Mademoiselle_Lane
par le 06/05/20
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Comme à mon habitude, désolée pour les éventuelles fautes, je suis allée écouter Chopin…
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Nous quittions ce restaurant indien du centre ville que j’affectionne. J’aime les plats relevés, pimentés.. un peu comme je souhaite mener ma vie. Nous étions dans le centre ville de Strasbourg. Après ce repas divin se terminant par un thé indien, il me proposa de faire une promenade le long des quais. L’air était doux, il y avait une légère brise. Nous marchions côte à côte, lui me tenant par la nuque où je sentais cette douce pression bienveillante. J’aimais quand il me caressait du bout de ses doigts. Parfois, il serra plus fort pour me montrer de ne pas oublier qui il était. Il était dominant de nature.
Je me sentais légèrement chipée ce soir là, les verres de vin me faisant tournoyer. Je me laissais complètement allée. Je souriais, je riais. Ce sentiment de bien être qu’on peut avoir quand on est simplement heureux.
Il nous dirigea vers son appartement. Je l’aimais.Il avait comme moi ce goût pour tout ce qui a une âme. Je jalousais son appartement. J’aime le vieux parquet, les hauts plafonds, les vieux meubles…
Il me faisait monter les escaliers en me mettant une claque sur les fesses.
- Allez monte !
Il avait ce regard taquin que j’aimais. Arrivée à l’étage, je posai ma tête contre lui ne montrant légèrement aguicheuse . je me sentais à vrai dire un brin fatiguée.
Il posa son doigt sur ma bouche.
- Chut…
Il caressa mon visage et me pris dans ses bras. Il ne prit même pas la peine d’allumer la lumière. Celle de l’extérieure nous laissait dans une certaine pénombre.
Toujours dans la chaleur de ses bras, il me dirigeait vers sa chambre. Cette chambre avec son lit si unique. Un grand lit où sur chaque coin se trouvait des bois en hauteurs sculptés. Il m’avait dit qu’il l’avait chiné en Allemagne. C’était une pièce si unique. Je n’avais vu que ce genre de lit que dans des films où parfois on jalouse cette sublime décoration de rêve. Devant ce lit, se trouvait un coffre relativement grand qui me rappelait bien des souvenirs. Il y avait cette armoire qui comme chez moi cachet ses jouets favoris dédiés au délices et aux supplices.
Il me déposa avec une tendresse infinie sur le lit. Ma tête tournoyait, l’alcool avait cet effet de m’endormir et de me rendre bien docile. Il me caressait le visage les cheveux. Je me lovais sur ses oreillers, sur son lit si confortable. J’avais quelques difficultés à même parler. L’alcool et ses ravages me direz-vous ?.
- Ma petite chienne semble bien fatiguée, mais je ne vais pas Morphée me la kidnapper.
Je souriais me laisser aller à cet état de plénitude où je me laissais complètement aller.
Je sentais sa main remettre mes cheveux, passer sur mon visage. Il me saisit le cou pour prendre possession de ce qui lui appartenait. Je sentais son souffle au creux de mon cou. Son parfum me rendait complètement folle. De son autre main, il fit glisser la fermeture éclair avec lenteur comme s’il déballait un cadeau.
Je gémissais, je me pinçais les lèvres. Je fermais les yeux appréciant ce moment d’intensité et de sensualité.
Je m’étais mise sur le flanc comme pour l’aider à continuer.
La bretelle de ma robe glissait le long de mon bras. Avec langueur, je me défis de cette bretelle. Il libérait ainsi mon sein où il le saisit pour dire.. C’est à moi..
Il me pris alors par le bras pour me redresser. Il s’était mis derrière moi, j’étais assise devant lui. Il ota la robe au dessus de ma tête. Il glissa sa tête au creux de mon épaule pour l’embrasser puis pris de pleine main mes seins. Il les sous-pesait, les remontant, les enveloppant, les serrant. Ma tête basculait contre son torse. Je chavirais. Il me caressait du bout de ses doigts. J’avais la chair de poule. Mes tétons s’étaient dressés comme il avait cet art à me dresser naturellement.
