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Désolée pour les éventuelles, je suis partie tenir la chandelle.
Ambiance musicale : Gortoz a ran - Denis Prigent et Lisa Gerrard.
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La tempête approchait.
Après des semaines sans se voir, il était si bon de se retrouver.
J’avais trouvé un petit gite dans une de ces maisons en pierre typique nous plongeons dans le passé. Une chaumière avec un e chambre, une belle pièce à vivre avec des poutres et une cheminée. Tout invitait ici au calme, à la détente et à la luxure.
Mon esprit pervers prenait vite le dessus quand nous recherchions des lieux pour nous évader.
Ces poutres nous invitaient à des jeux attachants. Il avait allumé le feu dans l’âtre.
Arrivé la veille, nous avions pris nos marques. Nous avons profité de l’air marin revigorant. Voir les vagues s’abattre sur les rochers. Elle était déchainée. Le vent virvoltait dans mes cheveux. Il ne laissait aucun répit même à mes yeux qui pleuraient. Ils nous poussaient même.
Aujourd’hui la pluie n’avait pas cessé. J’entendais le son des volets claquer, le bruit du vent se faire menaçant. J’aime cette atmosphère. En tant normal je n’ai pas peur, mais je sentais le vent terrifiant comme jamais.
Il était derrière moi. Je regardais dehors cette sublime forêt qui nous entouraient. IL me massait doucement les épaules tandis que mon regard se perdait au loin.
- Hum, tu sens si bon. J’aime ton parfum si envoutant.
Ma main se releva pour se lover sur la sienne. Je me retournais vers lui. Je souriais du bonheur que nous avions, de la chance que j’avais. Je me blottissais contre lui cherchant le réconfort, la protection. Il mis sa main à l’arrière de ma tête pour me maintenir avec tendresse contre lui. Tendrement il m’embrassa le dessus de ma tête.
Nous étions dans notre bulle. Passant, jouant de ce que nous étions. Lui, un homme tendre, à l’écoute, empathique et si respectueux. De l’autre, une femme enfant, parfois une femme fatale qui avait besoin malgré l’apparence de lâcher sa vulnérabilité et de se sentir protéger et que rien ne puisse lui arriver.
Je me suis longtemps posé la question si tout cela était lié au rapport à l’enfance, mes rapports avec mon père autoritaire. Il me traitait un peu comme sa princesse et une mère au foyer très fragile. J’avais peur de ressembler à ma mère. Je ne voulais jamais être dépendante d’un homme. Pourtant ces jeux que nous affectionnions nous rendent dépendant l’un de l’autre.
- Regarde comme tout est noir dehors.
Je me retournais. Il faisait presque nuit en plein milieu de la journée. Je sentis ses mains passés sur mes seins alors qu’il respirait mes cheveux.
- Humm tu m’enivres.
Je souriais intérieurement. IL prie plus possession de mes seins. Cela éveillait en moi l’envie à la fois de douceur mais l’envie de choses bien plus sombres. Il abaissa soudainement mon pull bleu marine qui faisait ressortir la blancheur de ma peau.
Je me retrouvais ainsi avec le pull autours de la taille.
Il défit mon soutien gorge.
- Il est dommage de les laisser enfermer ces petits seins.
Il les pris à pleine main alors qu’il m’embrassait dans le cou. Ses mains possessives s’emparaient de mes petits tétons. Il s’amusait à les tourner. Je gémissais.
- Chut… me murmura t il.
Il me plaqua subitement mon torse contre la fenêtre. Mes seins se retrouvaient glacés par le contact avec celle-ci. Il m’écrasait fermement au nouveau de mon dos pour que mes seins soient le plus comprimés. Si un passant errait dans le secteur il aurait eu un magnifique spectacle.
Il remonta ma robe pull jusqu’à la taille.
- Cambre toi !
