Méridienne d'un soir
par le 27/12/20
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Le seize septembre 1977, décède à Paris la plus célèbre cantatrice du XX ème siècle, Maria Callas. De son vrai nom,
Cecilia Sophia Anna Maria Kaloyeropoulou, est née en 1923, aux États-Unis, dans une famille d'immigrés grecs.
Celle qui s'imposera dans les années 1950 comme une star internationale, surnommée "la Bible de l'Opéra" par le
compositeur et chef d'orchestre américain Léonard Bernstein, conquiert le succès au lendemain de la seconde guerre
mondiale et il ne la quittera plus jusqu'à son retrait de la scène, en 1965. Elle est aussi devenue l'incarnation de la
Diva. Si la cantatrice n'a jamais cessé de nous fasciner, c'est bien sûr pour la légendaire rareté de sa tessiture vocale
et son expressivité digne d'une grande tragédienne, mais aussi pour sa forte personnalité, sa vie mouvementée et
sa fin tragique, qui laisse encore planer le doute. Sa mère est passionnée de musique, et commence par donner des
cours de piano et de chant à sa fille ainée, Jackie, avant de se rendre compte du talent de Maria. Elle l’incite donc à
prendre des cours de piano et de chant. En 1936, les Callas se séparent, et la mère de Maria Callas rentre au pays
avec ses deux filles. À cette période, le talent de Maria devient de plus en plus manifeste. Désormais, elle ne vit plus
le chant comme une corvée imposée par sa mère, mais comme une vocation. Car les relations maternelles sont très
tendues. Dès son enfance, la future Diva fut rejetée par une mère dépressive, handicapée par une forte myopie et
frappée de boulimie. La jeune fille trouvera son salut dans la révélation d'un don rare, une voix unique, bouleversante.
Si sa mère ne pouvait l'aimer, alors le monde entier l'admirerait. Ce timbre particulier que la Diva possédait et qu'elle
qualifiait de rebelle a su toucher des millions de mélomanes. Sans doute aussi parce qu'elle incarnait sur scène, avec
tant d'aisance et une véritable sincèrité, une sorte de rage empreinte de souffrance. Son ami et producteur, Michel
Glotz, ne parlait-il pas d'une "voix de bête fauve" ? Une insécurité maladive, un sentiment d'insatisfaction chronique
et une recherche insatiable de la perfection l'obligeront toute sa vie à se vouloir unique et incomparable. La nécessité
de concentrer sur elle tous les projecteurs lui vaudra de fortes inimitiés, même si chacun s'accorde à reconnaître la
maîtrise parfaite de ses résonateurs. Dans sa vie privée également, Maria Callas connaîtra de cruelles déceptions,
que sa soif d'absolu rend peut-être inévitable. Meneghini, le seul homme qui l'épousera, semblera moins fasciné par
la femme que la Diva. Et si elle aimera tant Aristote Onassis, ce sera sans doute parce que cet homme puissant s'est
épris de celle qui vibre justement derrière le masque de La Callas. Le milliardaire grec lui en préférera pourtant une
autre. Quoi de plus naturel alors que d'accepter d'interpréter comme seul rôle au cinéma, celui de la terrible Médée.
En 1937, Maria Callas entre au Conservatoire National Grec. Elle y étudie avec Maria Trivella, qui lui conseille de
chanter dans une tessiture plus élevée que le contralto qu’elle pratiquait jusque-là. Elle apprend donc des rôles de
soprano dramatique, qui correspondent à sa voix puissante au timbre sombre. En 1938, elle se produit sur scène pour
la première en fois dans un récital de fin d’année, où elle chante un extrait de "Tosca" de Puccini. En 1939, elle donne
sa première représentation d’opéra, dans le rôle de Santuzza dans une production étudiante de Cavelleria Rusticana
de Mascagni, âgée seulement de quinze ans. En 1939, elle passe du Conservatoire National Grec au plus prestigieux
Conservatoire d’Athènes. C’est là qu’elle passe ce qu’elle estimera être ses années les plus formatrices, auprès
d’Elvira de Hidalgo. Celle-ci est une praticienne du bel canto. Ce répertoire, alors tombé en désuétude, dont les
compositeurs les plus illustres sont Rossini, Bellini et Donizetti, met en avant la virtuosité de l’interprète, qui doit
naviguer sans peine sur une tessiture étendue et pouvoir assortir la mélodie d’un système élaboré de fioritures. Si
ce style de chant tout en légèreté et souplesse semble en opposition avec le répertoire dramatique auquel elle est
alors habituée, ce contraste contribuera pour beaucoup à son succès. Très vite, Maria Callas enchaîne les rôles forts.