Sa main descendait sur mon ventre, sur l’extérieur de mes cuisses, il me caressait.
D’un geste vif comme un tigre, il se retira pour me forcer à me rallonger. Il s’était mis face à moi, mes jambes était pliées sur le lit. Avec une sauvage douceur il me retira.
Il saisit mon bras droit pour l’orner d’un bracelet en cuir, il fit de même de l’autre. Je sentis le bruit d’un mousqueton qui m’attacha aux liens qu’ils avait mis au niveau du lit. J’étais ainsi les bras écartés, attachée.. à sa merci.
Il ne parlait pas, je me laissais faire. Il plaça un bandeau sur mes yeux. J’étais ainsi dans le noir, à ne pas savoir ce qui allait se passer. J’adorais être privée de la vue, cela exacerbe les sens à vous faire frissonner, à décupler lous les ressentis, ne sachant pas ce qui va arriver.
Il avait écarté mes jambes.
Il effleura du bout de ses doits mon corps puis se releva.
J’entendais ses pas, j’essayai de deviner ce qu’il faisait.
- Maintenant, je vais te mettre un casque avec la musique que tu affectionnes. Tu vas être une gentille, gentille petite chienne.
Hum j’étais aux anges. C’est la première fois qu’il me mettait un casque. J’allais découvrir que c’était d’une intensité. J’étais ainsi privée de ma vue et des sons environnement, comme dans une bulle.
Je ne sentais que la douceur de la pulpe de ses doigts m’honorant de voluptueuses caresses.
Il s’était absenté durant quelques minutes. En entendant ses pas resonnant de plus en plus fort, Ma poitrine se soulevaient, je me sentais éveillée à tout ce qui allait se passer malgré mon état.
Il saisit alors ma bouche de ses doigts pour y déposer un baiser bien mordant.
Je sentis soudainement une chaleur à mon entrejambe. C’était la chaleur d’une flamme. Qu’avait il déposé. Une bougie ? allait il mettre de la cire comme il aimait à le faire ?
Je n’osais plus bouger gardant les jambes bien écartées. Il écartait les lèvres de mon sexe. J’imaginais comment ils les regardaient à la lueur de cette flamme. Il les écartelaient comme pour voir mon intérieur.
Au bout de quelques secondes, je sentis mon sexe se refroidir. Il s’était emparé de cette bougie. J’étais toute en haleine. C’est là que je sentis la première goutte chaude s’abattre sur mon ventre, puis une seconde, une troisième.. il jouait avec mes seins, mon ventre puis il commença à s’attarder avec la cire sur mon sexe. Il jouait de la hauteur d’où tomber la cire.
J’entre-ouvrais mes lèves, laissant échapper le cri de mon désir, de mon doux supplice.
J’étais ainsi recouverte de cire. Je devinais alors qu’il s’était amusé à jouer d’une bougie, et celle d’une bougie de massage. Il jouait avec les matières. Cette sensation agréable où il otait ensuite la cire tout en commençant à me masser avec langueur. Il me rendait complètement folle, sur le chemin de la perdition.
La musique dans mon casque me transcendait. Du chopin. Je tourbillonnais, je me perdais dans ses mains expertes. Je sentais la force de ses mains me masser, s’attarder sur mes seins. Il les massait, il prenait possession de ces monts en les malaxant puis de ses dents il me mordait les tétons.
Il est aspirait. Il me tourmentait. Je soupirais, encore et encore. Je perdais pied. Je devais probablement émettre des sons de plaisirs à la hauteur de ce qu’il m’infligeait.
Mon corps était bien huileux. Il n’oublait aucune partie de mon corps. Il s’occupait divinement de mes pieds, effleurait mes mollets, embrassait mes cuisses. Ses doigts était un appel à en demander toujours plus.
