par mael
le 17/05/20
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Maitresse Isabelle et son époux et esclave le dévoué Ben, n'ont pas vu le temps passer. Entre le job à l'agence gouvernementale, la synagogue pour femmes et les missions pour le Mossad, les jours se sont écoulés comme dans un rêve tourbillon. Maitresse Isabelle a estimé qu'il était venu le temps pour elle de procréer et donc de se donner à Ben.
-il est temps de consommer ce mariage, mon époux chéri, il est temps pour moi de perdre ma virginité et toi ton pucelage. Nous avons passé la trentaine, nous avons su attendre de façon chaste dans la foi. Dieu va bénir notre union.
Ben ne comprend pas vraiment. Il émerge du subspace et commence à bander. Il a peur du fouet cinglant. Maitresse Isabelle le regarde et sourit:
-Non, je ne vais pas te fouetter jusqu'au sang. Cette fois tu peux bander librement pour m'honorer et me donner le meilleur de ta semence.
Maitresse Isabelle se déshabille et enlève son pagne traditionnel en coton. Elle montre son sexe pour la première fois en huit ans de mariage à son époux. Ce dernier l’observe et ne dit rien. Il s'approche et commence par sentir le sexe de sa femme qui est d'une odeur extatique. Il ne peut résister à l'envie de l'embrasser de le déguster. Sa femme écarte les jambes et s'offre complètement. La langue de Ben devient fébrile. Il explore tous les coins et recoins humides, s'enfonce partout où il peut. Ses lèvres aspirent le clitoris qui s'est dressé et Maitresse Isabelle ne peut retenir un orgasme violent.
Ben s'allonge sur sa femme. Il veut la pénétrer.Mais c'est impossible. Elle est complètement fermée, comme si son vagin était soudé. Rien à faire. Chaque fois Ben éjacule en surface, sur la douce toison de sa femme.
-C'est pas grave mon chéri, dit Maitresse Isabelle. Nous devons insister et réessayer, encore et encore. Mon sexe finira bien par s'ouvrir comme la mer rouge frappée par le bâton de Moïse.
Ben imagine cela. Il a le bâton de Moïse entre les jambes. Il frappe à l'entrée du sexe de sa femme. Et cette fois cela s'ouvre d'un coup. Il est au fond, le pénis enserré dans un fourreau d'une volupté incroyable. Il veut y rester, se retenir....faire durer....il ne bouge plus....c'est trop bon.
La sève monte, monte. Il essaie de la retenir. Impossible. Il explose tout son foutre. Il hurle. C'est divin.
Maitresse Isabelle et Ben ont baisé sans arrêt pendant 21 jours, sauf pendant les jours de Sabbat. La bénédiction attendue est arrivée. Maitresse Isabelle a commencé à attendre son enfant dans la joie.
Cela réussi, Ben est retourné dans son chaste subspace. Ses bandaisons ont disparu en quelques jours. Il a eu de nouveau droit à ses traites hebdomadaires pour rester en forme. Maitresse Isabelle s'est arrondie et est devenue d'une beauté incroyable, celle de la femme comblée et épanouie.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
virginite, dépucelage, pucelle, puceau
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J'écris comme cela vient, sans savoir parfois même ce que j'écris. En relisant, je trouve amusant cette idée que Moïse a "dépucelé" le peuple d'Israel en lui faisant traverser la mer rouge...rouge comme le sang lors de la perforation d'un hymen. Je trouve amusant de penser qu'Israel a été ensemencé au Sinaï, avec la promulgation de la Torah. Un acte sexuel symbolique....
Suggestion
Par : Steph Doe
La porte s’ouvre sur l’univers qui, depuis fort longtemps, a alimenté silencieusement et secrètement mes fantasmes les plus beaux .
En cet après-midi d’automne, sous vos regards protecteurs et bienveillants, je me faufile dans les entrailles d’un univers qui d’onirique s’ ancre dans le réel.
Délicieuse ….l’anxiété au paroxysme qui décuple le désir de s’offrir,
Anesthésiant…. l’abandon à la confiance,
Caressant,….le fouet sur mon corps,
Sublimant,… le bandeau m’isole et m’expose.
Suspendue comme le temps, un après-midi d’octobre…
Vos mains expertes, vos lèvres, vos murmures à mon oreille …. me font frissonner, trembler, ressentir la moindre parcelle de mon corps
Qu’elles furent douces vos mains claquant sur mes fesses, musical, le tourbillon du fouet et cinglante, piquante, la badine….
