par #
le 04/05/20
J'aime
14
Mes mains, ma bouche, ma chatte et mon cul : tous occupés.
Branleuse.
Suceuse.
Baiseuse.
Je suis son projet de chair, éduquée salope comme il aime.
Chaque soupir échappé est un hymne à notre relation.
Les queues qui jutent dans mes paumes sont sans équivoque :
Voilà une salope formée par son professeur.
Une chienne avérée.
J’arrête mes caresses.
Mes mains sont pleines de foutre.
Je me sens presque gauche de ne plus avoir de chibre à branler.
Je l’interroge du regard, il retire doucement sa queue de ma bouche et approche un foulard. Ses sourcils froncés sont la dernière chose que je vois.
Mes genoux rencontrent une surface de cuir, puis des jambes d’homme.
Je ne sais pas qui je baise.
« Tout doucement. Tu fais comme j’aime. Baise-toi comme une grande-fille » me murmure-t-il
Alors je masse ce membre, contracte ma chatte tout autour, impose à l’inconnu un rythme lancinant
« Putain ! »
Je ne peux qu’entendre et sentir.
Le qualificatif qui tonne. Le claquement de mes fesses sur ses cuisses.
Et la bite qui s’enfonce.
Loin. Et fort.
Ce qui se passe autour ? Je ne peux que l’imaginer.
Les peaux se mélangent.
Les bouches lèchent et sucent.
Ça nique dans tous les coins.
Je ne sens plus M. près de moi. Et je panique.
Juste à côté, des gémissements de femme. Un corps que l’on secoue. Et des râles de pâmoisons que je ne reconnais que trop.
Déchirée.
L’inconnu continue d’aller-et-venir en moi sans s’occuper de mes atermoiements.
Il m’utilise.
Je veux partir mais d’autres mains me retiennent. Combien ? Je ne sais pas. Mes seins sont empoignés. On serre ma gorge.
Mon corps ne m’appartient plus.
Ma voisine a joui. En jappant de petits cris aigus.
La même qui a présent me retire le plug, écarte les globes de mes fesses, et crache en leur centre.
Une queue s’enfonce. Sèchement. Elle me fait mal. Forcément : l’autre me comprime déjà.
Mon cri s’étouffe dans une poigne.
« Inspire... Fort » m’intime-t-elle.
L’odeur distinctive du poppers envahit mes narines. J’ai chaud et la tête me tourne subitement. Mon corps vibre et mon cul s’ouvre.
Puis je me rappelle.
Je me rappelle pourquoi je pourrais passer des heures à me faire enculer. Pourquoi il a fait de moi sa salope anale. Pour ça : ce kiffe d’être remplie jusqu’aux entrailles. Me baiser du cul jusqu’à la tête : que mes pensées ne soient que foutre, bite, queue, sperme, mouille. Un travail consciencieux et méthodique pour me rendre addict.
Ça monte.
« À qui est ton cul ? »
On le sait tous les deux et c’est clair comme de l’eau de roche.
« À vous Monsieur »
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Récit complet :
Partie I : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu.html
Partie II : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-ii.html
Partie III : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-iii.html
Posté dans: Autres
J'aime
14
14 personnes aiment ça.
Suggestion
Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
465 vues
Par : #
Je suis decorateur d intérieur
J ai été marié 30a
Je suis soumi obéissant
Aime decouvrir mes limite
Aimerai avoir un collier pour les découvrir
J aime prendre soin de moi
J aime entretenir mon corp
J aimerai être votre chien
J aime etre agenoux pour lecher vos pieds
J aime sentir les coup
J aime etre pris comme une chienne
J ai beaucoup de charisme
J aime etre promener en laisse
J adore les xhemise blanche
Je cour tout les matin,
Je suis un homme heureux
J ai un tatouage
J ai beaucouo d erection,
J adore kes arbrs fruitier
J ai une femme de ménage
Je suis bi
Je ne supporte pas l injuste
J aime aimer et etre aimé
J ai changé de voiture
Je ne suporte pas les médiocre
Je suis en manque
J ai un jolie corp , un beau sex
J ai un petit cu rond a prendre
J ai un cote feminin
J ai aussi de belle main
J aime le chocolat
J adore cuisiner
Je suis ambitieux
Je dirige une equipes de 7 personnes
Je porte que des veste de costume
J aodore les belle chaussure s
760 vues
Par : Heartbeat
Article original de Gaëlle-Marie Zimmermann : http://www.hellocoton.fr/to/16J4g#http://autourdusujet.free.fr/index.php/2013/11/21/le-romantique-de-la-bite-un-vrai-prince-charmant-pour-les-sentimentales-de-la-chatte
"Aujourd’hui, Ô Lectrice à la fesse rieuse (donc les culs tristes peuvent aller jouer ailleurs), j’ai envie de te parler de romantisme… Car le romantisme, c’est un peu une valeur phare, sur ZoneZeroGene.
(Un ange passe)
J’aimerais par conséquent rendre hommage à une catégorie d’hommes particulièrement chère à notre chatte notre coeur… Ces hommes qui, tout en délicatesse et en subtiles attentions, savent nous combler, nous les femmes. Nous gratifier, nous émouvoir jusqu’au plus profond de nous-même (c’est-à-dire loin derrière le clitoris et juste avant les amygdales).
Ces hommes, plus nombreux qu’on ne le croit et tout entiers dévoués, ce sont les romantiques.
De la bite.
Oui.
Parce que le romantisme classique (restau feutré, porte de la bagnole tenue ouverte, regards languissants et déclarations enflammées), c’est adorable et on ne va cracher dans la soupe, hein, mais à côté du romantisme de la bite, c’est un peu le hard-discount du dévouement amoureux.
Et je vais même aller plus loin et te donner un bon conseil, chérie : si tu as la chance de croiser le chemin d’un romantique de la bite, SURTOUT ne le laisse pas filer. Accroche-le sans scrupules à la touffe de ton ticket de métro, suspends-le à ta bouche grande ouverte, adore-le de tous tes nichons et savoure ta chance. Parce que ces mecs-là, ce sont des joyaux.
Alors attention, le romantique de la bite n’est ni un goujat, ni un rustre, ni un ours des bois handicapé de la communication. Non, c’est juste un mec logique, qui s’évite bien des malentendus relationnels.