Elle fait ses débuts professionnels en 1941 à l’Opéra National Grec d’Athènes, dans un petit rôle, celui de Béatrice
dans l’opérette "Boccaccio" de Franz von Suppé. En 1942, elle y joue son premier rôle important, Marta dans "Tiefland"
d’Eugen d’Albert, et continue à s’y produire tout au long de la guerre, y débutant certains de ses rôles légendaires,
en particulier Tosca. Après la Libération, elle part tenter sa chance aux États-Unis. À son départ, elle coupe alors
complètement les ponts avec sa mère. Les débuts sont difficiles, d’autant que son timbre si caractéristique n’est pas
du goût de tout le monde. Deux opportunités se dérobent. La première lui vient du Metropolitan, qui lui propose de
chanter "Madame Butterfly" (Puccini) et "Fidelio" (Beethoven) à Philadelphie. Elle refuse, car les rôles doivent être
chantés en anglais, ce qu’elle juge absurde, et qu’elle se trouve trop forte pour le rôle de Cio-Cio San. La deuxième
lui vient de l’Opéra de Chicago, qui doit rouvrir en 1946 avec une performance de "Turandot" de Puccini, mais la
production est annulée avant la première, la compagnie ayant fait faillite. Le retour aux États-Unis est très difficile.
Son art est incompris. Sa carrière suit surtout son cours en Italie, où tout démarre réellement à Vérone, en 1947.
La cantatrice se rend dans les grands théâtres transalpins. C'est alors qu'elle fait la connaissance de nombreuses
personnes qui transformeront sa vie et la mèneront à la consécration. En premier, le chef Tullio Serafin, pilier de la
Scala de Milan, qui fait office de conseiller artistique. Ensuite, Giovanni Battista Meneghini, riche héritier qu'elle
épousera et qui deviendra son agent. Maria Callas est désormais une star, ses rôles se succèdent, ses emplois
du temps se remplissent de plus en plus, elle forge sa légende. En 1947, elle obtient une audition avec le directeur
artistique des Arènes de Vérone pour le rôle-titre dans "La Gioconda" de Ponchielli. Elle décroche ainsi son premier
grand rôle. Le chef d’orchestre en est Tullio Serafin, un ancien assistant de Toscanini, qui devient son mentor et
collaborateur fréquent. À Vérone, elle rencontre également son premier mari, Giovanni Battista Menighini, qui sera
son manager jusqu’à la dissolution de leur mariage. Elle enchaîne avec la plupart des grandes scènes d’Italie.
Ainsi, en 1947, elle fait son début à la Fenice dans le rôle-titre de "Tristan et Isolde" de Wagner. La même année,
c’est au Teatro Communale de Florence qu’elle chante pour la première fois l’un des rôles qui resteront toujours
associés à son nom, la "Norma" de Bellini. La cantatrice réveille un regain d'intérêt pour des opéras longtemps
négligés de Cherubini ("Medea"), Bellini ou encore Rossini. Le quatorze avril 1957, elle chante aussi à la Scala
de Milan le rôle-titre d'Anna Bolena de Donizetti. Le triomphe sans précédent constitue le point de départ de la
redécouverte des ouvrages oubliés du compositeur. Pour Montserrat Caballé, elle ouvre ainsi de nouvelles voies.
