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Il est 14h30 en ce beau jours de février, je fais du shopping et flâne dans les rues à la recherche de bonnes affaires. Un dom me voit déambuler avec mon petit tailleur et mon foulard, je donnant un air de bourgeoise. J'entrez dans un magasin de lingerie, et en ressors une vingtaine de minutes plus tard un petit sac à la main. Vous prenez une petite ruelle afin de me rendre à ma voiture lorsqu'il, J'approche de moi par derrière et attrape les mains par derrière, me passe une paire de menottes, et passe sa main sur ma bouche pour empêcher de crier. Me vous prends fermement par les bras et oblige à le suivre jusqu'à un van. Ouvre la porte et me jette à l'intérieur, je commence à crier, ils attrapent mon foulard qui me passe en guise bâillon. Me passe alors une corde autour des chevilles, qu'il sert assez fort pour m' immobiliser totalement. Il finit par me mettre un sac sur la tête pour que ne puissiez rien voir et démarre le van. Nous roulons durant une vingtaine de minutes pendant lesquelles ils entendent me débattre et pousser de petits cris étouffés. Lorsque le véhicule s'arrête, je me sors du van en me portant et me porte, je ne vois toujours rien et cessez de me débattre, mais les liens étant fort, je ne peux que subir. Ils me posent, et m' enlèvent le sac qu'avez sur la tête, j' ouvre les yeux et découvre une chambre sombre. Ils passent alors un collier, puis une laisse qu'ils attachent à un crochet présent au sol. Cela ne sert plus à rien que je débatte, je suis maintenant dans mon nouveau domicile... Ce mot me fait tressaillir et je me vois me débattre, de plus, belle pour essayer de défaire de ces liens. À partir de maintenant, je suis à lui, sa petite bonne personnelle et espère que je vais m'acquitter de ta tâche avec le respect que je lui dois!!! Je le regarde l'air implorant, mais rien n'y fait. Ils apportent un sac, je l'ouvre et me montre une tenue de soubrette. Tu vas enfiler ça, ce sera dorénavant ta tenue officielle, pas question que tu portes autre chose sans ma permission. Ils sortent alors un fouet du sac, et me le montre en effleurant délicatement mon visage, mes seins et le faisant claquer doucement sur mes fesses. Si tu désobéis, tu seras punie comme il se doit, est-ce bien compris ? Le regarder, mais je ne bouge pas. Ils claquent alors une fois le fouet un peu plus fort sur mes fesses et je fais un hochement de tête en signe d'approbation. Maintenant, je vais ôter ton bâillon, je vais t'expliquer quelques règles, cela ne sert à rien de crier, personne ne t'entendra ! S'exécute et enlève mon foulard de ma bouche et me prend le visage pour me forcer de le regarder. Que me voulez-vous ? Laissez moi partir ! Tu es maintenant ma bonne personnelle, et rien de ce que tu pourras dire ou faire n'y changera, et tu dois dorénavant m'appeler Monsieur Non, laissez-moi partir, s'il vous plaisent Ils fait claquer le fouet une nouvelle fois sur mes fesses, un peu plus fort encore et ajoute. Appelle-moi Monsieur, je viens de te dire ! Et je ne veux t'entendre dire que : oui Monsieur ! Oui Monsieur, je finie par ajouter dépitée et prenante conscience que je viens de perdre ma liberté. Je vous détache alors les liens de vos jambes et prends en main la laisse. Je vous fais lever et accroche la laisse à un crochet que je fais monter. Vous voila maintenant prisonnière, le collier montant et attirant votre corps avec. Je, vous lièvre ensuite de vos menottes et m'assois sur un tabouret face à vous. Maintenant, j'enfiler cette tenue de soubrette. Puis je devrai faire tout ce qu'ils m'ordonnent, sans hésiter et la seule réponse possible est Oui Monsieur, sauf s'ils me posent une question, oui, J'ai compris Monsieur s'approche de moi et me passe un bracelet en cuir à chaque poignet. En profite pour ouvrir la fermeture éclair de ma jupe qui tombe instantanément à terre, laissant découvrir mes dessous, des collants sous lesquels on peut distinguer un string noir. Arrache mes collants et vous demande d'ôter votre string, vous hésitez une seconde, puis regardant le fouet d'un coin de l'œil vous l'enlever difficilement, car le collier vous tire vers le haut et provoque pour vous un équilibre précaire. Lèche ta culotte ! Vous me regardez une nouvelle fois l'air implorant, mais vous voyez bien que rien n'y fera et vous portez lentement votre culotte à la bouche et commencer à sortir votre langue très doucement. Mieux que ça ! Hésitante, vous lapé petit à petit chaque morceau de votre sous-vêtement, sentant votre sexe. - Bien, maintenant enfile la tenue de soubrette ! Me la tends et je commence à enfiler les bas blancs, un porte-jarretelle et un string de la même couleur. Ensuite, je descends, la laisse et la prends à la main pour que je puisse enfiler la robe après avoir complètement arraché ma veste, chemisière et soutien gorge. Je l'enfile et ils finirent d'ajuster les derniers détails, le petit tablier devant et le bandeau dans les cheveux, vous voilèrent maintenant prête. Je passe une chainette d'une dizaine de centimètres dans les liens à vos poignets et l'attache au collier, vous laissant dans l'impossibilité d'utiliser vos mains. Ensuite, je finis par mettre un bracelet en cuir à chacune de