D’une main bien plus ferme il écarta davantage mes cuisses. Je le devinais face à moi, observant mon sexe. Je sentis alors une goutte de cire s’abattre sur mon clitoris si sensible. Je me dandinais, ne tenant plus, tellement il faisait de moi une petite chienne en chaleur, voulant être comblée de partout.
Je sentais ses doigts glisser le longs de mes lèvres. Je ruisselais. Il jouait.. me frustrait. Je me cherchais en bougeant ma petite chatte à en avoir plus. Il écarta alors de deux doigt mes lèvres et je sentis sa bouche prendre possession de mon clitoris. Il l’aspirait avec intensité. Il me voyait bouger. Il me tenait fermement . Je me débattais face à ce plaisir qui faisait que je n’arrivais pas à me contenir.
Pour m’abattre, il mit à l’entrée du trou de ma petite chatte un doigt. Il caressait, sans me pénétrer. Je ne tenais plus. Je voulais qu’il me doigte, qu’il me fourre. Ma chatte appelait ses doigts
Il ne mit qu’un seul doigt à mon grand dam. Mais il m’enfourra si profondément pour me faire comprendre que c’était lui qui décidait. Il me baissa avec son doigt si fortement.. tout en me suçant le clitoris. Puis ressortant son doigt, il me caressait à nouveau de cette pulpe imbibé de ma mouille le clitoris.
Je soupirais encore et encore.
Il m’emmenait à chaque fois au bord de la jouissance s’arrêtant juste avant. Ma tête s’engouffrait davantage dans les oreillers. Je couinais telle une petite chienne en chaleur. Il me releva bien les jambes et caressa mes lèvres gonflées. C’est là qu’il me fourra de plusieurs doigt. Avec douceur, il inspectait en profondeur comme si il voulait me transperçait en sondant mon intérieur. Je bougeais mon bassin l’invitant à me combler encore en encore. J’aimais quand il me sondait ainsi.
Soudainement, je sentis alors bien plus que quelques doigts. J’étais si ouverte. Il bougeait sa main dans tous les sens. J’avais quatre doigts qui m’honorait. Je ressentis alors son pouce tentant de se frayait un chemin. Il avait posé sa main sur mon ventre pour me calmer. Je soufflais, de désir, de plaisir mais aussi de douleur. J’étais dans une excitation qui faisait mal.
Je sentais la force de son bras, cette main de velours, son intransigeance à vouloir m’écarteler.
Il commençait des mouvements de va et vient avec son poing. Je criais..
il ressortais son poing, s’impregnant de ma mouille et probablement d’un gel. C’était intense. De se sentir prise ainsi. De s’ouvrir à ces plaisirs fous. Il me pénétrait avec sa main comme pour pénétrer les entrailles de mon désir. Je me cambrai.
Quand il ressortit son poing, il me caressa doucement l’entrejambe comme pour calmer le feu ardent. Ma bouche s’était assechée ,comlètement consumer par la chaleur de mes envies les plus pervers dont il était le brasier.
Soudainement, je sentis une goute froide s’abattre sur ma bouche. Je voulais m’abreuver de cette eau. Il passait le glaçon sur ma bouche puis le glissa le long de mon cou. Je me délectais.. mon corps réclamait encore et encore. Il me mettait à ce point de rupture.
Il traçait un chemin sinueux jusqu’à mon entrejambe. Il passait autours le glaçon autours de l’auréole de mon sein gauche. De l’autre il avait inséré son pouce dans ma bouche. Je prenais un plaisir à l’honorer, le sucer, le lecher.
J’étais soumise à toutes ces caresses et je me laissais complètement aller à cette frénésie qui sortait de l’ordinaire. Il faisait de la sensualité un art, la sexualité en était également un. Il connaissait chaque parcelle de mon corps. C’est cela que j’aimais dans notre relation.
Combien de fois, avant lui j’avais tenté des relations plus légères qui n’avait aucune saveur, où ces hommes se prenaient pour des dieux du sexe, à croire que quelques coups de queue provoquaient une jouissance. A ces hommes qui ne savent même pas comment stimuler un clitoris, où à ces hommes qui une fois leur plaisir pris.. nous regardent en disant.. mais « caresse toi ».
