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Navrée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue je suis partie mettre mes gants.
Pour être dans l'ambiance .. j'ai écrit sur Hooverphonic, mad About you, la version philarmonique
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« Monsieur, je vous convie demain soir, une demoiselle qui souhaite s’occuper de vous ».
Le message envoyé, je n’attendais plus que sa réponse en espérant qu’il soit disponible. A mon tour de le surprendre."
« Avec Grand plaisir Ma Demoiselle ».
J’étais toute guillerette. L’orage allait éclater. J’aimais cette sensation quand les nuages s’assombrissent, que le vent commencent à se lever. D’aller me détendre sur le lit à laisser mon esprit s’égarer.
La pluie commençait alors à s’abattre. Le bruit sur le velux légèrement entre-ouvert , la brise venait jusqu’à mon visage m’apporter les odeurs humides de la verdure. Cette puissante déferlante. Je pensais alors à notre dernière soirée. Je passais ma main sur mon cou,
m’imaginant les siennes.
Je dansais de désir, à l’avoir, le ressentir, le respirer. Il me rendait complètement folle. Je saisissais mes seins en imaginant ses mains sur moi. J’avais encore sa chemise qu’il avait laissé la dernière fois imprégnée de son odeur. J’étais folle de lui. Je fermais les yeux pour apercevoir son sourire. Ma main se dirigeait alors vers mon entre-jambe. Mon sexe était alors tout humide. Je passais délicatement la pulpe de mon majeur sur mon clitoris, telle la légèreté d’une plume.
L’orage grondait comme mon désir pour lui. Je me caressais, me disant de ne pas céder à cette tentation. Créer cette frustration pour attendre de plus haut sommet, mais là, non je me masturbais. J’introduisais quelques doigts dans ma chatte déjà si humide. La mouille recouvrait mes doigts. J’en avais de partout. Je pinçais mes lèvres en pensant à nos ébats les plus interdits. Quand il me disait des mots crus, quand il m’embrassait, quand il me souriait, quand il me sodomisait, quand il m’attachait. Une symbiose inexplicable.
Cette relation ne pouvait exister sans sentiment.
Avant je cherchais un homme pour être dans les conventions. Cela ne m’avait pas réussi. Je voulais écouter mes désirs si longtemps refoulés. Rien n’est simple. Le libertinage est pour moi, la liberté de vivre sa vie comme on l’entend, de s’extraire des conventions. Je ne voulais pas de ce carcan qu’on nous impose en tant que femme. Le chemin tracé de vivre à deux, se marier, à acheter une maison avoir des enfants et tout ce qui va avec. J
e n’ai jamais ressenti tout cela je me sentais toujours différente.
Je ne supportais plus ces questions.. êtes vous mariée ? des enfants ? que faites vous dans la vie ? tous ces stérotypes pour entrer dans des cases comme si cela nous résumait. Dire qu’on ne veut pas d’enfant, qu’on ne recherche pas le mariage mais qu’on veut une relation avec juste sincérité et transparence ? Je vois toujours autours de moi tant que personnes emprisonnées dans une vie qui ne leur convient pas. La dure réalité. J’ai cette chance d’avoir cette liberté.
Lui, avait su m’apprivoiser. J’avais tant eu l’habitude de faire fuir les hommes pour voir jusqu’où ils tiennent à vouloir me connaître et non me posséder. L’homme de mes rêves.. l’homme de mes réalités.
Il était mon élixir de plaisir.
Nous étions heureux avant de nous rencontrer, ensemble nous avons la création de cette alchimie ne peut exister sans les éléments.. Comme l’eau .. hydrogène et oxygène.
Mon cœur battait de plus en plus, je sentais le sang affluant au niveau de mon clitoris. Mes doigts se frayaient un chemin de haut en bas sur mes lèvres, caressant ensuite ma douce auréole. Je planais de ma masturbation. La jouissance montait. J’étais sur le dos, les jambes pliées. J’avais un mal terrible à me caresser même devant lui. Mais seule, j’arrivais à me donner du plaisir. J’imaginais ses mots au creux de mon oreille. J’aimais être ce tout à la fois, femme-enfant, femme-fatale, chienne, amante.
« Monsieur, le plaisir que je viens de prendre à me caresser en pensant à vous à été si intense, que je vous le rendrai demain. »
« Petite coquine, j’espère bien que vous me rendrez ce plaisir.. je vais peut être vous punir d’avoir oser prendre ce plaisir sans m’avoir demandé d’y participer . J’ai hâte de vous voir demain. »
Je préparais une soirée sous le signe de la détente, une ambiance sensuelle, érotique. J’avais pris soin d’éclairer la maison avec des bougies de partout. De nombreux photophores disposés un peu partout, dans les escaliers, dans la chambre.. partout.
