par Rnbi
le 27/01/21
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Un article, des souvenirs, une envie commune, il ne nous en faut pas plus pour se retrouver ce dimanche après-midi.
Vous allez raviver des souvenirs qui vous tiennent à cœur.
La météo est avec nous et une épaisse couche de neige est venue recouvrir nos campagnes.
Et la chance était aussi avec moi car la veille j’ai récolté de belles tiges de houx et de noisetiers.
Maîtresse se régale en les découvrant.
Nous nous rendons dans un lieux chargé de souvenirs que Maîtresse a la gentillesse de partager avec moi, sa petite chose. Un honneur et une pression supplémentaire à n’en pas douter.
Maîtresse prend possession de son soumis corps et âme. A cet instant, rien n'est plus important que de lui offrir ce plaisir qu’elle va chercher au fond de moi.
Ses envies s'épanouissent sur ma peau. Les tiges de noisetiers sifflent à mes oreilles et lézardent mon dos, le houx arrache des perles de sang à ma peau meurtrie, la neige brûle et nettoie tout cela
Cette neige, ce don du ciel, Maîtresse s’en régale. Elle me bombarde de boules de neige et attaché à ce poteau, je ne peux que subir. Maîtresse est joueuse, ça la fait bien rire, un rire communicatif, apaisant.
Elle obtient de moi le dépassement de mes limites.
Je ne m'appartiens plus. Je demande "Pitié , Maîtresse". Acceptera-t-elle mes supplications ? Elle seule peut en décider.
Je suis sa petite chose, son petit chien qui se roule dans la neige à la moindre injonction. Mais Maîtresse sait comment prolonger son plaisir ; elle me réchauffe, me câline et je suis de nouveau prêt à endurer toute la fougue de ses délicieux sévices.
Surtout évacuer toutes retenues, ne plus penser, Maîtresse s’en chargera. Elle m'arrache des gémissements non feints. Je lutte mais je n'ai pas de doute ; Maîtresse me fera capituler. Je résiste autant que mon corps me le permet mais cette capitulation arrive " PITIE MAÎTRESSE JE VOUS EN SUPPLIE".
Pas de doute, vous avoir régalé sera ma récompense. Le susucre tendu à sa petite chienne.
A regret, nous quittons l’antre de Maîtresse repus de sensations fortes, emplie de joie à la simple idée d’avoir renouveler les souvenirs.
Nous revenons en ville mais Maîtresse a décidé de m’explorer encore un peu. Me prenant un peu de cours, elle m’intime l’ordre de tourner à droite. Arrivée dans un terrain vague, Maîtresse me demande de m’arrêter là. Elle reprend un jolie brin de houx pour prolonger son plaisir. Elle fouette mon ventre, pique mes tétons avec les feuilles acérées, puis mon gland à travers la cage, je trésaille, je gémis. Maîtresse se délecte de mon corps, elle prend de plus en plus plaisir à me griffer, soulevant ma cage pour atteindre mes testicules et les piquer de plus belle. Plus je gémis, plus son excitation grandit et plus sa jouissance monte. Elle me mordille les tétons en même temps qu'elle pique mon gland derrière ses barreaux. J'ai mal, me tortille et la supplie malgré moi, mais elle continue encore un peu, son plaisir est si grand, si intense, au bord de la jouissance... Elle me dira après qu'elle en a mouillé … Moi, je reste frustré de ne pas avoir pu goûter la cyprine de Maîtresse.
L’excitation retombe, Je remet à Maîtresse les clés de ma cage; elle me libère et m’ordonne de me branler. J’entame cette branlette au rythme que m’impose Maîtresse. Branlette immédiatement contrariée par les piquants d’une feuille de houx dont se sert Maîtresse pour frôler et piquer mes couilles. Un jeu s’engage, ce sera mon éjaculation ou ma frustration. Maîtresse gagne haut la main. J’éjacule timidement. Ma seule vraie jouissance sera morale au bout des jeux de Maîtresse.
Il est temps de remettre ma cage mais Maîtresse est décidément très joueuse aujourd’hui. Elle se sert habilement du houx pour contrarier mes efforts d’assemblage façon IKEA. Avec sa mansuétude, cette fois-ci je gagne et le cadenas fais «CLIC». Je remet solennellement la totalité des petites clés de ma cage à Maîtresse. Son emprise est maintenant totale, physique, morale et sexuelle. Loin de me déplaire, je suis fier que cette appartenance prennent forme aux pieds d’une Maîtresse aussi exceptionnelle.
J’aurais aimé que le temps s’arrête mais il me fallait ramener Maîtresse chez elle. Au moment de se quitter, les sourires illuminent nos deux visages gage que cette belle histoire se prolongera.
Il me faudra du temps pour reprendre possession de mon être.
Arrivé chez moi, épuisé je ne tarde pas à m’endormir la tête pleine d’images merveilleuses.
Merci Divine Maîtresse YAKA
Pièces jointes
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Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Par : M des Sens
Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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Par : slanesch
Je fus sorti de mes rêveries par un jet d'eau qui avait pour butte de me laver le corps du vin séché.
Sophie m’a dit d’aller débarrasser, faire la vaisselle et de revenir ensuite. Ses ordres donné, elle est partie s'installer sur le transate avec son bouquin.
Moi de mon côté, je suis allé vaquer à mes tâches, comme un esclave du temps de rome.
Une foi celle si terminées, je suis retourné sur la terrasse me positionner debout les mains dans le dos à côté du transate de sofie toujours nu comme un verre.
“Voila Maîtresse sophie les tâches que tu m'a demandées sont accomplies.” Dis je.
Elle lève alors les yeux de son livre pour les poser sur moi.
“C'est bien belle bite” dit 'elle. Par contre tu va cramer avec ta peau blanche au soleil sans protection. -” attend.”
Elle se lève ,prend de la crème solaire dans ses mains et me dit de lever les bras .