Lui , il découvrait, scrutait, il dominait naturellement. Il aimait maitriser tout ce qu’il faisait et cela passait par la maitrise de mon esprit et de mon corps. Les deux étaient liés.
Toujours avec douceur, il caressait mon sexe avec un glaçon… J’en avais la chair de poule. Il l’introduisait dans ma petite chatte si brulante. Mon corps le réclamait. Il me mettait au supplice. J ouvrais ma bouche, espérant qu’il insère encore ses doigt.
Je sentais le glaçon fondre dans ma chatte qui inondait le matelas. Il engouffra dans ma chette un gode pour me combler.Il faisait quelque va et vient puis viens s’asseoir à califourchon sur ma poitrine.
Il pinça mon nez. Naturellement j’ouvrais ma bouche. Il introduisait son gland à l’orée de son écrin. Avec calme, il s’engouffra doucement. Une fois arrivée bien au fond, il y resta quelques instant.. puis ressorta.. puis encore à nouveau il me fourra bien au fond ma bouche. Je sentais au fil de la montée de son désir son corps faire cette danse pour aller.. revenir.. aller et revenir.
Puis pour jouer avec moi il restait encore en me pinçant le nez. Il me rappelait ma condition de chienne voulant se faire étouffer de son gland .
Puis il me tapotait la joue, me faisant sous entendre que j’étais une brave petite chienne.
J’aimais cette sensation où tout passait par les ressentis, bien que sa voir me manquait.
D’un coup vil, il me détacha les bras et me retourna . Il me maintenait par le cou. La tête appuyée dans les oreillers. Il me rattachait cette fois ventre contre le matelas. Il glissa sous mon ventre, un cousin conçu pour maintenant mon cul telle une montagne à prendre d’assaut, pour faciliter l’accès mon cul.. et surtout cela soulageait mon dos quand il me baisait avec violence.
Il me tirait alors par les cheveux pour me redresser puis me jeter alors comme une petite poupée. Il me faisait comprendre que j’allais prendre… subir le fruit de son affection.
Il avait quitté le lit. La musique masquait tout, je ne savais pas ce qui allait se passer. Le temps paraissait long.
Quand soudain, je sentis les lanières du martinet sur mon dos. Il me caressait avec.. jusqu’aux fesses, à s’amuser de faire passer les lanières entre mes fesses. Le premier coup s’abattait sur mes fesses. Il y mettait le même degré que cela de mon désir. Je criais de surprise. Puis un second… Je m’enfonçais dans les oreillers pour retenir mon cri…
Puis avec soin il s’attela à s’occuper de mon dos en croisant ses coups. Il faisait tourner le martinet à le faire passer en coup de vent ou alors en y mettant plus d’aplomb. Il en faisait de même au niveau de mes cuises. Il prit un malin plaisir à s’occuper de mes pieds. Me voyant trop bouger, il décida alors de me les attacher avec une barre d’écartement.
Je sentais alors ses mains sur chacune de mes fesses. Il les griffait, les malaxait. J’avais toujours le gode dans le fond de ma petite chatte. Il s’amusa encore à s’assurer qu’il était bien au fond. IL écartait cette faille pour avoir une vue imprenable sur mon petit trou du cul.
J’étais dans un tel état. J’étais sa putain. J’aimais être son amante. Celle où il pouvait m’utiliser comme bon lui semble.
En engouffrant deux doigts dans mon cul, il s’amusait à faire ressortir cette petite peau qui le sépare de ma chatte. Je ressentis son désir pour mon petit fion. Il aimait le conquérir, l’élargir, le baiser, le fourrer. Je sentis alors qu’il introduisait deux autres doigts de sa main. Il m’élargissait de part et autres. Je râlais.
