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le 17/03/13
La Voix, un si petit mot en lui-même, qui pour moi représente tellement pour mon esprit et pour mon corps.
Cette voix, celle de Mon Maître qui telle le sang dans les veines se veut être source de vie, m’est à moi source vitale, sève de mon esprit, nourriture en mon corps, cette voix qui par ses mots, et son timbre me guide, me dicte, m’ordonne, m’interdit, m’impose, me flatte à satisfaction ou me frappe en pénalisation...
Cette voix qui me guide, m’alimente, m’anime, qui s’infiltre en mes sens, et circule en mes chairs, me remplit, s’injecte en moi comme une force, dont jamais je ne me lasse ; enveloppe compressive, exclusive qu’en ma soumission, je peux suivre les yeux fermés, sur ce chemin de mon obéissance et de ma servitude.
Cette voix qui me dessine l’unique voie qui est la mienne, qu’en chacun de ses mots, en moi force de vie et de paix, et par sa résonnance sonore, je m’en imprègne.
Elle résonne et tonne par sa colère quand je l’entends dure, sévère ou sèche ; elle me dicte par son assurance, et sa précision des mots, quand elle me dresse, m’ordonne, me plie ; elle me rassure et m’apaise par son calme, quand elle me parle, m’explique, calme mes douleurs, me félicite ou me complimente.
Elle est si différente pour chaque chose, pour chaque instant, elle est Domination, dirigeante et allaitante, qui en ma soumission m’abreuve, me sustente, ravitaillement en l’âme et les chairs, telle une eau de vie, et fruit sacré à la soumise que je suis.
Elle est gardienne par ses paroles, de ma sagesse et ma droiture par mon abdication à ma liberté, qui à ce titre de propriété lui a donné sur moi toute autorité.
Elle est : La Voix de Monsieur
Votre voix par sa présence, est semence en ma conscience,
Elle m’impose, m’ordonne, résonne, me cautionne ou me baîllonne
Elle m’impressionne, me frictionne, me harponne, m’approvisionne et me soumissionne
Votre voix par sa présence, est exigence, en réjouissance ou en sentence
Elle me boutonne, m’actionne, me cramponne et me questionne
Elle me positionne, me perfectionne, ou même me sermonne
Votre voix par sa présence, est l’essence de mes sens par excellence
Elle me coordonne, et me mentionne, me subordonne ou me sanctionne
Elle me raisonne et me cloisonne, en mes oreilles elle bourdonne, elle me passionne.
Qui pourrait comprendre qu’en moi ma soumission est si grande
Qui pourrait imaginer qu’à Vous Mon obéissance et ma servitude, soient si profondes Monsieur
Que soumise je ne sache me nourrir que de vos mots, de votre voix, de votre image et de votre présence,
Que soumise, vous êtes mon oxygène, cet air dont je me purifie
Que soumise je ne puisse me sentir sereine et en paix que de vous donner tout ce qui est en moi, vous sentir puiser en mon esprit et corps tout ce qui vous appartiens
Que soumise mes seuls désirs et plaisirs sont de vous apporter plaisirs, jouissifs et satisfactions.
Votre Voix par son absence, est silence en ma conscience
Je me plonge dans la profondeur de ma soumission
Chacune de mes pensées, vers vous est tournée
Au monde « des communs » je suis fermée
Concentration de mes devoirs en exécution, application, en moi dégustation
Canalisation de mes obligations en nutrition, règlementation de mon éducation
Je n’ai pas en moi la notion du temps, sans votre voix il paraît si long
Chaque jour vers Vous mon Esprit et mon Corps en Votre Possession
Chaque jour, à Vous mon obéissance et ma servitude à Votre Domination
Chaque jour, pour Vous La grandeur, la profondeur et la douceur de ma Dévotion
Chaque jour, à Vous mes regards et mes songes, en ma soumission
Votre regard me fait briller, votre voix m’anime,
Votre main me tient et me dresse,
Votre autorité me dicte et me protège,
Votre emprise me donne vie
Votre Domination nourrit ma soumission.
Que tout de moi vous soit plaisir et satisfaction
Que tout de moi vous soit jouissif et excitation
Quand tout de vous m’est bien-être, équilibre et paix
Quand tout de vous m’est jouissance, bienveillance et excellence.