Ensuite elle commence à tendrement me mettre de la crème sur le corp, les épaules,les bras, le torse,le visage. Nos deux corps sont très proche, presque l'un contre l’autre.
Cette situation n'en finit pas de m'exciter et je me met à bander bien dur.
Elle le voit. En me regardant dans les yeux elle se met à m'enduire les testicules de crème solaire.
Mon visage se déforme de plaisir mon corp est parcouru par un soubresaut.
Ensuite elle saisit ma queue et commence à l’astiquer doucement pour l'enduire elle aussi.
Mon souffle se fait plus fort. Elle me regarde dans le syeux et me dit : -” Tu n'en peux plus hein ? cela t'excite grave! “
On se retrouve front contre front et je m'entend lui dire ,oui sophie.
“Tu es ma chose.”
Me dit 'elle, en prenant mon menton dans sa main libre avant de m'embrasser intensément.Toujours front à front, elle me dit d'une voix,plus douce de m'allonger sur le ventre les bras en croix .
Je m'exécute. Je sent qu'elle fait couler de la crème sur le haut de mon dos. Elle est positionnée au dessu de moi. je vois ensuite tomber à côté de ma tête son haut et son bas de bikini.
Mon dieu elle est nue au dessu de moi. Cette idée me fait encore bander plus fort si il est possible. Mon sex est écrasé sur le carrelage de la terrasse.
Je la sent s'asseoir sur mes fesses.Elle passe ses mains dans mon dos, ma nuqe, pour étaler la crème .humm c'est divin...
Ensuite elle descend sur le bas de mon dos, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses pour descendre doucement et langoureusement jusqu'au bout de mes orteille.
Une foi cette étalage de crème hautement excitant,réalisé
. elle se positionne devant moi et reprend son ton autoritaire - “A genoux, jambes ouverte esclave.”
Je prend la position et lève enfin les yeux sur elle. Les mains sur les hanches jambes ouvertes, elle me regarde de haut avec des yeux autoritaires.
Elle est magnifique. Elle me voit la contempler et me dit: -” Au lieu de te rincer l'oeil enduit moi de crème solaire.”
“Oui sofie.”
Je m'entend lui répondre.
Je commence par prendre de la crème solaire au creux de mes mains et j'enduis ses petits pieds,je remonte sur ses mollet ses cuisses, je m’appliques.
L'instant est troublant. Je crois que c'est la première fois que je la touche.
j'arrive à ses fesses, ses hanches son sex que je masse avec plaisir.Je sent bien qu'elle est excitée elle aussi. Sa respiration s'accélère.
“n'en profite pas trop belle bite, continue.”
Je continue de parcourir son corps pour l’enduire de crème solaire; son dos, ses bras , ses épaules. J’arrive à son coup et son visage, l'instant est troublant.
Nos regards se croisent de nouveau. Son corp m'attire.
paff je suis sorti de ma rêverie par une gifle monumentale.
-” A genoux.” Me crie telle.
Elle m'empoigne par les cheveux pour me traîner vers la table.
Bien que tous les deux nu, il n'y a aucun doute qu'en à la hiérarchie établi entre nous.
Pour commencer, je suis à quatre pattes, traîné par les cheveux d'une main ferme et mon cul est rougi par les fessées reçues alors que le sien est d'une perfection immaculée.
Ensuite à son attitude on voit qu'elle est à l'aise nue dans ce jardin, alors que moi j'ai la peur du débutant. La peur d'être surpris.
Sans lacher ma chevelure, elle atrape son telephone sur la table,et m'entraine vers le transate.
Elle s'installe confortablement me temps une de ses jambe de manière nonchalante.
” Allez. Leche mes pieds. Suce mes orteilles, masse moi.J'ai un coup de file à passer.”
M’ordonne t elle.
Me voila a ses pieds, à les lécher, les sucer, tendit qu'elle passe ses coups de fil. Elle appelle d'abord un ami, puis sa mère.
Elle était en grande conversation avec une amie quand à force de voir son sex nu devant moi,à quelques dizaines de centimètres de ma bouche, je ne pu résister à l'envie de la lecher.
Ma bouche remonte le long de sa jambe et arrive à l'entrée de son sex. Elle me jette un regard mais ne m'interrompe pas.
Je suis en trian de laicher son sex tandis qu'elle reprend la conversation.
Elle mouille abondamment, c'est un régal de la titiller alors qu'elle essaye de continuer ca conversation. Je sent sa respiration s'accélérer, son auditrice aussi.
Je l'entend lui demander.” sofie ca va? tu as laire essoufflée.” - “ oui ma chérie ca va je viens juste de descendre les escalier c'est pour ca.
jen profite pour accélérer mes coup de langue sur son sex.
je sent sofie s'emballer juste avant de dire à son amie d'une voix hésitante. - “ Je vais devoir te laisser. Je suis désolé mais je dois y aller, je suis déjà en retard.”
Elle lui raccroche précipitamment le téléphone au nez.
Elle m'atrappe par les cheveux,attire ma tête encore plus contre elle et pendant que je le lèche, frote son sex sur mon visage en gémissant.
Ca respiration se met à s'accélérer alors qu'elle écarte encore plus les jambes pour mieu me sentir. Encouragé par ses gémissements de plus en plus sonore je la lèche frénétiquement. Son corps se met à trembler de plus en plus fort jusqu'à son orgazme qu'elle acompagne d'un cri de plaisir. Totalement impudique, se moquant éperdument d'être entendue, alors que nous nous trouvons dans le jardin de la propriété.
En plein paroxysme de son plaisir, elle m'enserre avec ses jambes autour de ma tête,m'empêchant presque de respirer. Elle fini par me libérer au bord de l'asphyxie.
je suis a ses pieds en train de reprendre mon souffle.