Détachée des préoccupations du monde extérieur, je me délecte de la saveur de l’instant. Ce que je sens, ce que je vois, ce que je ressens n’est que plaisir, la roue s’affole et m’affole, en apesanteur, je sens m’envahir la paix intérieure.
…..Parcourant mes jambes, je savoure la chaleur de l’eau de la fontaine qu’il m’est si précieux de sentir jaillir…..
Qu’il fut merveilleux cet après-midi d’octobre.
« Cris et Chuchotements », lieu d’esthétisme et d’inspiration, est de ces bulles confidentielles où le temps se fige et d’où l’on ressort grandi
Tel le théâtre classique, l’unité de temps, de lieu et d’action s’illustrent magnifiquement; intérêt dramatique, concision et scène se conjuguent au 21ème siècle aussi savamment qu’au 17ème.
Premiers pas d’un parcours initiatique sur la scène des saveurs du corps et l’âme…. 48 heures sont passées, mon corps, encore, vibre de 1000 sensations mêlées, d’une légèreté qui m’emporte, me porte et me procure un bien-être inavouable!
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Par : ZarathoustraDom
Ce qui m'a inspirée, c'est une maison de Meudon, construite en 1910, qui a conservé son décor d'époque. Elle est dotée d'un escalier qui m'intéressait. Cela faisait très longtemps que j'imaginais des hommes tous masqués, dans la même tenue, étagés sur les marches, en train de se masturber sur une femme. Pour moi, il fallait que cela soit très hiératique et beau.
Cet hiver, j'avais, avec une amie, sélectionné des candidats que nous avions recrutés par Minitel. Puis ils ont été convoqués le jour prévu dans ce cadre qu'ils ne connaissaient pas. Je leur en avais dit le moins possible, comme aux autres. A chaque fois, chacun des participants - cette fois, il y en avait seize - en sait le strict minimum. La scène centrale était donc ceci : des hommes sur des marches, portant tous un loup avec une voilette qui leur masquait la bouche, torse nu, pantalon noir, debout contre la rampe à barreaux d'un escalier en spirale, formant un demi-cercle face au vide, au-dessus d'un sol dallé où j'avais placé en vis-à-vis un autre demi-cercle de dominatrices habillées en robe du soir.
J'avais ménagé entre les femmes et les hommes masqués un espace libre où j'avais disposé de jolis coussins orientaux pour les deux jeunes soumises sur lesquelles les hommes devaient éjaculer d'en haut. Ces jeunes femmes, je les avais conçues comme étant de jeunes vierges qui devaient être fécondées. Donc elles étaient en blanc, dans des dessous 1900, en batiste et dentelle. Lorsque je les ai introduites, un pianiste amateur de SM, évidemment jouait. Je tenais les jeunes filles par des rubans de satin blanc qui étaient liés à leurs poignets et je les ai couchées sur les coussins.
Après quoi, à un signal précis, en l'occurrence un accord plaqué au piano, tout d'un coup on a entendu une cantatrice elle aussi adepte du SM attaquer les premières phrases de "La Mort de Didon" de Purcell. Elle est descendue lentement, du haut de l'escalier, magnifique dans une longue robe de velours rouge, en chantant.
Ce qui était très beau, évidemment, c'était ce contraste, cette quasi-inadéquation entre des hommes qui se masturbent et cette musique du XVIIème siècle, cette alliance du sperme et du sacré. C'est de la création bizarre, mais c'est de la création. Et qui n'est curieusement pas tellement à la mode. Aujourd'hui, on est plutôt du côté du cru, du direct, de l'improvisé. On ne va pas vers cette médiation, cette théâtralisation.
-
(Jeanne de Berg, épouse de l’écrivain Alain Robbe-Grillet, elle-même écrivaine et auteure, entre autres, de "Cérémonies de femmes", qui avait l'habitude avec son époux de mettre en scène des créations sadomasochistes qui prenaient ainsi la forme d’œuvres d’art éphémères telles que celle décrite ci-dessus - extrait d'une interview publié dans Les Inrockuptibles le 22/07/1998 - texte complet de l'interview ici : https://www.lesinrocks.com/1998/07/22/musique/concerts/jeanne-de-berg-jupe-brulee-11230848/)
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Par : Lady Gabrielle
Je VOUS livre , ici , les perversions mentales de Lady Gabrielle , qui , sommes toutes , ne sont pas aussi perverses que l'on pourrait le penser mais quand même très cérébrales.
Personnellement ,je n'ai jamais manipulé ma Maîtresse pour obtenir des faveurs .
Il m'est bien arrivé , comme beaucoup de soumis , de demander des choses que je n'ai pas souvent obtenu , d'ailleurs .
