Mademoiselle_Lane
par le 10/10/20
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Désolée pour les éventuelles fautes, je suis prise en photo...
La voix de Bono m'aura bien inspirée entre in a little while et le Very Best Of U2 - U2 Greatest Hits - U2 Collection
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19h, je mettais la clé pour ouvrir l a porte d’entrée de son antre. Il m’avait demandé de lui faire les courses. Son travail le prenait énormément. Il avait prévu une soirée chez lui, un repas en tête à tête. L’automne s’était installé brutalement. Ces changements de température était fatiguant. Je ne savais même plus comment m’habiller. Il faisait si frais ce matin que je regardais dépiter mon dressing. J’avais ressorti mes collants couleur chair…
A peine entrée dans le vestibule, je vis un immense bouquet de roses rouge avec une carte à côté.
Je m’empressais d’allumer la lumière. Je souriais. Ses attentions étaient toujours surprenantes, parfois simples mais à me donner le sourire car c’était lui.. simplement lui.
J’ouvrai le lettre jointe.
« Ma petite chatte,
Je sais combien tu as des envies en toi, inassouvies. Sache que quelque soi la situation je serai toujours à tes côtés"
Que voulait il dire ?... Je continuais la lecture.
"Ce soir, je veux que tu vives intensément cette soirée que je t’ai préparé. C’est mon cadeau."
Je ne comprenais rien à son message.
A coté du bouquet était posé un polaroïd avec ce post-it.
- Vis ce moment instantanément
Je ne saisissais toujours pas où il voulait en venir. En tout cas, comme majorité de femmes le ferai , je déposai mon nez au-dessus de ces roses pour en sentir le parfum. Quelle déception, aucune odeur.
Je me remémorai toujours le rosier de mon enfance que ma mère avait planté et qui était si odorant, des roses blanches avec le bout des pétales d’un rose pale..
C’est au moment où je me relevai, surprise, je me retrouvais avec un sac en plastique sur la tête.
Une main se déposa sur ma bouche l’autre me tenant par la gorge.
Je tentais de me dégager de ces bras si forts.
Dans ma tête, comme une panique. C’est là que je compris le sens de son message.
L’inconnu me tenait si fermement que ma résistance était bien veine. Je me débattais quand même. La première minute me paru interminable. Il m’avait bloqué. Je savais que le sachet sur ma tête commençait à faire son effet. L’air allait commencer à me manquer.
- Tout doux ma belle. Calme toi… Laisse toi faire.
Je tentais une dernière fois de me défaire. L’air se faisait de plus en plus rare. Mes mains s’était posées sur son bras qui me tenaient par la gorge. Malgré le fait que mes griffes se plantaient dans son avant bras, il ne lâchait rien de son emprise.
Doucement, j’acceptais sa présence, je tentais de rester calme, de gérer ma respiration.
Quand l’air commençait à manquer, il me parla.
- Calmée maintenant ?
Sa voix était rauque, perverse et à la fois maîtrisée.
- Tu vas être bien sage si j’enlève le sachet ?
Je hochais la tête par l’affirmative.
A moitié sonnée par le manque d’oxygène, il ôta le sachet. Je profitais de ce moment là pour tenter de m’échapper.
Il bloquait le passage de l’entrée. Je me retrouvais ainsi sans défense face à cet intrut. Il était habillée en noir, il avait une cagoule sur la tête. Je savais parfaitement que cela n’était pas le hasard. Il avait organisé cela. Il savait que cela était un de mes fantasmes. Qui n’a jamais eu ce fantasme. Mais entre réalité et fantasme, il y a toujours une différence.
Je savais qu’il avait le contrôle, malgré moi sur la situation. C’était à la fois terriblement excitant et à la fois je voulais me dégager de cette situation.
Je luttais contre cet inconnu. Le fait de ne pas voir son visage me rassurait.
Je ne percevais que ce regard bleu glaçant. Il était grand, je sentais un homme qui s’entretenait vu sa force, sa poigne.