Puis allant chercher ma mouille, il caressa ma petite auréole en pris possession comme il avait fait avec ma chatte de mon fion. Il le tournait, s’amusant avec.. puis introduisait un second. Il regardait probablement comment bien l’’élargir.. C’est là que je sentis l’écouteur droit être soulevé.
- Je vais te fister ma petite putain.
Puis il remit le casque. Cette annonce m’avait fait peur mais à la fois m’avait rendu complètement folle. Il y travaillait depuis quelques temps. Il voulait me voir le fion béant. Le gode était tombée, tellement j’étais trempée.
Il comprend à mes sons que je l’invitais à continuer. J’étais dans un état..
Je sentis alors un troisième doigt s’introduire. Il tournait.. il tournait. Il me préparait à recevoir ce qui devait me combler. Il faisait trembler ses doigts me faisant défaillir. Je produisais probablement des sons de plaisirs intenses. J’aimais la manière dont il me doigter à fouiller mes entrailles.
Le quatrième.. Là sa main était presque droite. Il faisait des vas et des viens un peu comme les vagues qui s’abattent sur la plage la laissant humide.. tout comme ma chatte qui s’emplissait de mouille.
Quand il ressortait ses doigts c’était pour mieux s’en imprégner, bien mouillée, bien huiler pour bien me prendre par la main.
Je sentais la pression qu’il y mettait. Je croyais. Je m’étais naturellement relevé comme pour m’aider, l’aider à aller au bout. Je ne creusais plus mon dos, je sentais qu’il était sur le point de passer le plus difficile. Il me maintenant par la taille et m’invitait à chercher plus.
Ensemble, je sentis alors son poing entré.. Pendant quelques secondes, il le laissa ainsi, sans bouger. Il caressait ma croupe. Puis doucement il commença à me baiser avec. Tout doucement. Il s’amusait aussi à tourner légèrement pour parfaire son travail. Je sentais son excitation. C’est là qu’il tira mes cheveux. Son poing était comme la queue d’un étalon, il voulait que je me comporte comme une petite jument qui se fait mettre comme il se doit.
J’avais cette douleur qui commençait à disparaître. Il retira alors mon casque.
- Quelle petite salope tu fais..
Aucun mot ne sortait. Il m’épuisait. Je me laissais totalement faire, attachée ainsi et maintenu par le poing dans mon cul.
- Je me demande si je ne vais pas mettre ma queue dans cette petite chatte de salope…
Je me sentais presque honteuse mais excitée à cette idée.
- Allez, demande moi ! Je veux t’entendre le dire.
- Monsieur, je vous en supplie, prenez moi aussi la chatte..
- Plus fort ! je n’entend pas suffisamment !
- Monsieur.. je vous en supplie, prenez moi par la chatte.
- Voilà, c’est mieux. Je vais excauser ton désir de putain.
- Je ne veux pas t’entendre, tu as compris !
- Hummm.. oui.. Monsieur.
Il me jetta la tête à nouveau contre l’oreiller pour étouffer mes cris de chienne couinante.
Il introduisait lebout de son gland à l’entrée de ma chatte.
- Allez viens la chercher.
- Doucement , je m’empalais sur sa queue avec je dois le reconnaitre bien grande difficulté.
Puis une fois prise ainsi, il me dirigea par le poing de mon cul. Il y allait avec une certaine douceur. Je le sentais râler de plaisir.
- Je vais presque pouvoir me caresser la bîte avec mon poing, petite pute.
J’avais mal. Il sortit rapidement de ma chatte.
Il s’appuyait sur mon dos pour que je m’étale à nouveau sur le cousin. Doucement il retira son poing de mon fion meurtri.
- Regarde moi ce trou.. Un vrai petit garage à bîtes, dis -moi. Plus d’un y aimerai s’y engouffrer et te prendre comme la trainée que tu es.. Je vais peut-être devoir y songer..
Je me sentais humilée à cette idée, bien que cela m’excitait. Je ne sais pas si cela était une bonne chose à faire car entre fantasme et réalité ; cela peut casser beaucoup de choses. Mais j’étais attirée par cette pluralité de me faire fourrer et prendre par plusieurs hommes, et il le savait.
