par mael
le 12/05/20
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Isabelle aime ses seins. Elle adore les caresser. C'est si doux, si relaxant. Elle trouve toujours un moment pour se caresser la poitrine et se faire du bien. Sauf que parfois elle s'oublie et Ben son collègue de bureau a remarqué. Il adore la regarder .....Mais cette allumeuse d'Isabelle a remarqué aussi que Ben en pince pour elle. Alors elle joue et le nargue. Elle aime bien Ben, c'est un beau gosse, un peu timide, craquant. Mais elle aime se faire désirer. Elle croise ses cuisses bien musclées et se fait jouir. Elle joue à la sainte nitouche. Ben est rouge, il transpire. Cela suffit pour déclencher un premier orgasme. C'est si facile pour isabelle en croisant bien les jambes sur son clito.
-Ben, tu veux pas aller me chercher un café?
-Oui Madame.
Un vrai soumis ce Ben, et Isabelle a envie de jouer à la Maitresse avec lui. Ben rapporte le café en bon toutou.
-Dis moi Ben, tu es encore puceau?
Le pauvre ne sait plus ou se mettre. Il est géné et mets ses mains devant son sexe comme pour se protéger. Il n'ose pas répondre.
-Tu sais Ben, tu es un vilain petit garçon à me regarder quand je me masse les seins.
-Pardon Madame Isabelle. Je ne le ferais plus.
il reçoit une bonne gifle.
-Dire pardon ne suffit pas. Il faut dire Pardon Maitresse Isabelle.
-Pardon Maitresse Isabelle.
-Bon, tu sais quoi, tu vas finir pour moi le dossier Duval. Et fait le bien, moi je vais faire des courses. Je reviens dans une heure.
-Oui Maitresse Isabelle.
Une heure trente après, Maitresse Isabelle revient. Le Dossier Duval est bouclé. Son bureau est rangé, nettoyé, propret.
-C'est bien toutou Ben. Tu as droit à un sucre. Viens ici.
Ben se rapproche regard baissé. Il est rentré dans son rôle de soumis. Maitresse Isabelle l'empoigne, le retourne et lui baisse son pantalon sur son bureau. Elle lui administre une fessée. Mais ben n'a pas assez mal. Elle prend un cable de secours et se fabrique un fouet. Pauvre Ben, il est vite rouge sang. il gémit et pleure.
-Te voilà marqué toutou Ben. Tu veux etre mon esclave?
-Oui Maitresse Isabelle.
Tu sais ce que cela veut dire ?
-Oui Maitresse Isabelle.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
dominatrice, clitoridienne
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Suggestion
Par : Lady Spencer
Plusieurs personnes dont Tendresseab voudraient avoir des conseils sur le marquage au fer : je propose ici un récapitulatif non exhaustif sur cette pratique EXTREME : il ne s'agit pas d'un simple tatouage, il s'agit d'une brûlure bien réelle, qui est réalisée pour durer plusieurs années.
D'où une réflexion profonde à discuter entre deux personnes au sein de la relation DS, et pas, à mon sens, un désir de poser son empreinte sur un coup de tète !
Je ne place dans cet article QUE mes avis et ma pratique, sans exclure d'autres avis bien-sûr, toujours les bienvenus, en précisant 2 points importants :
j'ai réalisé 2 marquages au fer rouge
je suis infirmière, ce qui a facilité l'approche de la technique et les soins "post-op"
Je n'aborderai pas les désirs de marquage : ils sont propres à chaque couple et ne se discutent normalement pas .
Que l'on trouve cette pratique extrème, oui car c'est le cas : mais merci de ne pas porter de jugement hâtif sur le bien ou le mal de cet acte
Voici donc quelques conseils techniques sur les fers en alliage de bronze : pour les autres fers, voir avec le créateur du fer
l'emplacement du marquage : toutes zones charnues du corps (fesses, bras, cuisses, abdomen, épaules, seins.....)
Eviter les zones cicatricielles, zones de peau fine, zones osseuses
Le fer de grande taille, devra être en contact complet avec la peau
l'état de santé de la personne marquée : ne pas réaliser le marquage lors d'une maladie même bénigne , reporter l'acte .
Précision qui peut sembler "logique" mais qui ne l'est pas tant que cela : si la personne devant subir un branding est en phase dépressive, ne pas pratiquer l'acte non plus : physiquement, les brûlures peuvent être beaucoup plus difficiles à cicatriser, et psychologiquement, le vécu du branding peut en être modifié
réalisation : contention de la personne : ça me semble indispensable !
Le fer est chauffé entre 800 et 900°, son application est certes brève mais la douleur est très violente : attacher sur une table par ex, bras et jambes solidement écartés et immobilisés pour éviter tout mouvement incontrôlé
bloc de glace : pour analgésier la zone, vous pouvez mettre un bloc de glace pendant quelques minutes avant (enveloppé dans un tissu et sorti du congel 1/4h avant le marquage : sinon,risque de brûlure par le froid)
L'analgésie n'est pas recherchée par tous, à voir selon vos désirs
asepsie : la zone de marquage sera lavée eau et savon, rinçage +++ et séchage +++ (rasage éventuel)
puis, compresse alcoolisée (alcool à70°) à passer sur la zone large
préparation du fer : prévoir un récipient pour poser le fer en fin de marquage
Le chauffer sur une flamme de type camping gaz par ex, jamais sur un brasero qui laisseraient des résidus charbonneux (tant pis pour le coté western)
Précision : commencer par chauffer l'extrémité du fer (jointure) et finir par le fer lui-même
Conseil : lors de cette phase, mettez vous dans la pénombre pour surveiller la couleur de chauffe : le fer ne doit jamais être ROUGE VIF, pour un fer en bronze
2 à 3 minutes suffisent pour atteindre la bonne température
Lorsqu'une couleur rouge sombre apparait sur les extrémités du fer, le sortir de la flamme et attendre 5 secondes environ pour que la chaleur se répartisse dans tout le fer : la couleur rouge sombre disparaitra alors.
Le fer est prêt pour l'application
Application : d'une main ferme, geste sûr, sans trembler, appliquer le fer sur la peau , sans forcer (vous constaterez combien le fer pénètre la chair)
Temps de pose : ATTENTION : 2 à 3 SECONDES, PAS PLUS (c'est long pour celui qui reçoit et très court pour celui qui applique)
Entrainez vous avant, avec le fer froid sur un tissu par ex : vous pouvez prononcer une phrase calmement, du style "Par ce fer, je te marque"
Pour stopper la brûlure qui continue après le retrait du fer, posez immédiatement le bloc de glace avec une compresse sur la plaie.
Là, c'est un instant d'émotion pure : je ne vous donne aucun conseil (sourire)
Soins post-marquage : le but du marquage par brûlure de la peau, est de la remplacer par un tissu cicatriciel donc, les soins sont essentiels
La cicatrisation sera plus ou moins longue (3 à 4 semaines, voire plus)
La plaie sera de suite nettoyée avec des compresses stériles et du sérum physiologique à 0.9 %, pas de coton qui s'accrocherait et laisserait des micro fibres .
