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Lâcher prise
Abandonner la lutte
Se rendre corps et âme
Abandonner mon corps, lui laisser l’emprise
Sur mon âme et sur mon corps offerts,
Entrer en moi, en ma coquille, lâcher mes membres,
pendante …
Elle devait penser cela sous le martinet,
Qui inondait ses fesses d’une rougeur écarlate,
Coup après coup, geste après geste,
Ses halètements saccadés le laissait entendre,
Son souffle rauque en redemandait,
Sa respiration comme une supplique …
Cette douleur qui s’instille doucereusement
Langoureusement,
Coup après coup,
Je sens ses gestes amples,
Coup après coup, une douleur amoureuse
Sifflement et cinglement
Violence cinglée et douleur de l’attention
une douceur violente et aimée
Immobilisée, toute entière sans geste
Et sans voix, bâillonnée
Pieds maintenus, nul mouvement
Nulle voix possible
Juste le geste de ses reins, pour trahir ses impressions
Et la rougeur gonflante de ses traces,
Comme une trahison de ses sentiments
Mes cris étouffés
Derrière le bâillon qui m’entrave
Me donnent davantage encore,
Corps et âme entièrement dévouée
à mon maître et ami
Celui qui me comprend et m’obsède
Celui qui me fouettera de sa passion,
M’inondera plus tard de jouissance
Un don, une générosité,
Un aveu, un amour à genoux
Bras tendus par ses chaînes qui la portent,
Tendre et offerte
Une candeur donnée et réclamant protection…
L’or est caché dans les combles
https://www.youtube.com/watch?v=6yCIDkFI7ew&list=RDh2cB5Vkyuv4
Enjoy
Abandonner la lutte
Se rendre corps et âme
Abandonner mon corps, lui laisser l’emprise
Sur mon âme et sur mon corps offerts,
Entrer en moi, en ma coquille, lâcher mes membres,
pendante …
Elle devait penser cela sous le martinet,
Qui inondait ses fesses d’une rougeur écarlate,
Coup après coup, geste après geste,
Ses halètements saccadés le laissait entendre,
Son souffle rauque en redemandait,
Sa respiration comme une supplique …
Cette douleur qui s’instille doucereusement
Langoureusement,
Coup après coup,
Je sens ses gestes amples,
Coup après coup, une douleur amoureuse
Sifflement et cinglement
Violence cinglée et douleur de l’attention
une douceur violente et aimée
Immobilisée, toute entière sans geste
Et sans voix, bâillonnée
Pieds maintenus, nul mouvement
Nulle voix possible
Juste le geste de ses reins, pour trahir ses impressions
Et la rougeur gonflante de ses traces,
Comme une trahison de ses sentiments
Mes cris étouffés
Derrière le bâillon qui m’entrave
Me donnent davantage encore,
Corps et âme entièrement dévouée
à mon maître et ami
Celui qui me comprend et m’obsède
Celui qui me fouettera de sa passion,
M’inondera plus tard de jouissance
Un don, une générosité,
Un aveu, un amour à genoux
Bras tendus par ses chaînes qui la portent,
Tendre et offerte
Une candeur donnée et réclamant protection…
L’or est caché dans les combles
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