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par le 10/03/13
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Elle m'ouvre sa porte. La lumière est feutrée. Je dis bonjour ; elle ne répond pas. Elancée, 45 ans environ, masquée, vêtue de noir : ses seins semblant bien fermes avec des tétons roses et auréoles brunies sont entourés d'un caraco de latex, elle porte des gants jusqu'aux coudes, une culotte de cuir ouverte devant et derrière, son sexe est sans poil, et des bottes montantes en cuir à talons aiguilles jusqu'aux genoux avec des lacets.
D'une voix sèche et rauque, elle me dit : "A partir de maintenant tu ne dis rien et tu fais tout ce que je te dis. Déshabille toi ici, laisse tes vêtements à terre, va dans les toilettes ici à gauche, prends la poire remplis là d'eau, mets la canule et lave toi l'intérieur au dessus des WC puis lave toi le cul, la bite et les couilles et fais ça vite, je n'aime pas les traînards". Elle s'éclipse, je me dévêts et laisse mes habits sur le parquet vernis. Une fois terminé, je reviens dans le hall ; nu comme un ver, elle revient et me met un masque occultant sur les yeux et un bâillon boule dans la bouche. Un mélange de peur de l'inconnu(e!), de curiosité, d'excitation et de désir m'envahit.
Prenant ma main, elle me guide dans une pièce plus chaude et m'attache les poignets puis me les tire vers le haut pour me les attacher en l'air. "T'as intérêt à obéir sans grogner sinon tu vas goûter à ma cravache !". Je prend un coup de cravache léger sur les fesses (peut-être un test pour voir ma réaction). Je fais comme si rien n'était mais je suis de plus en plus excité. Elle me prend à pleine main mon membre mou et mes bourses, les tourne, les soupèse, les tord, les serre : "Elles sont pleines… intéressant", me lance-t-elle. Puis elle écarte mes jambes et les attaches aux chevilles. Je sens sa cravache me passer dessous par derrière qu'elle laisse glisser doucement des bourses jusqu'à mon anus plusieurs fois. Elle me tord les tétons, me les pince très fort, me les lèche, me les mordille et donne quelques coups de langue. L'effet est immédiat, ma verge commence à monter. C'est bon mais je ne lâche pas un gémissement de satisfaction. Puis elle me donne une fessée douce mais rapide, cela m'a semblé très long. Quand elle eut fini, cela brûlait et piquait mais surtout je ne bronchais pas.
J'entends des roulettes qui s'avancent vers moi et une arête de meuble finit par me toucher les jambes. Je me retrouve les bras devant et elle me tire par la longe afin de m'allonger sur le ventre. Cette plateforme montait légèrement. A ma surprise, un trou béant au niveau de mon sexe me le laisse libre vers le bas et à hauteur de ma poitrine il y en a un aussi. Elle détache mes poignets pour les rattacher en bas me laissant les bras vers le bas sur chaque coté. Des pinces me prennent les tétons bien excités et je sens un poids vers le bas qui me les tire. J'entends des pas : mais il y a deux personnes, l'une d'un pas mesuré, l'autre d'un pas hésitant. Je prends peur car ce n'était pas prévu que d'autres personnes seraient là.
Sous moi, je sentis sa main gantée enduire d'huile mon sexe et elle commença un va et vient menu puis plus ample au fur et à mesure que mon membre se durcissait. Elle s'arrête et reprend mais cette main n'est pas la même, sa main gauche peut-être ou alors… celle de quelqu'un d'autre ?