Oh Monsieur que votre voix m’enveloppe, m’abreuve,
Et donne clarté et mélodie à ma voix…
Cette voix, celle de Mon Maître qui telle le sang dans les veines se veut être source de vie, m’est à moi source vitale, sève de mon esprit, nourriture en mon corps, cette voix qui par ses mots, et son timbre me guide, me dicte, m’ordonne, m’interdit, m’impose, me flatte à satisfaction ou me frappe en pénalisation...
Cette voix qui me guide, m’alimente, m’anime, qui s’infiltre en mes sens, et circule en mes chairs, me remplit, s’injecte en moi comme une force, dont jamais je ne me lasse ; enveloppe compressive, exclusive qu’en ma soumission, je peux suivre les yeux fermés, sur ce chemin de mon obéissance et de ma servitude.
Cette voix qui me dessine l’unique voie qui est la mienne, qu’en chacun de ses mots, en moi force de vie et de paix, et par sa résonnance sonore, je m’en imprègne.
Elle résonne et tonne par sa colère quand je l’entends dure, sévère ou sèche ; elle me dicte par son assurance, et sa précision des mots, quand elle me dresse, m’ordonne, me plie ; elle me rassure et m’apaise par son calme, quand elle me parle, m’explique, calme mes douleurs, me félicite ou me complimente.
Elle est si différente pour chaque chose, pour chaque instant, elle est Domination, dirigeante et allaitante, qui en ma soumission m’abreuve, me sustente, ravitaillement en l’âme et les chairs, telle une eau de vie, et fruit sacré à la soumise que je suis.
Elle est gardienne par ses paroles, de ma sagesse et ma droiture par mon abdication à ma liberté, qui à ce titre de propriété lui a donné sur moi toute autorité.
Elle est : La Voix de Monsieur
Votre voix par sa présence, est semence en ma conscience,
Elle m’impose, m’ordonne, résonne, me cautionne ou me baîllonne
Elle m’impressionne, me frictionne, me harponne, m’approvisionne et me soumissionne
Votre voix par sa présence, est exigence, en réjouissance ou en sentence
Elle me boutonne, m’actionne, me cramponne et me questionne
Elle me positionne, me perfectionne, ou même me sermonne
Votre voix par sa présence, est l’essence de mes sens par excellence
Elle me coordonne, et me mentionne, me subordonne ou me sanctionne
Elle me raisonne et me cloisonne, en mes oreilles elle bourdonne, elle me passionne.
Qui pourrait comprendre qu’en moi ma soumission est si grande
Qui pourrait imaginer qu’à Vous Mon obéissance et ma servitude, soient si profondes Monsieur
Que soumise je ne sache me nourrir que de vos mots, de votre voix, de votre image et de votre présence,
Que soumise, vous êtes mon oxygène, cet air dont je me purifie
Que soumise je ne puisse me sentir sereine et en paix que de vous donner tout ce qui est en moi, vous sentir puiser en mon esprit et corps tout ce qui vous appartiens
Que soumise mes seuls désirs et plaisirs sont de vous apporter plaisirs, jouissifs et satisfactions.
Votre Voix par son absence, est silence en ma conscience
Je me plonge dans la profondeur de ma soumission
Chacune de mes pensées, vers vous est tournée
Au monde « des communs » je suis fermée
Concentration de mes devoirs en exécution, application, en moi dégustation
Canalisation de mes obligations en nutrition, règlementation de mon éducation
Je n’ai pas en moi la notion du temps, sans votre voix il paraît si long
Chaque jour vers Vous mon Esprit et mon Corps en Votre Possession
Chaque jour, à Vous mon obéissance et ma servitude à Votre Domination
Chaque jour, pour Vous La grandeur, la profondeur et la douceur de ma Dévotion
Chaque jour, à Vous mes regards et mes songes, en ma soumission
Votre regard me fait briller, votre voix m’anime,
Votre main me tient et me dresse,
Votre autorité me dicte et me protège,
Votre emprise me donne vie
Votre Domination nourrit ma soumission.