Il m’agrippa par la taille. Je tentais encore de me dégager. Mes escarpins tombèrent de mes pieds, témoin de ce qui allait se passer.
Je tombai au sol, il se jeta sur moi. Je sentais le poids de son corps sur moi.
- Tu veux jouer, on va jouer.
Je commençais à hurler. Il me bâillonnait de sa main puissante.
- Ta gueule !
- Si tu veux que je te remette le sachet sur ta gueule… continue de te débattre.
Je me calmais, il était toujours sur moi. Je sentis sa main remonter ma robe. Avec mes mains, je tentais de l’empêcher de faire ce qu’il voulait.
D’un coup brutal, il défit sa ceinture, saisit mes bras et m’attacha.
- Je vous en prie arrêter.. murmurai-je.
Il releva ma jupe pour qu’elle soit bien relever sur mon cul.
- Des collants, comme c’est mignon…
Il saisit le collant au niveau de mes fesses et les déchirer avec violence.
- Oh cette petite culotte….
Je me faisais suppliante, telle une biche effarouchée. Il avait pris soin de réaliser mon fantasme. Il était fou, incroyable.
L’homme déchira ma culotte. Je sentais sa force implacable. Je me débattais pour ne pas me laisser faire.
Il se rallongea sur moi, mis sa main sur ma bouche.
- Sache que plus tu vas te débattre et plus ça va m’exciter.
Il força ma bouche pour y mettre ma culotte. Il saisit le scotch qu’il avait amené et me musela ainsi.
- Oh quel regard, tu es bien excitante.
Il s’était relevé et s’était agenouillé à ma hauteur pour bien me regarder.
Il en profita ensuite pour m’attacher les chevilles à mes poignets.
J’étais ainsi à sa merci au milieu du salon. Il me laissa.
Qu’allait il faire de moi ? que faisait il ?
Je pleurnichais.
Soudain, j’entendais le bruit du polaroïd.
- Il te faut de bons souvenirs de la soirée qui t’attend.
Il caressa ma larme puis me claqua les fesses.
- Je vois que tu as fait les courses…
Il fouillait les sacs. Quand je le vis avec des légumes en main, je commençais à me débattre.
Je tentais de hurler un non. Mes sons s’étouffaient dans ma culotte.
Il s’était assis face à moi. Il me regardait, il se délectait de ce spectacle. Il prenait un plaisir à me prendre en photo pour me les montrer, les commenter et les jeter devant moi pour que je les vois attentivement.
- Je sais que tu es une bonne petite salope. Ne prends pas ces airs effarouchés avec moi. Je vais très bien m’occuper de toi. Je ne te ferais rien de mal, je te donnerai juste du plaisir.
Je devinais son sourire pervers. Il se leva. Je tentais de regarder au dessus mon épaule malgré ma position. Je comprenais.
Il inséra le concombre dans ma chatte. Quelques secondes auparavant je me débattais.. là j'étais à son écoute.
- Tu peux continuer à te débattre petite pute. Ta chatte et ton cul vient bien être tringlés ce soir.
Il prit encore une photo de moi goder avec ce légume dans la chatte. Je me sentais humiliée et honteuse.
- Quels jolis pieds tu as. Bien vernis d’un rouge que j’aime.
Il les massa longuement. Je me tortillais.
- Je vais bien m’amuser avec toi, ma poupée.
Il s’était rallongé sur moi. Il tenait en main le concombre. Il commençait doucement à faire des va et vient. Son bras entravait ma gorge.
- Profite ma chérie. Je vais te gâter. Tiens prend bien ça dans ta petite chatte.
Je gémissais. Mon état était entre crainte et plaisir. Je savais au fond de moi que c’est lui qui avait organisé tout cela. C’était un jeu. Rien qu’un jeu. J’étais profondément excitée.
- Allez lève toi.
Attachée comme j’étais, je tentais de me relever. C’était compliqué. Il me regardait. Voyant que je n’y arrivais pas, il me saisit pour me lever. Il était derrière moi. Son souffle au creux de mon oreille.
