dissipe... mais tu commences à claquer mon cul... griffer mon dos... je me sens bien.... tu poursuis. ... juste des "encore" sortent de ma bouche. .. viens le moment où tu n'y tiens plus...où ton sexe m'enculle, où je gémis, où je suis à toi... où tu glisses le gingembre dans ma chatte humide.... et je suis bien...
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