En 1949, trois jours seulement après avoir chanté "La Walkyrie" (Brunnhilde) de Wagner à la Fenice, elle chante
Elvira dans "Les Puritains" de Bellini. L’annonce interloque. Brunnhilde est un rôle wagnérien par excellence, qui
exige une voix de grande puissance, tandis qu’Elvira est prisée par les voix plus délicates, plus encore que Norma.
Le grand écart paraît donc total, d’autant que Maria Callas doit apprendre le rôle à la dernière minute. Et pourtant,
"Les Puritains" est un triomphe. Maria Callas insuffle justement une vigueur dramatique dans ce rôle, qui n’était
alors considéré que comme un vain exercice de vocalise. D’ailleurs, l’interprétation du bel canto par la Callas est
moins une innovation qu’un retour aux origines, puisque les compositeurs de ce répertoire n’écrivaient pas leurs
rôles pour des sopranos légères mais pour des voix graves et sombres quoique capables d’aller dans un registre
de colorature, comme Maria Malibran. Maria Callas génère un regain d’intérêt pour le bel canto. La même année,
elle effectue ses premiers enregistrements, permettant à sa voix si particulière d’être entendue à travers le monde.
La Callas est d’ailleurs probablement la première diva de l’ère des enregistrements scéniques. Sa voix se distingue
par trois registres différents. Un premier dans les graves, sombre et dramatique, un deuxième dans les médianes,
dont le timbre a souvent été comparé à un hautbois, et un troisième dans les aigus, d’une puissance et d’un éclat
sans commune mesure avec la plupart des coloratures. Cette spécificité fait dire à certains que Maria Callas a trois
voix, phrase qui peut être voulue comme un compliment ou comme une insulte. Ses admirateurs trouvent que cette
diversité vocale permet de moduler la voix selon la tonalité de l’action, ce qui insuffle une richesse incomparable à
chaque rôle qu’elle incarne, tandis que ses détracteurs considèrent ces registres disparates comme une hérésie.
En 1950, elle fait ses débuts à la Scala de Milan en remplaçant Renata Tebaldi dans le rôle d’Aida. Sa rivalité avec
cette dernière défraie la chronique tout au long de leurs carrières. Il semblerait cependant que cette rivalité ait été
largement exagérée par les journaux de l’époque, qui n’ont eu de cesse de comparer la Callas avec cette autre
très grande étoile de l’opéra, au style beaucoup plus conventionnel, donc bien mieux accueillie par les puristes.
Elle fait son vrai début à la Scala en 1951, en Elena dans "Les Vêpres Siciliennes" de Verdi. Elle y reviendra
régulièrement au cours de la décennie suivante. Elle s’illustre alors non seulement dans les classiques du répertoire,
comme Norma ou la Traviata, qu’elle chante pour la première fois à Florence en 1951, mais aussi dans des œuvres
moins données, qu’elle contribue à faire revivre. Elle chante Médée de Cherubini, un autre de ses rôles fétiches, au
Teatro Communale de Florence en 1951, ainsi qu’Armida de Rossini, à Florence également, en 1952. La même
année, elle fait ses débuts à Covent Garden dans "Norma", où chante également la jeune Joan Sutherland, qui
deviendra l’une des chefs de file de la génération post-Callas. En 1953, elle réalise un célébrissime enregistrement
de Tosca pour EMI, peut être son disque studio le plus renommé. La même année, alors qu’elle s’apprête à chanter
Médée à Florence, elle entame un régime drastique. Sa perte de poids aura un impact sur sa voix, mais son nouveau
physique contribue à son aura et à son statut de vedette. En 1954, elle chante "La vestale" de Spontini à la Scala.