Sur le sol j’avais déposé un chemin de pétales de roses pour lui indiquer le chemin jusqu’à ma chambre, là où il me trouverait.
J’étais alors en train de choisir ce que je porterais ce soir. Je décidais de mettre un loup noir en dentelle. Je mis alors une culotte ouverte donnant l’accès à mes parties les plus intimes, toute de dentelle. Je mis un harnais léger encadrant mes seins avec une légère dentelle.
J’avais préparé mon lit. J’avais déposé des draps de satin bordeaux d’une douceur incomparable.
J’avais préparé tout ce qu’il fallait pour que Monsieur soit au petit soin. Du champagne, des framboises.. tout ce qu’il faut ensuite pour que je m’occupe de lui.
J’avais jeté sur le lit des roses blanches. J’adorais les pétales de roses. J’aimais les passer sur mes lèvres. C’était si sensuel si doux.
J’avais préparer mon vase avec mes plumes d’autruche. Une était verte olive. Elle s’était cassée de mon éventail géant que j’utilisais pour mes effeuillages.
Je préparais alors l’huile de massage. Ce soir je voulais le rendre .. fou…
Quand il arriva, j’entendais ses pas. J’étais alors en position à genou sur le lit, les bras en avant, telle une chatte prête à bondir. Masquée de mon loup et gantée.
Il était là à l’entrée de ma chambre.
- Quelle délicieuse surprise vous me faîtes, ma panthère ».
Je mis alors un doigt sur ma bouche pour lui dire de se taire. Et je lui indiquais le fauteuil crapaud bleu de ma chambre. Je descendais du lit très félinement à quatre pattes. M’approchant de lui.
Je lui ecartais alors les jambes pour m’introduire entre elle. Je remontais vers sa bouche en frottant mon buste contre lui.
- Bonsoir Monsieur, dis je en lui souriant.
- Bonsoir.. Mademoiselle.
- Comment s’est passée votre journée ?
- Elle a été des plus fatiguantes, plein de soucis et de litiges à gérer.
- Oh je vois..
Je prie alors possession de ses lèvre. Il se laissait faire tout en ayant ce sourire qui en disait long.
- Puis- je vous servir un verre ?
- Humm avec grand plaisir j’en ai besoin.
J’allais lui chercher une coupe de champagne que je lui tendis.
Je m’agenouillais à ses pieds. Puis avec un regard espiègle je saisis alors la coupe de champagne de sa main pour en boire une gorgée.
- Laissez moi vous déchausser.
Je le regardais alors droit dans les yeux avec ce sourire en coin. Il me dévorait alors du regard. Il caressa alors ma joue.
- Petite vilaine ! me souriait il.
Une à une je lui enlevais les chaussures. Je le regardais pour enlever avec élégance mes gants.
J’avais préparé une bassine d’eau chaude. Je lui enlevais alors son pantalon en lin beige. J’entrepris alors de lui faire un bain de pied. Un moment de détente pour ce qui allait suivre.
- Hum, c’est si divin… de voir ma petite chatte s’occupait si bien de moi.
- C’est que vous m’avez inspiré, lui répondais-je avec sensualité.
J’essuyais méticuleusement en étant à genou ses pieds. Je déposais alors la bassine sur le coté.
Avec tendresse, je lui baissais les pieds. Je les léchais ensuite sur les mollets tout en le massant, l’embrassant pour marquer mon territoire. J’arrivais à hauteur de son entrejambe… Avec mes dents je me saisis alors de son caleçon tout en le regardant félinement.
- Hum.. non pas maintenant je crois Monsieur..
Je remontais encore, un à un en commençant par le bas, je défis les boutons de ma chemise. Quand soudain, il saisit mes poignets. Il les tenait fermement et embrassa mes mains les portant contre son visage. Puis il me laissa continuer.
J’arrivais à hauteur de son cou. Je posais alors mes mains sur son torse. Je le griffais légèrement pour ensuite le débarrasser de sa chemise. Je saisis alors sa bouche avec une de mes mains et je l’embrassais.
Je me relevais alors d’un seul cou. Je lui saisis alors la main.
- Venez. Mettez vous nu sur le ventre Ici.
Je lui indiquai alors le milieu du lit.
Une ambiance Hooverphonic de Mad About , la version philarmonique. oui je vous la recommande là maintenant.. Elle allait le bercer, tout comme mes mains et mon corps.
