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le 02/10/18
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Le rouleau déroule en souffle silencieux de larges bandes souples. L'aile noire se déploie alors dans les airs comme une nuit qui s'étend sur moi.
Le film s'étire, soupire de minces caresses, s'étoffe et se travaille en longueur. Il flotte un instant avant de se fondre, vagues dans la mer du ventre. Le voile élastique ondule doucement, souligne les seins, capture sa proie. La soie de plastique qui se plaque sur le corps m'enveloppe en couches successives.
Il presse, je ploie. L'étourdissement me fait tituber, je vrille sur mes aiguilles, je tangue. Je chancelle en italique, la joue tapissant le mur. Je me redresse, vacillante sur les mollets qui flageollent.
Maniée, soulevée, allongée dans mes nuées feutrées sur une couche de fortune, pliée à l'équerre sur la table qui m'accueille, à laquelle je suis enlacée. Sanglée dessus-dessous, meuble et femme soudés, solidaires. Au bout du monde, les jambes pendillent dans le vide, balancier de l'abandon. La pendule sonne l'heure du plaisir et de la douleur.
Le voile du cocon se fissure, la pellicule se déchire en paillettes volatiles qui se recollent à la peau. La blancheur du sein surgit de l'ombre, mate sous la brillance. Une vignette de collection. Un timbre-poste léché-oblitéré.
Lacération rectiligne, équilatérale, émaillée de filaments. Une envolée fugace, une échappée douce.
Fouillent la déchirure, déplient les chairs, les doigts rampent, chenilles en procession, glissent, s'immiscent joints à l'intersection. Le sexe de l'homme salive, délivre une suie blanche sur l'opacité noire, cherche les sources, toutes les lèvres, et perce, s'enfonce, cogne sans façon, pilonne en tous sens. Demander grâce serait une solution. Ou jouir à n'en plus finir. Rouleau compresseur...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : Lady Spencer
Je publie ce texte datant de 2003, car je le trouve extrêmement bien expliqué et précis : sans doute, certaines évolutions seront à relever, alors n'hésitez surtout pas à apporter vos commentaires : merci à vous
nb : pour les puristes de l'écriture, il est écrit "Maitre" et "soumise" et jamais "Maitresse" et "soumis" : juste une facilité de langage mais tout se comprendra pour tous les genres
"Pour le grand public les fouets sont, avec la cravache, le symbole sulfureux d'une relation BDSM. Certains Maîtres les réduiront a l'état de triste substitut phallique d'une libido vacillante alors que d'autres sauront leur donner vie pour en faire les catalyseurs de cette alchimie entre douleur et plaisir.
Signal whip
Les single-tail , ou simple lanière
http://mehere.free.fr/alamut/photos/fouets/le_squale/single_tail.gif
Les single-tail sont les fouets mythiques du BDSM. Qui n' a pas rêvé devant l'image de la soumise attachée sur la croix de St André le dos zébré par les assauts répétitifs du single tail de son Maître. Mais ceux ci, comme une formule 1, sont les plus beaux les plus racés, les plus puisant entre des mains expertes, entre des mains inexpérimentées ils devient approximatifs et dangereux.
Qu'entend-on par single tail ?
Comme leur nom de simple lanière l'indique, ceux ci, a la différence des martinets, se terminent par une seule lanière. Ils sont constitués de 4 parties :
La poignée : soit en bois, soit une tresse de cuir et qui fait la différence entre les différents types de fouets.
Le corps : est une tresse d'étroites lanières de cuir, 8 ou 16 en général, entourant une âme centrale constituée, pour les fouets de qualité d'un fouet de 4 ou 8 lanière et de simple papier journal dans les fouets de basse qualité. Plus le nombre de lanières est élevé plus le fouet est nerveux et précis.
La queue : ou tombant, simple lanière de cuir fichée dans le corps (australian fall) ou en continuité avec la tresse externe du corps (american fall).
Le cracker : plumeau en nylon ou sur certains fouets en kevlar, c'est lors de son passage du mur du son que se produit le bruit caractéristique du fouet.
Ces fouets sont en général en peau de vache, les meilleurs étant en peau de kangourou. Mais d'autres cuir peuvent être utilisés en fonction des pays. La fabrications des single-tail est complexe; elle demande temps et savoir faire et ne supporte pas la médiocrité - ce qui en fait des objets de prix.
