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Me voilà enfin de retour de trois semaines environ dans le sud du Portugal.
ma belle-soeur nous y a invité mes parents et moi, et avons pu profiter d'être logé dans l'appartement propriété de sa mère.
je quitte Paris le 25 juin de l'aéroport de Paris Beauvais à destination de l'aéroport de Faro, capital de l'Algarve. La région la plus au sud et la plus riche du pays.
dans l'avion je recule ma montre d'une heure pour me mettre à leur portugaise et attend patiemment l'atterrissage après 2:30 de trajet.
Premier constat... Même à 23:30 il fait chaud !!! au moins 15° de plus depuis que j'ai quitté Paris, heureusement le vent du littoral rend la chaleur supportable et même agréable.
Après une vingtaine de kilomètres en voiture depuis Faro jusqu'à Loulé je découvre un grand appartement très classe et climatisé. Le temps de m'installer, de saluer toute la petite famille déjà présente, mon frère, ma belle-soeur, mes parents, neveux et nièces et bonne nuit tout le monde ou plutôt "Boa noite".
toute la première semaine plutôt calme nous avons chaque jour testé une plage différente. Et inutile de vous dire qu'il n'en manque pas, la température n'est pas descendu en dessous de 30° pour parfois atteindre 37°, et les gens du coin disait qu'il faisait encore "frais" pour la saison.
si toutefois il vous venez à l'idée l'idée de faire la même chose je vous conseille plutôt les plages de la côte Ouest plutôt que les plages du littoral sud.
déjà que la différence de température entre l'atmosphère et l'eau de la plage vous donne d'office le sentiment qu'elle est glacée au départ, les plages du sud sont elles ... Réellement très froides.
Faire le lézard sous le soleil des plages portugaises, bercé par les cris des vendeurs de Bolignhos (begnets) et les odeurs de monoï ne fut pas désagréable.
Jusqu'à ce que malgré les précautions d'usage, je me prenne deux énormes coups de soleil sur les mollets...
j'ai déjà pris des coups de soleil dans ma vie mais je peux vous assurer que ceux-là furent sûrement les plus douloureux que j'ai connus je suis resté dans l'appartement, le tube de Biafine a porté pendant deux jours.
Des que je fus à nouveau capable de marcher sans avoir l'impression que ma peau allait se déchirer, nous sommes allés rendre visite à la famille de ma belle-soeur restée au pays.
Alors bien sûr par extension je fais déjà plus ou moins partie de leur famille puisque je suis le frère de l'homme que leur soeur, fille, petite-fille, nièce, cousine a choisi de prendre pour époux.
Toutefois alors que je ne les avais jamais vus et qu'il ne me connaissait que d'un nom vaguement cité de ci de la, alors que j'étais plutôt timide prêt à être courtois et à les connaître au fur et à mesure des discussions comme lorsque l'on rencontre quelqu'un la première fois en somme.
Ils me prirent tous dans les bras et m'embrassèrent comme du bon pain, comme si nous nous étions toujours connus et que je revenais d'une longue absence.
Je suis d'abord surpris puis attendri et flatté d'un tel accueil bien que la visite fus faite à l'improviste la table du salon se chargea vite de bière fraîche, chorizo, fromage et olive cueilli est préparé par la grand-mère de la famille.
j'ai surtout discuté avec le grand-père de ma belle-soeur et pour cause il a longtemps vécu en France, ce qui facilite la communication.
cet homme est un exemple de courage et de persévérance.
sous le régime totalitaire de Salazar et avec l'accord de sa femme, il prit la fuite vers la France avec son fils tout jeune adulte..... À pied !!!
Ils partirent du sud du Portugal et marchèrent jour et nuit. Il se cassa le pied à une vingtaine de kilomètres de la frontière française il fit donc le trajet inverse pour se faire soigner la d'où il était parti tout en laissant son fils continuer le voyage jusqu'à Clermont-Ferrand.
Une fois guéri il reprit son périple et parti lui jusqu'à Paris où il vécut pendant trois ans sans pouvoir voir ou communiquer avec sa femme pendant trois ans.
Même si il y a des exceptions partout tout le long de mon voyage j'ai eu le sentiment que les Portugais étaient des gens accueillants, chaleureux, et serviables.
le reste de la semaine en grand passionné d'histoire que je suis je me suis promené dans les quartiers historiques de Loulé et Faro, loin des grandes maisons de luxes, des voitures de sport rutilante et des quartiers aux ambiances "monégasques"
Dans le vieux Faro, j'ai rencontré un antiquaire (Un certain Johaquim Carneiro Da Silva qui parlait un parfait anglais) également passionné d'histoire avec qui, après qu'il me fait visiter son atelier, et fait voir les œuvres qu'il avait restaurées, je pus avoir de longues discussions sur l'évolution de notre monde la vision que nous en avions chacun de notre côté.