Je lui bandais alors les yeux.
Je commençais alors par jouer de mes plumes sur le corps. Je voyais sa peau réagir, frissonner. D’abord par les jambes, les cuisses pour remonter sur le dos
Je pris alors l’huile que j’avais chauffée pour la faire perler sur son peau. Je commençais alors mon massage par les pieds pour remonter ainsi les jambes et les cuisses. Chaque jambe l’une après l’autre. J’aimais masser au son de la musique, mes mains dansaient sur son corps. J’aimais sentir ses tensions s’apaiser sous mes doigts
Entendre ses gémissements.
Quand j’arrivais à ses fesses. J’en pris pleine possession. Je restais alors très professionnelle dans mon massage. J’avais appris à masser. Je savais comment faire.
- Tu es une déesse ! j’en avais besoin.
Je le sentais se détendre, lâcher prise, comme il savait aussi me faire lâcher prise.
Je remontais alors jusqu’à la tête passant mes doigts dans mes cheveux et utilisant savamment les points de pressions. Il prenait ce moment de détente. J’aimais le ressentir aussi ainsi, apaisé.
Puis, doucement le massage se transforma en quelque chose de plus érotique à aller vers le tantrisme. Je le massais alors avec mes seins, je jouais avec la douceur de ma joue contre son dos. Ma bouche s’emparait de ses épaules partant à la conquête de son coup.
Je retournais alors ma chevelure pour la mettre contre lui puis descendre jusqu’à ses fesses. Une danse de sensualité, de désir qu’il m’avait inspiré. Je sentais alors doucement son désir pointé quand il bougeait alors ses fesses. Il ne tenait plus.
C’est là qu’il se retourna. Je lui saisit alors les poignets
- Non Monsieur, laissez vous faire !
Je le vis sourire.
- Soit Mademoiselle, je vous laisse les rennes encore un peu..
Je prie alors une rose. Je m’amusais à la mettre en pétale que je fis tomber telle une pluie sur son torse. A sa réaction il devait se demandait ce que je faisais. Je me plaquais alors contre lui. J’étais à califourchon.
- Vous me rendez folle, le savez-vous ?
- Non.. dites le moi encore.. et encore…
- Vous me rendez folle mon cher.. Hier soir je me caressais en pensant à votre imagination, vos doigts en moi, à votre queue, à mon envie d’être à vos pieds, à être votre essence et que vous soyez mon élixir de plaisir..
Je descendais alors ma langue sur son torse pour aller vers son sexe. Je le pris alors dans ma main. Je le caressais. Il était déjà dur, vigoureux. Doucement je le branlais.
-Hum.. petite chatte…. Petite chienne.
Je m’apparais alors avec ma bouche de son sexe. Tout doucement je commençais à lécher tout autours pour le rendre fou comme il s’amusait parfois avec moi. Puis je léchais ses couilles.. je passais ma langue entre son anus et elles.. ça le rendait complètement fou, et moi il me faisait perdre pieds. J’adorais tant le sucer ! une telle friandise.
Puis le sentant prêt à être cueillis, je pris sa queue en entier dans ma bouche. Avec délectation, j’avais les commandes à le lécher comme si j’avais la meilleure des glaces. Je sortais ma langue pour bien l’apprécier.
Puis soudainement je sentis ses mains se poser sur ma tête.
- Voilà, garde la bien en bouche…
IL retira alors son bandeau et me regarda. Puis il commença doucement à donner des mouvements de vas et vient.
Je me relevais alors avec un grand sourire puis je le rejettais sur le lit.
- Non.. non Monsieur, dis je avec une pointe de défiance.
Je m’empalais alors sur lui comme une amazone qui voulait vaincre le guerrier.
Il prit alors possession de mes seins. Très fortement. Il les gifla plusieurs fois alors que je me baisais avec sa queue. Mes mains étaient sur l’arrière. Sa queue était au plus profond je faisais des mouvement d’avant en arrière puis je mis mes mains sur son torse.
C’est là qu’il m’agrippa le dos et pris le contrôle.
- Petite chienne.. hummm…
- Oh oui Monsieur, baisez moi !
On s’embrassait alors fougueusement. Il me prit et me jeta sur le flanc. IL releva ma cuisse et s’engouffra à nouveau dans ma chatte. Il tenait alors mon cou bien serré. Je défaillais. Il me baisait si fortement continuant à me gifler.
- Ma petite salope !
- Tiens.. tiens….
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait tellement il me culbutait avec force et passion. Comme une poupée il me mit alors sur le ventre.