Pansement tous les jours la 1ère semaine puis tous les 2 jours
Si plaie inflammée (rouge et sensible) : nettoyage à la Bétadine (jaune)
Protéger la plaie avec un pansement sec, compresse et pommade pour brûlure ou avec un pansement hydrocellulaire (vendu en pharmacie suivant la taille)
Ne jamais gratter les croutes, elle tomberont seules
Si un problème infectieux survient, rougeur anormale, douleur lancinante, fièvre....consulter immédiatement un médecin et ne pas hésiter à lui expliquer le marquage : il n'est pas là pour juger mais pour vous aider et vous soigner
Le marquage obtenu aura une couleur nacrée dans les semaines suivant la fin de la cicatrisation : plus visible sur une peau bronzée par exemple
Conseils en collaboration avec Marc Sainteul de "Corpus Delicti" ,créateur de bijoux BDSM
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Par : #
Oui allo, bonjour…
…
– Oui avec plaisir
…
– Quand ?
-…
– Vendredi prochain ? Le 6 c’est ça ?
-…
– Ha non je suis vraiment désolé je ne peux vraiment pas
-…
– Non je suis en congés vraiment désolé, s’il y a une autre date je peux m’arranger
-…
– Non ? Désolé, si jamais une autre date se libère n’hésitez pas à me rappeler, au revoir Madame.
… dingue je viens de refuser une invitation d’un grand DG tout ça parce que dans une semaine à la même heure j’ai prévu de me faire fouetter dans une cave déguisé en femme devant des gens que je ne connais pas….
…10 minutes plus tard on me propose un nouveau rdv pour le mercredi 11 ????
J-7 : j’avoue que je ne suis pas encore sûr à 100% d’avoir le courage de me présenter devant la porte, mais l’expérience est tellement tentante… et je n’ose plus faire machine arrière, Madame m’a gentiment relancé par mail. C’est décidé je ne peux plus faire machine arrière, alea jacta est…
H-6 : j’ai pris mon après-midi, mon sac avec mes affaires est prêt, j’ai du mal à me concentrer sur mon boulot, mélange de craintes, d’angoisse, de curiosité, et aussi d’envie contradictoire de dépasser tout ça
H-1 : je suis passé en voiture pour repérer l’entrée préalablement visualisée sur google street view, une petite porte renfoncée sans signe distinctif, est-ce bien là ? Je sens mon coeur qui s’accélère,… vraiment fort. Dans ma tête deux petites voix s’interpellent
– “tu vas voir ça va être incroyable comme sensations ! Tu as de la chance, tu ne trouveras pas mieux pour une première fois, elle est vraiment gentille douce et vraiment très belle ! Je t’assure je suis sûre que tu peux lui faire confiance ça se passera bien, en plus elle a dit qu’il n’y avait personne l’après-midi, tu t’inquiètes pour rien, en plus elle a déjà tout préparé, l’hôtesse qui doit m’accueillir est très sympathique parait-il”
et l’autre petite voix :
“Non n’y va pas il est encore temps de faire demi-tour, va faire un tour, il fait beau, tu ne te rends pas compte, tu t’es toujours fixé une règle, jamais en club, jamais en public, là tu cumules tout, la soumission, le public,..etc…”
Je gare ma voiture sous la mairie toute proche, il me reste une heure à attendre, trop de stress, je prends mon PC et vais travailler dans le bar en face de la Mairie, je crois que je n’ai jamais traité autant de mails en une heure !!
C’est l’heure, mon cœur s’emballe à nouveau, je retourne à ma voiture échanger mes sacs. J’avance doucement vers l’adresse, normalement une charmante hôtesse m’attend, je dois me présenter comme Camille, elle a des instructions… quelles instructions ???
“Bonjour Stéphanie, je suis Camille, je crois que vous avez des instructions me concernant.” “Bonjour Camille, je suis Stéphanie, je crois que vous avez des instructions me concernant”, non c’est pas ça, les mots se bousculent dans ma tête un peu trop irriguée d’adrénaline. Je ne sais pas si c’est moi qui marche trop vite ou si la porte se rapproche de moi toute seule mais je me retrouve d’un coup devant la dite porte tant attendue et crainte, je ne me rappelle même plus si j’ai sonné ou frappé. Rappelles-toi, “Bonjour Stéphanie, je suis Camille vous devez avoir des instructions me concernant”…
La porte s’ouvre, je m’apprête à réciter les quelques mots comme mécaniquement quand un géant à la barbe de Merlin ouvre, tout d’un coup Stéphanie est plus proche du bûcheron canadien que de la poupée Barbie imaginée.
Un petit court circuit cérébral m’arrête 2 secondes…
– “Euh…. bonjour,….. je suis Camille et….
– “Oui bonjour on est au courant, Stéphanie va venir s’occuper de vous, entrez…”
Finalement le grand gaillard à barbe est plus proche du gentil Père Noël que du bûcheron bourru.
J’aperçois Stéphanie en train d’encaisser un visiteur, diable je croyais qu’il y avait personne… m’aurait on menti ? Madame aurait elle voulu me rassurer en minimisant l’affluence ?
– “Bonjour Camille, je suis au courant j’ai quelques instructions, où préférez vous vous changer ? ici dans l’entrée ? Sinon il y a les toilettes”
Je ne me vois vraiment pas me changer dans cette entrée où commencent quelques va et viens bien trop denses à mon goût
-“Je préfère les toilettes”
– “Parfait, allez-y ensuite je vous donnerais vos instructions”
Je rentre dans les toilettes et ferme le loquet, frêle protection contre ce qui va arriver ensuite, comme dernier moment suspendu .
Je me change, difficile dans cette pénombre, le rouge blafard que diffuse asthmatiquement la lampe ne me facilite pas la tâche.
La clenche se baisse plusieurs fois comme pour mieux me presser, j’entends de nouveaux visiteurs, ça parle ça rigole dans le vestibule, j’ai l’impression que tout Paris s’engouffre dans cette petite entrée, chaque accessoire enfilé correspond l’arrivée d’un nouveau groupe de personne et dire que Madame m’avait assuré qu’il n’y avait personne le vendredi après-midi, ai-je finalement écouté les conseils de la mauvaise petite voix qui m’a guidé jusqu’ici ?
Ca y est j’ajuste ma perruque, mes affaires “civiles” sont au fond du sac, je regarde le loquet, dernier rempart protecteur contre mon futur proche, le bruit sec libère l’ouverture de la porte, Camille fait face au public qui est massé dans l’entrée, je sens quelques regards des hommes et des femmes qui attendent manteau à la main, les discussions continuent. Je baisse les yeux, je ne vois personne, me persuader qu’il n’y a personne autour de moi, non, non il n’y a personne.
Stéphanie me complimente sur ma tenue et me demande de la suivre, elle est charmante, de longues jambes fines mises en valeur par des talons aiguille. Elle me demande de descendre les escaliers, je descends doucement, trop doucement, vite, vite allons en bas il dois y avoir moins de monde, à chaque marche descendue la vision du sous-sol se découvre lentement à mon regard.
Mon Dieu, il y a des gens au bar, et assis à toutes les tables, mon cœur s’emballe à nouveau j’ai à peine le temps de prendre la mesure du piège dans lequel je suis tombée que Stéphanie me demande de m’agenouiller par terre au pied des escaliers juste à côté d’un groupe de trois personnes, un homme et deux femmes. je m’exécute, je suis à genoux, assise sur mes talons aiguille je baisse la tête pour ne pas voir les invités et me cacher moi-même par la même occasion.
