Rnbi
par le 23/02/21
3,905 vues
Je suis à ses pieds  depuis quelques heures déjà.  Maîtresse m’entraîne au fil de la soirée dans ses envies.
Elle me gave d’eau, reprise d’un défi qui ne l’avait pas entièrement satisfaite. Elle me remplit en jouant avec ma bouche et le goulot de la bouteille et s’arrange bien pour que j’en laisse échapper par terre. Le plaisir de me voir  nettoyer peut-être ou tout simplement  celui de m' embêter...
Elle achève également notre défi dilation en cours. Mon cul se retrouve bien dilaté après cela. Sacrée soirée soit dit en passant...  Elle décide alors  que c'est l' heure que j' aille à la niche,  va me chercher un pyjama 2 pièces de fille, chemisier et culotte soyeuse. C’est en Sissi,  accrochée à sa laisse  que Maîtresse me veut pour la nuit.  J’ai encore ingéré quelques litres d’eau avant de me retrouver dans une  chambre au pied du lit. Maîtresse se régale de me voir comme cela à sa merci.
Elle me montre ma couche, sommaire, 2 coussins à côté du lit mais elle prend soin de m’apporter une couette salutaire. Ma laisse est vite attachée au pied du lit.
Mon rayon d’action est plus que limité. Maîtresse a prévu un petit seau destiné à mes besoins exacerbés par le gavage. Elle le place à la limite, je peux à peine le toucher.
Je me retrouve vite agenouillé au bord du lit à subir une  sodomisation bien  profonde. Je gémis mais Maîtresse m’intime le silence , bientôt seulement rompu par sa forte jouissance. 
Satisfaite, elle quitte la chambre, sans oublier de repousser encore un petit peu plus le seau, et m’abandonne dans le noir. Je me débrouille tant bien que mal à regrouper ma litière. Je ramène le seau vers moi en tirant fortement sur ma laisse et en tendant la jambe. Maîtresse doit se régaler en pensant à comment je dois me contorsionner pour soulager ma vessie. Enfin, je réussis à me soulager dans ce maudit seau. Ce ne sera pas la dernière fois.
Couché, la pression retombe lentement, je m’imagine pouvoir m’endormir après cette soirée épuisante, je m’assoupis légèrement mais bientôt j’entends Maîtresse revenir.
«A genoux au bord du lit et vite, tends moi ton cul» me lance-t-elle autoritairement
Elle m’encule à nouveau profondément. Le rythme s’accélère, Maîtresse s’emballe, j’aime même si c’est douloureux. Maîtresse jouit autant de me limer que de la surprise qu’elle m’a faite. Pour preuve, Elle  me retourne sur ma couche. Elle m’enfile son gode dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Je suis sur un nuage, le cœur affolé. Le gode force ma bouche, tour à tour gonfle mes joues, m’impose des gorges profondes appuyées. Je suis sa pute, elle est Ma Reine qui vibre  de  ma totale soumission.
Maîtresse retourne à ses occupations sans oublier de repousser discrètement mon petit seau, j’imagine son sourire narquois.
«Bois encore me lance-t-elle à travers la porte, c’est bon pour ta santé».
 J'obéis. Je rassemble à nouveau ma couche , ferme les yeux. La porte s'ouvre et je passe à nouveau à la casserole et Maîtresse repart. 
Juste le temps de me calmer et de remplir un peu plus mon seau, la porte s’ouvre à nouveau. Je suis aveuglé par la lumière du couloir mais cette fois, Maîtresse  n'entre pas. Je reste en suspens dans ma tête.
Pas le temps de comprendre, Maîtresse revient silencieusement et me surprend dans mon désarroi. Je décèle ce petit sourire qui lui va si bien
Elle m’enfourne le gode au fond de la gorge. Ma langue le lubrifie et elle me l’enfonce encore plus profond. J’éructe et Maîtresse le ressort habilement pour ne pas m’étouffer M'étale  de la bave sur mes joue avec son gode. Elle est toujours aussi excitée. Mon trou en prend encore un max. Il est bien dilaté et ça rentre facile. Je suis sodomisé, violé dans tous mes trous par ce gode que Maîtresse anime avec passion. Je suis humilié et Maîtresse jubile en prenant son pied.