C’est également en 1954 qu’elle fait ses débuts au Lyric Opera de Chicago. La présence de Maria Callas à Chicago
donne ses lettres de noblesses à la jeune institution. Pourtant, elle jure de ne plus remettre les pieds dans cet opéra
après une performance de "Madame Butterfly" qu’elle y donne en 1955. En effet, les applaudissements n’ont pas
encore cessé lorsqu'un marshal fait irruption dans sa loge pour lui apprendre qu'un ancien manager lui réclame de
l'argent. Un paparazzi immortalise l’instant où Maria Callas, encore en kimono, pourchasse le marshal, son visage
figé dans un rictus de rage. La photo, qui fait le tour du monde, contribue à cimenter son image de prima donna
impétueuse. Toutefois, sa carrière est à son apogée. Elle réalise notamment deux de ses performances les plus
légendaires à la Scala, dans les rôles de "La Somnambule" de Bellini et de "Violetta" dans "La Traviata" de Verdi,
ainsi qu’une "Lucia di Lammermoor" de Donizetti exceptionnelle à l’Opéra d’Etat de Berlin sous la direction de Karajan.
Elle continue d'ailleurs peu après d'y réaliser certaines de ses performances les plus légendaires, comme celle du
rôle-titre d’Anna Bolena de Donizetti en 1957. En 1958, elle fait ses débuts à l’Opéra de Paris en récital. La même
année, la Traviata qu’elle enregistre à Lisbonne rentre à jamais dans les annales, tout comme sa Médée de Dallas.
La décennie 1960 est en dents de scie. Sa voix se dégrade du fait du nombre important de concerts chantés, du
régime drastique que la cantatrice s'impose et d'une maladie mal diagnostiquée. Les médias donnent désormais
une grande importance aux aspects extra-professionnels de sa vie, tels que sa liaison avec le magnat grec Aristote
Onassis, dont elle devient la maîtresse, lors d’une croisière à laquelle ils participent tous les deux accompagnés de
leurs conjoints. Au terme de la croisière, le mariage de Callas est terminé. Elle pense épouser Onassis, mais si
celui-ci divorce de sa femme, il n’épousera jamais Maria Callas. Elle consacre tout de même de plus en plus temps
à cette relation. Ses apparitions scéniques se font sporadiques. Sa voix commence à échapper à son contrôle. Sa
prise de rôle la plus fameuse durant les années soixante est celle de "Carmen" de Bizet, qu’elle enregistre à la
salle Wagram en 1964, dans lequel elle parvient à transcender les limites de sa voix grâce à son intensité dramatique.
Elle ne chantera cependant jamais le rôle sur scène. En 1964-1965, elle réalise ce qui s’apparente à une tournée
d’adieu, donnant les rôles les plus emblématiques de sa carrière dans les plus grandes salles, Médée, Norma et
Tosca. Sa performance de "Tosca" à Covent Garden est filmée par Franco Zefirelli. Son vieil ami, Tito Gobbi lui
donne la réplique en interprétant Scarpia. Mais Maria Callas n'a plus le goût de la scène et son public le ressent.
Les dernières années de sa vie sont amères. Même si elle renonce à la nationalité américaine en 1966, ce qui
revient à divorcer de Menighini, puisque la Grèce ne reconnaît que les mariages célébrés par l’Église orthodoxe,
Aristote Onassis conserve sa distance. Il met même fin à leur liaison en 1969 afin d’épouser Jacqueline Kennedy.
La même année, elle joue Médée dans le film de Pasolini. Il ne s’agit pas d’une version filmée de l’opéra de
Cherubini qu’elle a tant chanté, mais de son premier et unique rôle parlé. Le tournage s’avère éprouvant, et le
film reçoit un accueil mitigé. En 1970, elle est hospitalisée après une overdose de barbituriques, qu’elle affirme
accidentelle. En revanche, la série de master-classes en 1971-1972 à la Juilliard School est un réel succès,
non seulement parce qu’elle fait salle comble, mais aussi car elle témoigne de réels dons pédagogiques. Elle
entame une relation avec le ténor Giuseppe di Stefano, lui aussi en fin de carrière, avec lequel elle entame
une tournée mondiale de récitals en 1973. Les critiques sont sans merci, mais le public est au rendez-vous.
Son dernier concert a lieu le dix novembre 1974, au Japon. Elle entre dans l'ultime et tragique phase de sa vie.