Saint-Exupéry a écrit : « On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux« . Et il avait raison. Mais je peux t’affirmer une chose : si on ne voit bien qu’avec le coeur, et que les émotions se cachent au-delà du visible, on ne ressent bien qu’avec son corps ; car les sensations ne mentent jamais. Sauf quand on leur enjoint de fermer leur gueule ou qu’on refuse de les écouter, auquel cas le sentiment amoureux peut sublimer de la baise très médiocre et te rendre aveugle du cul : tu te retrouves alors à te mentir avec adresse, te racontant des histoires comme quoi tu es merveilleusement heureuse, que ce sentiment magique embellit tout le reste et que l’orgasme n’est pas tout dans la vie, que ce que tu éprouves va bien au-delà. Ouais, c’est ça. Seulement j’ai envie de te dire que pour aller bien au-delà de quelque chose, il faut déjà l’avoir atteint, sans vouloir faire ma chieuse.
Alors le romantique de la bite, ton corps, il l’apprécie à mort. Il aime tellement te baiser qu’il prend soin de toi comme si tu étais le plus précieux des diamants ; et son dévouement va bien au-delà de sa dextérité (dextérité incontestable, au demeurant, mais ce n’est même pas ça qui compte le plus). Grâce à lui, le romantisme devient tout à coup une notion… revisitée.
Tout d’abord, le romantique de la bite est un généreux du cul. Un vrai gourmand, à l’avidité voluptueuse. Et sa gourmandise se nourrit de ton propre plaisir. Ton désir l’émerveille, et chacun de tes frémissements le mène au bord de l’extase. Tout ça sans aucune lourdeur : il ne te fera pas de grands discours, ne se répandra pas en compliments fleuris (donc pour celles qui ont besoin de s’entendre psalmodier qu’elles sont des déesses vivantes, faudra repasser) et ne fondra pas en larmes de gratitude devant ton orgasme.
Non, le romantique de la bite, il sait que le sexe, c’est une fête charnelle, une réjouissance de tout le corps. Il t’appréciera parce que tu ne penses pas nécessaire de lui faire mériter sa première pipe au prix de trois dîners aux chandelles ; car si tu as envie de sa queue dans ta bouche, tu fonces, et dans le cas contraire, tu t’abstiens ; mais tu ne te demandes pas si une fille qui suce d’emblée peut être respectée, et tu ne fais pas du sexe une monnaie d’échange relationnelle. Et il t’adorera parce que tu auras cédé sans chichis à tes propres désirs (en gros, tu as pigé qu’ouvrir grand tes cuisses pour y attirer sa tête n’est pas une faveur que tu lui fais mais un orgasme que tu t’offres). Il savourera que tu t’en paies une bonne tranche en tortillant tes fesses sous ses coups de langue, sans te préoccuper de l’impression que tu donnes à ce moment-là : oui, tu as l’air d’une chaudasse en combustion spontanée et pas d’une lady. C’est comme ça).
Il te fera jouir avec délectation, non pas pour te montrer à quel point il est le meilleur, mais parce que contempler ton orgasme le met en joie. Une joie totale, pure, sans arrière-pensée, aussi débridée que celle de la première gorgée de bière fraîche.
Le romantique de la bite sait que Clitoris n’est pas un nom de divinité antique, mais le point d’ancrage très actuel d’un plaisir à ramifications multiples. Du coup, il a très bien compris qu’une fête sans lui n’est jamais vraiment réussie, et qu’une partie de cul sans le clito, ce serait un peu comme une boum sans la boule à facettes (qui te donne une mine scintillante et sublime ta jupe en lycra), ou une soirée chez l’ambassadeur sans Ferrero Rocher (inutile de te rappeler comment c’est bon quand ta langue touche enfin la noisette).
Le romantique de la bite tutoie également tes nichons avec une infaillible élégance. Leur prodiguant des soins soutenus sans jamais se lasser, il peut même, dans un élan d’enthousiasme, constater avec un scepticisme ravi que ses mains, pourtant king size, ne parviennent pas à les contenir totalement. [A ce stade, je sais bien que la Lectrice à petits nichons est à deux doigts de s’agacer (je ne vous jette pas la pierre, Pierre), et je la comprends mais ne peux rien pour elle (enfin je rigole, mais je dis pas de mal, promis).]
Par ailleurs, le romantique de la bite voue un culte à ton cul, et lui rend hommage avec passion. Mais ton dos, tes hanches, ta bouche, donc grosso modo l’ensemble de ton corps, bas-morceaux et abats compris, sont autant de motifs de palper, caresser, étreindre, tout ça en s’en mettant plein les mirettes. Ah oui, parce qu’il ne faut pas escompter que tes complexes merdiques vont empêcher le romantique de se rincer l’oeil. Tu n’es plus de première fraîcheur (ou tu ne fais pas du 36 / tes cuisses t’évoquent un flan pâtissier / ton ventre n’est pas concave) et tu crains les spotlights ? Prends sur toi si tu y arrives : tu ne voudrais pas le priver, non ? De toute façon, il ne voit rien, il a la gaule (= cerveau vachement moins irrigué, les quelques gouttes de sang encore accrochées à son hémisphère gauche n’étant là que pour lui assurer une parfaite coordination motrice). Et puis mets-toi bien ça dans le crâne : quand cet homme-là te regarde, il te rend belle.
Le romantique de la bite n’est pas forcément un grand bavard. Ce n’est pas qu’il n’en veut qu’à ton cul, loin de là : ce que tu as dans le crâne l’intéresse également (dans le cas, évidemment, où tu aurais quelque chose dans le crâne) ! Mais il n’éprouve pas le besoin de mettre un mot sur chaque chose, et c’est dans l’intimité érotique qu’il va construire avec toi que tu décèleras les preuves tangibles de son attachement. A cet homme-là, tu finis par te donner totalement, sans jamais le regretter d’ailleurs. Et comme il ne considère pas tes faveurs comme acquises, il se trouvera bien veinard de faire du sexe avec toi. Si tu lui dis que c’est toi qui as de la chance, il s’en défendra avec conviction, pour finir par décréter avec le sourire que vous êtes tous deux exceptionnels et uniques (il a raison). Et au final, il se donnera également, en toute confiance, et se remettra entre tes mains avec une ferveur bien plus authentique que celle des déclarations enflammées.