La grande famille des single-tail
Fouets de travail a l'origine leur forme et leur structure a été déterminée par l'usage auquel ils étaient destinés comme par la région où ils étaient fabriqués.
Bullwhips : A l'origine utilisé pour le bétail, ou par les planteurs Texan sur leurs esclaves, c'est le fouet d'Indiana Jones. Ceux-ci ont un manche rigide en général entouré par la tresse externe du corps. La queue est soit de type américain soit de type australien . Le cracker est le plus souvent attaché a la queue par un noud, ce qui permet un remplacement facile.
On différencie donc plusieurs types de bullwhip : australian bullwhip et american bullwhip (des différences existant entre les american bullwhip faits aux USA et en Australie ). Ces fouets très puissants sont souvent trop long pour pouvoir être utilisés en intérieur.
Shock whip : Le fouet australien par excellence, pour le bétail a l'origine. Constitué par un manche rigide assez long sur lequel est noué le corps de fouet. La queue est évidemment une lanière de cuir sur laquelle est noué le cracker. Ceux ci ne sont pas sans similitudes avec les fouets de chasse a cours ou le perpignan. Là aussi leur longueur les réserve plutôt a l'extérieur. Ces fouets sont beaucoup trop longs (environ 2,5m) pour être utilisés autrement qu'en extérieur.
Signal whip : Ce fouet, utilisé a l'origine pour les courses de chiens, est le fouet le plus utilisé en bdsm. . Le Blacksnake en est une variation d'un diamètre supérieur et légèrement plus long utilisé sur des animaux plus importants . Son manche, tressé, est souple et sans discontinuité avec le corps. De même il n'y a pas de réelle transition entre le corps et la queue - le cracker est épissé dans la tresse de queue. Les modèles les plus fréquents font 1,2m de long, les plus réputés sont fabriqués par Joe Wheeler.
Sjumbock
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Sjumbock : ce sont des fouets redoutables, utilisés, entre autre par la police Sud Africaine a l'époque de l'apartheid. Ceux ci sont constitués d'un manche rigide auquel est fixée une tresse qui se termine par une lanière sans cracker. Si les Sjumbock en cuir de girafe sont déjà très puissants et ne doivent être utilisés qu'avec circonspection, ceux en cuir de rhinocéros sont des pièces de musée et ont la réputation de pouvoir casser un avant bras. La police sud-africaine est équipée des modèles en plastique extrudé d'un prix dérisoire!
Quirt : autrement appelés dog quirt. Le manche et le corps sont comparable a ceux d'un signal whip, la queue et le cracker étant remplacés par une lanière de cuir d'environ 2 cm de large, ils sont donc assez courts 80 cm. Ces fouets sont difficiles a faire claquer et peuvent faire très mal.
Flogger
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Les fouets à plusieurs lanières
Ce sont les martinets achetés chez le droguiste du coin qui servaient a corriger les enfants pas sages, ce sont les chat a neuf queux en usage sur le Bounty comme dans toute la marine de cette époque.
Ceux-ci sont constitués d'un manche ( en général rigide) sur lequel s'implantent les lanières, le nombre et la forme des lanières permet de les classer. Même s'ils sont infiniment plus facile a manier que les single-tail il est impératif, pour pouvoir les utiliser correctement, que le poids du manche soit équilibré par rapport aux lanières. Même si leur fabrication est moins complexe que celle des single-tail, un gadget tel qu'on en trouve dans les supermarchés du BDSM ne pourra pas donner plus qu'il ne vaut, c'est a dire rien.
Le martinet, cauchemar des enfants pas sages, plaisir des soumises obéissantes
Les martinets et apparentés, floggers en américain, ont plusieurs lanières simples en cuir ou en d'autres matériaux. Les martinets a lanières de cuir sont ceux qui permettent la plus grande variété de sensations tant par le choix du cuir des lanières (du très doux daim a des cuir plus lourds comme le bison) que par la façon de les utiliser. Les martinets a lanière en latex, a l'opposé, permettent peu de subtilités, provoquant une douleur incisive difficilement dosable. D'autres matériaux peuvent être utilisés comme le crin de cheval ou la fourrure de lapin. Les « mops » sont une variété de martinets comportant 150 lanières en cuir léger comme du daim. Plus le nombre de lanières sera élevé et plus celles-ci seront larges, plus on obtiendra une sensation de masse en profondeur comme une vague enveloppant la soumise. A l'inverse, moins il y aura de lanières et plus celles-ci seront fines (l'extrême étant le martinet a 15 lanières latex) plus l'effet sera cinglant, mais la sensation ne pourra jamais atteindre celle provoquée par un single-tail ou un chat à neuf queux.