Son regard se pose sur moi. Affalée dans son transate une jambe grande ouverte, elle me dit avec un regard coquin. - “ humm tu va être une bonne pute toi belle bite. Allez allonge toi sur le dos.”
Finit elle en me montrant le sol d'une main nonchalante.
Me voila nu sur le sol la queue raide comme un piquet.
Assise sur son transate, les coudes sur les genoux, la tête dans la paume des mains. Sophie apprécie le spectacle d'un regard félin
Elle se lève, vient se positionner au-dessus de moi les jambes écartées. Elle me sourit. descends doucement se mettre à genoux.
D'une main elle prend mon sexe bandé en l'attrapant par le gland entre un doigts et son pousse. Le Décalotte doucement avant de le faire entrer lentement en elle. Quand mon sexe rentre en contact avec le sien je sens un frisson de plaisir nous parcourir. Sa bouche s'ouvre doucement et elle enfonce lentement ma queue de toute sa longueur dans son sexe. Elle lâcher un petit souffle qui trahit son plaisir, avant de poser ses mains sur mon torse.
Elle commence à faire des va-et-vient sur ma queue. Je me fais littéralement chevaucher. Je sens notre excitation à tous les deux monter ses mouvements de rein accélèrent.
Quand j'essaye de poser mes mains sur son cul, une gifle monumentale me ramène à la réalité.
“ même pas en rêve belle bite. Me crie-t-elle d’une voie pleine d'excitation. Tu touchera mon cul quand je te le dirai.”
Elle continue à accélérer ses mouvements. Elle se met à gémir des gifles volent sur mes joues. En pleine frénésie, sans un mot elle attrape mes mains et les pose sur ses fesses. Je je les les Agrippent pleinement.
Cette action est comme un signal. Elle pose alors ses mains sur mon torse et accélère encore ses mouvements de hanches.
Je sent le plaisir monter en elle. Elle se met à respirer de plus en plus fort, à pousser des gémissement de plus en plus sonores.
Elle est au bord d'un nouvelle orgasme quand elle me dit hors d'haleine.-” Je t'interdis de jouir. Tu jouiras quand je te le dirai retient toi! ”
Je lui répond oui maîtresse sophie. Ces mots sont un déclencheur pour elle.Son corp est
parcouru de spasmes, ses ongles s'enfoncent dans la chère de mes pectoraux. Elle pousse un grand cri de jouissance,tout son corp se tend de nombreuses seconde et sa tête est tirée vers l'arrière.
Elle fini par s'effondrer sur mon torse. Je sens son soufle dans mon coup.Je lui caresse le dos doucement, ses mains caresse maintenant plus tendrement ma nuque.Ma queue est toujours en elle ,sensible sous l'exitation du moment.
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Par : slanesch
Je me lève d'humeur ronchonne. j'avale mon verre d'eau ,et ouvre le volet de la fenêtre de ma chambre.
Le ciel radieu de cette belle matinée de printemps,atténue un peu mon humeur. C'est donc avec un léger sourire au lèvre que je descend vêtu d'un unique boxer, pour prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.
je descend les escaliers. Me sert un bolle de céréal et sort à l'extérieur pour aller m’installer.
Là quel n’est pas ma surprise de trouver ma coloc sophie étendue sur un transate, vêtue de son petit bikini à rayure blanche et rose.
Je ne vous aie pas encore décris ma coloc sophie. C'est une jeune fille de taille moyenne.
elle doit faire au alentour d'un mètre 65. ces cheveux sont blonds, sa silhouette est fine, et ses sein ont une jolie forme.
Elle possède aussi un joli sourire qui illumine un visage ou la joie de vivre se lit très souvent. Mais son atout majeur reste son postérieur.
Elle possède un cul magnifique. De belles petites fesses bien fermes.
La voyant se dorer au soleil les yeux fermé, je lui signale ma présence en l'interpelant.
-” Et bien alors tombée du lit!? qu'es que tu fais debout à cette heure ?”
Elle ouvre les yeux, me fait un petit sourire en voyant que c'est moi et me répond.
-“Les autres en partant mon réveillée et impossible de me rendormir.”
Elle jette un regard a mon bol de céréales: -” Ah c'est une bonne idée ça, va me chercher un verre de jus d'orange!”
je lui rétorque qu'elle est une grande fille et qu'elle peut se lever.
A cette instant, elle m'envoie d'un ton ferme - “ta gueule salope va me chercher un verre de jus d'orange!”
Je ne vous l’aie pas encore dit, mais sophie et moi sommes très complice.Je lui aie donc parlé de mes penchants pour la soumission.
Loin de trouver cela bizarre, elle s'est montrée très curieuses. Petit à petit au fil de nos conversations, je lui aie fait un peu découvrir cette univers nouveau pour elle. Elle y a vite pris goût.
De temps en temps comme ce matin, quand nous sommes seul tout les deux elle s'amuse à prendre un ton supérieur et à me donner des ordres. Elles les ponctue généralement d'un "salope". Sachant que cela me trouble énormément, et que je vais finir par céder en lui obéissant.
Ce matin n'étant qu'en pijama et sentant une érection naissante qui ne tarderai pas à faire gonfler mon boxer, je ne résiste pas longtemps.
je lui répond : -” oui sophie.”
Elle me fait un petit sourire complice et entendu avant que je file à la cuisine lui chercher son verre.
J'espérais que le temps de lui préparer mes pulsions se seraient calmées mais c'est plutôt l'inverse qui se produit. Ma queue ne fait que grossir dans mon boxer.
En revenant je ne pourrait pas nier que la situation m'excite.
C'est donc très gêné et le boxer prêt à exploser que je réapparaît devant elle.
J'essaye de ne pas me démonter et je rentre dans mon rôle. Je m'agenouille devant elle en lui tendant le verre. -“S'il te plait sofie.”
Elle prend le verre de mes mains, et me dit de me relever.
Je m'exécute. Elle regarde donc la bosse dans mon boxer et ensuite lève ses yeux sur moi.