Mais je l'ai toujours fais en direct , sans utiliser de subterfuge.
En revanche , Lady Gabrielle , a fait preuve d'une certaine habileté mentale . Dans son cas le mot perversion est un peu fort .
C'est l'histoire que je m'en vais vous conter maintenant .
Au début de notre relation , nous ne vivions pas ensemble , pire , nous étions séparés par 150 km de plaines et de montagnes , heureusement pas infranchissables puisque traversées par une autoroute des plus pratique que je n'hésitais pas à emprunter maintes et maintes fois .
Et puis nous n'étions pas dramatiquement éloignés comme dans les contes romantiques et moralisateurs des temps passés.
Nous nous sommes beaucoup servi de nos téléphones portables . Vous voyez , nous n'étions pas dans un conte de Perrault.
Mais c'était et c'est encore une très belle histoire .
Je disais donc que nous étions reliés par téléphone. En effet, Lady Gabrielle avait exigé dès les premiers jours de ma soumission envers ELLE , un SMS journalier .
Pour moi , cela n'avait pas constitué une contrainte mais au contraire une joie et une preuve supplémentaire de ma soumission à Maîtresse .
Pour la petite histoire , sachez que j'ai changé 3 fois de forfait téléphonique entre août et décembre 2005.
Avec le numéro deMaîtresse illimité la nuit ainsi que les SMS illimités 24/24 .
Sinon j' aurai considérablement contribué à enrichir les actionnaires d'ORANGE .
Tout ça pour dire que ,au début , notre relation était essentiellement téléphonique et seulement épisodiquement physique.
Un jour enfin une nuit , au cours d'une de nos conversation , Maîtresse m'a suggéré la chose suivante : ELLE me demandait ce que je pensais de me prosterner devant ELLE à chacune de nos retrouvailles .
Il faut savoir , avant toutes choses , que les suggestions de Maîtresse Gabrielle , émises sur un ton doux et souriant sont tout ce que vous voulez ,mais certainement pas des suggestions ! ! ! Ce sont des ordres impératifs et péremptoires que soumis berny serait très mal venu de transgresser.
Ma réaction première fut un silence interminable que l'on pourrait comparer à celui des cimetières s'il n'était pas déjà éternel .
Ma surprise passée , la réflexion et mon esprit, au pouvoir hautement analytique , ayant fait leur travail, je voyais cette suggestion tout à fait réalisable . Sauf que . . .
Sauf que je ne connaissais pas encore très bien Maîtresse Gabrielle .
Moi je pensais que je devrais me prosterner devant ELLE discrètement , dans des endroits retirés , dans des coins sombres de portes cochères . . . Que nenni : je devais accomplir cet acte de soumission en public ! ! !
Et si possible , large , le public .
Notre rencontre suivant cette suggestion péremptoire et impérative eut lieu deux jours plus tard , à la gare de la Part -Dieu à Lyon , Maîtresse Gabrielle étant venu en train , dans le grand hall , un samedi à 11heures .
Ce matin là ,une foule de valises à roulettes tentaient de retenir des voyageurs en perdition , semblant leur dire ou Oui enfin bon . . .
Moi j'avais une suggestion à accomplir devant Maîtresse Gabrielle . Inutile de dire que durant les deux jours précédents, l'anxiété était monté en puissance dans mon esprit de soumis . Oserai je me prosterner , aurai je assez d'abnégation , aurai je le courage ?
Samedi matin , 11heures , octobre 2005. Il faisait beau ce matin là . Forcément je retrouvais ma Maîtresse .
Hall de la Part-Dieu à Lyon . Je suis planté au milieu , je domine la foule par ma taille , par mon épanouissement , par la force qu'ELLE me communique , parce que je suis à ELLE .
Voyageurs qui courrez , arrêtez de courir ! ! ! Cherchez LA avec moi ! vous verrez SA beauté .
Tout à coup ,une lumière . Ma tête se vide . ELLE apparaît en haut de l'escalier . ELLE est venue . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété , à chaque fois .
Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété . Mais ELLE est là . Les pas -perdus de la gare ne la regarde même pas . ? . ? . ? Sacrilège . Pourtant ELLE est belle dans son tailleur façon Chanel , son chemisier blanc à col ouvert , ses escarpins noirs , avec ses cheveux blancs et courts , son visage rondinet , son petit nez à la retroussette , ses yeux toujours souriants , ses lèvres fines et sévères . ELLE est là , radieuse .
Et moi , dire que je suis heureux ne serait qu'un doux euphémisme . Mon esprit est envahi de . . . mon esprit ? quel esprit?