Je vois les jambes de Stéphanie qui remontent l’escalier, j’ai l’impression d’être abandonnée,combien de temps dois-je attendre, est-ce déjà une punition ? Madame m’avait demandé d’être à l’heure, j’espère qu’elle ne va pas tarder. De la peur de rencontrer Madame, j’ai maintenant hâte qu’elle vienne me sauver, qu’elle me fasse n’importe quoi pourvu qu’elle m’extrait du regard des autres. Le pire c’est les bribes de conversation du groupe derrière moi je perçois un mot de temps en temps, les femmes posent beaucoup de questions, l’homme semble habitué à l’univers.
blabla…belles jambes pour un travesti…blabla…pourquoi à genoux…blabla…c’est comme un rite…blabla…montrer sa soumission…blabla…position d’attente…blabla…respect…blabla…
les mots se bousculent je sais qu’ils parlent de moi, j’ai les yeux baissés, je ne vois que mes cuisses. Je m’aperçois que les jarretières de mes bas ne sont pas tout à fait alignées, j’espère que Madame ne le verra pas… je ne sais pas depuis combien de temps j’attends j’ai l’impression d’une éternité… quand va elle arriver me sauver ??? Un visage, une voix déjà entendue me manque tout d’un coup.
Mes genoux commencent à être douloureux et à genoux sur mes talons aiguille n’arrange rien
derrière la conversation continue…blabla…cage de chasteté…blabla…
D’autres personnes continuent de descendre cet escalier, de plus en plus de monde, est-ce que ça va s’arrêter ? J’en entends encore d’autres, je ne vois que les chaussures, qui défilent sous mon regard, des chaussures d’hommes, des escarpins,…
Tout d’un coup je sens deux mains me prendre le visage comme on prend affectueusement le visage d’un enfant, une voix douce, me demande de me relever, je ne me rappelle même plus des paroles mais elles sont pour moi comme une libération, heureuse, enfin sauvée alors que ça n’a même pas encore commencé. Madame est toujours aussi belle, elle me présente à ses deux amis qui me paraissent charmants, je dois maintenant l’aider à se transformer, je deviens l’actrice de ma propre soumission.
Me voilà maintenant dans une alcôve bien accueillante et moins peuplée malgré quelques regards curieux, Madame commence à se dévêtir et je participe à cet effeuillage, elle sort ses bas, porte-jarretelles, chaussures, il fait sombre, j’adore cette ambiance tamisée qui laisse deviner les formes sans les dévoiler complètement.
Je suis accroupie pour mieux libérer Madame de ses vêtements, ses jambes se dévoilent, elles sont fines, magnifiques, le dernier rempart de la pudeur tombe au sol.
Elle s’assoit et tend ses jambes vers moi pour que je lui enfile ses bas, je sens un gonflement entre mes jambes, alors que je suis dans mon univers érotique préféré, étonnamment le réveil de ma partie masculine n’est que bref, ma concentration pour enfiler correctement les collants est telle que mon esprit masculin n’est pas capable de gérer les deux.
J’ai dû enlever mes gants afin d’être plus précis dans mes gestes, je remonte les bas doucement le long des longues jambes de Madame, je sens à la fois le nylon que j’adore et la peau si douce de Madame. Les deux bas sont enfilés, elle se lève mon visage est maintenant à la hauteur de son entrejambe, j’ai une envie irrésistible de déposer un baiser sur ce triangle à portée de lèvres. mais cela ne se fait pas, je ne veux pas faire honte à Madame, je remonte très haut ses bas et mes phalanges touchent doucement son entrejambe, elle ne dit rien et est attentive à mes mouvements.
Je dois maintenant attacher son porte-jarretelle, il fait noir je n’y vois rien, mes doigts essaient de trouver les minuscules crochets, les fesses rebondies de Madame sont magnifiques, que j’aurais envie de les embrasser, mais ça ne se fait pas. Je suis tellement concentrée que je ne bande même plus je n’ai même plus le temps d’y penser je veux juste que Madame soit fière de mon travail.
Ouuuppss, une petite erreur, il faut recommencer, je suis à la fois désolée de cette erreur et ravie d’avoir à recommencer et prolonger ainsi le plaisir. Je lui enfile ses talons, j’ai l’impression d’être dans un rêve, je l’aide à enfiler sa robe qui met en valeur sa poitrine ferme et qu’elle porte fière. J’ai envie de lui embrasser les tétons de jouer avec du bout de ma langue, mais ça ne se fait pas…
Il est temps de passer aux choses sérieuses, que va-t-il se passer maintenant ? Je suis Madame dans sa longue robe, elle est aussi belle et désirable qu’inaccessible et qu’impressionnante.
Nous arrivons dans cette salle qui me parait immense comparée à l’alcôve que nous venons de quitter. Madame enlève sa robe, elle a une poitrine vraiment magnifique, j’ai l’honneur de devoir l’attacher au niveau des poignets, son Maître me demande de la caresser je ne me fait pas prier, j’en profite pour caresser ses seins qui me font si envie je regrette d’avoir mes gants, je ne peux profiter de ce trop court instant comme suspendu dans le temps. On m’invite à m’asseoir en face. Des spectateurs commencent à faire un demi cercle pour profiter du spectacle, il y a une autre travestie qui assiste à la scène.
Je suis maintenant assise pile en face de Madame qui est passé en un instant de Maitresse à Soumise, elle a maintenant un bandeau sur les yeux, les bras en l’air, sa poitrine dégagée, la lumière rouge tamisée diffuse derrière et découpe la silhouette parfaite de Madame qui n’est plus que l’ombre de celle qui me demander de la vêtir.
Ses jambes sont légèrement écartées droites, magnifiques. J’ai une envie irrésistible de venir me mettre à genoux devant elle et de venir lui embrasser les jambes et remonter doucement vers son entrejambe pour goûter à ce fruit défendu. Alors même que ma partie masculine commence à se sentir à l’étroit entre mes jambes croisées, son Maître lui afflige un premier coup ce qui calme dans la seconde mes ardeurs masculines.
Mon cœur manque de sortir de ma poitrine sur 3 battements, les seins de Madame s’agitent sous les coups, Dieu que c’est beau de la voir s’abandonner, les coups vont crescendo, je n’arrive pas à décrocher mon regard de cette poitrine qui s’agite. Le bruit des coups m’impressionne, je ne réalise pas encore que je vais être à sa place, maintenant son Maître viens la caresser entre ses jambes j’aimerais encore venir l’aider, étonnement je n’ai même pas envie de lui faire l’amour juste de sentir ma langue s’enfoncer doucement pour son plaisir. Les coups pleuvent de plus en plus fort et de plus en plus vite même sur cette poitrine, on sent que la violence des coups s’approche de la limite de Madame mais elle a confiance, ça se sent, elle se donne en spectacle et elle a des spectateurs, je sais qu’elle aime ce théâtre. Les spectateurs passifs semblent hypnotisés par la scène et ils peuvent maintenant entendre la jouissance de Madame se libérer. Madame tient à peine debout et semble épuisée. On la détache, j’ai envie de la prendre dans mes bras pour la soulager et lui dire mon admiration. Mais il semble que c’est à mon tour, je passe de l’anonyme spectateur à l’actrice passive, il y a beaucoup trop de monde autour à mon goût, beaucoup trop, Camille est très timide.
