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Après avoir refermé le placard, je pause les différents objets sélectionnés. Le premier est un martinet, identique à celui de la boutique et sur lequel Pauline fantasmait, le second une cravache, instrument délectable pour celui qui sait s’en servir et enfin j’ai choisi la cane, redoutablement efficace et laisse une très jolie signature sur une paire de fesses. J’ai également pris deux objets supplémentaires, le premier est un rosebud et le second une plume, pourquoi la plume me demanderez-vous ? Cet objet est vrai mystère à lui tous seul, il peut être doux et éveiller la caresse comme plus « taquin » et chatouillé le corps, mais l’un comme l’autre il met en éveil les sens du corps.
Après avoir posé les instruments sur la table, je m’approche de Pauline, lui demande de se retourner et de se tenir devant moi. Elle s’exécute, me regarde….regarde derrière moi et voit enfin le résultat de mon exploration, elle découvre les instruments. Elle me regarde de nouveau, son regard est plein d’interrogations. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir :
- Bien Pauline, maintenant que tu as découvert la fessée manuel, je vais te faire découvrir trois instruments, le premier que tu a vue, le martinet, le second une cravache et enfin je finirai par trois coups de canes.
- Bien Monsieur Averamm, et je vois deux autres objets….quels sont leur raison d’être ?
- Tu le verras en temps utile, ne soit pas pressés, pour le martinet, tu va aller te pencher sur la table, la même qui t’a servi à écrire ta lettre.
Pauline s’exécute, pourquoi la table…simple, entre la table et le coin, elle passera devant la table sur laquelle sont disposé les instruments, tel des trophées . En passant devant elle regarde les instruments, et je la voie frissonner, est ce le plaisir ? la peur ? l’angoisse ? aucune idée.
Doucement mais surement Pauline prend position, exposant ses fesses à mon regard, je profite de ce spectacle avec délectation, tel un chasseur planqué attend sa proie avant de bondir dessus. Bien que le spectacle soit diablement intéressant, je m’approche à mon tour….saisi le martinet et arrive à coté de Pauline. Je caresse les fesses de Pauline avec, qu’elle découvre une première sensation, celle du cuir encore « frais » sur ses fesses, qui avec la fessée manuel on prit une jolie couleur rose, de jolie petite pomme que l’ont a envie de manger tel un bonbon. Elle se cambre, désire faire corps avec le martinet, le sentir, l’avoir en elle, enfin….elle va savoir ce que c’est que cet instrument, son esprit le cherche depuis longtemps. Le premier coup tombe, avant de délivrer le second, je veux savoir comment Pauline réagit à cette « attaque » quelle ne connait pas, est ce proche de ce quelle imaginait….je ne sais pas, elle à dit « aie » avec un mot assez grossier dont je vous tairai l’orthographe. Mais elle ne fait rien pour bouger, au contraire elle tend ses fesses, dans l’attente du coup suivant. Ce dernier ce fait pas attendre et viens envelopper les fesses de Pauline de ses redoutables lanières, je ne détaillerais pas chacun de voyages parcourus par ses lanières. Mais celle-ci auront effectué 14 voyages sur les jolies pommes de cette diablotine. Pourquoi 14…simple elle attend depuis 7 ans cette fessée (23-16) et comme je n’aime pas faire de jalouse, j’ai décidé de multiplier par deux, afin que chacune de ses fesses reçoivent un nombre égal de voyage.
Pauline ne bouge pas, elle est toujours penché sur la table les fesses tendus, les lanières sont venu décoré sont derrière, passant d’un jolie rose bonbon, à un rouge tomates. Je lui demande de ce lever et de me regarder :
- Merci Monsieur Averamm pour cette découverte.
- De rien Pauline, mais ce n’est que le début il reste la cravache et la cane.
- Oui Monsieur Averamm, je suis prête pour la suite de ma fessée.
- J’en doute pas une seconde mais avant de continuer, je vais mettre dans ton anus se rosebud.
- Pourquoi ? est-il vraiment nécessaire ?
- Oui, il est nécessaire, la fessée est une chose, le rosebud une autre, tu va découvrir une nouvelle sensation, que tu aimeras beaucoup.
