Averamm
par le 26/03/13
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Un après midi pas comme les autres.
Avant de vous parler de cette après midi je vais, évoquer, le contexte et l’environnement de celle-ci.
Une fois n’est pas coutumes, ce moi de mars fut chaleureux et ensoleillé, j’avais donc décidé, d’aller me balader dans les rues commerçantes du quartier Saint Michel à Paris. Sans but précis, juste de profiter de ce merveilleux soleil et flâner au milieux des petits commerces et restaurant qui abonde ce quartier. Bien que nous ne soyons pas en période de vacance, les touristes étaient aux rendez vous. Magasins de souvenir archi plein, et les restaurants ne désemplissait pas, à croire que même a cet heure la, certains estomac criait encore famine. Mais je suis conscient que je ne suis pas la pour vous parler de ce que chacun dégustait (j’en serais incapable ne sachant pas moi-même ce qu’ils avaient pris).
Au détour des différentes ruelles de ce quartier je suis tombé sur une petite boutique qui paraissait être délaissé par les touristes et autres passants. Afin de comprendre pourquoi, j’ai osé m’aventuré dans cette boutique. En entrant dans cette boutique rien ne paru me choquer au premier abord, des bibelots ancien, des livres tout aussi ancien… Rien de bien intéressant en soit, me dis je, et puis mon regard c’est porté vers un objet que je n’avais pas vue jusque la….un martinet, me demandais bien ce que cet objet pouvais faire a cet endroit. Et la mon esprit commença a divaguer quand à l’utilisation que je pourrai faire de cet instrument sur une paire de fesses…cette pensée fut vite écourté par le souffle d’une personne se trouvant derrière moi, et que je n’avais pas vue s’approcher….
En me retournant je vis une jeune femme, d’une vingtaine d’année (23 ans, sa je l’apprendrai plus tard). Je la regardai dans les yeux, des yeux magnifique, puis mon regard descendit vers le reste de son visage et je vis un sourire, petit sourire en fait, les lèvres légèrement tendu. Puis je senti quelque chose de particulier, la demoiselle frissonnait légèrement, mais suffisamment pour que sa se ressente (sa respiration était saccadé). J’osai le bonjour de politesse, auquel elle répondit avec une certaine surprise. Elle ne s’attendait pas à ce que je la salut, puis elle engagea la conversation :
- C’est la première fois que je vous vois dans cette boutique
- En effet j’ai profité du temps pour m’égarer dans les ruelles du quartier, et toi c’est la première fois que tu viens ici ?
- Non, je suis habitué, je viens pour lire certains livre ancien, la propriétaire me laisse les lire, en échange je garde la boutique en son absence.
- Pourtant en arrivant je ne t’ai pas vue lire, pas vue tout court, et je te retrouve derrière moi a regarder un objet qui ne ressemble en rien à un livre (tournant la tète vers le martinet, son visage devint rouge).
- Heu…oui….mais non, hum c’est un hasard, je vous ai vue entrer et comme je surveille la boutique…enfin vous comprenez.
- Non je ne comprends pas du tout, sauf que tu me montes un grand mensonge et je suis certain que cet objet (pointant mon doigt vers le martinet) t’aiderai à dire la vérité !
Elle n’en répondit point, mais la couleur rouge de ses joues en disait long sur la réaction produit chez cette jeune femme. Afin de pousser un peut plus loin :
- A quelle heure revient la patronne de la boutique ?
- (apeuré) pourquoi cela ?
- Je vais acheter ce martinet pardi, je suis sur qu’il sera à sa place avec les autres
- (avec un ton de voix faible) vous en avez d’autres ?
- Pardon j’ai pas bien entendu
- (plus fort, mais avec un visage rouge) vous en avez d’autres ?
- Je pensais que sa ne t’intéressais pas ? mais oui j’en ai d’autres…et pas que cela.
- (encore plus rouge) vous avez quoi d’autres ?
- Tu es bien curieuse jeune fille.
- (toute rouge mais ne répondant pas)
- Laissons ce martinet ici et viens avec moi je vais te montrer ce que j’ai d’autres.
Contre mes attentes elle fit signe de la tète et nous quittâmes la boutique….la laissant aussi déserte qu’au début.
Pendant le chemin, j’appris qu’elle s’appelait Pauline, qu’elle à 23 ans, qu’elle fait des études de Sociologie et qu’elle est originaire de Toulouse. Je senti quel que chose de particulier en écoutant cette jeune femme, la voix qu’elle prenait, sa façon de marcher, de me regarder, ses gestes. Autant de signes en contradiction avec l’habitude. Que recherchait cette jeune femme et pourquoi accepter cette invitation, alors qu’on ne se connait pas ?
Enfin arrivé chez moi, je la fit entrée lui proposa une collation, qu’elle refusa poliment et je senti que sa seule envie était de voir ma collection d’instrument à fesser.
Ouvrant le placard aux merveilles je vis son regard alliant charme et envie, elle s’approcha et toucha les instruments qu’elle vit. Je la laissais découvrir chaque instrument tout en me délectant du spectacle, puis au bout de 10 minutes, je m’approchai et ferma le placard. Elle me regarda avec surprise et frustration. Oui frustré car je lui enlevais le plaisir de voir l’objet d’un désir qui se trouve au plus profond de son âme et de son esprit.
- Maintenant que tu a vue cette collection, tu va m’expliquer se désir que tu a envers les instruments que tu a vue, touché et senti.
- (rouge et serrant ses mains devant elle) heu….je sais pas Monsieur, c’est inexplicable je sais pas ce qui m’attire vers eux.