“Ca t'excite vraiment de te faire traiter de salope?” me dit elle toujours l'aire amusée.
-”oui ça réveille la salope mâle qui est en moi lui répond je géné.”
prononcer ces mots me trouble, mais cela m'excite aussi énormément.
“Nous avons trois jours à passer tout les deux.” Dit elle.-”nos autres colocataires ne rentrent pas avant mardi, et je veux que tu sois mon soumis,cela te tente?
en la regardant dans les yeux, je lui répond -”oui.” D’une voix un peu timide.
Plusieur fois tu m'as dit que si je continuais de te chauffer, tu allais me supplier de te dominer comme une salôpe mâle déclare t'elle.
“J'ai envie de voir cela. Alors, fou toi à poil et offre moi ta soumission!”
Dit t elle d'un ton neutre toujours allongée sur son transate avec son verre de jus d'orange à la main.
Je la regarde. J'ai un peu peur, avant de m'exécuter, mais les mains tremblantes j'enlève mon boxer. à peine libérer ma queue bandée se dresse droite et dur, d'une de ses érections ou la queue est très sensible. Quand celui ci finit sur mes cheville, j'entend sophie avoir un petit gloussement et je vois son regard posé sur ma queue raide.
elle me dit - “Belle bite. Cela va être un plaisir d'en user et abuser.”
Son regard remonte sur le mien avant de déclarer. -”Cela te vas bien belle bite! Ce sera ton petit nom de soumis. Allez supplie moi maintenant belle bite !
Un peu gêné et le coeur battant, mais sous son emprise je me met a quatre pattes maintenant nu comme un verre sur la terrasse de la maison jambes écartées et face contre terre au pied du transate où sophie est affalée,elle vêtue de son petit bikini.
Je mes met à l'implorer t elle une déesse,
- “Je vous supplie sophie de me dominer.Je vous offre ma soumission. Je vous implore de faire de moi votre chose, je serai votre chien , votre esclave votre sex toy et votre petite pute mâle.Ma queue ma bouche et mon cul sont a vous! ”
ton cul et a moi s'esclaffe t elle. -” Alors pourquoi n'est il pas tourné vers moi “!?
Dans la seconde je me retourne face contre terre et derrière bien haut pour lui présenter mes fesses...
Quand j'y pense je devrai avoir honte. Mais au contraire sous l'excitation, j'y prend un plaisir perver.
Elle pousse un petit gloussement avant de déclarer-” Tu sais que je vais te le dépuceler ton cul n'est ce pas? Que je vais te baiser, que ca m'excite grave !dit le que tu le sait me crie t elle.”
Face contre terre, je lui dit oui sophie je le sais .-” Tu sais quoi? ” rétorque t elle. Je sais que tu va me baiser le cul...
-C'est bien belle bite. Maintenant met toi à genou jambes et bouche ouvertes ,mains derrière la tête...
Je m'exécute, totalement excité par la situation et bien décidé à essayer d'obéir à tous ses désirs...
-”Allez cambre toi un peu ma salope fait ressortir ton cul belle bite!!
Me voilà en train de bomber les fesses. Nu comme celà je sent le souffle de l'aire sur mes parties génital et le soleil sur des surfaces de ma peau qui n'en ont pas l'habitude. Cela me procure encore plus de plaisir...
Sofie daigne enfin se lever de son transate. Elle marche autour de moi fait le tour de mon corps en ricanant. Au passage elle me tapote les fesses. ce qui me surprend. je laisse échapper un petit cri de surprise.
Elle me tire alors les cheveux en arrière et me gifle la joue.
Ce n'est pa encore le moment de couiner belle bite s'exclame t elle.
Elle revient devant moi, regarde mes parties génitales et me dit: - “Il va falloir dépoiler tout cela mon cochon!”
Elle se dirige ensuite vers la table de la terrasse où ce trouve une grande boite que je n'avais pas encore remarquée.
Je me demande bien toute les choses qu'elle contient.
Elle en sort un rasoir et de la mousse à raser... elle me les jettes devant moi et elle me dit : - “Allez dépoile toi, je ne veux plus un poil sur tes couilles et ta queu dépeche toi.”
Et elle se rassoit sur le bord du transate, m'observent me raser les parties génitals avec précaution.
Quand je fini elle me dit de me remettre en position, les mains derrière la tête et m'asperge au jet d'eau pour me rincer. L'eau froide me coupe la respiration mais je tien la position. Elle rigole
“C'est bien belle bite allez maintenant remet toi en position face contre terre et cul en bombe comme tout à l'heure quand tu me l'as offert.
je m'exécute.Elle trouve que mes jambe ne sont pas assez ouvertes, et m'ordonne de les ouvrir plus :- “allez petite pute écarte tes jambes…”
Je ne la voit pas mais je l'entend se lever. J'ai un peu peur mais je l'entend le bruit de la bombe de mousse à raser. Puis ensuite en sent sur mon anus et le creux de mes fesses...
Elle pose une main sur l'une de mes fesses et je sent le rasoir commencer à passer sur ma peau.
-”Chut n'aie pas peur belle bite, je ne vais pas te faire mal.” Me chuchote t elle tendrement en me rasant.
- “je te prépare juste le cul pour son dépucelage n'aie pas peur.”
Tout en finissant de me raser elle me caresse les couilles doucement: “ Ca te plait tout ça hein ma petite pute? tu aimes être ma chose...
humm oui dis je en gémissant, j'adore cela sofie.
tu adores quoi mon soumis ?
-J'adore être ta petite pute ta chose sofie.
Elle rigole et me dit que je suis complètement givré.
“Mais moi aussi je commence à kiffer cela belle bite.” M'avoue t elle.
Quand elle finit par être satisfaite de mon “dépoilage” elle se redresse en me donnant une petite tape sur le cul.
Ne bouge pas belle bite...