Pendant qu'elle entretenait mon érection avec ce va et vient lent mais ferme, je sentis un doigt enduire mon anus d'un gel. Surpris mais ne lâchant toujours rien, le doigt entre tout doucement et pas très profond. Il tourne à gauche et à droite plusieurs fois. Elle met encore du gel à l'intérieur mais avec deux doigts cette fois, puis un objet, probablement un petit gode. Il me ramone bien et de plus en plus loin. Je retiens mes envies de gémir. Un gode plus gros écarte encore plus mon sphincter mais je sens un corps derrière ce gode, puis des mains se posent sur mes hanches. Et commence une pénétration douce, de plus en plus profonde. Le gode ceinture est courbé vers le bas, ce qui me masse ma prostate. Au début j'ai eu un peu mal mais mon envie est telle que je finis par m'ouvrir largement et j'essaie de retenir mon excitation. Un puis plusieurs gémissement de bonheur que je lâche me trahit. "Tu as gémit, tu seras donc puni !". Elle me sodomise alors avec un gode plus large et me claque mes fesses. "Tu aimes ça hein ? Alors prends en partout ! Quelque chose en cuir me soulève le menton et une vraie bite décalottée se présente sur mes lèvres et me force à la sucer. Elle va et vient dans ma bouche de plus en plus vite et je la sens grossir et grandir à un point où mes lèvres me font mal et son gland tape dans le fond de ma gorge tellement elle était énorme et longue. J'ai eu peur de vomir ou de m'étouffer. Je sens le souffle de cet homme sur ma tête et ses bourses bien gonflées qui me frappent le menton. Une voix féminine dit "Je ne veux pas que tu éjacules encore, fais attention à toi". Mais à qui disait-elle cela, car une main continuait à me masturber dessous. "Tu jutes, me dit-on ?". En effet, mon excitation est à son comble et je lâche quelques filets prostatiques. "Tu seras puni encore alors, tu ne dois pas lâcher une seule goutte sans mon ordre !" Les poids sous mes tétons me font mal à présent.
Je ne sens plus le pieu qui ramone mon cul. Sur l'ordre de l'autre maîtresse, l'homme se retire de ma bouche. C'est alors le sexe de ma maîtresse qui se présente maintenant et elle me dit de la lécher partout m'offrant son sexe puis son petit trou en alternant l'un puis l'autre. Elle m'ordonne de rentrer ma langue profondément dans sa chatte et dans son cul, je la sens vibrer, elle gémit, puis crie de plus en plus fort et lâche un jet dans ma bouche et sur ma figure : Ce n'est pas de l'urine car c'est sucré et douceâtre, elle doit être une de ces femmes fontaine. Je n'en ai jamais connu.
Maintenant, c'est une paire de fesses qui se présente à ma bouche, Maîtresse m'ordonne de lécher ce cul. Mais le bout de ma langue rencontre deux belles bourses qui se ballottent. Je devine un va et vient et un puis plusieurs cris envahissent la pièce; un orgasme est en cours qui dure au moins 5 minutes pendant que je lèche ce cul de mec qui s'ouvrait d'ailleurs un peu avec des contractions saccadées. Puis sa bite revient dans ma bouche, je la suce goulûment car je prends un réel plaisir à le faire à cet inconnu qui n'est qu'un esclave comme moi ! Sa maîtresse dit :"Quand je te l'ordonnerais, tu lui déchargeras tout dans la bouche et la figure !". Pourvu que je n'ai pas à l'avaler ! Je sens un gode vibrant et courbé qui entre en moi et me masse la prostate pendant qu'une main effectue un va et vient sur ma queue sous cette table de torture. Le milking qu'elle me fait ne tarde pas à faire son effet. Je sens un orgasme prostatique venir lentement. Maîtresse doit ressentir que ma prostate gonfle et la maîtresse de l'autre doit ressentir que ma queue se gonfle aussi. Alors que j'entends le claquement d'une cravache, mon inconnu s'enfonce loin dans ma gorge à chaque coup. Mais alors il y a quelqu'un d'autre en plus. Une bouche me suce à présent tout en me masturbant : Est-ce une femme ou un homme ? Ma maîtresse me lance : "Tourne ta langue autour de son sexe !" Je m'exécute pendant qu'il continue de m'envahir la bouche avec son membre énorme. Sa maîtresse lui jette : "Remplis lui la bouche de ton foutre maintenant, dès que ton jus sort, arrête le va et