Mon slip qui ne reste pas longtemps en place  est sur mes chevilles, je l’enlève et me retrouve le cul à l’air près à servir.
Je ne compte plus le nombre de fois où je me fais enculer, où je suce ce gros gode. Je ne suis plus qu’une pute qui se fait défoncer la chatte. Couché, je regarde la porte et guette le filet de lumière qui va se glisser en dessous quand Maîtresse reviendra à la charge.
Elle me déstabilise comme pas possible ; elle allume et ne vient pas, me tangue à travers la porte,  entre par surprise sans avoir allumé, repart en me laissant en lévitation. Je la sens joueuse et prête à jouir dès qu’elle le décidera.
A peine le temps d’évacuer l’adrénaline que Maîtresse est déjà dans mon cul. D’un côté je redoute et de l’autre je ne souhaite que cela. Mon cul est devenu un garage pour sa bite.  A force, je me mets en position avant qu’elle ouvre la porte. Maîtresse me traite alors  de salope et je suis heureux. Je lui appartiens au plus profond de moi. A chaque fois, elle atteint des sommets de plaisir. Pas le droit de gémir, ça lui est réservé et elle ne s’en prive pas.
Ne pouvant s’en empêcher, Maîtresse relève mon haut de  pyjama et me laboure le dos. C’est sensible car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. L’excitation monte encore d’un cran. Je tends encore plus ma chatte en direction de ce gode comme si ses griffes m'imposait cette position. Ses cris, ses gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle s’offre. Couché sur moi au plus fort de l’excitation, je sens sa douceur. Et si elle restait là ? Je me transformerais en futon.Ça serait si bon...
Et non, elle se relève, me met au sol sur le dos, la tête au-dessus du seau, sa douche dorée vient remplir ma gorge comme la récompense ultime. Elle me dit d'avaler au fur et à mesure. Je m' applique  pour ne rien perdre du liquide divin. J’aime son goût, sa chaleur. Je déguste cette urine que Maîtresse me déverse précautionneusement pour me laisser le temps de tout avaler. Puis Elle repart ...
Maîtresse revient  ... Mais d’où lui vient cette énergie, jamais elle ne dors pensais-je. Pas possible, elle va me transpercer le cul. Jamais je n’aurais imaginé être baisé aussi longtemps. La nuit n’en finit pas.
 Je passe par tous les états, là , au plus bas sur ma couche puis dans l’instant qui suit au sommet de la jouissance avec ma Maîtresse qui me défonce encore et encore. Je ne fais qu’accompagner ces emballements. Je suis l’instrument de ces jouissances.
Maîtresse reviens, force de nouveau mon intimité et avant de partir, me fourre une belle racine de gingembre  épluché dans le cul. Même pas douloureux après tous les ramonages en règle qu’il s’est pris.
Cette fois-ci les lumières s’éteignent pour de bon. Je reste encore suspendu à une visite surprise de Maîtresse. Je dors enfin, complètement épuisé. En pointillé car le petit seau se remplit inexorablement. J’éjecte le gingembre sans vraiment m’en rendre compte.
Complètement dans le brouillard, j’ai du mal à retrouver mon petit seau que Maîtresse s’est fait un malin plaisir de déplacer à chacune de ses visites. Je pisse à côté, craignant la punition de Maîtresse, je me débrouille pour tout sécher avant qu’elle ne reviennent.
Maîtresse m’a expédié sur Mars ! Je suis en orbite autour d’elle
Au matin, je l’entends vaquer à ses occupations. Mais elle ne dort jamais ? ... Attaché court au lit, je reste à attendre sa volonté de me rendre ma liberté .
Enfin la porte s’ouvre. Elle a toujours son gode ceinture. Pas possible, elle doit dormir avec.
«Bonjour Maîtresse»
« Bonjour Rnby, ce matin, je t’encule à sec ! ». Waouh, la journée commence fort...
De nouveau au bord du lit, Maîtresse force ce trou qui est devenu accueillant même à sec, Elle prend son temps  cette fois, me pénètre en douceur, ses va-et-viens lents commencent à s’accélérer. Je ressens son plaisir qui irrigue mes entrailles. Je m’ouvre comme la fleur au lever du soleil.