-Je me cambrais pour l'appeler.
Avec sa main, il introduisit alors un doigt dans mon cul. Puis un second.
- Ahhhhh… ahhhh… je pinçais mes lèvres.
Il mit sa queue pour m’enculer. Pour ne pas m’emtendre il mit sa main sur ma bouche. Je ne pouvais rien dire. Je sentais chaque coup, fort encore et encore.. si fort comme si il voulait me transpercer me montrer que seul lui pouvait me prendre ainsi.
Il claquait alors mes fesses
- Putain ce cul ! j’aime tant l’éclater. Tu aimes ça ?
- Oui.. j’adore quand vous m’enculez !
Il s’était mis alors debout sur le lit. Je mettais alors ma tête contre le lit et je lui exposais mon fion.
Je me sentais prise comme une petite putain, sauvagement et j’adorais ça. J’adorais qu’il soit animal. Tout en m’enculant il posa son pied sur mon cou. Il pouvait faire ce qu’il voulait, car aucun jugement, juste envie de se posséder l’un l’autre.
Il attrapa les attaches de mon lit et m’attacha les chevilles au lit pour les écarter. Il mis un oreiller ssous le ventre.
- Tu sais ce qui va se passer ?
- Non.. Monsieur.
- Je vais te doigter, t’écarter et puis je verrai tout ce qui rentre !
Je rougis.
- Allez dis moi que tu le veux.
- Oui.. Monsieur, mes trous sont à votre disposition.
Il saisit alors mon huile de massage. Il commença alors à m’enduire le corps . il me massait. Ses gestes laissaient aussi une empreinte je voulais qu’il s’occupe de mon entre-jambe.
Il me rendait la pareille !
Il me griffa tout le corps. J’étais ainsi huillée, glissante et bien sur toute trempée.
Il massa chacune de mes cuisses puis remonta vers mes feses. Là il commença par bien les claquer. Je me dandinais encore plus les fesses.
Il les malaxait pour ensuite mieux m’ouvrir et regarder mon sexe et mon fion.
Puis il me fessa encore et encore et s’amusa entre temps à prendre ma température.
- Hum.. êtes vous suffisamment chaude pour que j’enfourre un thermomètre ?
- Hum.. je crois oui Monsieur..
- Voyons ça.
Il mit alors ses doigts dans ma bouche.
- Allez mouille les bien !
Puis il commenca par mettre un doigt. Je gémis.. c’était si bon..
Il en introduisa un second… Puis de son autre main il en mit un troisième puis un quatrième. Il écartela ainsi mon petit trou.
- Je compte bien te découvrir de partout !
- Oh ce cul ouvert…
C’est là qu’il prit ma chatte tout en me doigtant le cul..
- Oh c’est si bon !!
Je gémissais encore plus. Cette sensation était si excitante. D’avoir le cul rempli, la chatte toute autant. Il introduisa alors 4 doigts d’une même main en la tenant bien droite.
- Cambre toi
Je n’y arrivais pas. Tout en prenant l’assaut de mon fion, il me caressait le clitoris.
- Voilà tout doux…
Je sentais mon fion céder doucement..
- Voilà, montre moi comment tu t’ouvres..
- Cinq doigts ma chienne.. cinq doigt.
Il commençait alors à faire des va et vient..
- J’ai hate d’y fourrer tout mon poing pour te baiser comme tu le mérites.
Je gémissais entre douleur et plaisir. Il continuait alors à me caressait le clitoris. Ca me rendait complètement folle, j’en pouvais plus !
- Je.. viens… je viens…
Je n’arrivais plus à me contenir…
Il mit sa main sur ma bouche
- Jouis ma petite chatte !
J’étais emportée par cette vague. Que d’étranges ressentis.
Il me détacha. Je me retournais. Je le regardais.
Il me prit les bras et les attacha au dessus de ma tête.
Il revient quelques instant plus tard. Il s’assit alors sur mon torse.
Il saisit alors mes seins et les pinça bien fortement. Il les tourna. Ca avait le don de m’exciter.
Il prit alors une rose et la passa alors sur mon visage, il jouait avec moi comme j’avais joué avec lui.
Il prit alors sa main et me serra la bouche. Il m’embrasse, je lui souriais.. il me gifla.. Puis me gifla de l’autre.
Il serra mes seins, sa queue était entre. Il avait ses mains sur mon coup il m’étranglait sensuellement.
Il me pénétra la bouche avec sa queue. Il s’était relevé ne me laissant aucune possibilité à me baiser, à me faire une gorge profonde. Je bougeais tellement son assaut était virulant.