Cat'o nine tails
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Le chat à neuf queux, un air vieille marine
Dans la marine à voile le châtiment du fouet était administré à l'aide d'un chat a neuf queux que confectionnait le condamné a partit d'un cordage détoroné (3 torons, eux-mêmes composés de 3 brins). A la fin de la punition les chat à neuf queux étaient, entre autre pour des raisons d'hygiène, (en ces temps-là les matelots étaient fouettés au sang), jetés a la mer. Pas la peine donc de chercher chez un antiquaire l'authentique fouet du Bounty : ce serait une escroquerie. Les chat à neuf queux (cat O nine en anglais) actuels ont leurs 9 lanières tressées de section ronde de façon à garder l'effet cinglant des chat originels. Les lanières sont soit terminées par un nœud soit par deux petites langues en cuir. Ces sont des fouets très puissants, plus encore s'ils sont terminés par un nœud, même s'ils sont plus légers à qualité égale que des martinets. Leur effet est essentiellement cinglant. Un hybride entre chats et martinets est le « flat braid » dont les lanières - souvent 9 - sont tressées plates
Quel fouet choisir ?
Chaque type de fouet a un effet différent, du cinglant superficiel pour les single tail au pesant profond pour les martinets les plus lourd. Dans une même famille de fouets la nature du cuir aura une incidence, du daim extrêmement sensuel, au lourd cuir de bison pour les martinets. Il est donc impératif de choisir son fouet en fonction des sensations que l'on désire provoquer mais aussi de l'expérience de sa partenaire. Un fouet de qualité coûtant cher, il faudra procéder par étapes pour s'équiper.
Choisir son premier martinet :
Le martinet est le premier fouet qu'il est judicieux d'acheter, celui-ci étant le plus facile à manier. Apprendre leur maniement est assez simple et rapide et un entraînement minimal permet de les avoir bien en main, hormis pour les modèles les plus lourd ou un entraînement quasi quotidien est souhaitable. Même si le ridicule ne tue pas il est fortement déconseillé d'acheter un des pitoyables ersatz si souvent vendus dans les supermarchés du bdsm, ceux-ci étant au mieux médiocres voire dangereux, sans parler du grotesque combiné gode-martinet. Le premier point à vérifier lors de l'achat d'un martinet est que les lanières soient biseautées à leur extrémité et que leurs bords ne soient pas coupants afin de ne pas risquer de blesser sa partenaire. Il faudra ensuite s'assurer du bon équilibrage entre le manche et les lanières, gage d'une bonne prise en main et de mouvements fluides et seul moyen d'éviter une tendinite du coude. Il faudra enfin veiller à la bonne fixation des lanières au manche dans lequel elle devront s'emboîter, celles-ci devant former un bouquet harmonieux en cercles concentriques ou éventuellement en spirale afin de rester bien groupées lors de l'impact. Pour le choix du cuir, on consultera a profit l'excellent site de Janette Heartwood.
Passer au single-tail , le grand saut
Acquérir un single-tail, fouet roi du bdsm tant par les connotations qu'il véhicule que par l'intensité des sensation qu'il procure, c'est quasiment changer de dimension. L'improvisation et l'approximation ne pardonnent pas s'il n'y a que quelques millimètres entre une caresse et une coupure profonde, il y a des heures de pratique entre un bouffon et un artiste. « Adopter » un single-tail , c'est s'entraîner au moins trois mois sur un oreiller avant de pouvoir songer à l'utiliser sur sa partenaire, c'est encore s'entraîner un minimum d'une demi-heure par jour (les plus grands Maîtres de la scène américaine s'entraînent en moyenne 2 heures par jour), c'est à ce prix qu'il prendra vie et fera corps avec son maître. Les seuls fabricants étant aux Etats-Unis et en Australie, il faudra passer par Internet pour en faire la commande.