Mais je suis là aussi pour connaitre cette nouvelle sensation alors je me laisse faire, j’ai pleine confiance en Madame et je la laisse m’attacher les poignets, il commence à y avoir du bruit autour de moi, des conversations, du mouvement.
Madame utilise un bas pour me bander les yeux, j’adore, je suis maintenant dans le noir, mon sens favori est annihilé. Madame me sussure des mots à l’oreille, sa voix est à la fois douce et ferme, étrange sentiment émotionnel.
Je sens maintenant de petits coups pas très agréables sur les fesses, le haut des cuisses, je m’attendais à un martinet mais ça doit être une badine, plusieurs petits coups rapides, j’avoue que je n’aime pas du tout, puis un blanc, j’attends, quelle va être la suite ? La même chose plus fort ? Je ne supporterais pas cette sensation.
Puis tout soudain je sens des lanières qui me caressent doucement le dos comme pour bien me faire comprendre de profiter quelques secondes de ce moment de fausse douceur.
Le premier coup est pour mon postérieur, je sens qu’elle relève ma jupe, le second est plus fort je serre les mains accrochées aux poignées qui pendent du plafond, je ne peux me libérer et reste prisonnière, le troisième coup est encore plus fort dans le dos, je sens une décharge dans toutes mes jambes, incroyable sensations jamais ressenties, mes jambes ne sont plus que du coton je serre les poignées de plus en plus fort et pourtant je cambre les reins pour présenter encore et encore mes fesses au supplice, les lanières me caressent maintenant le dos.
Madame vient me chuchoter dans l’oreille, je sens son souffle sur mon lobe, ses paroles sont denses comme un liquide qui entrerait dans l’oreille et iraient directement irriguer le cerveau, il n’y a plus de filtre, mes sensations sont directement connectées à la voix de Madame et aux coups qu’elle m’inflige, il n’y a tout d’un coup plus personne autour de moi mon cerveau a fait le vide, il y a Camille, Madame et son martinet.
Maintenant je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et qui s’agrippe fermement à mes bourses juste pour me rappeler ma condition masculine soumise. Je n’arrive pas à bander mais je sens la jouissance. Le coups reprennent, je n’entend plus rien autour de moi, je sens des mains qui me caressent les jambes, quelqu’un est à mes pieds et profite de mon corps sans que je ne puisse et ne veuille rien faire. Mon abandon est total, j’ai joui, sans jouir, une grande première pour moi.
On me détache, ça n’a pas dû durer très longtemps mais je suis épuisée, mes jambes me tiennent à peine ma respiration forcée a dû suroxygéner mon cerveau car mon esprit est complètement embrumé, suis épuisée mais heureuse d’avoir franchi le pas dans ce nouveau monde pour moi.
Madame a été parfaite, rassurante et ferme, elle m’a beaucoup apporté, j’espère qu’elle a eu elle aussi plaisir à m’accompagner dans ce parcours initiatique. Je mets plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Ca y est je l’ai fait.
Nous descendons au bar, scène surréaliste, une femme nue sous sa robe largement ouverte sur son intimité, deux hommes qui discutent deux travestis autour de la même table… rien ne semble étonner les convives. Comme si cela ne suffisait pas une charmante jeune femme vient se joindre à nous avant de se faire dénuder, attacher et suspendre au plafond…
Je prends congés, le papillon se transforme à nouveau en chenille dans les mêmes toilettes, je rentre chez moi il semble que je sois seul encore 1/2h je ne peux résister de me caresser en rejouant la scène dans ma tête comme si j’était sorti de mon corps et assister à ma propre flagellation, je revois l’ombre chinoise de Madame, ses longues jambes gainées de nylon, sa poitrine fière qui s’agite, tout s’accélère dans ma tête, je jouis, étonnamment ma jouissance est légèrement douloureuse, est-ce dû à cette jouissance non aboutie tout à l’heure… mon dos me brûle tout d’un coup, tellement que je dois allais voir dans un miroir si il y a des marques dans le dos, je suis rassuré, aucune marque, Madame me l’avait promis.
Ca y est il y a maintenant du monde dans la maison, je redescends sur Terre, Madame m’a sorti de mon quotidien pour m’accompagner sur une autre planète, bien bien loin… et j’ai aimé ça…
merci Madame ????
Votre dévouée
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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2 couples novices nous ont fait le plaisir de choisir le Kinky Club pour leur première sortie.
Olivia, notre travestie préférée s’est jointe à eux pour entamer les festivités.
Dès 15h, les joueurs se pressent à la porte, au total, 7 couples, 8 femmes seules et autant d’hommes se sont retrouvés pour partager un nouvel après-midi de jeux où les femmes étaient à l’honneur, dominantes expertes ou simplement joueuses.
Maitresse Alizée et Maitresse Pun se sont occupées d’H. pour son plus grand plaisir. La 1ere soumise de Mlle Calamity avait une correction de retard à rattraper, fessée, martinet et badine ont précédés un moment d’isolement dans la petite prison.
Nos complices Mlle M et Mr R jouaient avec Olivia et l’un des couples novices dont Madame D confessait une envie de s’initier à la domination. Ne perdons pas de temps ! Rdv dans la salle de jeux à l’étage pour une co-séance.
Mlle Calamity jouait de la badine sur sa deuxième soumise , attachée sur la croix de St André et avait prêté son autre soumise à Mlle M et Mme D sous le regard des nos voyeurs habituels toujours ravis d’assister au délicieux spectacle d’un corps ondulant sous les impacts.
Mr DirtyVonP attachait une amie dans la salle tandis que nos barmaids s’affairaient à préparer leurs cocktails et sortir le champagne, Mr O et Mme D voulant fêter cette première sortie. Attachée, tête en bas, seulement vêtue de ses chaussures, J goûtait les morsures du single tail et de la queue de Dragon.
Un couple Suisse nous a offert de magnifiques et bruyants orgasmes alors que Dirty Von P, toujours soucieux de bien recevoir, fouettait une autre amie de passage.
Mlle M a organisé ensuite un superbe tableau : dans l’alcôve câline, Olivia officiait comme matelas et bouche accueillante pour H, qui lui-même, offrait son plus intime repli au poing de Mlle M. Ensuite, bonne joueuse, elle a tenu à célébrer l’anniversaire de son complice, agenouillée au centre du salon Baroque, vêtue de son porte jarretelles et ses bas, une bougie fixée sur son dos.
Il est certain que des détails nous échappent mais voici un agréable résumé du vendredi 15 décembre au Kinky Club !
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Par : BDSM
Il est des personnes qui aiment faire semblant de se défendre pour enfin céder au désir de leurs partenaires sexuels. Ces personnes jouent donc leur sexualité consentie comme un pseudo-viol. D'autres, leurs partenaires de jeu, prennent plaisir à jouer le rôle du violeur. Ces pratiques s'appellent l'agonophilie. Il est à noté que certains homosexuels masculins ont une fascination pour la lutte (lutte gréco-romaine, etc.). Il est fort probable que ce soit leur corde "agonophile" qui s'exprime en partie. Vous aurez noté que certains termes ont été mis en gras et/ou en souligné, pour des raisons évidentes : on parle ici sous l'appelation "agonophilie" de pratiques consensuelles entre les partenaires. Contraindre "pour de vrai" est sévèrement puni par la loi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol et c'est heureux !