Mon cerveau est en ébullition . . . mon cerveau ? quel cerveau ? Ma tête . . .oui ma tête ! mais elle est vide ma tête et elle n'a qu'une chose en . . . tête : L'IMAGE DE MAÎTRESSE GABRIELLE descendant les escaliers du hall de la gare de la Part -Dieu par ce beau samedi d'octobre 2005 .
Et toi berny . . . hou hou berny ferme la bouche , et ne reste pas planté là comme un benêt va prendre sa valise .
Je monte quelques marches , à sa rencontre . Que dis je des marches : je gravis une montagne et comme je rejoins Maîtresse tout disparaît autour de moi . , le hall est une vallée noyée dans le brouillard.
Il n'y a plus que la montagne , Lady Gabrielle , le brouillard à nos pieds et le soleil .
A ce moment là je me suis mis à genoux , je me suis prosterné , j'ai embrassé SES pieds tour à tour . Enfin paraît il .
Car ce n'est que plus tard , bien plus tard que Maîtresse m'a affirmé que je l'avais fait . J'avais été à la hauteur . . .
de ses pieds en l'occurrence .
C'était la première fois que je me prosternais en public pour Maîtresse , et comme toutes """ les premières fois """ ce fut une charge émotionnelle extraordinaire . Je ne l'avais jamais fais avant pour personne . Et bien sur , depuis , je ne l'ai plus jamais fais pour quelqu'un d'autre sauf sur SON ordre .
Ce WE fut effectivement un beau WE plein de BDSM , CHACUNE et chacun de son côté préféré du fouet .
La fin de ces deux jours arriva très vite , trop vite . Je raccompagnais Maîtresse à la gare le dimanche soir . Nous allions nous quitter . Je n'avais pas de tristesse . Je savais que nous nous reverrions . Et puis un fil nous reliait ::: le
téléphone . . . sans fil .
Je montais dans le wagon sans compartiment avec un couloir central , je déposais la valise de Maîtresse dans le filet .
ELLE me tendait la main pour que je l'embrasse , ce que je fis , et sans qu''ELLE me l'ai demandé je me prosternais à nouveau et embrassais ses pieds .
Maîtresse fut surprise mais , sommes toute , très contente . Et imaginez la surprise des voyageurs et la promiscuité du lieu .
Depuis ce jour ; j'ai accompli cet acte de soumission dans maints endroits comme la terrasse de plusieurs restaurants , dans divers magasin , galerie marchande etc . . . Et toujours avec un immense plaisir décuplé par le fait que j'ai la possibilité de laisser entrevoir ma soumitude aux profanes .
Oui je sais ça devient compliqué . En un mot ce n'est pas une humiliation c'est une joie pour moi .
Voilà l'histoire de ce que j'appelle l'habileté mentale de Lady Gabrielle . J'espère qu'elle vous a plu .
Je m'en vais vous conter la perversion mentale qui a traversé le cerveau hautement dominateur de Maîtresse Gabrielle
hier à 16 H 37 .
Elle est très semblable à celle que je vous ai contée dans cette rubrique ( la première ) .
Allez c'est parti .
En ce moment le calme est plat sur la mer du BDSM entre Maîtresse et moi . Je suppose que cela arrive dans tous les couples . Et comme nous sommes nombreux à le dire nous ne vivons pas BDSM 24/24 .
Donc hier , nous faisions nos courses dans un supermarché du Pays de Gex , quand à 16 H 37 précisément il nous vînt l'envie de boire du café . Pour accomplir cet acte salvateur nous nous rendîmes dans un bar à café sis au centre de la galerie marchande du supermarché sus-cité .
je déposais nos achats nécessaires ,utiles et même les superflus ( ceux qui font le plus plaisir ) au pied du guéridon .(et si tu n'es pas guai ou guay ou gué part )
Je tirais la chaise afin que Maîtresse puisse y prendre place aisément puis je commandais les boisson caféinées .
Nous devisions calmement , amoureusement , enthousiasmement ( je vous laisse trouver tous les mots en ement que vous voudrez ) sur un projet qui n'a rien à voir avec le BDSM .
Quand , tout à coup et soudainement Maîtresse Gabrielle , qui peut être agacée par mon verbiage de bavard , me """suggéra """ de me mettre à genoux ! Là ! Tout de suite !