Le signal whip est le plus couramment choisi, moins puissant qu'un bullwhip, c'est quasiment le seul a pouvoir être utilisé dans un intérieur classique, une longueur de 4 pieds est un bon choix. Un 8 brins sera moins précis mais aussi moitié moins coûteux qu'un 16 brins, le choix est donc très personnel. Les plus réputés sont les 16 brins fabriqués pas Joe Wheeler.
Quelques principes de sécurité
Ne pas blesser sa partenaire
Les fouets principalement, les martinets et les chats a 9 queux, n'ont pas qu'un effet sur la peau, plus ceux ci sont lourd plus l'onde de choc se propage sur les tissus et les structures sous jacentes. Il faudra donc se limiter aux parties charnues recouvertes par des tissus musculaires ou des structures osseuses comme le haut du dos, les fesses, la poitrine et les cuisses. Il faudra absolument éviter l'abdomen ( foie et rate ) ainsi que les lombes (reins). Si chez la femme un fouetter léger de l'entrecuisse peut être très érotique, chez l'homme on s'expose a des lésions graves testiculaires. Ceux dont la main n'a pas encore une précision parfaite pourront avantageusement faire porter un serre-taille a leur partenaire, celui-ci recouvrant justement les zones à éviter. Même si certains experts du single-tail s'autorisent a caresser le visage de leur partenaire, ce sont, à moins d'une parfaite maîtrise, des pratiques particulièrement à risque à ne pas imiter. Lorsque vous vous servez du fouet sur plusieurs partenaires n'oubliez pas de désinfecter les lanières (le sang peut s'incruster en profondeur dans le cuir) ou les crackers.
Ne pas se blesser
Lors des débuts avec un single-tail il est important de se protéger les yeux et les oreilles des retour malencontreux. Avant de pratiquer dans une pièce il faut s'assurer que le single-tail dans son mouvement ne pourra s'accrocher à aucun objet, aucun lustre. Non seulement cela abîmerait le cracker mais le risque de recevoir l'objet n'est pas négligeable. Lorsqu'un single queue touche lors de sa course un objet ou un mur celui-ci a la fâcheuse manie de revenir sur son utilisateur, souvent au visage."
Extraits du site de KHAYYAM ALAMUT, texte signé Le SQUALE (2003)
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Par : #
Le noir. Rien que lui. La bouche ouverte et baveuse sur une boule de cuir attachée fermement autour de mon cou. Les mains menottées autour d’une tringle métallique. J’entendais Ses talons claquer le parquet ciré depuis un long moment désormais. Elle aimait m’abandonner piteusement, nu et encagé, dans un placard où flottaient Ses robes légères et Ses guêpières de dentelle noire. Son parfum m’envahissait, me faisait frémir. Dès que je l’entendais s’approcher, je pensais qu’Elle allait venir ouvrir la porte pour tourmenter un peu plus celui qui éprouvait une Frustration et un Plaisir difficiles à décrire.
Lorsqu’enfin Elle vint constater si je bavais toujours et si je coulais irrépressiblement, Elle se saisit de ma cage, l’entoura de Ses mains, et fit glisser Ses doigts pour effleurer un gland qui n’attendait que ça pour grossir et se frotter aux barreaux métalliques et froids. Elle aimait me voir couler. Deux semaines que je n’avais pas joui. Son sourire en coin, et Sa voix pour me dire que je n’étais pas prêt d’être libéré me faisait tressauter. Je n’étais pas au bout de mes peines. La porte se referma.
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Par : BDSM
Le candaulisme désigne la pratique qui consiste pour un homme ou pour une femme de regarder son partenaire habituel avoir une relation charnelle avec une autre personne (ou plusieurs !). Si le candaulisme a parfois les faveurs de ceux qui ont une défience sexuelle et qui préfère assister aux ébats sexuels de leur moitié, et "profiter" ainsi de leur plaisir, le candaulisme est également très apprécié comme pratique sexuelle par ceux qui n'ont aucun problème d'ordre physionomique : c'est en gros la corde de l'esprit de compétition entre le partenaire habituelle et la maîtresse ou l'amant d'un jour qui suscite l'excitation. De nombreux pratiquants du candaulisme témoignent de l'intensité inégalée de l'orgasme qu'ils ressentent dans le cadre de cette pratique.
