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Erreur fatale, faute caractérisée, désobéissance manifeste, la gynarchie, même vécue de façon temporaire, ne tolère aucun laissez aller. France réagit immédiatement en me stoppant net dans mon élan :
- tout doux mon bel ami, c'est moi qui donne les consignes et je vous précise qu'il est hors de question que l'un de vous deux puisse avoir son plaisir avant que j'en ai décidé !.
L'effet de ces paroles nous fit l'effet immédiat d'une douche froide. Nos corps se séparérent et j'entendis le claquement sec d'un mousqueton se refermant sur l'anneau de mon sexe. La laisse se tendit, m'obligeant à suivre France à l'extérieur, en direction du jardin.
Au jardin
La silhouette entrevue tout à l'heure n'est plus là. Et c'est bientôt avec une bêche dans les mains que débute ma journée de travail, la laisse négligemment passée autour du cou. Le projet de terrasse est bien avancé, mais il reste encore à décaper quelques centimètres supplémentaires. Voilà qui devrait me calmer les sangs et me replacer dans la situation d'ouvrier agricole/esclave sexuel qui doit rester la mienne tout au long de ce séjour breton.
Travailler physiquement sous ce petit soleil d'hiver n'est pas déplaisant du tout. Je sens mes couilles lourdement lestées par le métal se balancer entre mes jambes au gré de mes mouvements et c'est fort agréable. Mon cul, assoupli par ses visites récentes, apprécie lui aussi la chaleur du soleil.
Concentré sur ma tache, j'entends néanmoins un bruit furtif, puis sens à quelques mètres de moi une présence (presque) silencieuse. Me gardant bien de réagir, je poursuis ma tache, prenant toutefois soin de me baisser un peu plus, histoire de rendre mon entrejambe un peu plus visible à celui (ou celle) qui m'observe.
Tournant lentement sur moi même et me penchant encore davantage pour creuser le sol, j'offre maintenant le spectacle d'un cul soyeux, luisant,et disponible à toutes sortes de visites ainsi qu'une belle paire de couilles allongées par le poids du gros anneau qui les enserre.
- Très beau spectacle que voilà ! dit soudain la voix grave d'Albert, le mari de France.
- Viens donc par ici mon mignon ajouta t'il en se saisissant de la laisse pour m'entraîner vers le fond du jardin.
Tout en marchant, il déboucle son ceinturon, ouvre sa braguette et en extirpe un membre petit et court, mais tout rouge et turgescent. Manifestement mes fesses lui plaisent et le désir d'y plonger sans tarder se lit sur son visage. La capote est en place en un instant et grâce à la laisse, il n'éprouve aucune difficulté à m'attirer à lui. Cherchant sa voie de façon un peu maladroite, il finit par trouver l'ouverture et placer là son petit bout de zan tout dur.
Sans façon, ni préparation supplémentaire, il me pénètre soudain d'une seule poussée, sans provoquer heureusement de dommages grâce aux doigts de France ayant préparé la place. Tout va ensuite très vite, quelques aller-retours frénétiques à une cadence presque aussi rapide que celle des lapins, une soudaine crispation de sa main sur l'un de mes tétons et je sens son jus gicler en moi, en deux petites saccades étriquées.
J'ai à peine eu le temps de commencer à chauffer que déjà ses miaulements essoufflés signalent qu'il vient de prendre son plaisir et va maintenant se retirer.
- Merci, c'était bon, je reviendrai certainement te voir avant mon départ ! , lache t'il en s'éloignant.
Un peu frustré que tout soit déjà terminé, je m'ébroue, réajuste ma tenue et reprends sans mot dire mes activités agricoles, tout en laissant mon esprit vagabonder librement. Même si l'argent peut certainement être une forme de consolation, ce ne doit pas être vraiment drôle de vivre de ses passes à longueur d'années et de se sentir ainsi utiliser, sans façon ni considération, par des mâles en rut, uniquement préoccupés par la recherche égoïste de leur plaisir.
Ce petit intermède eut toutefois l'avantage d'éveiller mes sens et je me sens maintenant en pleine forme, intéressé et disponible pour d'autres petites folies encore.