Je peux vous dire que ma température passa en une nanoseconde , de 36,9 degrés Celsius à 391 degrés Farenheit
Imaginez le trouble qui était le mien à ce moment là . Nous ne sommes pas sur le mode BDSM, nous parlons d'un sujet qui nous fait rêver , et cet ordre qui tombe abruptement . Je dois dire que Maîtresse Gabrielle a le secret de ce genre de revirement psychologique . J'oserais ,même dire qu'ELLE est redoutable dans cette pratique .
Bon mais que croyez vous que je fis ? Que je refusai ? Que nenni ! ! ! je n'ai pas intérêt . Je demandais seulement quelques instants de préparation psychologie ( aussi ) . Hé oui je ne suis pas ""SUPERSOUMIS"" je vous l'ai déjà dis .
Donc je m'exécutais après un silence intersidéral de plusieurs siècles . Alors évidement ,je me suis concentré sur le visage de ma Maîtresse , incapable de regarder ailleurs , je devais être rouge ou blanc ou peut être bien vert enfin je n'en sais rien ;. Toujours est il que je n'en menait pas large malgré la largeur de mes 107, 500 kg .
Quand à Maîtresse Gabrielle , tranquille , souriante , sereine , calme , détendue , heureuse en quelque sorte , ELLE regardais alentour . ELLE m'a dit par la suite que les têtes et les regards masculins , féminins et les autres ont tous convergé , en un instant vers nous .
Et ELLE m'avoua , si tant est qu'une Maîtresse puisse avouer quelque chose , avoir eu cette pensée pour les femmes
et pour les hommes
Et là . . ."" pour un instant , pour un instant seulement "" je me suis senti dans la peau de """ SUPERSOUMIS """
Merci Lady Gabrielle , merci de me faire vivre des moments d'une telle intensité . Je dois dire que l' "" après immédiat"" puis le souvenir de cet acte me remplissent de fierté , de bonheur , de joie .
Fierté d'avoir osé pour la FEMME que j'aime , je dis bien pour la FEMME même si la Maîtresse fait partie intégrante de
cette FEMME .
En un mot j'aime la FEMME qu'est Lady Gabrielle . ( je crois que c'est plus simple exprimé ainsi )
Alors vous allez dire que ça ressemble à mon premier post sur cette rubrique ( je vous avais prévenu ) et vous avez raison mais la situation était différente .
Voilà , j'espère que vous aurez aimé cette petite histoire .
Berny
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Par : Lilas
Hello toi qui me lis. On va se tutoyer tiens de toute façon je suis trop ivre pour vouvoyer correctement qui que ce soit. Trop en colère aussi, la colère a ceci de juste qu'elle a vite fait d'éluder les tournures et les intermédiaires pour se concentrer sur l'essentiel.
J'ai très peur aujourd'hui. J'ai souvent peur avant une séance. Dans quelques heures, je vais faire très mal à quelqu'un, vraiment très mal. Je sais que j'oscille souvent entre des moments où je suis trop gentil et des moments où je suis un peu trop méchant. Pendant quelques instants, je sais qu'il va me haïr et les insultes fuseront probablement. Cruelle, salope, horrible, monstre, traînée, slut, Toi, torride, cage, supplice... Je le connais bien, je suis habitué à son corps et sa peau, je sais le faire jouir, je sais où le pincer, quand le brûler, quand lui murmurer, quand le bayonner, je sais où et comment nouer ses peurs les unes aux autres... Je sais quoi faire pour lui faire glisser des larmes rien qu'à l'évocation de ce que je vais lui faire.Je sais quoi faire pour avoir ses yeux suppliants ou son souffle extatique. Pourtant, malgré tout ça j'ai peur. Il y a une terreur sourde dans le bas de mon ventre et elle s'agrandit de minutes en minutes. C'est comme un orgasme lent, qui chemine à un rythme ridicule mais grossit par reptation en grignotant ce qu'il trouve sur son chemin. Aucune raison ne justifie cette peur; je vais jouer sur un piano dont je connais chaque touche de tête. Pourtant j'ai peur...
J'ai peur, très certainement, parce que c'est mon moteur à moi. C'est la peur de la masochiste que je suis qui avance tremblante vers son partenaire de jeu. C'est la peur du jeune garçon que les interactions sociales plongent dans une profonde terreur. C'est une peur qui a soif de rébellion et de revanche, c'est une peur d'enfant qui se hisse sur des épaules de grand. C'est ce qui enclenche le mouvement de balancier, ma peur c'est le point de départ d'une terrible inertie. Ce soir je vais jouer mon rôle et comme à chaque fois que je vais jouer à être un peu trop moi même,j'ai peur.
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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Par : Abyme
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Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre.
Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée.
Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses.
?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes.
À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude ....
Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi
Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme .....