Naturellement j’étais déjà cambrée, appelant son attention, ses caresses. Ma joue était contre la vitre, il la tenait appuyer tout en vérifiant l’étant de mon excitation. IL me fourra deux doigts dans mon con. Je ne pus m’empêcher de quémander davantage.
Je sentais que cela était peine perdue.
Il me releva en m’empoignant les cheveux et il m’amena à lui. Il s’empara de mes lèvres avec tant de fougue et de passion. Je lui rendais son baiser.
- Mets toi en position d’attente !
Je me mis alors a genou, les jambes bien écartées, me tenant droite et fière. La tête baissée.
En revenant il appuya sur ma tête pour que je comprenne qui j’étais. Je sentis alors rien qu’à la manière dont il me touchait la virulence de son désir.
Il s’assit alors sur le canapé si confortable.
- Viens ici à mes pieds.
Mes chaussettes hautes me réchauffaient et je glissais presque sur le parquet. C’était agréable. Félinement j’allais vers lui, à quatre pattes. Je me mis naturellement entre ses jambes. Avec audace, je posais alors ma tête sur sa cuisse.
D’un geste tendre il me caressait avec les cheveux. Il aimait que je sois ainsi, douce et câline.
- J’aime tes cheveux soyeux. Ta nuque est si délicate.
J’aimais tant son affection. Quand sa main se fît plus dure, il saisit ma nuque pour la mettre sur son membre. Je sentais son excitation à travers son pantalon.
- C’est ce que tu attends, n’est ce pas ?
- Je…
- Tais toi… me railla t il.
- Je sais parfaitement qu’une bonne petite chienne n’attend que cela.
Il me rejeta alors en arrière.
- Regarde ce que j’ai pour toi. Lève toi et va me servir un verre.
Puis tu t’empaleras sur ce gode que j’ai posé sur la table et tu te baiseras.
Je lui envoyais alors un regard lui faisant comprendre que je n’en avais pas envie.
- Oh, ma toute jolie.. je vois que tu n’es pas très obéissante. Je vais devoir te punir…
Je me levais pour aller lui chercher son verre de Whisky qu’il affectionnait et je lui posais avec une certaine nonchalance sur la table.
- Est-ce une manière de me traiter ?
Je lui souriais d’une certaine défiance.
- Alors comme ça.. tu veux que je te punisse… soit…
Il pris une corde et la fît passer autours d’une poutre. Il connaissait pas les nœuds surtout les coulissants. Puis il m’attacha les poignets à la corde. Je me retrouvais livrée à mon châtiment.
Puis il saisit un gag-ball pour me bâillonner.
- Tu sais que je vais te punir pour ta désobéissance… Tu peux me faire ton regard suppliant, rien ne marchera.
- Pardon.. Monsieur tentai-je de dire avec mon bâillon.
Il choisit alors un martinet. Sans aucun ménagement il commença à m’assener des coups. Certains s’abattaient plusieurs fois au même endroit.
Je me dandinais presque pour éviter les coups.
- Ne bouge pas, sinon j’en ferai de plus fort. Tu sais que c’est pour ton bien que je te punis.
- Regarde moi quand je m’occupe de toi et remercie moi !
Il lâcha plusieurs coups sur mes seins, mes cuisses.
- J’entends rien…
- Merci monsieur répondais-je difficilement .
J’avais la sensation que la tempête était dans la maison, je sentais le vent du martinet me rafraîchir pour laisser ensuite place à la morsure.
Il reposa alors le martinet. Il prit mes tétons en me forçant à avancer vers lui. Puis il me murmura.
- Hummm, tu n’as que ce que tu mérites.
- Me..rr..cii Monsieur, avec mon regard suppliant.
- J’ai une petite surprise pour toi , ma petite fée clochette.
Il mit devant mes yeux des pinces à tétons. Il prit d’abord mon téton droit. Il le pinça comme il faut pour y mettre la pince. Il ne me ménageait pas. Il me regardait. Je prenais sur moi un peu comme une fierté, cette femme enfant qui voulait dire.. même pas mal. Il fit la même chose avec l’autre téton.