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Par : Abyme
Le saviez-vous ?
Dans les bourses (scrotum), les testicules bougent la plupart du temps. Le système régulateur ou thermostat naturel qui est à l'œuvre à cet endroit est hautement au point : Il s'adapte en permanence.
Lorsque l'homme entre dans l'eau froide, les bourses se rétractent (ainsi que l'ensemble de la peau, qui ainsi se densifie et offre une protection plus épaisse = chair de poule), pour rapprocher les testicules du corps et les réchauffer. De même si l'homme entre dans de l'eau trop chaud : même rétractation.
Tout cela parce que la fabrication (spermatogénèse) et le stockage du sperme sont optimum autour de 34°, et donc le scrotum permet aux testicules d'être plus éloigné du corps qui est à 37 en moyenne, température trop élevée pour la mobilité et la survie des spermatozoïdes. Par temps chaud, ils doivent être éloigné d'un corps qui surchauffe, d'où les couilles pendantes, mais s'il fait trop froid, ils se rapprochent. Mais si la température externe s'éloigne vraiment trop des 34°, en froid ou en chaud, le muscle crémaster fait monter les testicules systématiquement, pour coller à celle du corps qui, au moins, n'est "que" à 37°, température se rapprochant le plus de 34°.
On raconte que jadis les samouraïs se baignaient dans de l'eau brûlante avant un rapport, en guise de contraception ; en effet, les spermatozoïdes exposés à une chaleur bien trop violente pendant un certain temps sont rendus infertiles.
Et si les testicules ne sont pas tous les deux au même niveau (gauche plus bas que le droit), c'est aussi pour qu'ils ne se tiennent pas chaud l'un l'autre (et probablement en cas de choc aussi).
Étonnante nature, n'est-ce pas ?
Mais voilà le détail le plus intéressant, sujet de cet article :
Les "ajustements" thermiques sont en fait permanents. Si vous regardez bien votre scrotum (dans un miroir, ou en le filmant en gros plan) pour les hommes, ou pour les femmes si vous regardez celui de votre compagnon avec attention, vous verrez : ça n'arrête pas de bouger ! Des vrais sables mouvants, constamment, ça remonte, ça descend, ça glisse sous la peau, ça se retourne... Ça bouge tout le temps ! Même de façon imperceptible au regard non attentif, mais si on regarde de près avec attention, c'est évident.
N'est-ce pas merveilleux ?
La vie est en action, au cœur même de la zone qui la crée, mouvante, incernable, indocile, capricieuse. Miraculeuse.
Filo
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Par : Linsoumise
Ma quête du Double Mâle-éfique...
Le dominant guide sa Soumise c'est bien connu... Mais certaines vous diront "oui mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi guider... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car la vraie histoire se fait à deux...
L'un révèle l'autre...
L'un élève l'autre ...
L'un éveille l'autre...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui s'élève grâce à Lui?
Mais qui a le Pouvoir?
Assurément le Dom! Voyons!
Mais certaines vous diront "Mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça encore une fois...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi dominer... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car le vrai Pouvoir du sexe s'exerce à deux...
L'un excite l'autre ...
L'un frustre l'autre...
L'un tient l'autre ...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui sex-prime grâce à Lui?
Non... car si la Soumise connaît son pouvoir sexuel, cela ne l'empêche pas de se soumettre à son Dominant... lui même soumis à la tentation sexuelle dont se joue la soumise... Pas folle la guêpe ... Ils sont bien deux soumis!
Et ... #LeDomEstUnSoumisCommeUnAutre !!
Ce que cherche Dominant lui est propre... Mais chienne à son pied il aimerait... Soumise Sa-lope à lui, Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement féminine...
Ce que MOI soumise je cherche est clair: je cherche le Double Mâle-efique... Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement masculine...
Et c'est mon Pouvoir et mon jeu, Ma soumission et mes "vas-y", mes "tu peux" et mes "libère-toi" qui le déchaîneront!
Pourquoi lui et pourquoi ça?
Car il est l'exact contraire de son double... et parce qu'il est son contraire alors il me mérite.