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Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : Hedgehog
"Clac", le bruit de la porte qui se ferme me sort de mes pensées ...
Elle est partie, elle est partie et je me retrouve seul à la merci de Mélinda et de ses désirs ... Normalement, elle devait m'obéir ! Je ne comprends pas ... Non, ça ne va pas se passer comme ça, je vais lui montr...
"Déshabille toi" me dit Mélinda d'une voix ferme et sûre.
Je reste interdit ...
"Déshabille toi !, dit-elle encore plus fermement cette fois, à tel point que j'en suis impressionné, je ne l'imaginais pas ainsi ...
"Ne me le fais pas répéter une seconde fois ..., dans ton intérêt, je te le déconseille ..." me dit-elle ensuite ... Et je sens dans sa voix combien elle prend plaisir à cette éventualité ...
Je m'exécute alors, plutôt inquiet de ce qu'il pourrait m'arriver ...
Elle sourit ...
Quel délicieux sourire ...
Je l'observe sourire tout en retirant ma chemise et mes chaussures ..., j'hésite un peu en mettant mes mains sur ma ceinture ...
"Aller, retire tout" me dit elle en me transperçant de ses yeux plein de ... plein de quoi d'ailleurs ?
On dirait comme du désir et de l'envie mélangés..., mais pas tant de bientôt voir mon corps nu que plutôt de me regarder détacher ma ceinture puis déboutonner mon pantalon ... On dirait qu'elle se réjouit de me voir lui obéir pas à pas, sans résister ...
Mais je vais résister !! Je m'arrête avant le dernier bouton ...
Son regard se durcit ...
Je m'empresse de retirer ce dernier bouton et de descendre mon pantalon jusqu'à mes chevilles ...
Je le retire, je retire mes chaussettes, me voilà à une seule pièce de la nudité complète ... Il m'est difficile de cacher le désir que sa tenue du soir et de nos discussions passées éveillent en moi ... Son regard effleure cette partie de mon anatomie puis revient croiser durement le mien pour menacer ma nouvelle hésitation ...
Je retire mon boxer et me redresse complètement nu face à elle ..., je cherchant bêtement à faire quelque chose de mes mains ..., je les place plus ou moins devant mon sexe pour essayer de cacher cette érection qui tout d'un coup me gêne un peu...
Son regard à nouveau m'en dissuade ...
Je laisse mes mains et mes bras pendre le long de mon corps.
Elle me détaille des pieds à la tête...
Le temps s'étire ...
Mon érection s'obstine à ne pas faiblir ..., je ne comprends pas ...ou alors, peut être que j'aime être ainsi à nu face à ma Mélinda ..., en même temps, j'en avais tant rêvé ...
Je n'ose plus bouger ...
"Viens par ici" me dit elle.
Sa voix reste ferme ...
J'obéis à nouveau.
Tiens, voici quelques habits, ils devraient t'aller, enfile moi ça puis rejoins moi dans le salon.
Je regarde interdit les habits ...
Bon sang ..., j'en étais certain ...
"Attends Méli, je ne vais quand mêm..."
"Silence !"
" Je t'ai donné un ordre, tu obéis, un point c'est tout. Nous avons déjà parlé de ça pendant des heures au téléphone. Tu rigolais, tu disais que tu rêvais de me satisfaire et de me donner du plaisir... Et bien il est temps. Je veux le plaisir que tu m'as promis. Habille toi maintenant et vite, tu as beaucoup de choses à faire..."
Méli quitte la pièce pendant que je me rappelle cette conversations, ou devrais- je dire, "ces conversations", lors desquelles j'ai effectivement annoncé cela en le pensant sincèrement ...
Mais bon sang, je n'avais pas imaginé ça comme ça !
Je suis seul dans la salle de bain où elle m'a amené, je regarde les habits ..., puis je regarde la porte par laquelle elle est sortie...
Je soupire alors avant de me décider à prendre les bas et à les enfiler ...,
"Franchement, j'ai l'air malin tiens ..."
Je passe la jupe ..., elle est à ma taille ..., quelle idée de lui avoir donné mes mensurations ... tout me va ..., j'enfile le chemisier avec son décolleté ...
Pourquoi ne suis-je pas surpris qu'il n'y ait pas de culotte ...?
En même temps, c'est sûrement pour lui permettre de glisser sa main sous ma jupe, hum, je sens que ça va me plaire ça !
Les chaussures maintenant ..., un faible espoir ..., non, j'arrive à rentrer dans ces chaussures à talon ..., heureusement qu'ils ne sont pas hauts ...
Bon sang, j'avais parlé de ça pour rire !