Il me lécha la joue.
Je voulais résister de toute mes forces et en même temps je voulais être docile. C’était un sentiment étrange. Pourquoi ce fantasme du viol simulé que j’ai toujours eu?. Si excitant. Le sentiment de lâcher prise, de se laisser aller, tout en sachant que dans ce contexte précis, tout était bien sûr sous contrôle.
Je m’étais déjà retrouvé dans une situation de contrainte dans ma vie, je n’étais pas dans cet état d’esprit. Le cerveau a une capacité à se figer face à une agression. Avec lui, Je pouvais tout lui dire, mes envies, mes désirs les plus sombres, j’étais un livre ouvert. Il avait une telle écoute, une telle maitrise. Je me sentais vulnérable et forte. Jamais je n’aurai organisé ce fantasme seule, trop de peur, trop de crainte de « mal tombé ».
Combien de fois, j’ai eu la sollicitation d’hommes qui rêvaient que je les attende dans une chambre d’hôtel les yeux bandés, ou même pire chez moi ? Je me disais mais à quoi pensent- ils. Malgré la situation qui peut être excitante, on ne sait jamais sur qui on tombe. J’ai toujours été précautionneuse. Ne jamais se mettre dans une situation qu’on ne peut contrôler.
Avec lui, je pouvais me laisser aller car il contrôlait la situation. Je savais son regard bienveillant. Peut être regardait il même ou était-il chez lui. Des deux je ne savais pas qui était le plus pervers.
Sans ménagement il me conduisait à la chambre. Je ne me laissais pas faire. J’étais comme déchainée. J’avais envie de me débattre, cela augmentait bizarrement cette envie d’être prise si fortement. D’être contrainte, sans défense. Un schéma psychologique où au final cela me permet d’accepter toute ma sexualité, mes désirs sombres.
Tout en me tenant par la gorge , derrière moi il me faisait avancer en direction de la chambre.
C’est là que je le vis.
Il était assis sur le fauteuil de chambre. Je devinais son ombre. Son parfum. Il allait être spectateur.
L’homme me poussa sur le lit comme une marionnette. Il écarta avec son genou mes cuisses. Je sentais le contact contre mon sexe. Il détacha alors mes mains de mon dos. Il saisit des cordes qui attendaient là.. il m’écartela sur le lit. Attachée, jambes et bras écartées. Offerte.
Il s’était levé. Je le vis alors à la main avec l’appareil photo. Il me regardait. J’étais rassurée de la savoir ici. Il ne disait aucun mot. Il prenait juste des photos indécentes.
Il jeta le polaroid sur le lit. Puis il se remit sur son fauteuil.
L’homme s’était mis à califourchon sur moi. Il m’embrassa à travers mon bâillon. Avec animalité il me lécha la joue tout en tenant mon visage entre les mains pour me forcer à le regarder.
L’homme prit le polaroïd et saisit cet instant.
- Humm ces yeux de biches larmoyant plein de noir.
Mon maquillage avait probablement coulé.
Je gémissais. Il me fit taire en mettant ses doigts sauvages dans ma bouche.
- Ta gueule, tu as compris.
Je me débattais. Cette situation m’excitait.
Ses doigts remplissaient ma bouche, puis il mis sa main ferme sur ma bouche. De son autre main, il envahissait mon sexe, prenant d’assaut ma chatte. Ses doigts était gros, possessifs. Je râlais. C’était bon et en même temps je ne voulais pas de ce plaisir. Ce n’était pas lui.. mais il regardait.
Un sentiment de lutte et d’envie.
Il me baisait de ses doigts en me faisant taire. Ses doigts furent très rapidement remplacés par son membre. Il était moyennement grand, juste ce qu’il fallait. Cette fougue me rendait folle.
Je tirais sur mes liens, je bougeais. Je sentais les cordes me cisaillaient. Je pouvais me lâcher.