Le tout sous un ciel sans nuage, à l'ombre d'un oranger, une bière fraîche à la main et un chorizo sur la table.
Il me fit visiter les endroits qu'il considérait les plus beaux et les plus intéressants de Faro et ses alentour notamment l'église "San Lourenço d'Almencil" qui malgré sa petite taille et son air très commun vu de l'extérieur cache a l'intérieur un véritable trésor artistique.
la nef et l'autel toute d'or sont vite éclipsées par la faïence qui recouvre l'intégralité des murs, du plafond et de la coupole.
ou les motifs tout bleus sur fond blanc nous racontent l'histoire du martyre de Saint-Laurent je vous invite à y faire une petite recherche sur Internet pour essayer de vous faire une idée de ce que l'on peut ressentir lorsque l'on se trouve à l'intérieur.
Nous sommes également allés visiter Lisbonne au cours d'une journée trop courte malheureusement car la ville se trouve à 200 km au nord de la où nous logions nous sommes donc partis très tôt le matin les sommes rentrés encore plus tard.
Le long du trajet j'ai pu me rendre compte en regardant le paysage que la sécheresse frappait durement le pays en effet les gens nous disaient que cela fait deux ans qu'il n'y a pas vraiment plus à chaque panneau qui annonçait un fleuve une rivière en contrebas de la route je ne trouvais qu'un serpent de terre asséchée ou l'eau ne coulait plus.
Plus nous montions vers le nord je me rendais compte de l'écart économique qui existe entre l'Algarve et le reste du pays.
Même Lisbonne la capitale, fait pâle figure comparée aux fastes de Faro.
les routes de la ville entièrement pavée et la plupart du temps moitié moins large que toutes les autres rues des grandes villes lui donnaient des airs de petit village le petit tramway qui n'a plus d'age qui fait le tour de la ville et le seul élément qui nous rappelle que nous sommes dans une grande ville (et encore...)
Les rues de la ville sont de vraies montagnes russes elle monte les redescende encore plus raide que la butte Montmartre.
Certains quartiers on des aires de favella brésilienne à tel point que parfois on a le sentiment qu'une fois arrivée en haut d'une de ces petites rues étroites nous aurons la chance d'apercevoir le Corcovado.
Nous avons dîné dans une petite ruelle dans un restaurant de fado traditionnel.
Le fado est un chant mélancolique et romantique originaire de Lisbonne, propre et cher à la culture portugaise.
Dans tout les restaurant quel qu'il soit le plus gros de la carte est constitué de plats à base de poissons et fruits de mer rien de surprenant mais soyez prévenus si vous n'aimez pas ça ^^
La lumière dans le restaurant est tamisée, les serveuses vienne prendre notre commande et allumes une petite bougie sur un bougeoir en face de chacun d'entre nous.
si vous êtes habitués à la vitesse de service des restaurants français sachez qu'au Portugal l’attente moyenne et plus longue d'environ 20 minutes où que vous alliez.
Une fois servie, on a la surprise se rendre compte que c'est la même personne qui a pris la commande de nos plats ou même celui qui les a cuisinés qui va nous faire entendre sa voix dans ses chansons.
Je connaissais déjà un petit peu le style et le principe du fado et je n'étais pas très fan ou impatient de dîner dans un restaurant de cet acabit toutefois à ma surprise l'expérience fut bien plus agréable que je ne m'y attendais car l'aspect "cantine" du restaurant rend l'expérience très chaleureuse d'autant plus que souvent les clients chantent les refrains en cœur portent leur bougeoir pour faire danser la lumière au rythme des paroles mélancoliques de la chanson.
personnes à table ne pris de dessert, non pas que la cuisine fut mauvaise bien au contraire, mais ma belle-soeur nous avait promis une surprise en fin de repas nous disons juste de garder un peu de place dans l'estomac.
une fois l'addition payée nous voilà tous partis en direction du quartier de Bélem où se trouve la "Pastelaria" (Pâtisserie) la plus réputée du pays.
vous trouverez des Pastelaria absolument partout et en nombre impressionnant. Toutes vous proposeront des
"Pasteis de nata" littéralement des "pâtisseries à la crème".