Je ne pensais pas me retrouver ainsi !
"Viens !" dit sa voix impatiente ...
Je me dépêche d'ajuster cette longue perruque rousse , d'enfiler mes gants noirs et me voilà qui sort pour la rejoindre, l'air complètement ridicule, habillé en soubrette de la tête aux pieds ... et à deux doigts de me tordre les chevilles, tout en bénissant Méli d'avoir pris des talons bas ...
Elle me regarde à nouveau, s'approche de moi puis ajuste quelques petites choses par ci par là ...
Elle se recule un peu et sourit d'un air satisfait.
"Voilà, tu es très bien, enfin à ta place."
"Ecoute, lui dis-je, voilà, c'est amusant mais francheme..."
"Décidément, c'est vrai que tu es long à la détente...", me dit elle de sa voix si ferme. "Le weekend commence à peine ... et tu vas m'obéir pendant toute sa durée ..., et crois moi sur parole, je te ferais obéir aux moindres désirs dont nous avions parlé, que tu acceptes à ma première demande ou que tu ais besoin de motivation supplémentaires pour le faire ..., dit elle en indiquant de la main une petite table dans le coin du salon.
J'allais lui répondre quand la vue de cette table me coupa toute envie de dire le moindre mot ... Il y avait là des menottes, une cravache, un ou deux petits godes et d'autres objets qui échappèrent totalement à mon cerveau après que j'ai vu le gode ceinture posé lui aussi sur cette table ...
Tandis que mes yeux restaient fixés sur lui, la voix de Mélinda raisonna dans ma tête :
"Hé ! Je te parle, ne me fais pas répéter une fois de plus !"
"Pardon Mélinda, dis je d'une voix toute tremblante, je suis désolé, pardonne moi, je n'ai pas entendu ... je ..., j'ai pensais à autre chose ..., je ne voulais pas désobéir, excuse moi, pardon ... s'il te plaît, redis moi ce que tu m'as demandé et je le ferais tout de suite !"
Elle sourit ..., son regard s'est porté sur la table puis sur moi, et son sourire semble rempli d'une incroyable satisfaction ...
Bon sang, c'est certain, quoi qu'elle me demande, je le ferais, le gode ceinture, c'est bon pour mes fantasmes hein, je ne tiens pas à le tester ...
Je la regarde alors, désormais près à obéir à ses moindres demandes tandis que je regrette maintenant qu'elle ne m'ait pas donné de culotte ...comme si ce petit bout de tissus pouvait me protéger ...
Mais quand j'entends à nouveau sa voix, je suis pris d'un léger frémissement d'inquiétude teinté d'une folle envie de ne pas la décevoir ...
"Bien, maintenant que les choses sont claires voilà ce que tu vas faire..." me dit, toute souriante, Mélinda ...
Et ma peau frissonne soudain d'une tenace d'angoisse à l'énoncé de mes futures tâches et de ses si nombreux désirs ...
Bon sang !! Le weekend commence à peine !!
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tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse «
( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi )
j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis.
J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé.
puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! «
je m’instale à 4 pates tel es ma place !!!
je doit l’attendre.
les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !!
je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!!
elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !!
puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!!
« aller vien la « qu’elle me dit !!!!
je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps.
j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!!
elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! »
chose que je fait de suite …
elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! «
wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend …
se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!!
elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse.
cette fierté que je ressent !!
elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte …
j’entend « arrete de te branlé «
frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!!
elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !!
bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis.
je suis la le cul bien cambré.
et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! «
( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies )
gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur.
elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle
CLAQUE …. 1
CLAQUE ….. haaaa 2
CLAQUE ….. 3!!!!
CLAQUE ….. hooooo 4
CLAQUE ….. 5…..
silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse «
CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie )
Merci Maitresse
hoooooooo hummmmm….
la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit
j’entend « tu voulait jouet avec celui la «
et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!!
et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!!
je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!!
la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!!
elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent
« aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!!
hummmmmm quel excitation !!!
je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !!
De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !!
cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes
Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!!
elle me dit « vas’y joui !!!!!! «
hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase ….
elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort
hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!!
mon corp n’est plus mien il lui appartient
ELLE CONTROLE TOUT !!!!
hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo
elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!!
je suis perdu de la realité
mais je sais que se qui vient de se passer est simplement :
hummmmmmmm très bon.
elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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Par : Maxxence
Une envie qui hésites, des "jeu t'aime" qui déchirent, jouer juste.