- Heu….je dois vous avouer que je suis vierge de cet orifice, pas que je n’aime pas cela, mais comment dire, j’ai peur d’avoir mal à cet endroit (me demande si ses joues ne sont pas aussi rouge que ses fesses).
- Ce bijou va t’aider à découvrir cet orifice et c’est avec délectation et honneur qu’il va aller prendre place, tel un roi sur son trône.
Après avoir posé les instruments sur la table, je m’approche de Pauline, lui demande de se retourner et de se tenir devant moi. Elle s’exécute, me regarde….regarde derrière moi et voit enfin le résultat de mon exploration, elle découvre les instruments. Elle me regarde de nouveau, son regard est plein d’interrogations. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir :
- Bien Pauline, maintenant que tu as découvert la fessée manuel, je vais te faire découvrir trois instruments, le premier que tu a vue, le martinet, le second une cravache et enfin je finirai par trois coups de canes.
- Bien Monsieur Averamm, et je vois deux autres objets….quels sont leur raison d’être ?
- Tu le verras en temps utile, ne soit pas pressés, pour le martinet, tu va aller te pencher sur la table, la même qui t’a servi à écrire ta lettre.
Pauline s’exécute, pourquoi la table…simple, entre la table et le coin, elle passera devant la table sur laquelle sont disposé les instruments, tel des trophées . En passant devant elle regarde les instruments, et je la voie frissonner, est ce le plaisir ? la peur ? l’angoisse ? aucune idée.
Doucement mais surement Pauline prend position, exposant ses fesses à mon regard, je profite de ce spectacle avec délectation, tel un chasseur planqué attend sa proie avant de bondir dessus. Bien que le spectacle soit diablement intéressant, je m’approche à mon tour….saisi le martinet et arrive à coté de Pauline. Je caresse les fesses de Pauline avec, qu’elle découvre une première sensation, celle du cuir encore « frais » sur ses fesses, qui avec la fessée manuel on prit une jolie couleur rose, de jolie petite pomme que l’ont a envie de manger tel un bonbon. Elle se cambre, désire faire corps avec le martinet, le sentir, l’avoir en elle, enfin….elle va savoir ce que c’est que cet instrument, son esprit le cherche depuis longtemps. Le premier coup tombe, avant de délivrer le second, je veux savoir comment Pauline réagit à cette « attaque » quelle ne connait pas, est ce proche de ce quelle imaginait….je ne sais pas, elle à dit « aie » avec un mot assez grossier dont je vous tairai l’orthographe. Mais elle ne fait rien pour bouger, au contraire elle tend ses fesses, dans l’attente du coup suivant. Ce dernier ce fait pas attendre et viens envelopper les fesses de Pauline de ses redoutables lanières, je ne détaillerais pas chacun de voyages parcourus par ses lanières. Mais celle-ci auront effectué 14 voyages sur les jolies pommes de cette diablotine. Pourquoi 14…simple elle attend depuis 7 ans cette fessée (23-16) et comme je n’aime pas faire de jalouse, j’ai décidé de multiplier par deux, afin que chacune de ses fesses reçoivent un nombre égal de voyage.
Pauline ne bouge pas, elle est toujours penché sur la table les fesses tendus, les lanières sont venu décoré sont derrière, passant d’un jolie rose bonbon, à un rouge tomates. Je lui demande de ce lever et de me regarder :
- Merci Monsieur Averamm pour cette découverte.
- De rien Pauline, mais ce n’est que le début il reste la cravache et la cane.
- Oui Monsieur Averamm, je suis prête pour la suite de ma fessée.
- J’en doute pas une seconde mais avant de continuer, je vais mettre dans ton anus se rosebud.
- Pourquoi ? est-il vraiment nécessaire ?
- Oui, il est nécessaire, la fessée est une chose, le rosebud une autre, tu va découvrir une nouvelle sensation, que tu aimeras beaucoup.
- Heu….je dois vous avouer que je suis vierge de cet orifice, pas que je n’aime pas cela, mais comment dire, j’ai peur d’avoir mal à cet endroit (me demande si ses joues ne sont pas aussi rouge que ses fesses).
- Ce bijou va t’aider à découvrir cet orifice et c’est avec délectation et honneur qu’il va aller prendre place, tel un roi sur son trône.
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