La recette originale aurait été inventée par des moines mais aujourd'hui les seules à connaître la composition et les techniques de préparation exacte sont trois vieilles sœurs propriétaires de la Pastelaria de Belem, qu'elle tienne elle-même de leurs aïeux.
La recette a été imitée partout mais jamais égalée et pour en avoir goûté plusieurs moi-même je vous le confirme !!!
Semblable à l'oeil à de petits flancs ronds que l'on mange en deux voire trois bouchées pour les petites bouches. lol ils sont servis tièdes sortant du four le cœur encore chaud et coulant dans la bouche avec un arôme de vanille légèrement sucrée dans une patte d'une légèreté infinie est tout aussi infiniment croustillante le tout pour ceux qui aiment légèrement saupoudrer de cannelle...
un orgasme gustatif tout simplement !!!
Ils sont vendus pour 1,05 e pièce vous vous faites un délicieux goûter avec trois d'entre eux pour les plus gourmands.
Ma belle-soeur m'a affirmé que les soeurs étaient récemment sortis de leur silence et avait fait ouvrir une antenne de leur Pastelaria dans le 17e arrondissent de Paris inutile de vous dire que je vais enquêter !.
Après une autre période a squatté les plages et notamment une que nous avons dus rejoindre en bateau car sur une île nommée Tavira, elle est une des plus belles d’Europe.
nous avons fait un petit tour en barque sur la côte sud pour y voir de plus près les roches qui semble-t-il à cet endroit ont pris des formes particulières.
Tous de roches vous verraient, un éléphant, un gorille, un coeur, le général De Gaulle, un cheval, un crâne de mort, et encore plein d'autres formations curieuses.
J'ai également visité quelques châteaux et quelques musées de la région en grand fan d'histoire que je suis.
Puis arriva le 16 juillet date de mon retour à la maison chargée de souvenirs de photos et de vidéos je me retrouve à l'aéroport de Faro sous un soleil de plomb et habiller léger pour arriver à Paris sous la pluie avec 15° de moins.... Dur le retour lol
Mais une chose est sûre je retournerai au Portugal, autant pour la chaleur de son soleil que pour la chaleur humaine et la gentillesse des Portugais
et si vous ne l'avez pas encore découverte je vous encourage à venir faire un petit tour en Algarve.
ma belle-soeur nous y a invité mes parents et moi, et avons pu profiter d'être logé dans l'appartement propriété de sa mère.
je quitte Paris le 25 juin de l'aéroport de Paris Beauvais à destination de l'aéroport de Faro, capital de l'Algarve. La région la plus au sud et la plus riche du pays.
dans l'avion je recule ma montre d'une heure pour me mettre à leur portugaise et attend patiemment l'atterrissage après 2:30 de trajet.
Premier constat... Même à 23:30 il fait chaud !!! au moins 15° de plus depuis que j'ai quitté Paris, heureusement le vent du littoral rend la chaleur supportable et même agréable.
Après une vingtaine de kilomètres en voiture depuis Faro jusqu'à Loulé je découvre un grand appartement très classe et climatisé. Le temps de m'installer, de saluer toute la petite famille déjà présente, mon frère, ma belle-soeur, mes parents, neveux et nièces et bonne nuit tout le monde ou plutôt "Boa noite".
toute la première semaine plutôt calme nous avons chaque jour testé une plage différente. Et inutile de vous dire qu'il n'en manque pas, la température n'est pas descendu en dessous de 30° pour parfois atteindre 37°, et les gens du coin disait qu'il faisait encore "frais" pour la saison.
si toutefois il vous venez à l'idée l'idée de faire la même chose je vous conseille plutôt les plages de la côte Ouest plutôt que les plages du littoral sud.
déjà que la différence de température entre l'atmosphère et l'eau de la plage vous donne d'office le sentiment qu'elle est glacée au départ, les plages du sud sont elles ... Réellement très froides.
Faire le lézard sous le soleil des plages portugaises, bercé par les cris des vendeurs de Bolignhos (begnets) et les odeurs de monoï ne fut pas désagréable.
Jusqu'à ce que malgré les précautions d'usage, je me prenne deux énormes coups de soleil sur les mollets...
j'ai déjà pris des coups de soleil dans ma vie mais je peux vous assurer que ceux-là furent sûrement les plus douloureux que j'ai connus je suis resté dans l'appartement, le tube de Biafine a porté pendant deux jours.
Des que je fus à nouveau capable de marcher sans avoir l'impression que ma peau allait se déchirer, nous sommes allés rendre visite à la famille de ma belle-soeur restée au pays.