Nous sommes le quinze mars 1975. Maria Callas, qui a fait ses adieux au public et réside désormais seule à
Paris où elle s'est retirée du monde dans son appartement parisien au troisième étage du trente-six avenue
Georges Mandel où ses seules occupations sont d'écouter ses vieux enregistrements et de promener ses
caniches en empruntant chaque jour le même itinéraire, apprend la nouvelle qu'elle redoutait tant, la mort du
seul amour de sa vie, Aristote Onassis. C'est un coup terrible pour celle qui lui a rendu visite à plusieurs reprises,
durant son agonie, à l'Hôpital américain de Neuilly. Malgré le temps passé et les trahisons, Onassis est demeuré
sa seule passion. Huit mois plus tard, le deux novembre 1975, une nouvelle épreuve frappe la Diva. Le réalisateur
italien Pier Paolo Pasolini, celui qui six ans plus tôt, lui avait offert le rôle principal dans son film "Médée" et à qui
elle devait en partie la résurrection de sa carrière, est sauvagement assassiné sur une plage, près de Rome.
Mais la terrible série noire se poursuit. Le dix-sept mars 1976, c'est Luchino Visconti qui décède à son tour.
Épuisée moralement et physiquement, prenant alternativement des barbituriques pour dormir et des excitants dans
la journée, se soignant à la coramine pour ses brusques chutes de tension, elle meurt brutalement d'une embolie
pulmonaire le seize septembre 1977, à l'âge de cinquante-trois ans. Sur sa table de chevet sont retrouvés des
comprimés d'un hypnotique, dont elle aurait pu, par accident, absorber une trop forte dose. Comment ne pas
envisager le suicide ? Celle qui avait été l'une des plus flamboyantes chanteuses lyriques au monde apparaissait
comme une femme prématurément viellie. Tout au long de sa carrière, Maria Callas aura cultivé une farouche
indépendance. Elle n'aura eu de cesse de vouloir concentrer sur elle toute la lumière, au risque de se brouiller avec
ses partenaires de scène, femmes et hommes. Le suicide de la Diva au moyen d'une surdose de médicaments
est donc concevable. Maria Callas fut incinérée au cimetière du Père-Lachaise où une plaque (division quatre-vingt-
sept) lui rend hommage mais dès le premier jour, l'urne funéraire disparut puis fut retrouvée miraculeusement deux
jours plus tard. Ses cendres, ou ce que l'on pense être comme telles, seront dispersées en 1980 en mer Égée,
au large des côtes grecques, selon de prétendues dernières volontés, jamais retrouvées. On a pas fini de s'interroger
sur les circonstances et les causes réelles de sa disparition. Mais n'est-ce pas là le lot des gloires immortelles ?
Bibliographie et références:
- Yann Brice-Dherbier, "Maria Callas, les images d'une vie"
- Félix Guillermo Daglio, "Maria Callas"
- Claire Alby, Alfred Caron, "Passion Callas"
- Alain Duault, "Dans la peau de Maria Callas"
- René de Ceccatty, "Maria Callas"
- Madeleine Chapsal, "Callas l'extrême"
- Anne Edwards, "Maria Callas intime"
- Eugenio Gara, "Maria Callas"
- René Leibowitz, "Le secret de la Callas"
- Pierre-Jean Rémy, "Callas, une vie"
- Éric-Emmanuel Schmitt, "La Callas"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
Thèmes: littérature
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Méridienne d'un soir
Bonjour mon ami scenariste, alors j'en suis très heureuse; bonnes fêtes de fin d'année à vous.1f607.png
J'aime 27/12/20
kalina
Merci pour ce portrait de la grande cantatrice de légende. Je l'écoute souvent cette Diva.
J'aime 27/12/20
Méridienne d'un soir
Merci pour votre commentaire, Camille; bonne journée à vous. 1f607.png
J'aime 28/12/20
Méridienne d'un soir
Bonjour et merci pour votre commentaire, arc en ciel; joyeuses fêtes de fin d'année à vous, Madame. 1f607.png
J'aime 30/12/20