Que tout de moi vous soit plaisir et satisfaction
Que tout de moi vous soit jouissif et excitation
Quand tout de vous m’est bien-être, équilibre et paix
Quand tout de vous m’est jouissance, bienveillance et excellence.
Oh Monsieur que votre voix m’enveloppe, m’abreuve,
Et donne clarté et mélodie à ma voix…
3 personnes aiment ça.
selena.Sensei, je ne crois pas qu'il y ait là matière à vous attrister! L'autre texte a suscité un débat qui vous a amené à vous positionner plus clairement sur les points qui ont fait grincer quelques dents... <br />Peut-être faut-il juste en déduire que les mots de son auteure ne traduisent pas votre approche aussi fidèlement que vous l'aviez cru initialement?<br />J'irai même jusqu'à avancer que la forme plus poétique de celui-ci, dans ses ressassements et sa scansion, me le fait recevoir comme sensiblement plus digeste que l'autre!<br />C'est dire si nous progressons!...<br />Bonne soirée à vous.
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17/03/13
Mais en l'espèce, il ne s'agit pas de la forme d'incompréhension qui suscite des questionnements, puisque précisément chaque lecteur ou lectrice a compris quelque chose, justement.<br /><br />Et en l'occurrence, je crois qu'il est inévitable (et même souhaitable), que chacun se forme un jugement sur la base de ce qu'il lit et comprend.<br /><br />A partir de là, chacun peut exposer son point de vue, et la confrontation courtoise des divergences est ce qui permet, in fine, de mieux se comprendre mutuellement.<br /><br />Un site avec des points de vue consensuels et univoque serait parfaitement ennuyeux, et si j'en étais resté à la lecture de votre publication sans poster ma réaction négative, je vous tiendrais sans doute encore pour la personne antipathique et arrogante qu'apparemment vous n'êtes pas tant que ça...
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17/03/13
J'accepte avec plaisir la contradiction dès lors qu'elle se veut constructive, et je veux croire que c'est le cas ici.<br /><br />On se forge un jugement sur la base notre grille de lecture, sur la base des outils avec lesquels nous décodons le monde. Cela intègre aussi bien notre expérience que nos ressentis du moment. On ne peut pas y échapper; nous faisons tous cela à chaque instant, même vous, j'en suis sûr. Notez bien que que par "jugement" je n'entends pas "condamnation", ce qui serait très différent... <br /><br />En l'occurrence, lorsque je lis une contribution sur ce site, je me forge un jugement sur la base de ce que je lis. J'ai réagi à ce texte (et d'autres l'ont fait aussi, mais je ne parlerai que pour moi) en expliquant en quoi certains aspects me dérangeaient pour ce qu'ils propageaient.<br /><br />J'ai certes évoqué l'image que je pouvais me faire de vous à travers la lecture ce texte, mais en aucun cas je ne me suis avancé à vous juger pour que ce vous êtes, puisque j'ai en outre pris la précaution de mentionner que ne vous connais absolument pas.<br /><br />Il me semble qu'exprimer son désaccord avec ce que véhicule un texte (ce que j'ai fait) n'est pas la même chose que de juger ou de condamner la personne qui l'a posté (ce que je ne crois vraiment pas avoir fait).<br /><br />Je suis donc désolé si vous vous êtes sentie personnellement atteinte par mes propos, mais soyez assurée que ceux-ci ne visaient que le texte que vous avez posté, et ne se basaient que sur lui.
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17/03/13
Bonsoir Malum Satanam,<br />Comme vous l'avez si bien fait remarquer à selena.Sensei, l'écrit a le facheux défaut de ne pas intégrer le ton... Il s'agissait d'un euphémisme qui se voulait léger. Une manière d'évoquer la fragilité de l'image qu'on se construit d'autrui à travers quelques mots échangés sur un forum, et la lente évolution de cette image qui peut évoluer au fil des discussions...<br />En aucun cas je n'ai écrit cela avec le moindre sous-entendu fielleux. <br />Je laisse le venin à d'autres qui ont beaucoup plus de plaisir que moi à le distiller.
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17/03/13
Avec plaisir si le malentendu est dissipé. Vous pouvez rappeler ici cette chère O et vous faire une soirée doliprane entre amis sans crainte que je ne porte là-dessus le moindre jugement. Sourire, faut-il le préciser?