Donc, le romantique de la bite te baise et te choie, ce qui peut être fatiguant (les orgasmes, comme ça, tout plein d’orgasmes en quelques heures, ça crève). Il voudra te requinquer, du coup, et cuisinera pour toi. Non, laisse, ça lui fait super plaisir. Et si après une partie de cul échevelée tu traînes au pieu comme une feignasse, il t’apportera un plateau chargé de clapiotes et te mettra un verre dans la main. Te lever en protestant ? N’y pense même pas, princesse : c’est pas plus cool de prendre l’apéro au pieu ? Euh, si, mais… Mais rien, te rétorquera-t-il. Profite, pendant qu’il prépare le repas.
Il sera également à l’écoute de tes moindres envies, dans le cas (plutôt rare) où il ne les aurait pas devancées : que tu souhaites, là tout de suite, un cunni, une petite levrette en vitesse, un long et tendre missionnaire avec galochage intensif ou encore un câlin la tête dans son cou et ses mains qui te frottent le dos, tu n’as qu’une phrase à prononcer et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu te retrouveras les cuisses autour de ses épaules / à quatre pattes / sur le dos / dans ses bras.
Il n’aura pas forcément l’idée de t’offrir des fleurs ni de te décorer de trucs brillants comme un sapin de Noël, mais si après une journée passer à cavaler tu lâches que tu as les jambes en compote, il s’abstiendra du vomitif « ôôôôô ma pauvre chérie », et optera pour l’efficacité. Il t’apportera donc à boire, des coussins pour caler confortablement tes reins, prendra en main les poteaux qui te servent de guiboles, et te les massera longuement en t’écoutant bavarder. Pendant plus d’une heure. Jusqu’à ce que tu sois parfaitement détendue.
Si tu passes la nuit entière avec le romantique de la bite, sache que tu seras éventuellement réveillée par un délicat massage. Massage qui se conclura par ton embrochage en règle, à moins que l’embrochage ne soit simultané, option très probable également, vu que le romantique de la bite est sexuellement multifonctions, comme un four à chaleur tournante. D’ailleur, c’EST un four à chaleur tournante. Ou alors, il te caressera avec une charmante inventivité, assortie de fervents pétrissages. Mais c’est toi qui vois en fait… Ce sont tes envies qui comptent avant tout… Et si ton envie du moment c’est juste un café bien sucré, c’est faisable aussi.
Le romantique de la bite est avare de mots sirupeux, et c’est bien. Comme il sait ce qu’aimer veut dire, il ne galvaudera pas dans n’importe quel oreille des phrases sucrées et vides de sens. Mais pendant qu’il te baise, il est entièrement là, présent, impliqué. Et quand il ne te baise pas, il est présent aussi : tu sais toujours où le trouver et seule une indisponibilité peut l’empêcher de t’accorder du temps. En cas de pépin, de moral en berne ou d’états d’âme (si tu as une âme, bien sûr, supposition audacieuse contredisant les doutes de Desproges à ce sujet), il est là, toujours. Attentionné et à l’écoute.
Le romantique de la bite est le genre de mec qui ne s’abandonne qu’une fois apprivoisé, sans pour autant faire son mystérieux ni sa pétasse. Et pour apprivoiser le bestiau, la paire de bas, le porte-jaja et le croupion joyeux ne suffiront pas, même si c’est une bonne base de discussion. Non, pour l’apprivoiser, ce qu’il faut, c’est de la simplicité et du temps. Le temps que l’intimité et la confiance s’installent. Le temps qu’il constate que ses sens et son flair lui envoient de très bons signaux, et que tu es exactement ce qu’il désire : une femme à la fesse chaleureuse, à l’esprit sain, et qui n’a précisément pas pour objectif de l’apprivoiser.
En gros, avec lui, tout est simple : tu peux lui faire confiance, et tu ne t’en prives pas. C’est comme si le sexe cimentait tout le reste. De son côté, il te fait confiance également, et t’affirme sans emphase que vraiment, tu le cernes bien. Comme ce n’est pas le genre de type à faire des déclarations d’intentions juste pour la beauté du geste, tu le crois.
Parfois, tu as de tendres échanges verbaux avec le romantique de la bite. Tu lui dis des mots doux, des phrases touchantes, comme « Ta queue, c’est une pure merveille », ou « Quand je pense à ta langue, la moquette de mon salon prend feu ». C’est beau comme du Ronsard.
Un jour, le romantique de la bite te dit tranquillement, en sirotant son café : « Personne ne m’a jamais baisé comme toi » . Bon Dieu de merde. Tu en es toute émue dis-donc, d’autant plus que tu sais que ce n’est pas ton ego qu’il vise. Il l’a juste dit parce qu’il le pense (sinon, il n’aurait rien dit).
Mais toujours est-il que là, tu sens bien que tu es en face d’un prince charmant, un vrai."
797 vues
Par : Câoline
Enfin... Elle doit déjà savoir presque tout mais sinon j'aurais vraiment du parler de choses inintéressantes, elle fait partie des gens qui me connaissent le mieux je pense.
1- Un jour j'ai voulu créer un forum autogéré avec des personnes que j'appréciais qui finalement n'avaient pas la même vision de l'auto-gestion que moi. Pour eux ça voulait dire gestion par un groupe je n'ai pas voulu faire partie de ce groupe mais j'ai participé un temps au forum avant de le quitter car la gestion m'était vraiment insupportable. Mais je ne regrette rien, c'est grâce à cette désagréable histoire que je connais Thutale et ça, c'est bien plus important.
2- Avant de connaitre vraiment le BDSM, je pensais que c'était des pratiques de malades !!! Cela dit je les laissais pratiquer sans critiquer quand même, chacun est libre.
3- Je ne suis pas du tout exhib sauf, comme je l'ai confessé il y a peu, avec Thutale.
4- J'ai eu une vie de famille enfin de maman épanouie très jeune, ce qui me permet de vivre ma vie de femme libre depuis que j'ai 35 ans, je pense que c'est beaucoup plus sympa que dans l'autre sens. Je profite de ma liberté avec bien plus de maturité que si j'avais 20 ans.