Monter, fréquenter le ciel. Ne jamais regarder en bas, de peur de tomber plus haut, lier nos âmes de nos maux, casser le faux, s'ouvrir aux vérités, ne plus rien cacher, se réveler, s'approprier, pour ne plus rien posséder.
Laisser glisser les mots, pour n'avoir de raison que les sens exacerbés, l'essence de nos envies inspirées, créer, pour mieux s'apprivoiser, de nos jouissances, retrouver l'innocence.
Ployer devant tes abandons, perdre la raison, s'oublier, laisser parler l'animal trop caché.
Démissionner sa vie verticale, retrouver l'animal, abandon du moi, que d'émois, en toi, sur toi, près de toi, à quatre mains nous jouons nos à corps.
A coeurs joints, sauter, ne plus rien retenir, se laisser jouir, pourquoi pas mourir, abandonner tout.
Tu m'emportes, tu me fait chavirer, de nos indécences, je retrouve mes innocences, de nos jouissances, oublie de nos souffrances, retrouver nos sens.
Dans ton ventre, je rentre. J'entre chercher ton âme, la prendre à pleine main, la caresser, te laisser t'abandonner, ne plus raisonner, savourer, savourer ces moments comptés.
Laisse moi t'aimer, t'aimer dans mes différences, dans mes insouciances, dans mes déviances, laisse moi t'aimer, à ma manière, chasser l'austère et l'amère, ne plus vivre que de mystères.
Plus de détresses, tout est allégresse, j'aime tes soupirs qui m'enchaîne, tes cris sonnent comme des "je t'aime", je me fout de tout, comme du reste, je sais qu'en toi je suis, je sais qu'en toi, je reste.
Ne plus rien sentir, se laisser partir, ne plus être que jouissance, retrouver l'innocence.
Encore, encore, toucher cette petite mort.
Maxence Lascombe(c)
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Par : Lady Hydre
Humour et Dérision .. La copine d'Huguette .. Encouragé par mes deux premiers succès , ne voulant pas gâcher des dons évidents , je me remis à l'ouvrage . J'appelai Huguette pour la revoir , toujours sous le charme . Elle n'était plus libre me confia-t-elle , avait déménagé , n'étais plus intéressée par le BDSM , et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre . Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue . Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner , que , probablement par peur de tomber follement amoureuse , elle préférait une vaine fuite . Je dis vaine , car évidemment , je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi . Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman , je n'insistai pas , la laissant toute à la pudeur de ses sentiments . Juste avant de me raccrocher au nez ( assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais … ) elle me donna le numéro d'une amie qui disait-elle pourrait être intéressée , elle ( je cite ) . Ah ces femmes , quels bijoux … Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine . Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même . Lorsque j'entrai dans le café , je la reconnu immédiatement . Sa paire de Rangers , son pantalon treilli très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement ; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité , sa féminité … Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis . Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi , ni ses épaules de déménageur . Je mis sur le compte du tabac ( elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant … ) sa voix grave . _ Bonjour Madame , je … _ 'sied toi ! Quelle économie de mot , et quelle concision ; j'en était admiratif ! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle . _ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette ? Force était de constater que ma réputation m'avait précédé ; je conçu une certaine gène ( humilité quand tu nous tiens ) devant ce compliment déguisé . Toujours cette subtilité du langage féminin … _ moi aussi j'aime la fessée ... lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux . Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main . _ ...mais je préfère la cravache , mon pêché mignon ! J'étais sous le charme , nos goûts correspondaient à merveille . Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme ? Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre ; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter , mais son envie , son impatience eurent raison de ma pseudo réticence . En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle , dans son sac . Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme , avoisinant les 60 , 65 ans . Elle avait certainement tout prévu la coquine . J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte : _ j'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs ! Les rires gras de l'assemblée me transportaient ; elle savait y faire pour donner le change , et mine de crayon , me rejoindre . La porte s'ouvrit ; elle était encore plus grande que je ne croyais . A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans . Impatience quand tu nous tiens … De son sac elle sortit une magnifique cravache noire , un modèle assez court , avec un large embout en cuir . _ Baisse ton pantalon ! J'en étais gêné ! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite ? C'eut été gâcher , je ne l'avais même pas encore fessée . Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur , pantalon sur les talons ; dans cette pause noble j'entendis ( et surtout sentis ! ) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train ! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre . Visiblement dans le doute , elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu . Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre , j'avais de moins en moins envie de la dominer . J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop . Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait ; cela m'arrangeait un peu à vrai dire … Quand elle eu fini , elle claqua la porte et sorti , me laissant le soin , me précisa-t-elle de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte . Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin . Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré ; j'en concevais une légitime fièreté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin . Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ... Sir S
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