La voilà qui se remet à me nettoyer au jet d'eau.
Ensuite elle me laisse comme cela et va se réalonger dans le transate.
- “Retourne toi” belle bite me dit elle.
elle me lance alor un flacon de gel douche au visage...
-” Allez lave toi! Fait mousser le savon et fait la salope. J'ai envie de me divertir.” M'annonce t'elle.
A ce moment la je n'aie plus aucune gène ou inhibition, me voilà faisant mousser le savon sur ma peau,
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Par : ange de Vesper
Nous sommes un couple "normal", sans posture liée à un statut dans le quotidien. L'un comme l'autre peut être à l'initiative de moments d'intimité, sexuels ou tendres, selon nos désirs - pas de décalage. Quelques gestes ou usages ont été instaurés dans ce quotidien, mais ils ne sont que des clins d’œil, des jeux, des friandises sans implication ni commune mesure avec ce qui se passe dans l'intimité.
Le premier décalage évident apparaît après le déclenchement par l'un ou l'autre d'intimité. Elle me domine ou pas, non pas par convention mutuelle, mais parce qu'elle le peut, quand elle le veut. Dans les faits, ce que j'initie, tendresse ou sexe, reste tel quel (vanille) ou je me retrouve dominé ; ce qu’elle initie est de la tendresse ou de la domination.
Sa domination est sexuelle, sa sexualité est dominante, dans le sens où ces deux désirs sont liés, indissociables, se nourrissent l'un l'autre, se comblent l'un l'autre (plaisir).
Ma sexualité est sous contrôle, dominée. Mon désir sexuel se retrouve lié à sa domination, il est exacerbé par sa domination, utilisé par sa domination, comblé ou pas dans sa domination. Mon plaisir sous sa domination et mon plaisir sexuel sont par contre très dissociés et ne sont jamais comblés au même moment (ou frustrés).
Ces différences entraînent le deuxième décalage, le plus difficile, celui de l'après. certains appellent cela la descente mais je le ressens personnellement comme une remontée, quand elle ne me domine plus, ne me subjugue plus, ne me piétine plus, ne me soumet plus, ne m'enfonce plus (sub c'est en bas :)).
Il y a l'après immédiat, ses désirs comblés face à mon éventuelle frustration sexuelle et mon plaisir de soumission jamais rassasié (pas de phase réfractaire). Cette frustration fait encore partie de sa domination et j'ai "appris" à l'apprécier...
Et il y a l'après après. C'est de plus en plus compliqué avec le temps (7 ans) et la profondeur toujours plus grande de ma descente, de remonter complètement. Frustration, contrôle et emprise entraînent un état de désir sexuel ou de soumission quasi permanent, alors que ma compagne est légitimement "repue". Je me sens en attente, en demande, avec ce paradoxe dérangeant d'avoir envie d'imposer ma soumission, c'est à dire de faire ce qui me semble le plus artificiel dans les témoignages que je lis - deux individus se reconnaissant leur statut de soum et dom, et se mettant d'accord et respectant les désirs et besoins de chacun. Ce n'est pas ma conception de la domination mais dans ces moments là, j'aurais presque envie de brandir ma liste de courses et la charte des droits du soumis. Bref je me foutrais des baffes!
Avec le temps, ces moments difficiles sont donc de plus en plus forts. Parallèlement mon engagement progresse également, et me permet de résister tant bien que mal... avec comme conséquence de voir mon "appartenance" déborder hors du cadre intime et envahir mon esprit constamment. Troisième décalage ou emprise?
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Par : #
Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Par : Lilas
Hello toi qui me lis. On va se tutoyer tiens de toute façon je suis trop ivre pour vouvoyer correctement qui que ce soit. Trop en colère aussi, la colère a ceci de juste qu'elle a vite fait d'éluder les tournures et les intermédiaires pour se concentrer sur l'essentiel.
J'ai très peur aujourd'hui. J'ai souvent peur avant une séance. Dans quelques heures, je vais faire très mal à quelqu'un, vraiment très mal. Je sais que j'oscille souvent entre des moments où je suis trop gentil et des moments où je suis un peu trop méchant. Pendant quelques instants, je sais qu'il va me haïr et les insultes fuseront probablement. Cruelle, salope, horrible, monstre, traînée, slut, Toi, torride, cage, supplice... Je le connais bien, je suis habitué à son corps et sa peau, je sais le faire jouir, je sais où le pincer, quand le brûler, quand lui murmurer, quand le bayonner, je sais où et comment nouer ses peurs les unes aux autres... Je sais quoi faire pour lui faire glisser des larmes rien qu'à l'évocation de ce que je vais lui faire.Je sais quoi faire pour avoir ses yeux suppliants ou son souffle extatique. Pourtant, malgré tout ça j'ai peur. Il y a une terreur sourde dans le bas de mon ventre et elle s'agrandit de minutes en minutes. C'est comme un orgasme lent, qui chemine à un rythme ridicule mais grossit par reptation en grignotant ce qu'il trouve sur son chemin. Aucune raison ne justifie cette peur; je vais jouer sur un piano dont je connais chaque touche de tête. Pourtant j'ai peur...
J'ai peur, très certainement, parce que c'est mon moteur à moi. C'est la peur de la masochiste que je suis qui avance tremblante vers son partenaire de jeu. C'est la peur du jeune garçon que les interactions sociales plongent dans une profonde terreur. C'est une peur qui a soif de rébellion et de revanche, c'est une peur d'enfant qui se hisse sur des épaules de grand. C'est ce qui enclenche le mouvement de balancier, ma peur c'est le point de départ d'une terrible inertie. Ce soir je vais jouer mon rôle et comme à chaque fois que je vais jouer à être un peu trop moi même,j'ai peur.
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Par : Lady Spencer
Oui, j'aime terriblement fister
Délicatement, doucement, profondément ...