Il accrocha ensuite des petites cloche. Puis il remonta encore plus haut la corde pour queje sois sur la pointe des pieds.
Il malaxa ensuite les seins..
- Quelle douce musique. Je vais à présent m’occuper de ton petit cul. Plus j’entendrais de musique, plus que je punirais fortement.
- Alors que vais-je prendre ?
Il présenta en premier la badine à mes yeux. Je les écarquillais.
- Ah non ? bon, je vais être clément…
Il se plaça derrière moi et passa le manche du martinet sur ma gorge. Il murmura à mon oreille.
- Je préfère continuer avec ca. Je vais que tu sois rouge de honte.
Je ne veux rien entendre tu as compris ?
- Je hochais la tête.
Il commença par s’attaquer à mon dos, mon épaule gauche, puis droite. Je faisais tout pour ne pas bouger. Je savais qu’il maitrisait ses coups pour que ce ne soit pas souffrance inutile. Le juste dosage pour me faire du bien.
- Cambre toi !
A peine cambrer il commença son travail sur mes fesses. Plusieurs fois au même endroit, encore et encore. Parfois il passa sa main pour m’apaiser. Je me dédouanais parfois et les cloches sonnait.
Il tirait alors sur les cheveux pour me dire.
- Tu sais ce qu’il va se passer.
Je hochais la tête.
Il frappa sur ma croupe que je criais. Un seul coup. Puis il posa le martinet. Il me caressa les fesses puis les seins.
Il me mordait le cou, l’épaule, il aspirait ma peau, il me sentait. Je lui appartenais. Je sentais son odeur. Il m’enivrait. Sa voix était chaleureuse et elle me rassurait durant nos jeux.
- Je vais te laisser méditer à ton sort.
Il me mit un bandeau sur les yeux. Je restais ainsi attachée au milieu de la pièce. Le feu de cheminée me réchauffait. Le vent dehors me donnait la chair de poule. Il allait vaquer à ses occupations.
Parfois je le sentais passer à côté de moi. Il m’ignorait. Je me demandais ce qu’il faisait.
Quand, alors que le temps semblait s’être figé il ôta une pince. Je hurlais intérieurement. Cette morsure me saisit pour ensuite être cajolé par le baiser qu’il lui infligeait.
- Hum il est si délicieux. A l’autre maintenant.
Idem, je voulais crier sans le pouvoir. De la bave s’écouler de ma bouche. Il prit alors ma salive avec son doigt pour adoucir mes tétons.
- Ils sont si bien dressés maintenant…
Ses deux mains s’emparait, sa bouche se délectait. Ma tête retombait en arrière de ces délicates caresses.
Quand je sentis qu’il me détachait, mes bras étaient endoloris. Il ôta mon gag ball mais me laissait dans la compagnie du noir.
- Ne bouge pas.
Je sentis alors un bruit métallique. Je compris alors qu’il me mis des fers à mes cheville. La dureté du métal n’était pas confortable. Les fers étaient reliés. Quand il me fit avancer j’entendais le son de la chaine, comme une esclave qui allait subir ses sévices.
Il me guidait ainsi vers un lieu de la pièce. J’étais complètement désorientée. Je n’entendais que le vent et le bruit métallique de mes fers.
- Ne bouge pas. Tiens toi bien droite. Je nous ai préparé un repas.
Il me saisit par le bras pour me montrer où je devais me placer.
- Voilà assied toi. Va y doucement.
Je sentais alors sa main sur mon cou et l’autre sur le bas de mes fesses.
Quand mon sexe butta contre quelque chose de mou. Je compris.
- Tu vois, maintenant tu es toute à l’écoute. Tu vas empaler ta petite chatte sur ce gode.
Une fois bien empalée dessus, il appuya fortement sur mes épaules. Il m’attacha les mains sur les bras de la chaise. Il était derrière moi, son souffle juste à coté de mon oreille gauche.