vos chevilles, que je relie par une chaîne d'une trentaine de centimètres. Vient me baiser les pieds ! Quelques secondes d'hésitations et voila qu'un nouveau coup de fouet arrive sur mon postérieur. Oui Monsieur, je dis agenouillée et je commence à embrasser ses pieds. Bien, très bien voila qui est mieux ! À partir de maintenant, tu t'appelles Morticia et tu ne répondras qu'à moi, est-ce clair ? Oui Monsieur. Ils fait claquer le fouet une fois délicatement sur mes fesses puis me dirigent vers une table ou sont poser différents objets. Ils posent le fouet et reviennent vers moi avec une cravache à la main. Tu sembles avoir besoin d'un peu d'éducation Naty, cela tombe bien, je n'avais plus d'élève en ce moment ! Oui Monsieur, mais que voulez-vous faire de moi ? C'est moi qui pose les questions morticia ! Vous dis-je en faisant claquer la cravache sur vos fesses. Oui Monsieur, pardon Monsieur - Bien, je vois que ça commence à rentrer dans ton esprit. Pour répondre à ta question, je vais t'éduquer pour que tu sois une bonne soumise, faisant le ménage, obéissant aux ordres de son maitre, car c'est ainsi que tu dois te comporter. Je vous fais vous relever, et vous demande de faire un tour sur vous-même. Vous vous exécutez et tournez sous mon regard bienveillant. Ils commencent à soulever délicatement ma robe avec la cravache et me tapotent tour à tour mes fesses, mes cuisses, puis remonte vers mes seins et mes mains toujours prisonnières. Ils attrapent la laisse et me fesses avec une main assez fortement. On dirait que tu aimes bien ça Morticia, tu n'en as peut-être pas reçu assez jusqu'à maintenant. Penche-toi en avant que je voie ta croupe. J'obéis dans un timide oui Monsieur et me penché en avant laissant découvrir mon joli fessier légèrement rougi. Ils commencent à me donner des séries de 10 coups de cravaches sur chaque fesse, vous poussez de petit cri et ne voulant plus vous entendre, je vous mets votre string noir dans la bouche et vous remets le foulard par-dessus. Ils continuent alors ses séries de 10 coups de cravache par fesse, et je vois votre derrière rougir au fur et à mesure. Ils découvrent maintenant mes seins qui subissent le même traitement, vos petits cris étouffés laissant deviner que vous être très sensible de cette partie. Oui Monsieur. C'est très bien Morticia, tu as même l'air d'y prendre goût. Je vais t'enlever le bâillon, tu seras plus à l'aise pour la suite. M'ôte le foulard et sors le string de ma bouche et va chercher un anneau qui me place dans la bouche et m'attache derrière la tête. En profite pour remettre mon string à l'intérieur de l'anneau. N'est-ce pas plus agréable Morticia. Je hoche de la tête en signe d'acquiescement.À genou, maintenant on va voir si tu sais te servir de ta langue!!! Vous semblez effrayé, mais obtempérez et vous vous poser devant moi à genou. Je sors alors mon sexe de mon pantalon et le laisse tomber devant votre visage. Avec la laisse, je vous tire vers lui afin qu'il touche votre visage, ce qui semble vous déplaire fortement. Je vous assène alors un coup de cravache sec sur les fesses, vous semblez avoir compris et laissez maintenant mon sexe caresser votre visage sans sourciller. Ils ôtent le string de ma bouche, me le fais sentir, et me demande maintenant de lui montrer mes talents de bouche. Quelque peu résigné, vous avancé vers mon sexe que je pose sur l'entrée de votre bouche, vous léché délicatement mon gland, votre langue est le seul membre que vous maitrisez encore. Ils enfoncent alors profondément son sexe dans ma bouche ce qui me fait hoqueter, et commence à me laisser aller à de doux va et vient. Tu t'y prends très bien Morticia, tu as l'habitude, on dirait. Ils accélèrent le rythme et en quelques minutes durant lesquelles ils prennent soin de faire claquer la cravache sur mes fesses chaque fois que votre détermination semble fléchir, je jouis a fond sur ma poitrine d'un jet puissant. Ils sortent sont sexe et le laisse trainer sur ma poitrine, étalant sa semence sur mes saints. Je vous félicite pour ce premier test auquel vous avez brillamment réussi. Me dirige alors vers la table et rapporte une ceinture de chasteté, qui me passe sous mon regard apeuré. Je l'enfile malgré moi et ils ferment à clé, cela semble vous gêner horriblement, mais vous ne dites rien de peur de représailles. Oui Monsieur. M'emmène ensuite dans une cage dans laquelle ils me faire entrer à quatre pattes, puis une fois à l'intérieur, m'attache chaque cheville d'un coté de la cage ce qui me laisse les jambes légèrement écartées. Ils ensuite mon foulard qu'ils placent sur ma bouche après avoir enlevé préalablement l'anneau. Ils enlèvent enfin les chainettes reliant mes poignets au collier pour me passer une paire de menottes dans le dos. Vous voilâtes prête pour votre seconde étape. Pour finir, place mon string sur ma tête, l'emplacement de mon entrejambe soigneusement positionné sur mon nez afin que je puisse humer au maximum ma propre intimité. - Tu vas passer la nuit ici Morticia, je passerai te voir en me couchant. Ils éteignent la lumière, et sortent de la pièce vous laissant prisonnière, dans le noir avec rien d'autre à attendre que mon retour. Fin
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