5- J'aime le même homme, et de plus en plus intensément, depuis presque 25 ans, ça ne m'a pas empêchée d'en aimer d'autres et d’espérer aimer l'autre que j'aime depuis peu très très longtemps.
6- Je n'arrive pas trop à comprendre pourquoi je suis passée par la soumission, peut-être simplement pour pouvoir m'autoriser à dominer.
7- Quand j'ai essayé le SM comme soumise c'était pour faire plaisir à mon Dom et qu'il voit que je ne supportais rien... J'ai mis quelques minutes pour partir en sub...
8- Sans le point 7, je n'aurais jamais pu m'autoriser à être sadique.
9- Un copain m'a dit il n'y a pas longtemps que les pratiquants BDSM avaient été maltraités enfants, et que comme c'était les seules marques d'attentions qu'ils avaient eu, ils les recherchaient. Je n'ai pas voulu argumenter pour ne pas devoir dire que j'en faisais partie mais comme j'ai eu une seule fessée de ma vie et pleins pleins de câlins...
10- Je pense qu'en fait ce qui pousse au BDSM c'est le plaisir, la variété des sensations reçues, créées. Enfin il y en a quand même qui sont là pour essayer de soigner des problèmes.
11- Je suis une impulsive, je m'emballe facilement mais, je suis confiante que cette fois ci, j'ai raison de le faire, mon chevalier servant est celui que je cherchais.
12- Je me sens juste parfaitement heureuse et comblée entre mon Loup à mes cotés, qui s'amuse parfois à me torturer pour mon plaisir, et mon chevalier servant à mes pieds avec qui ont a tant et tant de choses à partager et à s'apporter.
13- En fait je me sens autant à ma place de le dominer et le protéger que je le sens à sa place à mes pieds pour me servir et me subir pour notre plus grand plaisir.
14- Avant de goûter au BDSM je n'aurais jamais cru que ça me plairait, maintenant, je ne peux plus m'imaginer m'en passer.
15- J'aimerai pouvoir en parler à tout le monde mais je sais que beaucoup de gens ne peuvent pas entendre.
16- J'ai un pêcher mignon depuis toujours, bien avant le BDSM, voir 2 hommes ensembles, si Mon ne l'avait pas compris maintenant il sait ;-)
17- Quoi, encore 10 mais je ne vais jamais y arriver, c'est long, quelle sadique cette Thutale elle est pourtant si douce, j'en connais un qui dirait "comme vous" en parlant de moi...
18- J'aimerai avoir un fouet et savoir le manier pour juste "caresser" Mon... avec.
19- Je voudrais pouvoir aménager ma grange et mon grenier en gite BDSM, c'est un grand projet, j'espère vraiment y arriver
20- J'ai envie de développer mon activité de cuisine à domicile ou pour événements pour gagner un peu plus ma vie moi-même et parce que c’est que du bonheur de faire plaisir aux gens en leurs faisant de bons petits plats sains.
21- Je suis une exigeante, surtout avec moi, perfectionniste quasi maladive mais je me soigne
22- J'aime encore plus donner que recevoir mais pas de la même façon
23- J'ai besoin de sincérité, de transparence, sinon j'imagine le pire
24- Je suis hypersensible de tous les sens mais sauf dans les creux de vague et quand les odeurs me donnent la nausée ou mal à la tête, j'aime ça.
25- Je réfléchis toujours avant de faire un choix et presque toujours, je ne fais pas le choix de la majorité, mais je vous assure, je ne le fais pas exprès, ce n'est pas par volonté de singularité.
26- Je reste presque toujours très proches des gens que j'ai aimé, sauf si eux en décide autrement bien sûr.
27- Ouf c'est fini, je t'adore quand même Thutale :-*
9 vues
Par : #
30 choses sur moi pour Lullaby
1. Au moment que j'écris j'ai un chat assis sur mon épaule et j'aime que ca soit ainsi.
2. Pendant des longues années j'ai porté des lunettes parce que j'aimais porter les lunettes, maintenant je les porte parce que la vue baisse.
3. J'adore manger du Sushi et j'en fais a la maison a ma façon.
4. J'ai une collection de canes et cravaches assez important. J'aime le moment de les acheter, mais il n'y a que peu qui servent régulièrement.
5. Je suis quelqu'un qui peut mettre sa main a plein de choses, mais c'est rare que je continue après avoir acquis un certain niveau de compétence. Apprentissage du Français étant une exception important. Ca fait presque vingt ans que j'ai commencé et onze ans que j'habite en France et j'y travail toujours.
6. J'ai un demi-neveu qui a dix jours plus que moi en âge et dix centimètres plus en taille, et portant j'ai 1,83m moi-même.
7. Je souffre de la vertige. Pendant long temps je me suis poussé a monter dans les tours, les cathédrales et même faire de l'acrobranche. Maintenant j'accepte, que les hauteurs ne sont pas pour moi. En revanche, j'habites a 600m d'altitude. La vu m'a séduit.
8. J'ai quelques piercings et un tatou. Ca fait presque vingt ans que je réfléchis pour un deuxième, mais je n'ai toujours pas décidé.
9. J'ai passé mes vacances d'enfance sur l'ile de Formentera dans les Baléares - a l'époque il n'y avais pas de électricité et une seule route goudronné. Il y avais plein de hippies. C'était chouette.
10. Je suis informaticien.
11. Je suis masochiste, mais pas de tout soumis.
12. Je suis sadique.
13. Les ortis me servent - d'un pierre deux coups.
14. J'aimes provoquer les larmes d'une soumise et puis la réconforter.
15. Je suis en conflit perpétuel entre mes préjugés et ma volonté d'être ouvert d'esprit.
16. De première vu je n'aime pas les genres qui ont la même apparence que moi.
17. Je suis certainement fou.
18. Je suis philosophe dans l'âme.
19. J'ai eu deux hernies discales a trente ans et j'en soufre toujours.
20. Je travail allongé. J'en profite pour faire des siestes sans bouger de mon lieu de travail.
21. J'ai fêté ma vingt-et-unième anniversaire dans un bistro dans le veille port de Marseille. Le menu était a 10 francs et le chef a mit du glaçage et un bougie sur une baguette au lieu d'un gâteux d'anniversaire.