Quand il me recouvra à nouveau la tête avec un sac. Il allait jouer avec ma respiration. Il le tenait bien fermé, sur ma gorge. Il me prenait, tout en me regardant.
- Tout doux ma belle…
Chaque coup était intense, le sentiment de peur exultait. Quand il voyait que le manque d’air se faire un peu trop, il m’en redonnait puis refermait le sachet. Tout en me prenant, encore et encore. Je perdais doucement pied, mais tout était sous contrôle. J’étais devenue une marionnette.
J’étais un peu au paradis, juste ce qu’il fallait, je pouvais maintenant me laisser complètement aller.
Il me détacha pour me retourner sur le ventre. Il y plaça plusieurs coussins sous celui-ci.
- Quel beau cul de salope. Je vais te saillir.
J’entendis encore une fois le bruit du polaroid.
- Il parait que tu aimes être fouillée petite putain.
Il s’attarda alors sur mon cul. Sans aucune préparation, il m’encula. IL tenait fermement ma nuque. Il l’enfonçait dans le lit, comme pour m’étouffer. Je criais.
- Ferme ta gueule.
- Tiens, prends ça dans ton cul de pute.
Je l’entendais râler. Il y allait avec une telle frénésie. IL me saisit alors par les cheveux pour bien redresser ma tête. Il me prenait encore en et encore. Je sentais ses couilles taper contre moi. Des coups précis, bien au fond, cinglant.
- Dis moi que tu aimes ça !
- Je… j’aime encore murmurai-je
Il se stoppa net. Il écarta de ses mains mes fesses.
- Quel bon petit trou bien serré. Il ne m’a pas menti.
Je savais qu’il parlait de lui.. Je me doutais qu’il n’en perdait pas une miette
- Humm tu mouilles comme une chienne.
Il avait de la mouille plein la main quand il décida de me la montrer et de m’en mettre sur mon visage.
Il se mit bien à califourchon sur moi. Deux doigts dans mon cul. Il s’amusait avec, à tournoyer à jouer avec le pourtour de ma petite auréole.
Il tenta de mettre sa queue avec ses deux doigts à l’intérieur. Je gémissais, je ne voulais pas.
- Ferme ta gueule.
- Mais regarde moi cette mouille !!
Il me posséda et éjacula. Il enleva alors sa capote et la posa juste devant moi.
- Hum tu m’as bien vidé mais j’en ai pas fini avec moi.
Il se leva et prit alors un crochet anal.
Lui.. Il avait sorti plusieurs choses pour notre invité.
Il m’attacha alors les cheveux. Inséré la crochet sans ménagement dans mon cul. Il le rattacha à ma queue de cheval en y mettant une certaine contrainte.
Je me déhanchais pour tenter de trouver une pose confortable. Qu’allait il faire.
Puis j’entendis encore le son du polaroid.
- Une belle position de soumise… contrainte me dit il au son de l’oreille.
Un long silence. Etait il toujours assis ?
Il prit soin de déchirer tout mon collant pour m’en défaire. IL était revenu avec une petite bassine.
Il commença doucement à me nettoyer les pieds.
Je ne me laissais pas faire. Le crochet jouait au fond de mon petit cul. Et j’en étais responsable. Je gémissais, encore et encore. Excitée et honteuse.
Il les embrassait et s’en délectait.
- Hum ces petits pieds… si délicats, si doux… Et ce vernis…
Je sentis alors le coup de la badine s’abattre dessus. Je sursautais. Je me débattais.
Des petits coups précis, puis il y passait sa main pour me chatouiller. Je ne tenais pas, j’étais bien trop chatouilleuse. Je tentais de me convenir. Contrainte..
Il massa ensuite mes pieds, puis s’aventura encore mes jambes, mes cuisses. Il me posséda cette fois par la chatte. Il était à nouveau frénétique. La douceur avait laissé place à l’emprise.
Il me tenait par les cheveux. Il me besognait. J’entendis alors le polaroid. Ils s’était levé. Il était à mes côtés. Il me regarder en train de me faire prendre. Il ne disait toujours rien.