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Par : #
Mon rôle était très clair. Table basse. Le seau était posé sur mon dos, froid, trempé, glacé. Le champagne devait couler à flot. Madame avait invité quatre de Ses amies pour fêter Sa promotion. J’étais donc posé face au canapé, nu, encagé (2 semaines que je n’avais pas joui), et les convives arrivaient les Unes après les Autres.
Elles étaient assises, jambes croisées, laissant apparaître la frontière délicieuse de leurs bas, sirotant leurs coupes pleines de bulles, et se moquant copieusement de celui qui était là, devant Elles, impuissant, tête baissée, dans l’impossibilité de bouger sous peine de faire tomber un seau de métal rempli d’eau.
La soirée était gaie, pleine de rires et de verres qui trinquent, et l’alcool étaient en train d’aviver leur envie de se défouler sur moi. L’Une d’entre Elles se leva et renversa le contenu glacial du seau sur mon corps qui tressauta. Elles vinrent les Unes après les Autres me distribuer des fessées d’intensité croissante, faisant rougir une peau douce qui aimait ça.
Elle retira ma cage. Chacune à Leur tour, Elles branlaient une queue qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour durcir. J’étais trait. La queue tirée en arrière, le seau positionné pour recevoir une semence qui ne pouvait plus être contenue, Chacune se donnait dix secondes pour me faire couler. Je ne pus résister plus de cinq tours. Le jus s’écoula dans le fond du seau.
Une fois vidé, Madame m’attacha dans le coin du salon, et me fit avaler le fond du seau. Le bâillon-boule reprit ensuite sa place. Elles continuèrent de S’amuser, puis sortirent terminer Leur soirée, sans même m’adresser le moindre regard. J’étais nu et abandonné.
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Par : #
Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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Par : maitregold
Le lendemain matin, et à condition qu'il ne fut pas trop tôt, j'adorais aller vous rejoindre dans votre lit, me glisser sous les draps comme ça l'air de rien. Vous sentiez alors que je vous caressais délicatement.. Oh ! ...je savais que vous m'aviez entendu et que vous faisiez mine de dormir encore. Alors je plongeais sous les draps et d'une langue délicate je descendais le long de votre poitrail pour finir au saint des saints !! Bien souvent elle réagissait avant que je ne l'eue atteinte !! Ce qui me ravissait...alors je m'appliquais du mieux que je pouvais. C'est alors que vos mains rejoignait ma tête, et que votre respiration se faisait lente et plus profonde comme si vous vouliez retenir en vous toutes ces émotions que vous ressentiez. S'en suivait un petit déjeuner où votre soumise vous appelez Hervé et où le voile n'avait pas sa place.
Une fois la douche prise c'était une toute autre histoire !
La météo déterminait comme bien souvent la suite que nous donnerions à cette journée !
Il pleuvait ? Nous restions chez vous et j'étais totalement à votre disposition...
Il faisait beau ? Nous nous baladions ou nous restions sur votre terrasse et là encore votre soumise était votre objet de plaisir !
Notre histoire se forgeait ainsi mois après mois et le socle de notre relation devenait de plus en plus solide. Ce que je pouvais vivre avec vous était unique. Vous étiez et êtes toujours un subtil mélange délicieux d'attention, de douceur mais aussi d'autorité et de charisme. Je me souviens que lorsque je goutais à ce genre de relation pour la première fois, j'avais rencontré un homme qui lui aussi dégageait cette particularité. J'avais beaucoup aimé ce trait de caractère. Ce qui me plu d'emblée chez vous.
Avec vous, je me rendais compte que j'étais en train de redécouvrir ou plutôt de découvrir les plaisirs que mon propre corps pouvait m'offrir.
Je vous faisais don de mon corps et vous en extirpiez votre plaisir tout en transcendant le mien.
A chaque innovation vous étiez là à guetter la moindre désapprobation le moindre désagrément que je pouvais exprimer...c'était important pour vous comme pour moi. De cela il fallait absolument que nous le partagions. Votre plaisir ne pouvait passer que par l'expression du mien. J'étais votre soumise et paradoxalement je détenais les clefs de votre ou plutôt de notre plaisir. Vous aviez semble t'il une idée assez précise de ce que vous vouliez... J'avais admis la fessée, vos claques sur mon corps que vous pratiquiez couramment, et ce pilier qui était devenu maintenant un compagnon...un de mes 3 ou 4 accessoires. J'aimais m'y retrouver vous offrant mes fesses ou mes mamelles que vous honoriez à votre convenance. En guise de prélude, vous m'offriez un de vos baisers profonds tandis que votre sexe ne pouvait s'empêcher d'essayer de s'insinuer en moi. S'en suivait l'expression d'un plaisir crescendo.
Et puis il y eu cette première fois où vous avez voulu expérimenté le fouet. Pour cela vous avez voulu marquer l'évènement et aviez misé sur un bel endroit ....neutre !
Vous aviez réservé un gite de charme à 200 kms de Paris :
- Dis moi... tu es disponible le week end prochain n'est-ce-pas ? Aviez-vous lancé comme ça l'air de rien alors que nous dissertions sur les conditions de la femme, si mes souvenirs sont exacts !
-J'aimerais t'emmener à la campagne... vois si tu peux prendre ton lundi...d'accord ?
- oui bien sur maitre...où m’emmenez-vous my dear master ? vous me direz ce qu'il faut que j’amène... ?
- tu le sauras ...mais plus tard... pour le moment demande ta journée !
Evidemment, vous avez voulu entretenir le mystère et sur la destination et sur ce qui m'attendait.
Je dois dire que vous aviez réussi votre coup. Mon imaginaire fonctionna à plein régime durant toute la semaine précédent ce week end...Impossible de vous arracher le moindre détail !
Le mercredi de la fameuse semaine vous avez consenti à me donner ces quelques consigne vestimentaire :
- tu prendras une tenue habillée, tes accessoires évidemment. 1 jupe et un jean si tu veux, une et une seule petite culotte. Il est évident que lorsque je te récupérerais samedi matin à 10h tu seras en jupe sans dessous ! !
Vous prononciez ces derniers mots sur un ton presque narquois avec j’imagine des yeux plein de malice. Je soupçonne même qu'à ce moment précis vous vous imaginiez la scène où je découvrirais la véritable raison de ce déplacement.
Comme toujours nous en avions discuté et je savais que vous y viendriez un jour sans pour autant en connaitre le moment exact.
Tout autant curieux par nature que moi vous aviez choisi ce bout de province où il y fait bon vivre et qui de surcroit regorge de trésors historique et culturel ! Il était évident que nous ne resterions pas enfermés tout le séjour !!
Par chance, la météo avait annoncé du beau temps à peu prés partout.
Je dormis la veille de ce grand jour, d'un sommeil agité pour finalement me lever sur le coup de 7h ! Petit déjeuner et toilette soignée...il me fallait être imberbe, parfumée et maquillée légèrement. Mon sac était prêt et c'est fébrilement que je vous attendais.
9h55 le téléphone sonna :
- dans 5 mn je suis en bas de chez toi, j'espère que tu y seras également! Nous partirons immédiatement...