On parle souvent du plaisir de la personne fistée, on parle plus rarement du plaisir de la personne qui fiste
Dommage !
Car en termes de plaisir, j'en ressens vraiment lorsque je m'introduis dans ce ventre offert .
Je lui donne un ordre : déshabille toi
Son corps m'apparait, une peau douce, chaude, ferme.
Un corps sensuel
Un cul superbe, attirant, un cul demandeur
Il prend place sur le lit : il aime s'exhiber ainsi, presque ouvert déjà, en attente de caresses indécentes et profondes
Ses bras retiennent son front, son buste tendu frôle le drap, son dos se creuse sous la tension qu'il imprime à son corps , ses cuisses en appui et son cul tendu
Je le palpe, le découvre, le caresse, l'apprends
Mes mains vont et viennent , mes doigts se dirigent naturellement entre ses fesses
Impatiemment
Je suis désireuse de le posséder intimement : nous en avons longuement parlé, nous aimons ces jeux là, nous en avons besoin autant l'un que l'autre
Je le lubrifie et le pénètre d'un doigt : je découvre sa souplesse anale, je teste sa résistance, j'accompagne ses gémissements, je cherche sa sensibilité prostatique, la titille et la masse .
Je le quitte puis me présente de nouveau en ce cul demandeur : je place mes doigts à l'entrée de son orifice puis l'invite à s'empaler : son cul me prend, m'avale, m'absorbe : je me sens invitée, aspirée : j'aime ça ....
Ma main entre, doucement, sans forcer, j'entends ses gémissements de mâle devenir plaintes de ce plaisir femelle
Je le baise de ma main , il réclame plus de lubrifiant,
Je force son intimité à me recevoir, il se recule plus encore, poussant un peu plus en me suppliant d'entrer plus loin
Il se referme su mon poignet , m'enferme en lui et cette sensation est fabuleuse pour moi : cet instant où je me sens prisonnière de ce cul fouillé , où son sphincter s'est serré autour de mon avant-bras, cette force m'oblige à orienter ma présence pour gagner de la place
Son ventre est à moi : cette caresse est d'une intimité redoutable
Ma main tourne, mes doigts massent ses parois trempées, je frôle la zone si sensible, j'avance et recule, ses gémissements deviennent cris de plaisir, je veux m'enfoncer plus loin encore
Il me demande de ralentir pour ne pas jouir encore, son corps semble trembler de l'intérieur
Je pose mon autre main sur son dos pour le creuser plus encore et le voir prendre cette posture de femelle en chaleur
Le plaisir monte au creux de son ventre sans que je puisse savoir quand il explosera
Je suis en lui, je le tiens délicatement du bout des doigts, je le dépossède de sa maitrise, je lui offre mon plaisir, je brise sa résistance , ma main devient poing, j'aime cette sensation , je me fais dure et douce , pénétrante et sortante .
Il crie, se donne, il prend
Il en veut plus . Encore
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Par : Switcher
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache…
J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites.
Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus.
A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension.
Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy.
Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche.
Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain.
Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre.
Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi.
Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite.
Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu.
Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire.
Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement.
« Suce moi » me dit-elle…
J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer.
Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite.
Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir.
Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole…
Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses.
Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet.
Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement.
Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul.
Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer.
Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul.
Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore.
Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus :
« Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré »
Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul.
En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais.
J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi.
« Vas y , bouge, je vais jouir »
Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul.
Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle.
Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Par : Lady Gabrielle
La douleur est un thème qui me tient à coeur .
La douleur et le marquage au fer rouge.
Je suis une personne travaillant dans le milieu médical. Je suis également une Dominatrice d'où le paradoxe entre l'idée de calmer la douleur professionnellement et de l'infliger pour le plaisir.
(le mien et celui de la personne que je domine).
Dans tous les cas, je ressent un immense plaisir.
Comme soignante, j'éprouve une grande satisfaction de voir les patients qui me sont confiés, éprouver du soulagement à la suite des soins que je leur prodigue. Il en est de même quand je domine mon soumis, quand je lui administre « les douleurs qu'il aime ».
Douleur : sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps : sens premier.
Pour moi soignante , une seule et unique définition : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage.
J'exerce ainsi ma profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Je respecte la dignité et l'intimité du patient et de sa famille. Ce qui implique que je dois reconnaître la personne et sa souffrance dans le respect de la vie.
Il y a aussi bien d'autres définitions de la douleur , moi j'en rajouterai une : sensation agréable et transcendante ressentie par certains êtres humains dans différentes parties du corps. Cette sensibilité que l'on ressent permet d'éprouver du plaisir. C'est la douleur en tant qu'objet de plaisir.
Celui ou celle qui subit la douleur a besoin de l'exprimer par des cris, des pleurs, des gémissements ou mêmes des rires. Cela constitue une décharge émotionnelle qui soulage le corps humain. C'est une nécessité d'exprimer l'émotion créée par la douleur . Le fait de pleurer crier ou autre , calme et apaise. Cela permet l'intégration de la douleur par le corps et la rend supportable .
Dans le cas des masochistes comme le sont la plupart des soumis, y compris le mien , la douleur est souhaitée admise, intégrée à leur mental, recherchée. Elle leur est indispensable. ATTENTION dans la limite de leur douleur et de leur préférence en cette matière. Mais toutes les Dominatrices de qualité savent cela. Cependant, nous les Dominantes savons toutes que les limites de nos soumis sont faites pour être dépassées; et nous les dépassons allègrement avec le consentement de nos soumis.
Il suffit pour obtenir ce consentement de leur laisser le choix « FRANCHIR CETTE FRONTIERE OU PAS ? ». Dans la majorité des cas , ce consentement nous est acquis, sinon au moment même ,du moins quelques temps plus tard. Car les soumis ont à coeur d'offrir ce « DON DE SOI » à leur Dominatrice . Ils ne subissent pas uniquement de manière égoïste.