- Dommage j’étais prêt a te faire gouter à certain d’entre eux, afin de satisfaire ta curiosité, mais comme tu n’a pas l’air d’en avoir envie….
- Hein…vous feriez cela, vous utiliseriez ses instruments sur moi ?
- Si tu me dis pourquoi ils t’attirent, je veux bien y penser.
- (très gêné par la situation) je ne sais pas comment l’expliqué depuis quel que temps je suis attiré par la fessée, mais c’est très compliqué dans parler.
- Bien je comprends, tu veux recevoir une fessée, je vais te la donner, mais avant tu va m’écrire un texte dans lequel tu va me décrire ce que tu ressens. Et tu me liras ce texte.
- Bien Monsieur.
Par la suite je lui donnai un stylo à plume et une feuille blanche, je l’installa en face de mon bureau.
Après une bonne heure, je vois Pauline ce lever et se diriger vers moi, elle arrive lentement tète baissé, tel une jeune fille prise en faute.
- J’ai fini monsieur
- Qu’à tu fini Pauline, je ne comprends pas
- (rougissant à nouveau) bah ce que vous m’avez demandé
- Je ne me souviens pas, peut tu être plus précise dans ce que tu dis
- Le texte….le texte que vous m’avez demandé d’écrire, celui où je parle de mon intérêt pour la fessée
- Ahh, nous y sommes enfin, je vais te laisser me lire ce texte, mais avant je veux que tu baisses ton pantalon et ta culotte et que tu te mettes à genoux sur le parquet.
Elle relève la tête d’un coup ne croyant pas ce qu’elle venait d’entendre, elle pense même avoir mal entendu. Elle me regarde, essaye de chercher une échappatoire, de trouver du réconfort ou un contre ordre, à ce que je viens de dire. La seule chose qu’elle voit, c’est mon regard impassible qui attend qu’elle fasse ce que je lui demande. Après avoir réfléchis Pauline ce décide à faire ce que je lui demande. Elle porte ses mains vers son pantalon, baisse la braguette de celui-ci et le fait descendre jusqu’à ses chevilles, puis d’un geste fait la même chose avec sa culotte qui prend la même direction que le pantalon. Puis ce met à genoux.
- Bien, je t’écoute
- Avant de vous parler de mon intérêt pour la fessée, je souhaite vous faire part de mon sentiment de honte. Honte que j'ai à mettre des mots sur une chose qui est ancré au plus profond de mon intimité. Honte également car jusqu'à maintenant je n'ai jamais réussi à parler de cette chose qui me laisse pas indifférente et qui, au contraire, crée une chaleur et une envie à chaque fois que j'y pense.
L'intérêt que j'ai pour la fessée n'est pas venu comme çà, où plutôt elle c'est révélé à moi lors d’un repas familiale. Ma cousine âgé alors de 12 ans (et moi de 16 ans) a été surprise entrain de mordre sa petite sœur, provoquant la colère de son père. Pour la punir de son méfait, il appela sa fille et lui demanda de se déculotter. Ma cousine complètement honteuse s’approcha de son père en baissant son pantalon, et à ma grande surprise sa culotte aussi. Après avoir pris place sur les genoux de sont papa, ce dernier lui claqua les fesses avec force. De mon coté la situation me laissa pas indifférente jusqu’à jalousé la place de ma cousine. Une sensation agréable envahie mon intimité, au point de demander l’autorisation de quitter la table un moment pour aller au toilette afin de pouvoir « soulager » cette sensation, qui m’était alors inconnu.
Depuis ce repas familiale, mon esprit est hanté par la fessée, mon corps est aussi en ébullition quand mon esprit pense à cela. Au point d’avoir changer mon caractère. Mes parents n’ont jamais eu besoin de me donner la fessée enfant, étant d’un naturel calme et obéissant, elle ne c’est jamais imposé à la maison. Mais après avoir assisté en spectatrice impuissante au spectacle de ma cousine, mon caractère est devenu moins sage et plus rebelle vis-à-vis de mon entourage, au point de subir les pires sermons que ma chère mère me dispensait. J’avais envie de leur dire « au lieu de me souler avec tes sermon prend moi sur tes genoux et donne moi une bonne fessée », jamais eu le courage de le leur dire, peut être par peur d’être jugé et considéré comme folle. En même temps aurait il eu tort, ce n’est pas banale de demander a 16 ans une fessée cul nue.
Et à défaut de la recevoir en vrai, je m’imagine souvent le recevant, ce qui me procure un plaisir défendu que je soulage en cachette quand je suis seule dans mon lit. Encore une grande honte que devoir dire que je me masturbe en pensant à la fessée, mais que c’est bon.
Ainsi devant vous Monsieur, je me mets à nue, je vous offre cette chose que j’ai de plus secret, et je souhaite que vous me donniez cette fessée qui hante mon esprit depuis 7 ans maintenant.
Je vous demande ainsi de me fesser pour, qu’enfin, je puisse découvrir cette chose qui me hante et me procure autant de plaisir.
1 personne aime(nt) ça.
chipie54
Et alors?
J'aime 26/03/13
Averamm
la suite va arriver ^^ mon esprit est en train de reflechir a la suite ^^
J'aime 26/03/13
Averamm
ah part avoir l'esprit contre créatif (ref à la photo des cadenas) est ce que vous servez a quel que chose (je sais je vais etre assimilé a petit, nain, moche, trappu, que sais je encore)<br />Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire
J'aime 27/03/13
Averamm
la suite est en cours de validation par les modérateurs....
J'aime 27/03/13