22. Dans ma jeunesse, j'aimais me déguisé, souvent en robe, et me faire des jeux de rôles, pendant des heures, devant un grande miroir dans le grenier.
23. J'aime voyager en train. J'aime regarder la compagne par la fenêtre et puis les derrières des maisons quand on passe en ville.
24. J'ai voyagé pendant quinze mois en Sud-est Asie, en Australie, en Chine et aux Etats Unis.
25. Je peux facilement manger un paquet entière de biscuits a gingembre en un seul fois. Donc je les remmène en grand quantité d'Angleterre quand j'y retourne.
26. Je fais pousser ma barbe sans le couper jusqu'au moment que ca m'énerve trop et puis je le rase...et puis il me manque et je laisse pousser de nouveau. Comme ca je me rase deux fois par an en moyen.
27. Je me lave que rarement...sauf quand j'ai de la compagnie et la, je me rappelle a l'ordre.
28. Je n'ai jamais fumé et je le déteste et pourtant j'ai passé plus de vingt ans avec des fumeuses.
29. J'ai été en thérapie le plus part de temps depuis l'âge de trente ans. Commencer chanter l'Internationale a la banque ou j'ai travaillé a l'époque était le déclencheur. Quelque fois j'ai l'impression que je vais mieux mais c'est un travail de longue haleine.
30. Je croix au fond de moi que chaque personne a une histoire passionnant a raconter, même ceux qui ont une vie d'apparence le plus banal, et que c'est dommage que ces histoires soit rarement raconté.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour MrMathews »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
523 vues
Par : #
1-Bonjour
Je m’appelle Yaelle
J’ai 28 ans
Je suis brune aux yeux marron
Avec quelques formes il faut l’avouer
2- Folle amoureuse de mon Amour et Maître depuis mes 17 ans nous avons la joie d’avoir une patate d’un an et demi qui nous rend des plus heureux
Et surtout qui déménage
3 -Je me pense être quelqu’un de simple
Mais surtout très sensible
Ayant tendance à donner tout ce que j’ai par Amour ou amitié
4 -Petite fille discrète, je me suis toujours caché derrière quelqu’un ou quelque chose de peur d’attirer le regard et de montrer trop mes sentiments.
5 -Assez peu sur de moi j’ai toujours était un peu le garçon manqué de la bande surtout en entrant au lycée regardant autant les garçons que les filles
6 -Bon il y a surement prescription maintenant
Mais j’étais un peu
Bon beaucoup
Attirée par ma meilleure amie
Mais ne voulais pas me l’admettre
7 -Mon premier baiser fut à mes 15 ans
Oui c’est tard
8 -Mon enfance fut un peu difficile
Issue d’un père violent
Et d’une mère castratrice
Ma principale occupation était de veiller sur mon petit frère
Et éviter un drame
L un j y suis arrivé
L’autre non
C’est ainsi
Je me dis que c est mon passé qui fait ce que je suis
Ne peux le renier
Et dois m en servir pour être une meilleure personne
Donc les garçons étaient des plus secondaires pour moi
9 -L indépendance que m’a offerte mon entrée au lycée
M’a permis de sortir la tête de cette ambiance
Et découvrir certains plaisirs de la vie
Plus ou moins catholiques
10 -Ma première expérience
Fut un mardi
Séchant les cours de math pour rejoindre mon amant
Dans son petit studio étudiant
Qui au final
N’était pas si franc que ca
11 -Ma phrase préféré
C’est en faisant des erreurs que l’on apprend
Même si je ne l’applique pas toujours
Je l’aime bien
12 -Lorsque j’ai rencontré mon Amour ce fut le coup de foudre
Un simple regard a suffit
A l’heure d aujourd hui un simple regard de lui
Peut me renverser
Mais pas que !!!
13 -Il y a deux ans
Suite à une révélation et une prise de conscience, il m’a fait découvrir le monde du BDSM.
A l’heure d aujourd hui je me rends compte que c’est bien plus qu’un piment, bien plus qu’un état d’esprit c’est une façon différente d’appréhender la vie et surtout de voir son corps et son être
14 -Jusqu’ à il y a peu
J étais méfiante
Ne donnant pas de tendresse
Assez caractérielle
Je me cachais sous une carapace
Qui faisait plus de mal que de bien à notre couple
15 -Pour moi le BDSM est une boite de pandore
Que mon Maître a ouverte
A la quelle je suis devenue accro
16 -En juin 2014
Il a décidé de m’offrir mon collier
Entouré de personnes
Qui a l’époque nous tenaient à cœur
Ce fut un moment émouvant
Sentir le cuir
Ce poser sur mon coup
Comme un symbole
Plus qu’une femme
Plus qu’une soumise
Il m’offrait son être tout entier
17 -Notre première expérience
Les cordes
Elles vont devenir notre lien
Notre alliance
Notre passion
Un moyen d évasion et de plaisirs pour nous deux
16 -Des sensations nouvelles
La découverte de son propre corps
Mais surtout
Cette douce douleur qu’une cravache ou un martinet peut procurer
18 -Mon pseudo était une évidence
Et nous tenait a cœur plus que tout
Il est tout simplement le prénom en version féminin de mon Maître
La soumission c’est révélé à moi
Mais ne fut en réalité qu’une confirmation
19 -Grâce à ce monde mon Maître m’a permis de faire des expériences plus enrichissantes les une que les autres. Mais surtout de découvrir certaines parts de moi-même
20 -J’ai découvert ma bi sexualité grâce à la formation d’un trio avec mon Maître et une jeune femme dont je n oublirais jamais le corps et pour qui j’ai ressentis bien des sentiments
Aujourd hui la relation fini je ne veux en garder que le positif
La découverte
L’amitié
Et la fierté lorsque je voyais le regard de mon Maître dans nos rapports a trois
21 -Encore plus percutant
Ce monde nous a permis de rencontrer des personnes hors du commun
Et avec qui nous avons liés bien plus que des liens d’amitiés
Un lapinou, un tonton m et sa gentille, une tata giclette et que dire d’une bonne fée ou d’un papé et sa miss (et bien d'autres aussi qui se confirment )