Le Marquage au fer rouge de mon soumis berny nous a demandé des mois de préparation psychologique. A l'origine , je voulais qu'il porte un tatouage mais cela ne nous convenait pas vraiment .
Berny souhaitait quelque chose de plus définitif . Il pensait déjà au fer rouge tout en le redoutant. L'idée m'a séduite et franchement , MESDAMES, quel cadeau de la part de l'homme qui vous aime . J'ai rapidement accepté. Il a fallut faire fabriquer le fer et organiser la cérémonie. Cela a demandé du temps et de la persévérance. Le jour du marquage arriva , néanmoins lors de cette fête, berny a bougé au moment du contact du fer et gémit. Je n'avais pas appuyé ni gardé le contact avec la chair de berny suffisamment longtemps. Ma marque s'est estompé en quelques mois.
Lors de la cérémonie du renouvellement de son serment d'allégeance, le 12 JUIN 2010, chez Maître FARELL, je ne voulais pas qu'il bouge, ni qu'il crie ou gémisse. Je voulais qu'il soit fort , de cette force intérieure que les hommes savent éprouver et offrir quand ils sont amoureux.
Je voulais que cette douleur que je lui infligeais soit sienne, soit nôtre, qu'elle soit son amie , de par l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Je voulais que MA marque soit indélébile. J'ai donc appuyé et prolongé le contact du fer rouge sur la peau de berny.
Il a fallut 4 semaines de soins avant de laisser la brûlure à l'air libre. A chaque changement de pansement , berny me demandait de lui appliquer de l'alcool. (son côté maso) .Sa manière à lui de prolonger cet instant.
Durant le jours qui ont suivi, nous avons beaucoup parlé. Berny a analysé ce qui l'avait fait, pour me donner satisfaction .
Il a fait appel à sa force mentale , d'auto persuasion, d'auto hypnose.
Il s'est aidé de son stress qui a accéléré les battements cardiaques et de sa respiration, en profitant pour forcer le rythme de celle ci. Chacun sait que la respiration joue un rôle primordial dans le contrôle des émotions et des réactions physiques.
La présence du public, était influant aussi. Il ne voulait pas faillir .
Je terminerai en remerciant mon soumis pour l'offrande de son corps et de son âme.
White Lady
.
Je viens apporter mon témoignage sur le marquage au fer qui ne vaut que par ma vérité et ma réalité . En aucun cas je ne prétends que cela est LA vérité universelle . Ce n'est qu'une histoire vécue entre Maîtresse Gabrielle et moi . Mais quelle HISTOIRE . . . Il est certain que chaque couple D/s vivra cette aventure différemment .
Tout d'abord nous sommes , Maîtresse et moi des êtres humains , ce qui régit notre union (libre en l'occurrence pour l'instant) c'est l'amour . Ensuite nous sommes Dominatrice et soumis . Nous vivons comme tous les couples amoureux , des moments extraordinaires , d'autres qui le sont moins .Comme tout le monde .
Quand je dis (union libre ) Ce n'est pas exact , je me sens lié à Maîtresse , par l'amour mais aussi par quelque chose de plus , qui n'appartient qu'à nous autres , les gens du BDSM . Quelque chose que les profanes ne comprennent pas .
Les Dominatrices exigent plus de l'homme qu'ELLES aiment , les soumis donnent plus à CELLE qu'ils aiment .
Cocteau disait "" Il n'y a pas d'amour ,il n'y a que des preuves d'amour """ . Je ne suis pas d'accord avec ça : il y a les deux .
Quand on aime quelqu'un on veut le lui prouver .
C'est ce que j'ai voulu faire en même temps que faire mentir la désillusion contenue dans cette citation .
Un jour Lady m'a posé la question : < Que serais tu prêt à faire pour me prouver ta soumission > Je n'ai pas répondu , je ne savais pas . Nous étions au début de notre relation . ELLE m'a laissé du temps pour Lui apporter ma réponse .
ELLE souhaitait me faire tatouer , cela ne nous semblait pas assez fort .
Bientôt , l'idée du marquage au fer s'imposa dans mon esprit . En effet , quelle preuve d'amour est plus forte ? plus symbolique ? plus significative ?
Quand j'ai proposé cela à Maîtresse , ELLE fut horrifiée , puis séduite . Mais cela ne s'est pas fait en un jour . Il a fallut des mois de préparation psychologique .Moi aussi j'étais horrifié par le marquage au fer . La première fois où j'ai vu cette pratique remonte à mon enfance . C'était dans une bande dessinée "" Barbe rousse "" ( souvenez vous Pilote , Astérix ,) Eric son fils était marqué au fer avant de partir aux galères . Puis Jean Gabin alias Jean Valjean dans ""Les Misérables"" qui se brule lui même . Il y eut d'autres scènes de films ou de passages de livres qui m'ont marqué .J'étais fasciné .
Voilà l'origine de ma proposition à ma Maîtresse . Le cheminement mental a été long pour y arriver . Ma motivation première était "" le don de soi "" à une Personne bien précise . S'est ajouté à cela d'autres sentiments et évènements : amour , envie de vivre ce que je suis , séparation , ne plus perdre de temps , être vrai , accorder mes prétentions avec mes actes , aller au bout de mes choix . . .
La douleur n'a pas été si terrible que ce que l'on peut penser . Entre le moment où Ma Lady avait décidé de me marquer et le jour de la cérémonie , il s'est écoulé environ une année . Nous avons beaucoup parlé de cet acte . J'étais donc particulièrement bien préparé psychologiquement . Cela n'empêche pas ,cependant , l'appréhension , notamment durant les dernières heures avant l'instant crucial . J'ai été marqué deux fois , la première fois j'avais bougé , en raison de la peur , du stress , du manque d'assurance de Maîtresse peut être ( ça ne doit pas être évident de tenir le fer rouge et de l'appliquer sur un être vivant ).