Ça dure longtemps, jusqu'à ce qu'elle  en jouisse, jouissance à son paroxysme dès le matin. 
«Putain que c’est bon de prendre son pied au réveil en baisant son soumis» lâche-t-elle en s'en allant après m' avoir détaché.
«Elle est pas belle la vie Rnby ?» Me crie-t-elle  de  l' autre bout de l' appartement.
Ma chatte est de nouveau en chaleur. Je coule bien vite comme la petite salope que je suis devenue en une toute petite nuit.
Maîtresse a fait un joli tour de propriété depuis hier soir. Je suis sûr qu’il n’y a pas le moindre centimètre carré qu’elle n’ait pas exploré. Elle a réussit à en extraire plein de jouissances.
Je rejoins Maîtresse,  une nouvelle journée peut débuter. Je lui prépare  son café, remplis  quelques corvées jusqu'à ce  qu’une nouvelle idée lui traverse l’esprit ... 
28 personnes aiment ça.
Dany
C'est hyper excitant de te lire... devenir une bonne salope...
J'aime 23/02/21
Lazarus
Voila l'article le plus extraordinaire .que j'ai pu lire et qui surtout résume mon besoin de soumission ;La jouissance de maîtresse y est clairement exprimée et l'avilisement du soumis qu'est Rnby est ce à quoi j'aspire Merci .
J'aime 23/02/21
Perol
Belle union, beau récit......
J'aime 23/02/21
L’ours
Bonsoir Ont est presque voisin dit donc .. un superbe récit très excitant merci pour le partage ..
J'aime 23/02/21
Badboy
Bravo RnBy ça force le respect !! Tu es sûre qu’elle n’a pas une sœur jumelle qui prenait le relais ?
J'aime 23/02/21
Rnbi
Une sœur jumelle alors je n'ose pas imaginer les séances de noisetiers ! Merci Badboy L'ours ; C'était la fête des voisins ? Alain 76 ; C'est moi ou c'est ma Maîtresse ? Pérole, Pérole, merci Perol J'ai déclenché une vocation ? Merci Lazarus La fierté du soumis Dany, sans plus
J'aime 23/02/21
Perol
Ce ne sont pas des péroles en l'air Rnby, sincèrement touché que tu es relevé tous les défis pour arriver à cette fameuse nuit. Tout reste à écrire maintenant qu'une page s'est tournée. Hâte de la découvrir au fil de ton mur...
J'aime 24/02/21
Lazarus
Quand je pense que j'ai connu ça il y a 7 ans avec Maîtresse Liza .Je l'entends encore me dire "t'es une bonne salope qui fait jouir sa Maîtresse .La vie nous a séparé .Putain de vie !
J'aime 24/02/21
très beau récit.... qui reflète bien la réalité 1f642.png merci pour ton partage
J'aime 26/02/21
Vilain garçon
Très jolie récit ca l air d etre super
J'aime 26/02/21
Rnbi
C'était tellement intense que le récit ne pouvait que l'être même s'il est quelque fois dur de trouver les mots. Je mesure toute la chance que j'ai d'être la propriété de Maîtresse Yaka et je l'en remercie humblement
J'aime 26/02/21
justmoiy
A ce moment là, tu ne t'imaginais pas d'  être contraint  à une période de rude chasteté,n'est-ce pas ma salope 1f607.png 1f608.png
J'aime 05/03/21
Rnbi
Pas du tout Maîtresse en effet. Mais je suis votre propriété et c'est à vous de décider. A moi la fierté de vous faire sourire Maîtresse
J'aime 05/03/21
Lazarus
« Ma salope « Un qualificatif si agréable à trouver entendre 🐽🐽👍
J'aime 05/03/21
justmoiy
Bientôt 60 jours que je te garde chaste 1f607.png
J'aime 22/04/21
Lazarus
Une relecture avec plaisir.👍
J'aime 22/04/21
justmoiy
Des bons souvenirs tout ça... 1f609.png
J'aime 22/04/21
Rnbi
C'est gravé en moi Maîtresse.
J'aime 22/04/21
justmoiy
SOURIRE !
J'aime 22/04/21
Lazarus
Oui Madame,j’ai lu tous vos articles et je ne m’en lasse pas.👍
J'aime 22/04/21