Alors je pars en quête... je chasse... je teste... j'appâte... je ferre...j'attise.... Linsoumise en mode Lionne: tapis à l'agachon (terme sudiste je m'adapte à la faune locale...), j'observe mon espace de jeu et les mâles qui s'y présentent.
Choisir le bon endroit d'observation... toujours près du point d'eau... je les regarde faire pendant que JE ferre...
Il y a là les romantiques, il y a là les goujats, un peu plus loin les morts-de-faim, les beaux parleurs sortent leurs belles phrases.
Il y a ceux qui veulent m'apprendre la levrette et me faire des cunni pendant des heures... méprisables. Là je suis en mode snipper.
Moi je sais ce que je veux et surtout ce que je cherche...
Je cherche le metasex...pas de la baise! Ça c'est facile et quand je veux.
Pas besoin de me donner la peine de chercher... j'ai mes 06 de secours en cas de besoin.
Non.
Je cherche autre chose... bien plus subtil, bien plus profond, bien plus cérébral...
Mais surtout, je cherche un Dom qui s'ignore... car mon plaisir est aussi là.
Oui lui aussi doit se libérer et ce n'est pas forcément simple...
Le plaisir réservé aux dom? Alors je suis Dom sans l'ombre d'un doute...
Éveiller. Conscientiser. Ouvrir les champs des possibles. Viser ses carcans et les exploser en vol. L'observer baisser ses barrières, l'observer grandir et devenir le Dom que moi je vois...et que je veux faire éclore...
Dom mais en n'employant pas les mêmes chemins ni les mêmes armes... Car je cherche celui qui pourrait me soumettre... à terme. Et pour qui je ressentirai l'envie de...
En dehors d'un physique sportif et musclé inévitable pour moi, il me faut un intérieur riche: riche en fantasmes, riche en potentiel sadique, riche en coeur, riche en émotions... Mais aussi, sentir un orage contenu, opprimé, fait de tellement de défauts qui font les qualités d'un Dominant... du Dominant que je veux.
Oui que je VEUX.
Car personne ne peut entraver ma volonté.
Insoumise au fond? Ou soumise sur ce que je laisse à cet autre... et plus il est Dom et plus je lui laisse...
Celui que j'ai choisi ...Est protecteur, romantique, émotionnel, généreux, ouvert, réfléchis, tolérant, attentif... amoureux.
Mais j'ai senti autre chose... au premier regard. Et c'est cette dichotomie qui me passionne...
cette Division en deux champs opposés nettement en lui :
Dichotomie entre la raison et la passion,
Entre son Moi et son Ça,
Entre ce qu'il est et.. ce qu'il est.
Entre ce que l'on sait de lui et ce que je sais de lui.
Il est protecteur et a appris à me maltraiter,
Il est romantique mais peut aimer le sordide,
il est émotionnel et dévore nos émotions,
Il est gentleman mais bestialement possédé,
il est généreux et généreusement égoïste,
Il est doux mais tellement violent,
il est ouvert et sait me mener en m'écoutant,
il est respectueux mais m'irrespecte avec amour,
Il est réfléchis et intellectualise tout avant de fondre férocement sur moi,
il est tolérant mais s'impose intransigeant,
il est attentif toujours...
Il est amoureux de moi et de Sa soumise, mon double femell-éfique...
L'Ô-rage que je cherche est en lui... et savoir aller le chercher est un art... Pas trop vite, pas trop doucement mais aussi art instinctif...
Il m'aime alors viol-emment, nul besoin de consentement, il m'aime alors intolérablement, nulle tolérance à prêter, il m'aime alors bestialement, nulle femelle autre que moi, prétentieusement, nulle générosité à ce moment là, égoïstement, nul plaisir autre que le sien, impunément... tous les droits sur moi...
Et on a alors la rage au coeur et les tripes à vif.
Machistador de mes désirs, ce double Mâle-éfique me tsunamise, me transperce, me pénètre, me tétanise, me terrasse, pour mieux me chérir le calme revenu...
Il s'est pris au jeu, il a pris la main, et quand Dom prend... il EST Dom.
Je ne me suis pas trompée...
Il se révèle peu à peu, il se libère de tant de choses depuis que je le connais.
Lui me prend au jeu, il ne s'est pas trompé non plus en changeant de vie...