vient mais reste en bouche puis sors ensuite pour lui gicler sur sa face d'esclave". Je me disais qu'il fallait qu'il en ait beaucoup de sperme pour faire les deux, alors je me rassurais en disant que j'aurai tout dans la bouche mais que je pourrai cracher ensuite. Rêve toujours, maîtresse m'ordonne de tout avaler sinon j'aurai une punition à la hauteur de mon affront. Je gémis de plus en plus souvent car j'aime ça. Soudain, je sentis une crème onctueuse et brûlante envahir ma bouche puis ma gorge. J'ai eu un haut le coeur qui me forçat à avaler pour ne pas m'étouffer combien il y en avait de sa bonne semence sucrée-salée. Puis un, deux, 5, 6 jets m'aspergeaient le visage. Il en avait tellement que je sentis le liquide glisser sur ma bouche: je ne pus m'empêchait d'attraper avec ma langue ce qui coulait devant ma bouche. Quelqu'un lapa la semence qui restait sur mon visage, je pense que c'était lui. Je découvrais que j'aimais cela et je m'en délectais. Mais je sentais de plus en plus mon orgasme montait en moi avec cette bouche qui me suçait et cette main qui me branlait. Celui ou celle qui s'occupait de moi a du ressentir que je venais car il arrêta nette de me sucer et me masturba lentement de haut en bas à deux mains, glissant aisément enduit d'huile sur ma queue bien tendue et décalottée ; et mon jus commença à sortir en filet puis gouttes, puis en flux de plus en plus épais et de plus en plus volumineux. Je n'ai pu m'empêcher de lâcher des gémissements de libération. Le gode en moi parti pour être remplacé par un autre plus petit. Je sentis alors un liquide chaud entrer dans mes entrailles qui me fit jouir, comment est-ce possible? Je suppose que c'était mon propre sperme inséminé par seringue, mais comment le savoir?
Ma maîtresse me détacha, me releva, me donna un coup de cravache sur les fesses et me tira par la laisse en dehors de la pièce en me disant "Je t'ai bien dressé aujourd'hui mais ton initiation commence à peine, Tu es discipliné mais tu beaucoup à apprendre encore. D'autres expériences plus hard encore t'attendent, tu me plait comme esclave, tu reviendras lorsque j'aurai envie de toi". J'osais lui répondre seulement : "Merci Maîtresse… pour tout." J'étais tout groggy, les jambes tremblantes de plaisir, j'avais tellement joui même en suçant et avec toute cette semence chaude et épaisse. Quand elle m'enleva mon masque, j'ai pu apercevoir par la porte entrebâillée, quelques accessoires et mobilier de donjon avec une jeune esclave : j'ai tout de suite supposé que c'était elle qui s'occupait de moi en dessous.
En m'habillant, je jouissais encore du cul et de la prostate, je sentais couler lentement entre mes jambes un liquide poisseux. Je m'essuyais dessous et ma figure : je sentais cette odeur de sperme dans ma bouche qui me donnait une certaine fierté, puis je franchis la sortie en descendant lentement l'escalier de cet immeuble ancien et bourgeois, comme si j'attendais un mot d'elle pour revenir, heureux d'avoir satisfait ma maîtresse et d'avoir eu ma 1ère expérience qui m'avait tant apporté de jouissances, d'orgasmes et de bonheur. Je voyais le sexe d'une autre façon à présent et j'essayais de m'imaginer ce qu'elle me ferait découvrir la prochaine fois.
Je fantasmais sur plusieurs hommes qui m'inonderaient de sperme chaud, crémeux et onctueux dont je me délecterais encore et encore, sur plein de godes et de bites chaudes qui me dilateraient entièrement et m'inonderaient le cul de cette semence dont je suis tant assoiffé à présent, des lèvres et de l'anus de ma maîtresse pour la faire vibrer, pour qu'elle se déverse sur moi comme une fontaine, que j'avale tout son nectar jusqu'à la moindre goûte. J'ai eu un frisson de désir rien que de penser à tout ça. J'aurai voulu recommencer encore et encore. Peut-être un jour me gardera-t-elle encore plus que ces deux heures. Je suis prêt à m'épuiser pour elle jusqu'à l'épuisement total et même pendant mon sommeil je voudrais que l'on abuse encore de moi. J'avais découvert une autre forme de satisfaction, de bonheur, d'équilibre, de sérénité ! .
Soyez la première personne à aimer.