L’homme me tenait fermement les cheveux, il me murmura.
- Bonne petite chienne.
Lui, me regardait. Je le regardais, il voyait le plaisir honteux que je prenais. Il voulait me voir prise, combler.
Il me baisait si intensément, j’en avais presq
ue mal. Je disais non.. il continuait jusqu’à sa jouissance. Une seconde fois, il posa a nouveau la capote devant mes yeux.
Il claqua mes fesses.
- T’es une bonne videuse de couille…
Je rougissais , honteuse et humiliée.
L’homme se releva. Je restais ainsi attachée. Ils quittèrent la pièce.
Quand il revient, il s'assit sur le bord du lit me caressant la joue.
- Si tu t’étais vu. J’ai aimé te voir ainsi. Je n’en ai pas fini avec toi.
Il s’était approché du li. J’étais épuisée. Il me caressait les cheveux. Il saisit alors le Magic wand. Il le plaça sur ma chatte. Je sentais ses effets. Cela me grisait.
- Je t’interdis de jouir !
Je savourais cette instant.
- As-tu aimé ?
- Je… oui j’ai adoré à vrai dire lui avouai-je
- Ne sois pas honteuse. Je t’ai fait cette surprise. J’ai aussi pris beaucoup de plaisir.
Tout en me parlant, je me retenais de ne pas jouir, j’en avais tellement envie.
Il avait ramassé toutes les photos pour me les montrer.
- Tu as été une bonne petite chienne ce soir.
Je ressentais tellement de choses contradictoires. Un tel lâcher prise.
Je n’arrivais plus à me retenir.
- Allez jouis.
Mes cuisses commençaient à trembler tellement la vague était immense. Je fermais les yeux. Il me parlait, me murmurait tellement il était heureux avec moi.
Avec douceur, il détachait le crochet anal. Il passait ensuite sa main douce dessus.
- Ton trou est béant. J’aime le voir ainsi.
Mon petit trou était meurtri.
Il m’embrassa le creux du dos. Il embrassait mes salières de Vénus. Ses doigts longtemps ma longue cicatrice tout le long de ma colonne vertébrale. Puis il remontait jusqu’à ma chevelure pour libérer mes cheveux. Tendrement il m’embrassait,, me léchait mais il n’était jamais loin de vouloir m’infliger encore des sévices pervers.
Je sentais à nouveau sa main sur mon sexe…
- Tout est à vous.. Monsieur.. tout.. je suis à vous…
11 personnes aiment ça.
Sissy Géraldine
Superbe texte, je partage cette envie du viol simulé...
J'aime 10/10/20
Linsoumise
Je le vis et j’aime assez oui. En même temps mon asexualité me met souvent en victime puisque je ne prends pas de plaisir pour moi. Que je lui donne ou qu’il prenne, finalement nous ne sommes jamais loin de ce sujet... Quand la scène se fait grandeur nature ... avec enlèvement inattendu, avec plusieurs protagonistes et de là violence maîtrisée... cest encore plus piquant il me semble ...
J'aime 10/10/20
Txoria swann
C'est toujours un immense plaisir de vous lire Mademoiselle ! J'aime beaucoup le terrain vers lequel vous glissez au travers de vos mots...
J'aime 10/10/20
mademoiSElle Craquant
Superbe texte, je ne sais si j'aurai cette envie par contre....a méditer....
J'aime 11/10/20
Phøebus
J'ai pris un plaisir immense à vous lire, bien que peu adhérent à ce genre de simulation. Votre texte est exquis.
J'aime 11/10/20
Mademoiselle_Lane
En effet la méditation, je ne fais qu'écrire en fonction de mes envies du moment. Bien sur, chacun a sa sexualité qui le pousse dans différents univers, thèmes. Et heureusement que nous n'avons pas tous les mêmes envies ou goûts 1f642.png
J'aime 12/10/20
john
Très agréable à lire, plein de détails intéressants, ce texte donne très envie de le mettre en pratique
J'aime 14/10/20