Je me révèle aussi peu à peu grâce à lui, je me libère lentement de mes carcans à moi...
Il a progressivement bouger ses limites ... et maintenant il a encore beaucoup à faire ...avec les miennes..
il a progressivement modifié ses angles de vues ... et veut m'emmener dans ses distorsions digressives à l'infini ...
Mais il a ma confiance et mon Amour pour qu'à nous deux nous trouvions le chemin de N/notre BDSM...
Aventure Clair-obscur pour deux êtres de sang mêlé...
Atypique? Piquez-moi!
Étonnant? Étonnez-moi!
Vicieux? Viciez-moi!
Surpris? j'en suis heureuse...
Je vous aime mon Dhom, vous et votre Double Mâle-éfique...
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Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !.
Je m'assois .
A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre...
RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ».
La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir.
A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent.
Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne.
Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle.
« Ne vous retournez pas ! »
Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus.
De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison.
….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ?
Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée...
On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses.
J'attends.
Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas.
Un long moment s'écoule.
Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins.
Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un « chchchut »
très doux me calme.
« Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute .
« Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! »
Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence.
Au loin, hors, une rame de métro repart.
Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux .
A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu.
« Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux .
« Gardez -les ouverts. »
Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer.
« Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! »
Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente..
« A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ».
De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée.
Mes genoux commencent à me faire mal.
Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent.
« Resservez -nous donc deux flûtes. »
Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif...
Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure.
« Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet.
« Léchez ! »
Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus.
Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence .
Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge.
« Maintenant !»
La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres.
Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même.
Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle...
Peine perdue.Je débande.
« Restez-là , reposez-vous.»
Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent.
« Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi.
Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm.
S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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Par : BDSM
Thomas Duval, photographe, propose actuellement à Bruxelles en Belgique une exposition, que nous relayons ici en clin d'oeil : bondage végétal.
Quinze fruits et légumes ont été ligotés pour cette série, dont l'idée lui serait venue après avoir fréquenté les cuisines des Grands chefs de la gastronomie.
Du 3 mai au 3 juin : Pour plus d'informations, consultez le site de la galerie
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Par : #
Cafés…
Elle s’était posée sur le divan en cuir blanc de cette salle d’attente de l’hôtel, vraie libellule, sa robe rouge se détachait si intensément qu’elle semblait flotter dans l’air. D’où j’étais ses parfums m’avaient déjà rejoint. Senteurs de violette, de lavande... Chemisier noir et colliers qui dévalaient de son cou jusqu’à ses seins.
C’est à ce moment que j’ai senti la chaleur de sa monumentale poitrine… Je me suis avancé en face d’elle, me laissant glisser sur le canapé en vis-à-vis.
Quand ses yeux se posèrent sur moi elle semblait absente, absorbée dans ses pensées, son regard noyé dans son abondante chevelure blonde…
On a apporté nos cafés, et je me suis avancé vers la table en verre pour prendre un sucre; machinalement, sans pouvoir arracher mes yeux des siens je lui demandé si elle en désirait un; voix rauque pour me répondre "volontiers, un seul, s’il vous plait". Long frémissement dans mes reins, jusque dans mes cuisses. Le désir me prenait.
Je pris conscience des boutons dégrafés de son chemisier, son parfum m’a envahi plus profondément, réveillant mon sexe.
Impossible de la quitter des yeux, je la parcourais en la détaillant, mains fines aux longs ongles, griffes ornées de motifs pourpre et blanc, épaules larges, bras ouverts, jambes claires et lumineuses, cette robe fendue qui dévoilait maintenant une jambe charnue et tendre, un mouvement de son corps qui m’offrait soudain ses bas, et ses escarpins en cuir noir qui m’ont enflammé.
Ma main s’est posée sur ma cuisse, relevant la jambe de pantalon dont un pli brusquement me gênait. Son regard a suivi ma main, que j’ai follement déplacée et posée sur mon ventre tendu.
Sa bouche ourlée de rouge carmin se tordit, elle mordit sa lèvre inférieure, son désir a bondi jusqu’à moi. Je sentis, plus que je ne vis, ses mains se joindre sur sa ceinture en cuir et métal, puis se séparer, et ses doigts glissèrent vers la fente de sa robe.