Alors bien sûr par extension je fais déjà plus ou moins partie de leur famille puisque je suis le frère de l'homme que leur soeur, fille, petite-fille, nièce, cousine a choisi de prendre pour époux.
Toutefois alors que je ne les avais jamais vus et qu'il ne me connaissait que d'un nom vaguement cité de ci de la, alors que j'étais plutôt timide prêt à être courtois et à les connaître au fur et à mesure des discussions comme lorsque l'on rencontre quelqu'un la première fois en somme.
Ils me prirent tous dans les bras et m'embrassèrent comme du bon pain, comme si nous nous étions toujours connus et que je revenais d'une longue absence.
Je suis d'abord surpris puis attendri et flatté d'un tel accueil bien que la visite fus faite à l'improviste la table du salon se chargea vite de bière fraîche, chorizo, fromage et olive cueilli est préparé par la grand-mère de la famille.
j'ai surtout discuté avec le grand-père de ma belle-soeur et pour cause il a longtemps vécu en France, ce qui facilite la communication.
cet homme est un exemple de courage et de persévérance.
sous le régime totalitaire de Salazar et avec l'accord de sa femme, il prit la fuite vers la France avec son fils tout jeune adulte..... À pied !!!
Ils partirent du sud du Portugal et marchèrent jour et nuit. Il se cassa le pied à une vingtaine de kilomètres de la frontière française il fit donc le trajet inverse pour se faire soigner la d'où il était parti tout en laissant son fils continuer le voyage jusqu'à Clermont-Ferrand.
Une fois guéri il reprit son périple et parti lui jusqu'à Paris où il vécut pendant trois ans sans pouvoir voir ou communiquer avec sa femme pendant trois ans.
Même si il y a des exceptions partout tout le long de mon voyage j'ai eu le sentiment que les Portugais étaient des gens accueillants, chaleureux, et serviables.
le reste de la semaine en grand passionné d'histoire que je suis je me suis promené dans les quartiers historiques de Loulé et Faro, loin des grandes maisons de luxes, des voitures de sport rutilante et des quartiers aux ambiances "monégasques"
Dans le vieux Faro, j'ai rencontré un antiquaire (Un certain Johaquim Carneiro Da Silva qui parlait un parfait anglais) également passionné d'histoire avec qui, après qu'il me fait visiter son atelier, et fait voir les œuvres qu'il avait restaurées, je pus avoir de longues discussions sur l'évolution de notre monde la vision que nous en avions chacun de notre côté.
Le tout sous un ciel sans nuage, à l'ombre d'un oranger, une bière fraîche à la main et un chorizo sur la table.
Il me fit visiter les endroits qu'il considérait les plus beaux et les plus intéressants de Faro et ses alentour notamment l'église "San Lourenço d'Almencil" qui malgré sa petite taille et son air très commun vu de l'extérieur cache a l'intérieur un véritable trésor artistique.
la nef et l'autel toute d'or sont vite éclipsées par la faïence qui recouvre l'intégralité des murs, du plafond et de la coupole.
ou les motifs tout bleus sur fond blanc nous racontent l'histoire du martyre de Saint-Laurent je vous invite à y faire une petite recherche sur Internet pour essayer de vous faire une idée de ce que l'on peut ressentir lorsque l'on se trouve à l'intérieur.
Nous sommes également allés visiter Lisbonne au cours d'une journée trop courte malheureusement car la ville se trouve à 200 km au nord de la où nous logions nous sommes donc partis très tôt le matin les sommes rentrés encore plus tard.
Le long du trajet j'ai pu me rendre compte en regardant le paysage que la sécheresse frappait durement le pays en effet les gens nous disaient que cela fait deux ans qu'il n'y a pas vraiment plus à chaque panneau qui annonçait un fleuve une rivière en contrebas de la route je ne trouvais qu'un serpent de terre asséchée ou l'eau ne coulait plus.
Plus nous montions vers le nord je me rendais compte de l'écart économique qui existe entre l'Algarve et le reste du pays.
Même Lisbonne la capitale, fait pâle figure comparée aux fastes de Faro.
les routes de la ville entièrement pavée et la plupart du temps moitié moins large que toutes les autres rues des grandes villes lui donnaient des airs de petit village le petit tramway qui n'a plus d'age qui fait le tour de la ville et le seul élément qui nous rappelle que nous sommes dans une grande ville (et encore...)
Les rues de la ville sont de vraies montagnes russes elle monte les redescende encore plus raide que la butte Montmartre.
Certains quartiers on des aires de favella brésilienne à tel point que parfois on a le sentiment qu'une fois arrivée en haut d'une de ces petites rues étroites nous aurons la chance d'apercevoir le Corcovado.