Du côté de la maison, tout est silencieux, France probablement occupée à l'étage à faire sa toilette. Et de l'autre côté de la cloture, nul mouvement perceptible pour le moment, si ce n'est un gros chat noir installé au soleil et passant obstinément sa patte derrière son oreille. Mauvais signe pour le reste du week-end, me dis je en voyant la scène.
- Non pas de souci, il va faire beau pendant les trois jours à venir, claironne soudain une voix féminine enjouée.
Agée d'une quarantaine d'années la voisine apparait à travers la haie, transportant un panier chargé de bois pour le poêle. D'un gabarit imposant, elle déplace cependant son chargement, ainsi que ses rondeurs, son large fessier et son opulente poitrine, avec une étonnante facilité.
- Très bonne nouvelle, car je suis loin d'avoir terminé tout ce que j'ai à faire, lui répondis je.
- Oui, j'ai vu que vous étiez très actif au jardin… et très polyvalent aussi ajouta t'elle, avec un brin malice dans la voix.
L'énorme fard qui me monta instantanément aux joues empêcha toute réponse cohérente. Pas de doute, la présence que j'avais senti derrière la haie, c'était donc elle. Très certainement témoin de mon petit intermède avec Albert, elle m'a vu accepter de bonne grâce sa saillie, bassin bien cambré et fesses ouvertes, comme une jeune pouliche menée à l'étalon. Peut-être a-t-elle même aussi entendu les grognements de satisfaction du mari de France lorsqu'il m'a craché sa semence.
Sur sa lancée et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle poursuit en demandant si je suis là encore pour quelques jours.
- Vous pourriez venir prendre l'apéritif à la maison, ce soir ou bien demain, ajoute t'elle l'oeil tout à coup étrangement brillant.
- Pourquoi pas, mais il faut que je questionne France sur ce qu'elle a prévu. Je suis à son service et c'est elle qui décide de mon emploi du temps, répondis je.
- C'est amusant cette situation , réplique t'elle en ajoutant, et quel genre de service devez vous lui rendre ?
Sentant la situation évoluer dangereusement vers des questions trop précises, je saisis le prétexte de la porte du jardin qui claquait bruyamment pour aller la fermer en lui criant que je passerai lui donner réponse dès que possible. Puis, attrapant ma pioche, je repris mon travail de terrassier, tout en essayant d'imaginer la suite possible des événements.
Même interdit de jouissance, l'idée d'en voir un peu plus de l'énorme poitrine de la voisine n'était pas pour me déplaire. J'ai toujours aimé les rondeurs féminines très généreuses et adoré leur adresser mille caresses. Et de son côté, peut-être aura t'elle envie de jeter un œil sur mon entrejambe, voire d'y poser des lèvres gourmandes.
La réponse de France coupa court à mes secrètes élucubrations et elle déclara tout de go, clair et net, qu'il était hors de question de frayer avec cette voisine mal élevée et sans gêne dont elle entendait parfois la voix puissante traverser le mur mitoyen et hurler à son mari les pires insultes, où il était souvent question de mollesse récurrente et d'impuissance maladive. Tout penaud, je vins donc presser la sonnette de la voisine pour lui signifier mon regret de ne pouvoir répondre à son invitation.
Ayant probablement pressenti la réponse, elle griffonna un numéro de téléphone sur un petit papier qu'elle me tendit avec un grand sourire. En me raccompagnant à la porte d'entrée, elle me glissa au creux de l'oreille que sa maison m'était ouverte et qu'elle aurait grand plaisir à m'y accueillir pour un séjour de travail d'un jour ou deux. Un peu perturbé par cette proposition vraiment très directe, à subir certainement quelques délicieux outrages, je revins dans la cuisine, un peu songeur, solliciter les consignes de France pour la suite de la journée.
Outre le menu à préparer pour le repas du soir, elle me rappela le passage d'un couple d'amis habitant le village pour l'heure de l'apéritif. Ouvrant ensuite la grande armoire contenant le linge de maison, elle en sortit un tablier de garçon de café. Me poussant devant la psyché du salon après avoir ôté ma laisse, elle hocha la tête avec satisfaction, manifestement contente de voir ainsi élégamment exprimée ma fonction de majordome, affecté à la réception de ses invités.