Il écarta mes fesses, il voyait les réactions de mon fion ouvert, légèrement se refermer. Puis il remplaça se vide par sa queue. Elle rentrait comme dans du beurre. IL me besogna. Pour mieux me prendre bien au fond, il avait mis de chaque coté ses jambes. Je le sentais bien profondément.
Puis dans son excitation, il me tira les cheveux pour me redresser puis mis sa main sur sa bouche pour ne pas entendre crier à chacun de ses assauts. Je sentais sa frénésie, il me traitait comme la petite chienne que j’étais. Il me rejeta la tête sur l’oreiller et la bloqua en y mettant son pied.
- Dis moi que tu aimes que je te baise ainsi..
Encore une fois, interdite, mais je devais lui avouer.
- Oui monsieur, j’aime quand vous faîtes de moi votre chienne.
- Oh oui, c’est tout ce que tu mérites. Regarde moi comme tu es ouverte.
Il me claquait les fesses, et m’honorait des mots qui me représentaient bien.. Chienne en chaleur, putain, catin.. salope. Cela avait le don de me rendre complètement humide.
Il enleva les mousquetons de mes attaches et me retourna, mon cul posé sur le cousin, il était surelevé.
Il était au dessus de moi. Il retira alors mon bandeau et plongea son regard dans le mien. J’étais dans le paradis de la luxure. J’étais à lui. J’aimais cette intensité quand nous nous regardons ainsi.
- Baisse tes yeux !
Je n’obeissais pas, continuant à le regarder.
- Baisse tes yeux !
Je me refusais.. à obéir avec un sourire dont je savais qu’une punition allait venir. IL saisit brutalement ma bouche avec sa main. Puis me dit
- B..A..I..S..S..E T.E.S Y..E..U…X
Je souriais à ne pas vouloir l’écouter. C’est là qu’il me gifla sur la joue droite, puis la gauche.
- Petite salope insoumise !
Je vais te punir ne t’inquiète pas pour ton insolence.
Il m’encercla le cou avec sa main tout en me possédant la chatte. Il me besognait. Il prenait l’assaut de ma forteresse. Il me pilonnait tout en m’étranglant. Je me sentais vidée et pleine à la fois. IL avait eu raison de moi. Je fermais alors les yeux.
Il saissait mes cuisses et replaça mes fesses bien à l’orée du cousin. Il se releva mes jambes en tenant la barre d’écartement vers le haut.
Il était si vigoureux.. Mes deux trous étaient alors si facile d’accès à être pénétrer. C’est là qu’il changea de trou pour entrer comme dans du beurre dans mon fion.
J aimais quand il était des plus pervers, autant que ma perversité de petite chienne. Il en était le chef d’orchestre.
Tout en me sodomisant il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il aimait quand j’étais pleine.
- Regarde toi.. ma petite fontaine.
J’avais des larmes de plaisirs qui coulaient. Je n’arrivais plus à me contenir. Je sentais sa jouissance arrivée. Il aimait me remplir de son foutre et me laisser être souillée ainsi.
Il me libéra de la barre d’écartement puis me prit dans ses bras. Il me caressait doucement la chevelure, j’adorais cela. J’étais complètement épuisée..
Il me murmurait à l’oreille :
- Tu es ma petite chienne.. Aimerais-tu que je te fasse prendre par plusieurs hommes la prochaine fois ?
J’enfouissais ma tête contre son torse. J’en avais envie mais cela me faisait peur.. je ne lui donnais pas ma réponse..
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Mademoiselle_Lane
Je vous remercie.. Ce texte m'a été bien inspirée car c'est cela se rapproche d'un réel fantasme. Mes nouvelles bien sur je les ressens mais de là à les vivre.. c'est en ayant peut etre la bonne personne pour m'y pousser.
J'aime 06/05/20
jeuxpiquants
joli texte, très évocateur
J'aime 07/05/20