Sans détacher nos regards figés l’un dans l’autre, dans un même mouvement sa main se faufila contre son ventre, glissant sur sa cuisse chaude, et j’ouvris mon pantalon, lui offrant la vision du désir qu’elle avait fait naître.
Ses doigts devaient certainement se frayer un passage vers sa fente, je reconnaissais maintenant des ondulations que mon regard la supplia de me faire découvrir. Elle écarta ses ses jambes et les pans de sa robe, se rejetant sur le dossier du canapé, m’abandonna ses caresses, ses yeux brûlant ma queue gonflée, que ma main massait lentement sans pudeur, sans vergogne. Je sentais les effluves de son plaisir, rejoignant le mien, je calquais mes ondulations sur celles de sa main, qui variait son rythme. Son souffle me guidait, mon regard se promenait de son visage à son sexe qu’elle avait libéré de son string rose pâle, écarté sur le côté, et je pouvais entendre les gémissements de sa fente mouillée et luisante; je sentais bouillir mon sang et je priais pour ne pas jouir avant elle.
Sa cadence s’accéléra, elle fermait parfois les yeux, elle se lâchait, surveillant parfois ma progression. Je grognais quelquefois, je lui exprimais mon désir, elle caressait ses seins gonflés sous son chemisier, elle décida de presser et de masser ses globes à travers le tissu, cela m’affola et elle s’en aperçut, alors elle planta de nouveau son regard dans le mien; hypnotisé, je la sentis à peine jouir, son corps agité par un tremblement terrible, une plainte arrachée à sa gorge, une secousse et un jet chaud dans sa main, sur ses doigts ruisselants, son poignet s’agita encore, faisant tinter ses bracelets dans cet immense silence, et elle comprit avant moi que j’arrivais au bout de mon plaisir…
Je me sentis brusquement paralysé, une crampe me terrassa, une chaleur intense irradia mon ventre, s’ouvrit un passage dans mon sexe, et allait s’échapper de mon corps.
Elle, je la vis à peine glisser vers moi, elle s’était levée, robe ouverte, respiration haletante, tasse de café à la main, sa main remplaça la mienne, quelques mouvements de va et viens.. Un râle dans mon orgasme, et elle me rejoignit avec un petit cri, mon jus s’échappa, elle guida mon gland et son café reçut ma crème chaude…
Dans mon regard bouillant je la voyais agenouillée devant moi, son bras appuyé sur ma cuisse, elle porta sa tasse à ses lèvres, et je la vis boire le contenu, ses yeux me parlaient, je ne sus que lui dire « Avale tout"… Sa voix rocailleuse et chaude me répondit "J’ai tout avalé, jusqu’à la dernière goutte"…
Sa langue passa sur ses lèvres avec une lenteur mordante, je sentais ses parfums et ses senteurs de femelle m’envahir, je ressentis un dernier soubresaut, sans savoir s’il venait d’elle ou de moi, peut-être même de nous deux.
Elle se releva, se retourna pour poser sa tasse, fit un pas en avant, remis en place ses vêtements que la tornade avait malmenés, le temps que je me redresse, que je me lève, elle s’était rajustée, elle prit son sac en bandoulière, rajusta ses lunettes sur ses yeux, se retourna.
« Au revoir, monsieur »….
Je n’avais pas encore rhabillé qu’elle avait disparu, me laissant seul avec l’odeur de notre plaisir.
Déjà elle me manquait.
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Par : Abyme
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Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre.
Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée.
Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses.
?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes.
À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude ....
Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi
Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme .....
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Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : #
Je me suis souvent interrogé sur la relation entre attrait physique D'une personne et désir de domination.
Je ne serai pas hypocrite. Si il n'y a pas une attirance, une sensualité , dominer pour dominer, quel intérêt? Mais c'est réciproque et je trouve cela juste. A s'offrir sans retenue, une soumise à bien le droit de choisir son tourmenteur !
A contrario, une femme trop belle, nous pouvons en hésiter à en abuser de traces marquées ou sanctionner cette inénarrable beauté de délicieux coups de fouet.
L'homme Dominant cherche toujours sa Barbarella de cuir si moulant vêtue, alors qu' une femme nue sous un simple manteau avec un joli collier et les yeux baissés, mon Dieu, quel pied !
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