Des gens dont le cœur n’a que l’amour pour raison
Et qui
Pour moi
Forment une famille
Dont on ne peut se passer
Que l on Aime et qui nous manque quand elle n’est pas la
22 -Bon je vous donne mes surnoms dans notre petit groupe
Petit cœur
Kinder Buenos
Petite orchidée et son bouton
Oui
C’est bien ca
Ca n’a rien à voir
Lol
23 -Merci Ennawelle pour ce chalenge
Même si peu présente
J’y ai pris beaucoup de plaisir
24 -Comment finir ce jeu
Je ne sais pas trop
Ce que je sais
C’est que je suis heureuse de faire partie de ce monde
Il y a deux ans je suis arrivée sur ce site
Perdu
Triste
J’y ai rencontré des personnes hors du commun
Cree des liens
En ai perdu
Avec grande tristesse
Vécu des moments de joie
Des moments d émotion
Pas une seule fois je regretterais ce choix
Fait il y a un peu de temps
J’aurais un regret
Le concours
Qui apportait tant
Et qui avait une signification particulière pour moi
Qui me manque
25 -Mon dernier point ne peut revenir qu’à Toi
Mon Maître
Mon Amour
Mon Amant
Je voudrais te remercier pour tout ce que tu m’apporte depuis tant d’années
Par quoi tu es passé
Par Amour
Merci d’être Toi
De m’avoir offert le plus beau cadeau
A chaque regard que je pose sur elle
Je te vois
Toi
Revois ce regard qui c est posé sur moi
Il y a 11 ans
Notre parcours est ce qu’il est
Je me fou des on dit
Des critiques
Ils ne savent pas l’Homme que tu es
Le père, le conjoint si respectueux si aimant
C’est la compagne la mère et Ta soumis qui parle
MERCI
Merci d’être ce que tu es
Mon Amour et âmes sœur
Je suis fière de t appartenir
Bonus* : Ha oui j oubliai
Un brin dyslexique
Et fâchée avec l’orthographe
Ne m’en voulez pas si ça pique les yeux
Bonne et douce soirée à Vous
Yaelle
832 vues
Par : Rich
Voici le jeu du portrait québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope).
36 choses sur moi pour Thutale.
01- Ce portrait a été une épreuve difficile à honorer.
02- Je n'aime pas parler de moi.
03- Manque de bol pour moi, ce questionnaire demande des choses sur moi, or vu la personne qui me l'a demandé, je ne tiens pas à inventer. En dehors de mes romans et autres créations, je n'invente pas.
04- Si ce n'avait pas été Thutale, peut-être aurais-je requis d'être exempté, mais ça on ne le saura jamais.
05- Je me suis beaucoup demandé comment j'allais remplir ce questionnaire
06- Je suis quand même plus à l'aise pour raconter des histoires, inventer des fictions, enfin faire l'écrivain, quoi, que pour parler de moi.
07- Je suis aussi beaucoup plus à l'aise pour argumenter sur une question, éventuellement j'aurais été plus à l'aise autrefois pour polémiquer.
08- De plus en plus, polémiquer m'ennuie, mais vous n'êtes pas à l'abri quand même !
09- Je ne rentre pas dans les cases, il va falloir s'en accommoder. Et en plus je suis politiquement tout ce qu'il y a de plus incorrect.
10- Je suis tellement conscient désormais de la brièveté de nos destins que j'essaie de ne pas perdre de temps à des choses inutiles à mes yeux.
11- Ce questionnaire n'est pas un exercice inutile, il m'oblige à prendre des chemins de traverse, il n'est pas une perte de temps selon mes critères.
12- Puis-je en profiter pour promouvoir ma passion pour la fessée et ma qualité de fesseur ?
13- « Ecrire est une forme sophistiquée de silence » A. Baricco
14- Je pense être assez sophistiqué.
15- Il existe beaucoup d'autres portraits qui ont existé, autant d'impasses. Seule une personne a eu droit à la dernière, mais c'était quand même une impasse.
16- Il y avait assez peu à retirer de ces impasses, et le présent portrait ne ressemble pas vraiment aux autres : facettes et complexité.
17- Quand je ne parle pas de moi, je visite beaucoup moins d'impasses. Très peu en fait. Heureusement, sinon je n'arriverais jamais à écrire livres, articles et autres.
18- J'aime réfléchir, mais quelquefois de façon assez radicale, cela fait toucher aux limites du raisonnement, et toujours très peu conventionnelle.
19- Je me suis longtemps « réfugié » dans la lecture (en même temps j'adorais ça!) : c'était la seule activité où je pouvais être tranquille dans mon coin et où on me donnait raison en cas de litige avec une fille !
20- J'aime bien l'idée de pratiquer une activité « sacrée », dont l'exercice expert et très respecté ne semble réservé qu'à une petite partie de la population, comme la lecture… ou la fessée.
21- Si c'est ça être élitiste, je veux bien, mais en toute simplicité.
22- Je suis un lecteur boulimique avant d'être un écrivain.
23- Une mauvaise orthographe me gêne beaucoup pour lire correctement car je recherche le sens, alors que je peux lire sans problème en miroir.
24- Enfant, j'ai lu et relu secrètement des dizaines de fois mes passages préférés de la Comtesse de Ségur : les fessées de Sophie dans « Les malheurs de Sophie » et surtout « Les petites filles modèles » (cul nu !), l'écho de la fessée/fouettée de Palmyre dans « Les petites filles modèles » et la fouettée de Maria Petrovna dans « Le Général Dourakine ».
25- Les fessées d'« Un bon petit diable » ne m'ont jamais intéressé, elles ne sont pas méritées et je ne m'occupe pas des fesses masculines, mais j'aurais bien aimé que cette ahurie de Juliette s'en prenne une bonne, qu'elle méritait amplement, histoire d'être confrontée au réel, ça lui aurait fait les... pieds.
26- Il paraît que j'ai laissé à mes condisciples (et durant toute ma jeunesse) l'image d'un garçon qui ne souriait jamais. Ils ont raté mes « bons » moments.
27- Aujourd'hui encore, je souris plus avec les yeux, c'est plus discret, mais je souris aussi avec la bouche. Il m'arrive même de rire ! Si si...
28- Pour autant, je n'ai jamais été triste. Juste réfléchi, très réfléchi...
