mael
par le 27/05/20
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-Avance pétasse, bouge ton gros cul.
le fouet cingle les fesses ensanglantées d'Amélie qui se traine à quatre pattes sur des graviers, les genoux et les mains meurtris. Elle pleure.
-Mais tu vas arrêter de pleurnicher la pouffiasse. Allez encore un bon coup dans le cul et file plus vite. A la niche, la chienne.
Amélie se précipite dans la niche, c'est étroit, cela pue la pisse des femmes qui se sont fait dessus de peur dedans, c'est très inconfortable mais au moins elle ne risque plus le fouet.
Le Maitre attache sa chaine avec un cadenas. Amélie va passer la nuit dehors, nue dans sa petite niche en bois, terrorisée, avec toutes ces petites bêtes qui se baladent la nuit. Elle n'aura droit qu'à un seau d'eau et un quignon de pain sec comme repas.
-tu vas maigrir salope. Encore quelques jours et tu auras la ligne.
Le Maitre rentre chez lui et se sert un bon verre de vin. Il n'a aucun problème pour dresser les femmes pour une raison simple, il n'a aucun sentiment pour elles. Ce sont des chiennes. elles doivent obéir en tout et pour tout et elles n'ont pas droit à la parole. Laisser parler une femme c'est laisser un venin se répandre. Non, deux baffes, et silence les sans pénis. La deuxième chose qui fait qu'il est un excellent dresseur c'est qu'il se fout de la chatte des femmes, de leurs culs. Aucune femme n'est jolie pour lui, c'est juste une chienne qui doit obéir et écarter sur ordres.
Le Maitre entend la chienne couiner dehors.
-Ta gueule la pouffiasse ou je sort avec la cane anglaise.
Silence.
Le Maitre peut déguster son bon vin en paix.
4 personnes aiment ça.
Horreur machiste. Ce n'est pas un maître, juste un gros c... Heureusement, fiction.
J'aime 27/05/20
mael
Cool, c'est juste une fiction. Le problème c'est que certaines réalités sont pires que les fictions. Lorsque j'écris une fiction, je me pose toujours cette question....où se situe le pire dans la réalité en supposant qu'il existe.
J'aime 27/05/20
mael
Il existe un paradoxe pour le dire autrement. Plus on écrit une fiction, plus on entre dans cette fiction, sans barrières ni limites, sans complexes, ce que permet la fiction et plus....hélas!
J'aime 27/05/20
mael
La mythologie ou discours sur des mythes ce sont souvent aussi des fictions pour parler de certaines réalités de façons imaginaires pour les atténuer, les rendre acceptables pour l'esprit. Ce qui est surprenant c'est qu'il a fallu attendre la psychanalyse pour décoder ces fictions à l'envers et les traduire en principes de réalité. Comment si nous ne voulions pas voir ou savoir.
J'aime 27/05/20 Edité
Anoa féline
Mael , est on si loin du mari violent?
J'aime 28/05/20
mael
Non, c'est différent du mari violent. Là je ne sais pas ce que c'est. Un pervers sadique ? Il n'a aucun sentiment, aucune compassion, aucune sensibilité...un cœur glacé.
J'aime 28/05/20
mael
Le mari violent est un faible, Anoa, sa violence est l'aveu de sa faiblesse et lacheté. Là le pervers sadique aime faire souffrir l'autre, aime faire mal, aime avilir et dégrader.
J'aime 28/05/20
mael
Attention, ce n'est pas forcement une perversion, cela peut très bien être un jeu entre adultes consentants en précisant bien les règles, les limites, etc...https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_r%C3%B4le_animal
J'aime 28/05/20