- Maintenant, je veux te voir baiser sur cette chaise ce gode pendant que je déguste mon entrée.
Je commençais alors à faire des va et viens sur ce gode qui me transperçait.
- Applique toi, je veux plus d’entrain ma petite chienne.
Je gémissais, cela me procurait un certain plaisir le fait qu’il me voit me prendre sur ce gode. J’aimais quand il me matait, j’aimais être mater tout court.
Je sentais ses coups de fourchette, quand il prenait une gorgée de vin, je supposai.
- Suffit maintenant. Garde le bien au fond.
- Maintenant je vais m’occuper de toi. Tu dois être affamée.
- Ouvre ta bouche, je vais te donner une gorgée de vin.
Ce vin était un divin nectar. En effet j’étais affamée. Il passait ensuite son doigt sur ma bouche pour être certain que rien n’avait coulé.
Il allait me nourrir. Je ne savais pas ce que j’allais manger. Il avait préparé du poisson. C’était exquis. Il prenait son temps. Il me parlait à l’oreille, cela m’excitait. Un moment de pure complicité.
Puis il empoigna mes cheveux et les tira en arrière et s’approcha de mon oreille
Soudain il jura. Les plombs avait lâché.
- Voilà qui est parfait et qui tombe à point nommé se reprit il.
Sur le coup je ne comprenais pas. Mais vu ma position, je savais qu’il savait parfaitement ce qu’il allait faire.
Il relâcha mes cheveux et jeta ma tête vers l’avant.
Ma respiration se faisait de plus en plus forte, comme le vent d’ailleurs. Les volets claquaient.
J’étais ainsi, sur cette chaise complètement à sa merci. Attachée et empalée. Je ne pouvais plus faire de mouvement. Je ne pouvais rien voir. J’étais attentive au moindre son.
Une vague de chaleur se fit sentir au niveau de mon entrejambe. Elle remontait ensuite au niveau de mon vente puis au niveau de mon sein droit, puis gauche. Quand je sentis alors la cire chaude s’abattre entre mes seins je compris. La bougie….
Etait-ce ce qu’il avait prévu ou c’est cette coupure de courant dont il s’était inspiré.
Il me voyait sursauter à chaque fois que la cire tombait.
- Tout doux ma belle.
- Je vais encore te recouvrir de rouge. Tu sais que j’aime voir le rouge sur ta peau blanche.
Je sursautais encore et encore. Il jouait de la distance. Parfois la cire était plus chaude, à la limite du supportable parfois plus agréable. Je devinais qu’il observait chacune de mes réactions.
Puis il défit mon bandeau. Il avait allumé plusieurs bougies de partout. Je ne me sentais pas aveuglée. Naturellement je baissais la tête pour voir son œuvre. Il y avait plus de petits points de cire partout.
- Je n’en ai pas fini avec toi.
Il voyait la crainte dans mes yeux. Voir cette flamme danser devant moi et attendre que la cire perle sur mes seins. Il y prenait un malin plaisir. Il ne ratait aucune partie de mon corps.
Je plongea parfois mes yeux dans les siens me faisant implorante.
- Alors ? tu es bien ingrate à nouveau…
- Je tenais à vous remercier pour votre repas… cher Monsieur.
Il avait approcher la bougie très près que je sursautai quand la cire arriva sur mon mont de Venus.
Il Prit ma bouche avec sa main et serra fermement, puis il s’empara de ma bouche pour me voler un baiser sauvage.
Il retourna la paume de mes mains et y installa deux bougeoirs chandelle.
- Voilà à quoi tu vas me servir, tu vas le plus beau chandelier vivant.
J’avais juste envie de lui répondre je ne fis rien. Il avait lu dans mon regard ma défiance. Il souriait de me voir ainsi.
Il partit dans la cuisine et revint avec son repas. Puis il mangea ainsi à la lueur de la bougie. Moi, parfaitement immobile. Je sentais la cire des chandelles s’abattre sur mes mains. Je sentais son admiration, sa fierté.