A SUIVRE...
- tout doux mon bel ami, c'est moi qui donne les consignes et je vous précise qu'il est hors de question que l'un de vous deux puisse avoir son plaisir avant que j'en ai décidé !.
L'effet de ces paroles nous fit l'effet immédiat d'une douche froide. Nos corps se séparérent et j'entendis le claquement sec d'un mousqueton se refermant sur l'anneau de mon sexe. La laisse se tendit, m'obligeant à suivre France à l'extérieur, en direction du jardin.
Au jardin
La silhouette entrevue tout à l'heure n'est plus là. Et c'est bientôt avec une bêche dans les mains que débute ma journée de travail, la laisse négligemment passée autour du cou. Le projet de terrasse est bien avancé, mais il reste encore à décaper quelques centimètres supplémentaires. Voilà qui devrait me calmer les sangs et me replacer dans la situation d'ouvrier agricole/esclave sexuel qui doit rester la mienne tout au long de ce séjour breton.
Travailler physiquement sous ce petit soleil d'hiver n'est pas déplaisant du tout. Je sens mes couilles lourdement lestées par le métal se balancer entre mes jambes au gré de mes mouvements et c'est fort agréable. Mon cul, assoupli par ses visites récentes, apprécie lui aussi la chaleur du soleil.
Concentré sur ma tache, j'entends néanmoins un bruit furtif, puis sens à quelques mètres de moi une présence (presque) silencieuse. Me gardant bien de réagir, je poursuis ma tache, prenant toutefois soin de me baisser un peu plus, histoire de rendre mon entrejambe un peu plus visible à celui (ou celle) qui m'observe.
Tournant lentement sur moi même et me penchant encore davantage pour creuser le sol, j'offre maintenant le spectacle d'un cul soyeux, luisant,et disponible à toutes sortes de visites ainsi qu'une belle paire de couilles allongées par le poids du gros anneau qui les enserre.
- Très beau spectacle que voilà ! dit soudain la voix grave d'Albert, le mari de France.
- Viens donc par ici mon mignon ajouta t'il en se saisissant de la laisse pour m'entraîner vers le fond du jardin.
Tout en marchant, il déboucle son ceinturon, ouvre sa braguette et en extirpe un membre petit et court, mais tout rouge et turgescent. Manifestement mes fesses lui plaisent et le désir d'y plonger sans tarder se lit sur son visage. La capote est en place en un instant et grâce à la laisse, il n'éprouve aucune difficulté à m'attirer à lui. Cherchant sa voie de façon un peu maladroite, il finit par trouver l'ouverture et placer là son petit bout de zan tout dur.
Sans façon, ni préparation supplémentaire, il me pénètre soudain d'une seule poussée, sans provoquer heureusement de dommages grâce aux doigts de France ayant préparé la place. Tout va ensuite très vite, quelques aller-retours frénétiques à une cadence presque aussi rapide que celle des lapins, une soudaine crispation de sa main sur l'un de mes tétons et je sens son jus gicler en moi, en deux petites saccades étriquées.
J'ai à peine eu le temps de commencer à chauffer que déjà ses miaulements essoufflés signalent qu'il vient de prendre son plaisir et va maintenant se retirer.
- Merci, c'était bon, je reviendrai certainement te voir avant mon départ ! , lache t'il en s'éloignant.
Un peu frustré que tout soit déjà terminé, je m'ébroue, réajuste ma tenue et reprends sans mot dire mes activités agricoles, tout en laissant mon esprit vagabonder librement. Même si l'argent peut certainement être une forme de consolation, ce ne doit pas être vraiment drôle de vivre de ses passes à longueur d'années et de se sentir ainsi utiliser, sans façon ni considération, par des mâles en rut, uniquement préoccupés par la recherche égoïste de leur plaisir.
Ce petit intermède eut toutefois l'avantage d'éveiller mes sens et je me sens maintenant en pleine forme, intéressé et disponible pour d'autres petites folies encore.