- humm ... mon maitre arrive vous avais je répondu sur un ton suave et légèrement moqueur ... Humm .. oui je serais là fidele au rendez vous !! Poursuivais-je !
- oui ..oui. c'est ça...fait ta maligne...en attendant je serais là dans 3 mn.. et tu as intérêt à y être !!
- humm...je n'sais pas ...à y réfléchir je crois que je ne viendrais pas ..!! A près tout je ne sais même pas où vous m'emmenez, disais je en souriant,...et si vous aviez l'intention de .. je n' sais pas moi...euh... abusez de moi ou me trucider... vous avez pensé à ça ??
Vous saviez que je plaisantais... Et tout en vous parlant je m'étais rapproché du trottoir et y fut bien avant votre arrivée!
Vous m'avez souri tout en me saluant d'un simple baiser sur mes lèvres !
Sitôt le sac embarqué nous prenions l'autoroute du sud...direction...l'inconnu !
Assise sur mes fesses, les jambes entrouvertes et la jupe légèrement remontée sur les genoux nous dissertions comme à votre habitude sur nos petites tracasseries du moment.
La destination finale devait rester un mystère jusqu'au bout !
Il commençait â faire faim et vous avez cédé aux demandes incessantes de votre soumise..
Déjeuner correct dans l'auberge du coin et enfin découverte du lieu de villégiature...
Une magnifique maison d'hôte au bout d'une allée bordée de tilleuls. Cela vous ressemble bien... vous aimez tellement les belles choses !!
Le propriétaire nous attendait sur le seuil et nous fit visiter les lieux :
2 chambres à l'étage, une superbe salle de bain..
Au rez de chaussée une belle terrasse donnait sur un jardin fleuri et un petit cours d'eau ..au salon deux grand canapés trônaient en son milieu.
Il vous en confire les clefs et disparu.
La porte refermée notre séjour pouvait débuter.
Nos diverses activités nous avait tenu éloignés l'un de l'autre depuis plus de 3 semaines ...et l'appel des sens commençait à réclamer son dû !
- eh bien soumise ! ...on a déjà oubliée les bonnes habitudes...même ici tu les respecteras ... Allez...commence par me saluer ..!
- bien sur maitre... avec plaisir ! un sourire illumina mon visage...je m'agenouilla et commença à déboutonner son pantalon afin de le saluer comme il le voulait !
Encore une fois je remerciais mon maitre pour ce week end en cette belle demeure.
- Va enfiler ta tenue et rejoints moi ici ..tu as 10mn.
Pas le temps de flemmarder .. Et 9 mn plus tard je fus devant lui.
- remonte ce voile .... approche toi ...écarte les jambes !
Vos invectives n'avaient alors qu'un but ..faire monter, comme s'il en était besoin, ce désir de vous qui déjà me brulait intérieurement !
En l'espace d'une fraction de seconde votre main était sur mon sexe et contrôlait la netteté de l'endroit !
Constatant mon etat d'excitation flagrant :
- eh bien soumise .. c'est bon de te savoir ainsi !
Ce à quoi je repondis :
- merci maitre ... vous savez que j'ai toujours envie de vous ...ce n'est pas un scoop !!
Vos yeux délicieusement pervers et un grand sourire eclairait votre visage ...puis :
- tourne toi..penche toi et écarte tes fesses !
Là encore un doigt ferme s'aventura et fit quelques aller retour !!
- bien soumise ..tu es comme j'aime...mouillée et prête !! maintenant assis toi là et offre toi .. que je vois bien tes trous ... salope !!!
Je remerciais mon maitre pour son inspection et m'asseya juste devant lui !
- cet apres midi, commença t'il, nous irons faire du tourisme et avant de rentrer nous irons peut être visiter une cave ... Ca te va ?
- vous savez que j'aime ça, en plus je ne connais pas la région ...tout va bien donc ....le temps de prendre mon appareil photo et je suis à vous .euh...jupe ou je peux mettre mon jean ?
- mets ton djean si tu veux ! Je t'attends ...tu as ...allez on va dire 15 mn !
-20 ? tentais je de négocier en souriant ..
- non 15 .. Allez depeche toi
- bien maitre ..à tout de suite ..je m'eclipsa et m'habilla !
Nous partimes pour une belle ballade : ... le joli château de l'Islette logé au coeur d' un écrin de verdure ... puis nous nous dirigions vers la cave que vous vouliez visiter également !
durant le trajet votre main alla souvent flâner ....allant et venant du genou à l'entrecuisse. Ma main quand à elle, avait pour consigne de se tenir sur votre sexe. Votre desir etait toujours là. Ses soubresauts m'indiquait son desir de s'affranchir de toutes les barrieres qui le tenait encore enfermé!
Soudain ce petit chemin là à gauche, où vous vous etes soudain engouffré :
- tient ma belle ..vas y suce moi ..maintenant que tu m'as bien excite . ..allez salope ..allez vas y .. tu le sais que tu es une salope ..hein !!! oui comme ça bien au fond ..oh oui hummm que c'est bon et quelques instants plus tard nous étions à l'extérieur du véhicule
- tourne toi et baisse ton djean petite pute ...écarte tes fesses .. !!
Connaissant mon maitre depuis maintenant plus de 2 ans je savais ce qu'il aimait entendre dans ces moments là :
- oh oui maitre enculez moi ... enculez votre salope !
- penche toi alors et ecarte bien tes fesses ..salope !!
Et puis tandis qu'allongeais sur le capot de la voiture je vous offrais mes fesses :
- merci maitre !! et je sentais son membre dur me pénétrer doucement d'abord puis plus vigoureusement
Juste avant de jouir je devais me retourner et recevoir votre précieuse semence que j'eue soin d'étaler sur mon visage pour mieux vous affirmer ma soumission et donc votre domination.
Ce fut un moment tellement intense que ce plaisir m'avait une fois de plus transperce le corps
- merci maitre vous remerciais je encore
Puis nous repartimes en direction de la cave que vous vouliez visiter. Je remarquais ce petit sourire persistant. Votre regard me racontait combien vous etiez fier et content d'avoir marqué votre territoire !
Durant toute cette visite vous n'avez pas arrêter de me sourire, heureux de savoir que je portais sur mon visage votre marque d'appartenance..j'en fus fière et honorée..vous me faisiez quelques clins d'oeil entendu !! Je vois repondais par mon sourire !
Sur le chemin qui nous menait sur le lieu de notre séjour vous m'avez dis d'un ton ferme mais cependant bienveillant :
- en arrivant tu monteras te changer bien sûr ! et je veux que tu mettes, ta nuisette noire avec tes belles mamelles à l'exterieure,..tu sais celle que j'aime bien et ton string noire!
- bien maitre ..repondis je sans plus me soucier de ce qu'il adviendrait plus tard ..
Sitôt arrivée, je montais me changer et réapparu dans la tenue exigée !
- bien. .assis toi là ..allez ...offre toi à ton maitre .. soumise ..!.puis quelques instants plus tard, alors que vous me tendiez un verre ..
- je voudrais expérimenter une nouvelle chose avec toi .. Je te sens prête pour cela .. Es tu d'accord pour essayer quelque chose de nouveau ?
- euh ...oui maitre, l'air tout de même un peu inquiète
- tu sais que nous discutons beaucoup de ton éducation et que je ne ferais rien contre ta volonté ou du moins rien que l'on est pas discuté !!