Une fois qu’il eut terminé il sortit alors le désert glacé qu’ll avait préparé. Je vis qu’il avait également sorti des glaçons.
Il servit la boule de glace pistache sur un cône. Il le tenait à la portée de ma bouche.
- Allez lèche, cela ne va pas être compliquée pour toi. Délecte toi.
Doucement avec ma langue, je léchais, je le provoquais du regard pour le rendre fou, comme si je m’occupais de son membre. Je le voyais saliver. Mon regard se faisait intense et passionnée. Il ne peut s’empêcher alors de venir m’embrasser.
- Hum cette glace est si bonne.
Nous délections avec notre langue cette glace envoûtante.
La bougie fondaient de plus en plus. Il me regardait.
- Tu es si belle. Ton regard me transperce.
Je lui souriais.
- Je vais t’enlever toute cette cire.
Il prit alors un glaçon et le passa en premier lieu sur mes seins. Ils réagissaient immédiatement. De l’autre, il avait pris un couteau pour la retirer. Je sentais le métal caresser ma peau. Le glaçon aidait à ce qu’elle parte facilement. C’était d’un tel érotisme. Je me sentais si femme à cet instant. Il me pénétrait de toute son attention. Ses mains se faisaient douce.
Il me caressait tout en dégageant la cire. Je n’osais plus parler. Nos échanges de regards en disait longuement.
Il me détacha.
- Relève toi.
J’écoutais naturellement.
Il me poussa vers ma table. Mes mains, naturellement s’y posait. Il plaça sa main sur mon cul et ma chatte.
- C’est à moi. A moi.
- Oui.. Monsieur c’est à vous, lui répondais-je en souriant.
Il écarta alors mes fesses. Je le vis saisir un glaçon.
- Il va falloir calmer cette ardeur.
Il plaça le glaçon sur mon auréole. Je sursautais, puis je sentis qu’il le poussait pour que mon petit trou se rafraîchisse.
- Maintenant, au tour de ta petite chatte..
Il commença à en insérer un tout en jouant avec plusieurs doigts à l’intérieur. C’était une sensation sur curieuse. Je mouillais de partout, de la chatte, du cul.
- Ecarte tes jambes.
- Ecarte tes fesses.
Il mis alors deux doigts dans ma chatte, deux autres dans mon cul. Il me pénétra ainsi.
Il me fouilla si profondément.
- Je veux te voir jouir, que tu hurles.
- Allez prends bien ça petite chienne.
Je sentais encore la fraicheur du glaçon dans ma chatte et dans mon cul. L’eau perlait de partout, elle se mêlait à celle qu’il avait fait jailiir.
Il y avait mis une telle intensité. Il avait mis presque une main dans ma chatte tout en me tenant par le cul.
Je hurlais je ne tenais plus de ses assauts au fond de moi. Il me pénétrait si fortement, si fermement.
- Allez jouis !
- Caresse toi.
Je n’arrivais plus à me contenir, je pleurais presque…
Je gémissais si fortement, je râlais longuement…
- Ooohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
- Oooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
J’étais au bord de la délivrance.
- Tiens ma belle.. prends tout ça… je suis fière de toi. Jouis
J’étais toute contractée. Je sentais cette chaleur dans mon bas ventre. Cette libération. Il m’avait complètement épuisée. Ce jeu m’avait vidée.
Il resta quelque instant avec ses doigts en moi, le temps que je me calme. Il donnait encore quelques coups. Je n’en pouvais plus. Il comprit.
Il les retira.
Il me releva avec douceur. J’entendais les fers à mes chevilles. Je me sentais totalement possédée et libérée. Il nous dirigea vers le canapé. Il s’assit et m’ordonna de poser ma tête sur ses cuisses. Il me cajolait. Il passa ensuite sa soirée à s’occuper de moi avec tendresse.
La tempête grondait, il pleuvait violemment, et lui me berçait… Je fermais les yeux, Morphée me kidnappant.
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