Puis il s’assit sur moi.
- Leche !!!
- Leche moi bien.
Il jouait avec ses fesses pour que je passe ma langues entre ses couilles et son petit anus.
Il s’amusa à me le poser sur la bouche pour que je le lèche comme il se doit. Ce que j’avais pu trouver répugnant dans le passé avec lui, il me rendait folle à faire des choses que je n’aurai imaginer et à prendre un plaisir parce que c’était lui Plus rien n’était vulgaire avec lui car je savais que j’étais sa princesse.
- Humm… qu’est ce que j’aime quand tu me lèches ainsi !
Il s’était posé alors sur ma bouche, il me tenait par les cheveux.
- Regarde moi !
- Que tu es bandante comme ça !
Il se releva et éjacula alors sur mes seins. Il posa ensuite sa tête sur mon bas ventre, me laissant ainsi attachée. Il était encore comme moi sur mon nuage.
Il se leva pour aller se laver .
- A mon tour de te nettoyer, mais ne compte pas pour que je te détache.
Il avait pris un gant de toilette. Il nettoya mes seins ainsi que mon entrejambe.
- Hum prête pour une future utilisation.
Je dansais allongée sur la musique pour appeler mon loup. Ma poitrine se soulevait, imprégner par mon désir brulant à son égard. J’en voulais encore et encore. J’aimais être à sa merci ainsi.
Il ouvrit mon armoire chinoise où se trouve nos objets de jeux. Il en sortit le gag ball. Il me le fixa.
- Hum, te voilà complètement prise aux pièges !
- Tu es sublime avec ce loup, ma louve… ce regard cerclé de noir.. ton regard est des plus intenses.
Il m’embrassait alors tout le corps. Il me léchait, me massait, me mordaient. Ma tête se renversait à étouffer mes gémissements dans le bâillon. Quand il malaxait mes seins tout en me doigtant, j’étais aux anges.
Quand il m’enserrait le cou, je ne m’appartenais plus. L’abandon.. encore et encore. Se sentir dans une telle confiance pour aller toujours plus loin. Ce soir là il ne cessait de partir à l’assaut de mon désir.. et du sien.
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Toujours aussi plaisant....Comment, une fois encore ne pas être "Mad" de Vous ma chère Mademoiselle_Lane ...Et qu'il en sera encore plus celui qui aura votre bel honneur...
Mon très cher M des Sens, vous qui me connaissez, je ne sais pas ce que l'avenir me réserve mais je ne sais pas s'il existe… en tout cas l'inconnu de mes nouvelles m'insipire terriblement. Avec toute mon affection
Avant de lire une de ces nouvelles je me disais : Oh ce n’est rien c’est comme certains comptes Instagram pour femmes mais finalement ce fut le contraire, on voyage, on s’imagine la scène seul bémol si je puis dire j’aurais adoré avoir un extrait un peu plus long sur le ball gag.... ). Encore bravo je ne m´attendais pas à ce genre d’effets... Vous maniez les mots à la perfection.
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29/06/20
Cher Rouen Student, merci beaucoup pour vos mots par rapport à mes ecrits, qui sont en pleine relecture. J'ecris de manière instinctive. Je suis ravie que cela plait.. ou déplait aussi
Et c'est très bien comme cela ne changez pas ce style d'écriture, on sent l'envie derrière la plume ce qui rend le récit à la fois érotique et poétique (pas comme un énième roman fait à la chaîne sur la base d'une intrigue amoureuse bancale) en espérant vous relire au plus vite PS:A la limite peut être un peu plus de punitions et/ou de contraintes pour une prochaine nouvelle ?
Wahou déjà j'ai accroché des les première ligne car l'orage et la pluie m'inspire comme se petit vent qui actuellement caresse mon corps et de cette vie bien casé vous avez oublié le chien et le break moi j'ai décidé de vivre après avoir eu tous ça sauf le break je suis plus berline noir au vitres sombre et oui pleins de discrétion merci pour votre récit c'est très parlant
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29/06/20
Ma très chère et tendre. De passage pour voir ce que tu deviens, je me délecte de tes mots. Tu es de plus en plus douée.
Je sais par avance l'amertume que je peux provoquer par mes silences prolongés.
Sache que j'ai toujours des pensées appuyées à ton égard.
J'espère enfin que la distance va se réduire dans les prochains temps.
Je prendrai encore de tes nouvelles sous peu.
Pour l'heure, je célèbre ta plume et tes délicieuses histoires.
Bien à toi
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30/06/20