-oui maitre acquiesçais je .. ça je le sais et vous avez toute ma confiance maitre
- bien ... j'aimerais donc tester le fouet ! .nous en avons parlé et tu n'etais pas contre me semble t'il !...nous dinerons avant ..puis tu te prépareras ..tu mettras un voile recouvrant pour ton dos ! Tu t'installeras face au canapé ..tu commenceras par te caresser puis je te fouetterais ..tu es d'accord ?
- oui maitre ..bien sur ..je sais que vous vouliez cela depuis un bon moment ..merci maitre !
Je vous repondais d'un ton pas tres assuré , cette annonce m'avait immédiatement remplie d'inquiétude !
On sonna à la porte. Mon maitre alla ouvrir apres m'avoir demandé de m'en tenir à l'ecart.
Notre diner arrivait ..
Un beau chandelier ...une bouteille de ce que mon maitre venait d'acquérir pour arroser notre repas..
Je fus légèrement tendue et angoissée connaissant la suite que vois alliez donner à cette soirée !
Puis vint le grand moment !
Comme à son habitude mon maitre commença a m'embrasser amoureusement puis m'invita à prendre place en me désignant le canapé !
- va ma belle .. ! Ne t'inquiete pas je serais doux ...tu me connais et tu sais que je ne suis pas une brute !
- oui oui je sais ça ...maitre mais vous savez en meme temps que je ne suis pas mazo non plus !!
- aaaahh mais qui te parle de ça ...enfin ! tu me connais quand meme !! bon assez parlé ....je ne fouetterais que tes fesses .. !
Face contre le dossier du canapé .. mes mains étaient mointes et mon coeur battait à tout rompre !
J'attendais la première morsure de la lanière... au lieu de cela je sentis une main chaude caresser mon fessier. J'avais commencé à me masturber et cette main inattendue m'avait détendue ..sans me prévenir mon maitre m'assena le premier coup !
J'etais saisi ..j'avais ressenti une vive morsure ! Je me concentrais sur mes caresses ..puis vint le second ..d'une meme intensité et toujours aussi mordant ..mon maitre vint me voir et passa sa main sur mon dos et sur mes fesses suppliciées :
.. Ça va soumise ? Es tu contente que ton maitre te fouette ?
- euh ..c'est à dire cher maitre que je ne dirais pas que je suis contente, vous avais je alors repondu sur un ton malicieux et éprouvée .. Euh ...disons plutôt que je suis contente que mon maitre me fasse connaitre une nouvelle chose ! Mais vous n'avez fait que me caresser ..là cher maitre ...trouvais je alors intelligent de rajouter...
Je le reconnais cela etait quelque peu inconsideré
-ah bon ? m'avez vous repondu affichant un sourire jusqu'aux oreilles ...ah bon ..es tu sûr de cela soumise ?
-euh ...non pas du tout !
Mais il etait trop tard et vous avez enchainé les troisiemes et quatrieme coups à la file. Ils furent plus marqués mais sans etre non plus trop appuyés !
Fiere et forte je ne laissais entendre qu'un simple cri dû à la surprise de l'enchainement de ces deux derniers coups ! Je redoublais d'intensite dans mes caresses pour me laisser envahir par un orgasme intense pendant que vous m'asseniez un cinquieme et dernier coup
Il me fallu tout de meme quelques minutes pour me remette de mes emotions ....et je me retourna. Je devais alors constater que vous ne portiez plus votre pantalon et que de surcroit votre queue affichait fièrement son contentement !
J'eue grand plaisir alors à la prendre en bouche l'avalant goulument pour en extirpez tout votre plaisir. Il ne me fallut que quelques secondes à peine..vos mains réconfortantes caressaient mon fessier apaisant ainsi les morsures du fouet ! Vous etiez heureux et moi plus encore
Je su qu'il me faudrait désormais compter avec ce nouvel accessoire!
Pour marquer ce baptême vous avez débouché cette bouteille de champagne que vous teniez jusqu'alors cachée !
Nous finissions la soiree sur le canapé à discuter moi caler contre vous ! Je fus extraordinairement bien comme à chaque fois que nous connaissions un moment si fort.
Puis chacun regagna une chambre et je m'endormis d'un sommeil de plomb.
Le lendemain vous fûtes levé plus tot que moi et m'avez fait la surprise d'un café au lit.
C'était la première fois que vous vous adonniez à cet exercice.
Exercice réussi !
(vous recommencez quand vous voulez cher maitre!)
Café...une petite fleur dans un soliflore et un baiser sur chacune de mes mamelles ..un vrai réveil romantique !! vous m'avez gâté .très cher maitre!
S'en suivait un petit déjeuner sur la terrasse au soleil puis la douche et je reprenais mon rôle de soumise. Votre sollicitude m'avait beaucoup touchée ce matin là et c'est ainsi que je pus prendre le soleil revetue de la nuisette et du plug inséré entre mes fesses ...vous pouviez contempler ainsi à loisir les marques laissées par votre oeuvre !
La matinée se déroula ainsi tranquillement !
L'après midi nous faisions une expo sur des artistes peintre contemporains ! Beau bâtiment et belle expo ..jupe sans dessous et decolleté furent de sortie.. Nous poursuivions par la visite du cloitre de la Psalette et sa cathédrale attenante. ! J'aime ces endroits là ..ils dégagent de la sereinité et force l'humilité face à l'oeuvre accomplie par la main de l'homme !
Je vous faisais remarquer que cela n'était guère décent ... moi en jupe sans dessous me promener dans un endroit aussi pieux !! Vous m'avez répondu par un sourire . Je vous ai senti à cet instant très amoureux ..vous me teniez par l'épaule .. des petits bisous venaient se poser sur mes lèvres ... . Plus tard vous m'avouerez que cela vous avez bien excité et j'aime vous voir ainsi !
Le soir vous m'avez demandé de revêtir ma tenue habillée toujours sans dessous ! En effet nous sortions !
Vos activités professionnelles vous avez amenées par ici et vous aviez gardé quelques contacts.
Vous aviez choisi de m'emmener chez l'un d'eux !
Ce petit manoir qui se dessinait au bout d'une belle allée allait nous accueillir pour cette soirée .. je sentais qu'elle serait particulière ....une impression ...rien qu'une simple impression..!
Un majordome vint nous ouvrir la porte puis un peu plus tard vos amis nous accueillaient enfin !
Un couple la cinquantaine ..à peine grisonnant ..elle .. feminine distinguée sans en faire trop, lui elegant et de surcroit bel homme !! tres sympatique, pensais je !!.
Durant cette prise de connaissance je sentais les regards sur moi ...me scrutant .. me déshabillant presque !!
Cela me mettait mal à l'aise .. j'avais un tres mauvais pressentiment .plus les minutes passaient plus mon impression du départ se confirmait.
Une ambiance assez spéciale s'installait .. J'avoue que je ne comprenais pas et n'avais qu'une envie ... partir loin de là avec quelques explications !!
Une chose me tenait ...vous êtes pas homme à dévoiler votre intimité et j'étais donc sûre que vous n'aviez pas revelé ce qui nous unissait..