29- Trop réfléchi ?
30- J'ai l'habitude de vivre en marge, en faisant ce que bon me semble
31- Je peux tout plaquer dans l'instant et sans regret si ça ne me convient plus. Le monde est vaste...
32- Je suis très très indépendant.
33- Mais non je ne suis pas compliqué à vivre… Il faut juste me laisser agir comme je l'entends.
34- Attention au second degré !
35- J'ai autant de plaisir, c'est à dire beaucoup, à piloter un prototype au Mans qu'à conduire un vieux tracteur, ou à piloter un avion. J'aime les belles trajectoires, les plus efficaces. Je m'ennuie sur la route actuelle, c'est dangereux.
36- Le BDSM déteindrait-il sur moi ? Bien que « spécialiste » (?) de la fessée, que j'administre désormais avec une regrettable parcimonie, mais toujours avec une grande passion, je suis attiré depuis peu par d'autres envies, d'autres curiosités qui ne m'avaient pas encore effleuré l'esprit, comme de gifler une soumise en la regardant droit dans les yeux, par exemple. On ne finit jamais d'apprendre.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
14 vues
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 04/02/2016 -> 23/03/2024 - 683 Vues)
.
Naître, respirer et en pleurer..
Découvrir, marcher et tituber..
Grandir, se connaitre, et se la jouer..
Aimer, disparaitre, se torturer..
Assumer, se noyer, en plaisanter..
Partager, posséder, ou s'isoler..
Vieillir, se débattre, et ignorer..
Evoluer, oublier, se résigner..
Fusionner, pourrir, fertiliser..
Imprégner, modifier, s'aventurer..
Brûler, geler, s'atomiser..
Stagner, sillonner, être aspiré..
Rejeter, s'agglutiner, et tourner..
Créer, détruire, coloniser..
Dévorer, souffrir, se réveiller..
Ressentir, servir, s'illuminer..
et enfin Vivre...
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
1.1000 vues
Par : #
CHAPITRE 01
RETOUR À LA RÉALITÉ
Michel Lévesque était directeur financier d'un groupe hôtelier. À vingt deux ans il était le plus jeune directeur et l'un des plus ambitieux du groupe entier. Il s'était rapidement fait un nom et les autres directeurs l’appréciaient. Il avait travaillé dur, de manière très volontariste et il avait un talent particulier pour se faire obéir. Ils appréciaient également son attitude obstinée, qui signifiait que quiconque se mettant en travers de son chemin était habituellement écarté. Cependant son personnel avait une vue quelque peu différente du jeune homme ambitieux. Dès son arrivée à la direction du département, il avait licencié quatre filles et rappelé à l'ordre deux autres filles. Elles voyaient en lui un lèche cul dont le premier souci était de s'occuper de ses propres intérêts. Lorsqu'il se montrait soucieux de leur bien-être, et c'était tout à fait rare, cela dépendait entièrement du bénéfice qu'il pourrait en tirer.
Il était 10 heures lorsque Michel s'est réveillé avec un affreux mal de tête et cette sensation terrible que la pièce était en train de tourner. Il s'était saoulé la nuit précédente et aussi il n'en était pas très étonné. Il a jeté un coup d'œil autour de lui. La pièce lui était peu familière. Pendant un moment c'était confus et ensuite tout commencé à lui revenir.... "Oh Mon Dieu" soupira-t-il profondément.
Il y avait dix-huit personnes dans le département, toutes des jeunes femelles à part un nouveau jeune homme. En conséquence, il y avait toujours un anniversaire, un mariage ou un nouveau bébé à célébrer, et les pots après le travail étaient habituels. C'était d'un de ces pots que Michel souffrait en ce moment. Sa fiancée Jade, qui travaillait dans le même bureau, avait donné une excuse pour ne pas y participer, mais étant leur directeur il s'était senti obligé de participer aux occasions plus importantes comme des prochains mariages. Esprit d'équipe et tout cela ! Il détestait ces événements, c'était toujours pareil et ce sans exception. Ils avaient terminé dans un bar enfumé, avec les filles qui devenaient de plus en plus saoules, plus bruyantes et tapageuses alors que la soirée progressait.
Malheureusement, il avait également trop bu et quand ils se sont tous rendus ensuite à la maison de Samantha, elle a suggéré qu'il reste pour lui éviter de conduire. Ayant trop bu pour discuter, il accepta. Grande, grande erreur !
Avec sa tête toujours en train de tourner, il a regardé plus attentivement la pièce où il était. Il y avait plusieurs mannequins exposant des vêtements, des robes à moitié finies et un long portique avec des vêtements terminés. Samantha était une excellente ouvrière couturière et passait tout son temps disponible à concevoir et composer des vêtements pour compléter son modeste salaire. C'était à cause de Michel si elle était mal payée. Elle avait demandé à plusieurs reprises une augmentation, et avait deux fois sollicité une promotion. À chaque occasion, il avait refusé. Elle avait gardé sa rancune en elle, mais elle avait peu de moyens de le contrer. En conséquence, elle n'avait pas d'autre option que de continuer son travail de couturière. Elle avait besoin de ce deuxième travail afin d'avoir un niveau de vie décent.
La salle où était Michel, se doublait d'une salle de travail et il y avait un miroir énorme sur le mur pour les essayages de robe. Samantha avait des talents divers et pouvait faire presque n'importe quoi mais elle avait tendance à se spécialiser sur les robes et les accessoires nuptiaux car il y avait beaucoup plus d'argent à gagner. Elle avait eu également un ou deux clients riches avec des enfants en bas âge qui avaient de temps en temps besoin de quelque chose de spécial pour leurs jeunes filles, et elle est devenue tout à fait habile pour coudre la petite robe de dentelle avec tous ses ornements pour surboum ou communion. La plupart du temps cependant, on lui demandait de faire des robes de mariage pour les filles du bureau, et il y avait toujours un flot régulier de commandes pour la maintenir occupée.
Il y eu des coups à la porte. "Bonjour Michel, c'est moi Samantha. Je vous ai apporté du café, êtes-vous dans une tenue décente ?" Elle ne s'était pas occupée de son patron pendant la nuit, mais il se faisait tard et elle voulait qu'il parte pour pouvoir profiter de sa maison pour elle-même.