La deuxième fois ,chez Maître Farrell nous étions mieux préparés . Maîtresse m'avait demandé de ne pas bouger ni crier ni gémir . Inutile de dire que j'ai dû faire appel à toute ma volonté pour lui donner satisfaction . Grâce à la volonté et à la détermination on peut TOUT .
La douleur que l'on ressent alors n'est pas la même que celle ressenti lors d'une brûlure involontaire . Et je sais de quoi il est question : je me suis brûlé très souvent au cours de ma carrière professionnelle ( chef de cuisine )
Là , elle est admise , souhaitée , offerte !!! La différence est fondamentale .
Pour moi, la douleur :
"La douleur est pour moi, un moteur. J'en recherche certaines comme j'en redoute d'autres. celles ressenties en périodes BDSM sont évidemment mes préférées. Cependant toutes les parties de mon corps ne réagissent pas de la même manière face à la douleur qu'on leur inflige. Mon sexe et mes côtés supportent difficilement les coups cinglants, alors que les pincements et broyages leurs conviennent parfaitement.
Je pense que chaque être humain est différent face à la douleur ainsi que le seuil de douleur est différent pour chacun. certains ont une résistance physique considérable alors que d'autres sont très douillets. Entre ces deux extrêmes , il y a certainement toute une échelle de valeur.
Les masochistes ont des préférences dans les pratiques SM dont ils ne sont pas responsables. Certains préfèrent les coups d'objets frappants, d'autres les pincements, d'autres les piqûres etc...
Outre les douleurs volontaires en BDSM, il y a celles qui sont provoquées par le hasard des accidents de la vie. Il est évident que les traumatismes imortants ne sont pas ma recherche, tels que fractures, entorses, plaies. Cependant après un tel évènement quand les soins appropriés ont été prodigués, mon esprit se libère de tout stress et la douleur devient exquise. Quand les calmants commencent à agir, le bien être envahit mon corps , alors je le regrette presque.
Il m'arrive souvent de pratiquer un exercice mental afin de canaliser la douleur dans l'attente de soins et de médicaments. J'essaie de l'apprivoiser par la manière de respirer, je me décontracte et j'isole la partie en souffrance du reste de mon corps, de séparer mon esprit de mon enveloppe corporelle. L'auto suggestion est très efficace.
Je me demande toujours ce que ferait une autre personne dans une telle situation. La réponse est invariablement positive, elle résisterait. Donc , moi, je ne peux faire moins, et je me pose une question fondamentale : suis je ou non Masochiste ? Alors, j'essaie de tranformer la douleur incapacitante en douleur plaisir. A partir de là, je rejoints mon état de masochiste et mon cerveau se met à fabriquer les endorphines qui vont aider mon corps à supporter la douleur.
Il y a un autre aspect de la relation à la douleur. Dans une période de souffrance, mon esprit me dicte l'attitude à avoir. Les connections de mon cerveau se mettent en action pour me dire que j'ai mal. C'est que j'existe, que je suis vivant , que j'ai un combat à mener. C'est dans l'adversité, la douleur , les échecs que je me sens le plus vivant, car mon nstinct m'oblige à réagir, à faire en sorte d'améliorer la situation. Je crois que cela s'appelle "l'instinct de survie".
Nous avons tous des méthodes personnelles pour apprivoiser la douleur. Pour ma part, j'en ai une qui consiste à penser à quelqu'un ou à quelque chose d'agréable. Là encore, le plaisir créé par les souvenirs va m'aider à atténuer les effets insupportables de la douleur. Les pensées érotiques ainsi que les fantasmes qui provoquent chez moi le désir sexuel et qui m'invitent à me masturber, et au final l'orgasme sont des moyens très éfficaces contre la douleur.
Je crois que tout être humain voire même tout animal a ses propres auto défenses. Car vivre pour MOI signifie obligatoirement souffrir et chaque être vivant se prémunie comme il le peut contre la souffrance.
La présence du public m'a également beaucoup aidé , je ne voulais pas faillir devant l'assistance . Je m'en étais refusé le droit .
Je terminerai en remerciant Ma Lady , cette marque est la sienne , la mienne . c'est pour ELLE que j'ai subi cette douleur , par ELLE je suis fier de cet acte .
berny
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Par : Lily
Je suis nue, comme toujours dans nos tête-à-tête. Madame aime exacerber mes sens, alors un de mes bas sert de bandeau. De toute façon je ferme les yeux, concentrée sur sa voix, ses mouvements, son parfum.
Je suis contrainte par cette corde rouge que je connais si bien, la position de mes bras est inconfortable, mes jambes liées sont écartées pour me maintenir disponible. Une chaîne relie mon téton le plus sensible à mon piercing intime, un plug est planté dans mon sexe. L'amplitude de mes mouvements est très limitée. Madame joue avec moi comme un fauve avec sa proie. Elle se sert, elle m'utilise, elle dispose à sa guise. Je vis chaque sensation et chaque douleur avec cet indicible plaisir de me soumettre et de m'offrir à cette femme dont je connais aussi bien la douceur que le sadisme. Je suis en nage et inondée de désir. J'entends le petit "pop" du capuchon du feutre. Madame écrit sur ma peau.
Je m'abandonne sans réserve. Je suis sa propriété, sa chose, sa chienne. Le temps s’écoule au rythme de ses pulsions et de ses caresses, mon cerveau sécrète en alternance de la dopamine et des endorphines, mes terminaisons nerveuses sont à vif, mon ventre est en feu.
Madame finit par enlever le bandeau et délie la corde. La chaine et le plug restent en place. Je lis ses mots sur mon corps. *M's precious slut*. Le rouge de l'émotion me monte aux joues, violent.
Madame me fait face et s'allonge à moitié. "Ne bouge plus". Je suis à genoux. Immobile. Le silence envahit la pièce.
Elle me regarde. Longtemps. Il y a beaucoup, dans ce regard.
#BMOM
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