FemmeFemelleEsclave
par le 13/05/20
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J’aime les orages, la pluie qui tambourine sur les toits, la terrasse.
C’est comme si la violence des éléments résonnait en moi, renforçait encore cette tension animale que je porte en moi, interagissait avec mon désir de subir cette autre violence, celle de mon Maitre.
Maxime le sait, il l’a découvert il y a longtemps déjà.
Samedi soir, après le dîner, une fois que tous deux nous ayons vidés nos verres, il m’a dit de me préparer et de mettre mon collier d’acier.
Lorsque je l’ai rejoint, après m’être douchée, le collier autour du cou, nue, le corps encore humide et parfaitement lisse, à l’exception de cette toison sombre sur mon pubis qu’il a toujours voulu que je préserve, il avait débarrassé la table et se tenait debout dans la pièce, attendant son esclave.
Sans un mot, je suis venue m’agenouiller à ses pieds.
J’ai caressé, embrassé, reniflé, léché l’emplacement de son sexe, pour faire ce que j’ai appris, lui prouver ma dévotion, mon désir de lui et faire monter son désir à lui.
Il n’a pas fallu longtemps pour que je sente sa queue se raidir, durcir, se tendre sous l’étoffe de son pantalon.
Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever. Instinctivement, je me suis collée contre lui, frottant mon sexe déjà humide contre son entrejambe, femelle en chaleur, tremblante de désir pour son Mâle.
Il m’a forcée à relever la tête, à croiser son regard, m’a longuement embrassée, avant de m’ordonner de le déshabiller à son tour.
J’ai commencé par lui retirer sa chemise, embrassant, léchant son torse viril, faisant durcir ses tétons avec ma bouche, tout en continuant cette danse lascive qui l’excite tant, jouant de mon bas ventre pour me frotter à lui.
Je me suis laissée glisser le long de lui, jusqu’à être à nouveau à ses pieds, pour dégrafer sa ceinture, faire tomber son pantalon, embrasser, lécher, renifler son boxer, exciter du bout de la langue son gland humide.
Quand il a jugé que je lui avais suffisamment prouvé mon désir de lui, il m’a entraînée dans la chambre, pour m’attacher sur le lit.
Comme toujours, avant de soumettre mon corps à sa violence, il a commencé par m’embrasser longuement, me caresser, me parcourir de sa bouche.
Le calme avant la tempête, comme pour me rassurer, me dire avec son corps de ne pas m’inquiéter.
Il a allumé des bougies.
Puis ça a été la douleur, celle de mes tétons transpercés d’une aiguille, des pinces qu’il y a fixées, de la cravache qui s’est abattue sur eux, sur mon ventre, sur mon sexe.
Ensuite, se sont rajoutées d’autres pinces encore, fixées cette fois à mes grandes lèvres, reliées par une chaînette à celles qui ornaient déjà mes seins, et la cravache à nouveau.
Et pour finir la brûlure de la cire, répandue sur mon corps, ma poitrine, mon sexe, pendant que le sien se dressait, fier, arrogant, triomphant au dessus de moi.
Maxime s’est ensuite installé à califourchon sur mes seins douloureux.
Il m’a relevé la tête. Il a approché sa queue de ma bouche. Le moment que j’espérais, que j’attendais.
Je n’avais envie que d’une chose, lui. Son sexe.
Je lui ai léché les couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient dure, comme le reste.
J’ai parcouru sa queue de ma langue, j’ai longuement léché son gland humide, avant qu’il ne m’enfonce son membre dans la bouche.
Tout en me maintenant la tête à demi relevée, il a commencé à me défoncer la gorge, s’interrompant parfois l’espace d’un instant, le temps pour moi de reprendre mon souffle, de me permettre de lécher cette queue qui me pilonnait sans pitié. Avant de recommencer.
Jusqu’au moment où il n’a plus pu se retenir et où le foutre à giclé, me remplissant la bouche de sa liqueur sacrée pour que je la boive jusqu’à la dernière goutte.
Maxime est ensuite ressorti de moi, me laissant nettoyer de la langue son sexe encore raide, avant de s’allonger, écrasant mon corps sous le poids du sien.
Pour l’homme, jouir d’une femme est une activité physique à part entière.
Elle le laisse généralement épuisé quand la tension portée à son paroxysme lorsque le foutre jaillit retombe brusquement.
6 personnes aiment ça.
Lady Spencer
J'aime beaucoup. Merci à toi
J'aime 13/05/20
lucien gaston
A la lecture de vos textes j'ai du mal à vous voir avec un look androgyne, pourriez vous vous décrire ?
J'aime 13/05/20
FemmeFemelleEsclave
Plutôt grande, très mince, des petits seins, cheveux courts, coiffée à la « garçonne » façon années 30. Généralement en pantalon, j’aime aussi porter des chemises d’homme. Mes seins m’ont longtemps complexée, jusqu’a ce que je comprenne que ça ne déplaisait pas à certains hommes. Du coup, j’ai choisi ce look, mi fille mi garçon (efféminé).
J'aime 13/05/20
lucien gaston
Maxime participe t il à votre look ? Vous a t il influencé depuis que vous le connaissez ?
J'aime 13/05/20
FemmeFemelleEsclave
Non. J'étais comme ça avant de le rencontrer. Mais il aime ce style. Cela étant, s’il me demandait d’en changer, j’obéirais sans hésiter
J'aime 13/05/20
lucien gaston
Bonne soumise, avez vous pris votre rendez vous pour rafraîchir votre coupe, bien dégradée sur la nuque et les cotés, à moins que Maxime ...
J'aime 13/05/20
FemmeFemelleEsclave
C’est pour demain. Dans l’immédiat, il a fait avec (sans se plaindre). Je lui confie mon corps sans réserve. Mais pas ma coupe de cheveux 1f60a.png
J'aime 13/05/20
lucien gaston
On peut passer sur le chat ?
J'aime 13/05/20
lucien gaston
Une idée pour demain, vous y allez en jupe, bas et chemisier transparent ; moi je suis très attiré par les femmes qui se font dégrader la coupe...
J'aime 13/05/20
FemmeFemelleEsclave
Désolé, cher Lucien Gaston. Je suis en mains. Je ne cherche pas spécialement à chatter, et en aucun cas de rencontre. Juste échanger, enrichir mon expérience du sm, en confrontant mes points de vue avec ceux d’autrui. Et concernant ma tenue, je la choisis moi-même. Sauf si mon Maitre me donne un jour l’ordre d’en changer, ce qui n’est pas d’actualité.
J'aime 13/05/20
lucien gaston
Désolé, ce n'était qu'une idée à échanger
J'aime 14/05/20
Lady Spencer
Je reste fascinée par les "doms" qui essaient de s'approprier un truc ne leur appartenant pas ! Et quand je dis "truc", tu me comprends FFE !
J'aime 14/05/20
FemmeFemelleEsclave
En même temps, tout le monde a le droit de droit de tenter sa chance ! Et le mot « truc » ne me choque pas, rassurez vous, LadySpencer
J'aime 14/05/20