"Ouais, juste une minute" gémi-t-il. Il s'est levé du lit et a chancelé jusqu'à la porte mais s'est arrêté complètement quand il a senti quelque chose de très doux et féminin flotter autour de ses cuisses. Il a regardé vers le bas. "Merde !" a-t-il murmuré. C'était une chemise de nuit. Une chemise de nuit bleue transparente de dentelle, de satin avec des rubans minces au-dessus de ses épaules, un lacet brodé autour du buste et un ruban bleu passé autour de son cou. "Oh Mon Dieu" a-t-il hurlé, en se figeant.
Samantha s'est montrée impatiente et a poussée la porte. "Bon vous feriez mieux d'être décent parce que... Oh !" et elle a éclaté de rire. Elle a posa la tasse avant qu'elle ait renversé le café. "Bien, bien. Je sais que je vous ai dit de faire comme chez vous, mais regardez vous. Vous auriez du me dire que vous aimez porter une chemise de nuit pour dormir. Il y a quelques dessous vraiment mignons pour petites poupées là-bas" a-t-elle taquinée, en pointant certaines de ses fabrications mousseuses de dentelles suspendues au-dessous de la tringle.
"Oui, oui... très drôle. Ainsi c'est une de vous est qui responsable de ce... cette situation... et de toute façon, où sont mes vêtements ?" s'est il irrité.
"Oh non. N'essayez pas de rapporter ceci sur nous, nous n'avons rien à faire avec ceci. Ne vous rappelez-vous pas ? Vous étiez si saoul la nuit passée ; vous titubiez ici et avez commencé à jeter vos vêtements dehors aux passants par la fenêtre. Vous pourriez même encore trouver quelques choses si vous regardez là dehors. Malheureusement pour vous il a plu aussi vos affaires risquent d'être inutilisable à cette heure. Vous étiez dans un tel état, hurlant et criant, nous avons du vous laisser seul."
"Oh Mon Dieu" a-t-il gémi, en tenant sa tête. Il s'est vaguement rappelé d'avoir gesticulé envers quelques personnes qui faisaient du bruit à l'extérieur et d'avoir jeté des choses dehors, mais la réalité de la situation commençait seulement à lui apparaître. Il était un cadre supérieur, responsable de la discipline d'un personnel jeune et il aurait beaucoup de difficulté a essayer d'expliquer tout ceci – ivre mort, en restant la nuit chez une fille de son personnel, et le pire de tout, en se réveillant dans la chemise de nuit d'une fille. Si son patron entendait parler de ceci, il serait vraiment dans la merde. En plus, comment pourrait-il jamais l'expliquer à sa fiancée, Jade ? Cependant il ne se rappelait toujours pas comment il en était venu à se mettre dans la chemise de nuit.
985 vues
Par : renaiSSance31
par renaiSSance
1) Je suis une femme qui pendant longtemps à détesté les hommes et surtout les violents.
2) Je trouve énormément de plaisir d'offrir à l'autre sans en attendre forcément de retour.
3) Je suis fêlée du bocal, mais je me soigne ... rire, on l'est tous un peu
4) J'ai été une petite souris grise qui se cachait sous des vêtements informes La féminité était proscrit chez moi.
5) J'aime le calme, la nature et le chant des petits oiseaux.
6) Depuis mon entrée dans le BDSM, j'ai enfin fait la paix avec moi-même et les autres.
7) Je suis aussi une ancienne libertine, mais cette facette de moi, n'a plus vraiment cours. J'ai trop eu de richesse en étant soumise.
8) Je suis têtue comme une mule et ne démords pas de ce en quoi je crois même si ce n'est pas forcément le meilleur.
9) Pour moi la soumission est un équilibre à ma vie normale et je ne cherche pas le grand amour, juste le respect et la confiance.
10) Par l'écrit d'un blog, j'ai réussi à m'accepter et à vivre sereinement.
11) Je déteste le mensonge, l'hypocrisie et les grands détenteurs de la vérité
12) Ma famille proche et quelques amis savent ce que je suis.
13) Je ne cherche pas à revendiquer mon état d'esprit et je respecte tjrs l'autre et ses propres idées.
14) J'ai atteint un âge où je pense être assez sage et ayant la réflexion adéquate à la situation qui se présente
15) Ouf dur dur de dire ce que je suis....lol
16) Je suis une écorchée vive d'un passé incestueux digérer et qui ne me pourri plus. J'en parle sans honte et sans culpabilité.
17) Je sais que mon mari va lire cet article, alors je le remercie sincèrement pour tout l'amour dont il m'entoure et cet acceptation qu'il a de me laisser entre les mains d'autres personnes
18) Je pense que la communication et l'échange est un principal ingrédient dans toute relation que cela soit de couple, d'amis ou bdsm
19) J'ai été maso et je le suis tjrs, mais privilégie maintenant les plaisirs de l'esprit
20) Le masochisme était pour moi, une forme d'expier une culpabilité et j'en faisais une auto destruction.
21) Je remercie mon 1er maître pour m'avoir fait me découvrir, m'apprendre à me contrôler et de m'avoir protéger contre moi-même
22) J'ai peu d'interdits et les limites à mes yeux sont faîtes pour être dépassées. Bien entendu dans une relation dite bien posée.
23) Je ne joue pas à la soumise, mais vis et pense en soumission.
24) Dans la vie de tous les jours, j'ai tendance à être soumise par mes actes, mais je ne me laisse pas marcher sur les pieds.
25) Je reconnais vite les fantasmeurs et les "baiseurs" faisant leur emplette comme au supermarché
26) Je peux dire que j'ai un noyau d'amis dans le bdsm et que ce ne sont pas juste des amis virtuels, même si nous ne nous voyions pas souvent
27) L'amitié n'est pas à mes yeux un grand agenda rempli de pseudos
28) Je travaille et oui comme beaucoup rire et j'aime mon travail.
29) Ah une chose est sure, ce n'est pas facile de se dévoiler.
30) Enfin, sachez tous que nous sommes maître de notre destin dans le sens ou nous-même prenons les décisions et quelque soit les conséquences cela sera votre choix.
Bonne continuation à tous quelque soit la route empruntée
Défi réussi, mission remplie !
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Yuri »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
743 vues