Me voyant désemparée et tendue vous vous êtes adressé discrètement à votre ami et vous m'avez prise a part :
- ma belle, avez vous commencé par me dire, t'ais je deja decu ?
- non maitre, non bien sur .. mais là je ne comprends pas pourquoi vos amis me dévisagent ainsi ..j'ai un truc qui ne va pas ? Je dépareille dans le paysage ? La il faut que vous me disiez parce que je n'aime pas ça du tout !!
- oui c'est vrai tu as raison j'aurais dû t'en parler et te prie de m'en excuser ..voilà .. Marc était une relation de travail au départ..nous avons sympathisé et nos conversations nous ont poussé parfois a nous raconter intimement c'est comme ça que je sais que sa femme Isabelle a parfois des aventures avec des femmes. Je me suis dis que cela te plairait peut être ... en plus c'est une belle femme ... tu en as toujours envie .. n'est ce pas ?
- j'en dis que vous auriez pu effectivement m'en parler ..là j'ai l'impression d'être une bête curieuse et ce n'est pas tres agréable Hervé ! D'autant que vous avez dû le dire à votre ami .. qui lui en a parlé à sa femme !! En fait je suis la seule idiote à ne pas être au courant !! Vraiment là je vous en remercie !! moi qui pensait finir ce week end en apothéose ..
- encore une fois excuse moi ma belle. !!
- et donc qu'est il censé se passer ce soir ?? je vais passer à la casserole ??
- mais non ...bien sur que non ...nous faisons juste connaissance ...voir si toi et elle ça pourrait coller ... !
- ah oui ? Et puis apres ?? Vous avez deja tout planifié si je comprends bien .. Vous avez peut être déjà la date et l'heure de fixer ??Ais je mon mot à dire ?
- ah mais oui et j'y compte bien !! tu sais que rien ne se fait si tu n'es pas d'accord. ..je ne t'ai jamais rien imposé !
- bien maitre ..retournons voir vos amis ..ils vont s'inquiéter et nous en reparleront ailleurs quand nous serons seuls !! Sur le principe je suis tjs d'accord ..sur la méthode employée ...non ! Repondis je sur un ton emporté mais discret.
- bien... merci ma soumise ..tu as raison retournons voir nos amis !
De retour vous m'avez tendu une coupe de champagne vous m'avez souri et nous avons poursuivi la soirée !
Vous sentant coupable de ce contretemps vous vous êtes montré plus que prévenant
A table je fus à vos coté et je dû m'assoir comme à l'accoutumé sur mes fesses .. laissant votre main vagabondee sur mes cuisses et parfois jusque mon entrecuisses ..vous savez que cela m'excites ..je vous laissais faire ...je ne voulais pas gacher votre plaisir !! nous discuterions de cette soiree plus tard !! Pour l'instant je ne voulais pas rendre vos retrouvailles désagréable !! Je me montrais donc agreable souriante et disponible. Je pense que vous avez su apprécier cela !
Il se faisait tard et nous prenions congés de vos amis !
Sur le trajet vous m'avez demandé si gentiment de vous caresser que je n'eu pas la force de vous le refuser ..je m'exécutais et sans que vous n'ayez eu besoin de le demander je me penchais vers votre sexe le suçant sur toute sa longueur. Votre main soudain me maintint la tête alors que votre sexe était au fond de ma gorge ...je sentis votre chaude semence m'envahir la bouche tandis que vous poussiez un râle de satisfaction !
J'avalais toute votre substance, je nettoyais du mieux que je pouvais votre membre et me relevais!
Ce soir là nous dormions ensemble et vous me faisiez l'amour.
J'aime ces instants .. si rare et si précieux. Ils me dévoilent alors une autre facette de votre être : le mâle dominant fendant l'armure. Vous vous faites alors si doux. Votre regard pétillant, vos gestes tendre et votre attention constante me raconte ce que vous ne me révélez pas autrement.
Oh oui ! je les connais ces sentiments ...ils sont la pierre angulaire de notre histoire sans laquelle rien de tout cela n'existerait !
Merci maitre pour tout cela !
Lundi ..jour de retour sur Paris ..pas très envie de rentrer mais il le fallait bien. Nous n'avions pas reparler de la soirée de la veille .."laissons les choses s'apaiser" avez vous dit ..et j'étais assez d'accord avec cela..
Il nous fallu faire nos sa sacs et partir pour midi après avoir restitué les clefs !
J'avais adoré ce week end provincial...et j'en espérais bien d'autre !
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Par : Switcher
Comment cette maîtresse, m'a imposé la bisexualité ?
Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. En revanche, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de « pédé ».
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement la sodomie.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré un certain désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami que je ne connaissais pas. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors ma maîtresse a dit qu’elle me faisait porter des sous-vêtements féminins et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir avec un string, des porte jarretelles et de bas résille. Quand je suis revenu, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j'ai très envie de voir te faire sodomiser. Viens nous rejoindre dans le lit » J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être sodomisé par un homme.
En arrivant dans la chambre,j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation. Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya ma tête d’une main et se branla le clito de l’autre. Peu après, tout en continuant à sucer, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ?» dit-elle.
Je sentais que le sexe de cet ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma maîtresse en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander et je pourrais profiter de le voir se faire mettre ».
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, réfréner un gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me traitait de pédé, d’enculé.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé, cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma maîtresse, en me faisant souffrir et il y réussissait. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas au fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de salope, de lopette…
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La porte s’ouvre sur l’univers qui, depuis fort longtemps, a alimenté silencieusement et secrètement mes fantasmes les plus beaux .
En cet après-midi d’automne, sous vos regards protecteurs et bienveillants, je me faufile dans les entrailles d’un univers qui d’onirique s’ ancre dans le réel.
Délicieuse ….l’anxiété au paroxysme qui décuple le désir de s’offrir,
Anesthésiant…. l’abandon à la confiance,
Caressant,….le fouet sur mon corps,
Sublimant,… le bandeau m’isole et m’expose.
Suspendue comme le temps, un après-midi d’octobre…
Vos mains expertes, vos lèvres, vos murmures à mon oreille …. me font frissonner, trembler, ressentir la moindre parcelle de mon corps
Qu’elles furent douces vos mains claquant sur mes fesses, musical, le tourbillon du fouet et cinglante, piquante, la badine….
Détachée des préoccupations du monde extérieur, je me délecte de la saveur de l’instant. Ce que je sens, ce que je vois, ce que je ressens n’est que plaisir, la roue s’affole et m’affole, en apesanteur, je sens m’envahir la paix intérieure.
…..Parcourant mes jambes, je savoure la chaleur de l’eau de la fontaine qu’il m’est si précieux de sentir jaillir…..
Qu’il fut merveilleux cet après-midi d’octobre.
« Cris et Chuchotements », lieu d’esthétisme et d’inspiration, est de ces bulles confidentielles où le temps se fige et d’où l’on ressort grandi
Tel le théâtre classique, l’unité de temps, de lieu et d’action s’illustrent magnifiquement; intérêt dramatique, concision et scène se conjuguent au 21ème siècle aussi savamment qu’au 17ème.
Premiers pas d’un parcours initiatique sur la scène des saveurs du corps et l’âme…. 48 heures sont passées, mon corps, encore, vibre de 1000 sensations mêlées, d’une légèreté qui m’emporte, me porte et me procure un bien-être inavouable!
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