Du côté de la maison, tout est silencieux, France probablement occupée à l'étage à faire sa toilette. Et de l'autre côté de la cloture, nul mouvement perceptible pour le moment, si ce n'est un gros chat noir installé au soleil et passant obstinément sa patte derrière son oreille. Mauvais signe pour le reste du week-end, me dis je en voyant la scène.
- Non pas de souci, il va faire beau pendant les trois jours à venir, claironne soudain une voix féminine enjouée.
Agée d'une quarantaine d'années la voisine apparait à travers la haie, transportant un panier chargé de bois pour le poêle. D'un gabarit imposant, elle déplace cependant son chargement, ainsi que ses rondeurs, son large fessier et son opulente poitrine, avec une étonnante facilité.
- Très bonne nouvelle, car je suis loin d'avoir terminé tout ce que j'ai à faire, lui répondis je.
- Oui, j'ai vu que vous étiez très actif au jardin… et très polyvalent aussi ajouta t'elle, avec un brin malice dans la voix.
L'énorme fard qui me monta instantanément aux joues empêcha toute réponse cohérente. Pas de doute, la présence que j'avais senti derrière la haie, c'était donc elle. Très certainement témoin de mon petit intermède avec Albert, elle m'a vu accepter de bonne grâce sa saillie, bassin bien cambré et fesses ouvertes, comme une jeune pouliche menée à l'étalon. Peut-être a-t-elle même aussi entendu les grognements de satisfaction du mari de France lorsqu'il m'a craché sa semence.
Sur sa lancée et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle poursuit en demandant si je suis là encore pour quelques jours.
- Vous pourriez venir prendre l'apéritif à la maison, ce soir ou bien demain, ajoute t'elle l'oeil tout à coup étrangement brillant.
- Pourquoi pas, mais il faut que je questionne France sur ce qu'elle a prévu. Je suis à son service et c'est elle qui décide de mon emploi du temps, répondis je.
- C'est amusant cette situation , réplique t'elle en ajoutant, et quel genre de service devez vous lui rendre ?
Sentant la situation évoluer dangereusement vers des questions trop précises, je saisis le prétexte de la porte du jardin qui claquait bruyamment pour aller la fermer en lui criant que je passerai lui donner réponse dès que possible. Puis, attrapant ma pioche, je repris mon travail de terrassier, tout en essayant d'imaginer la suite possible des événements.
Même interdit de jouissance, l'idée d'en voir un peu plus de l'énorme poitrine de la voisine n'était pas pour me déplaire. J'ai toujours aimé les rondeurs féminines très généreuses et adoré leur adresser mille caresses. Et de son côté, peut-être aura t'elle envie de jeter un œil sur mon entrejambe, voire d'y poser des lèvres gourmandes.
La réponse de France coupa court à mes secrètes élucubrations et elle déclara tout de go, clair et net, qu'il était hors de question de frayer avec cette voisine mal élevée et sans gêne dont elle entendait parfois la voix puissante traverser le mur mitoyen et hurler à son mari les pires insultes, où il était souvent question de mollesse récurrente et d'impuissance maladive. Tout penaud, je vins donc presser la sonnette de la voisine pour lui signifier mon regret de ne pouvoir répondre à son invitation.
Ayant probablement pressenti la réponse, elle griffonna un numéro de téléphone sur un petit papier qu'elle me tendit avec un grand sourire. En me raccompagnant à la porte d'entrée, elle me glissa au creux de l'oreille que sa maison m'était ouverte et qu'elle aurait grand plaisir à m'y accueillir pour un séjour de travail d'un jour ou deux. Un peu perturbé par cette proposition vraiment très directe, à subir certainement quelques délicieux outrages, je revins dans la cuisine, un peu songeur, solliciter les consignes de France pour la suite de la journée.
Outre le menu à préparer pour le repas du soir, elle me rappela le passage d'un couple d'amis habitant le village pour l'heure de l'apéritif. Ouvrant ensuite la grande armoire contenant le linge de maison, elle en sortit un tablier de garçon de café. Me poussant devant la psyché du salon après avoir ôté ma laisse, elle hocha la tête avec satisfaction, manifestement contente de voir ainsi élégamment exprimée ma fonction de majordome, affecté à la réception de ses invités.
A SUIVRE...
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