Nous avons dîné dans une petite ruelle dans un restaurant de fado traditionnel.
Le fado est un chant mélancolique et romantique originaire de Lisbonne, propre et cher à la culture portugaise.
Dans tout les restaurant quel qu'il soit le plus gros de la carte est constitué de plats à base de poissons et fruits de mer rien de surprenant mais soyez prévenus si vous n'aimez pas ça ^^
La lumière dans le restaurant est tamisée, les serveuses vienne prendre notre commande et allumes une petite bougie sur un bougeoir en face de chacun d'entre nous.
si vous êtes habitués à la vitesse de service des restaurants français sachez qu'au Portugal l’attente moyenne et plus longue d'environ 20 minutes où que vous alliez.
Une fois servie, on a la surprise se rendre compte que c'est la même personne qui a pris la commande de nos plats ou même celui qui les a cuisinés qui va nous faire entendre sa voix dans ses chansons.
Je connaissais déjà un petit peu le style et le principe du fado et je n'étais pas très fan ou impatient de dîner dans un restaurant de cet acabit toutefois à ma surprise l'expérience fut bien plus agréable que je ne m'y attendais car l'aspect "cantine" du restaurant rend l'expérience très chaleureuse d'autant plus que souvent les clients chantent les refrains en cœur portent leur bougeoir pour faire danser la lumière au rythme des paroles mélancoliques de la chanson.
personnes à table ne pris de dessert, non pas que la cuisine fut mauvaise bien au contraire, mais ma belle-soeur nous avait promis une surprise en fin de repas nous disons juste de garder un peu de place dans l'estomac.
une fois l'addition payée nous voilà tous partis en direction du quartier de Bélem où se trouve la "Pastelaria" (Pâtisserie) la plus réputée du pays.
vous trouverez des Pastelaria absolument partout et en nombre impressionnant. Toutes vous proposeront des
"Pasteis de nata" littéralement des "pâtisseries à la crème".
La recette originale aurait été inventée par des moines mais aujourd'hui les seules à connaître la composition et les techniques de préparation exacte sont trois vieilles sœurs propriétaires de la Pastelaria de Belem, qu'elle tienne elle-même de leurs aïeux.
La recette a été imitée partout mais jamais égalée et pour en avoir goûté plusieurs moi-même je vous le confirme !!!
Semblable à l'oeil à de petits flancs ronds que l'on mange en deux voire trois bouchées pour les petites bouches. lol ils sont servis tièdes sortant du four le cœur encore chaud et coulant dans la bouche avec un arôme de vanille légèrement sucrée dans une patte d'une légèreté infinie est tout aussi infiniment croustillante le tout pour ceux qui aiment légèrement saupoudrer de cannelle...
un orgasme gustatif tout simplement !!!
Ils sont vendus pour 1,05 e pièce vous vous faites un délicieux goûter avec trois d'entre eux pour les plus gourmands.
Ma belle-soeur m'a affirmé que les soeurs étaient récemment sortis de leur silence et avait fait ouvrir une antenne de leur Pastelaria dans le 17e arrondissent de Paris inutile de vous dire que je vais enquêter !.
Après une autre période a squatté les plages et notamment une que nous avons dus rejoindre en bateau car sur une île nommée Tavira, elle est une des plus belles d’Europe.
nous avons fait un petit tour en barque sur la côte sud pour y voir de plus près les roches qui semble-t-il à cet endroit ont pris des formes particulières.
Tous de roches vous verraient, un éléphant, un gorille, un coeur, le général De Gaulle, un cheval, un crâne de mort, et encore plein d'autres formations curieuses.
J'ai également visité quelques châteaux et quelques musées de la région en grand fan d'histoire que je suis.
Puis arriva le 16 juillet date de mon retour à la maison chargée de souvenirs de photos et de vidéos je me retrouve à l'aéroport de Faro sous un soleil de plomb et habiller léger pour arriver à Paris sous la pluie avec 15° de moins.... Dur le retour lol
Mais une chose est sûre je retournerai au Portugal, autant pour la chaleur de son soleil que pour la chaleur humaine et la gentillesse des Portugais
et si vous ne l'avez pas encore découverte je vous encourage à venir faire un petit tour en Algarve.
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@Aloysia, Aucun je ne m'en cache pas lol.<br />C'est avec Plaisir que j'aurais fait d'une pierre deux coups en racontant le "BDSM vue a la Portugaise".<br />Mais Malheureusement mon Portugais est encore trop limite pour ce genre de discutions avec les gens du coin.... lol