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L’été de mes 13 ans, j’ai eu envie de passer à l’étape supérieure. Il était temps pour moi d’aller jusqu’au bout. De passer l’étape ultime qui était censé faire de moi une femme.
Ma meilleure amie avait presque 16 ans et son copain en avait 19. Lui ne travaillait pas et elle finissait l’école plus tard que moi. Je me retrouvais souvent seule avec lui pendant que nous l’attendions.
C’est lui qui a commencé à jouer avec moi, à me tourner autour, à me lancer des défis. Je suis tombée dedans. Il m’a embrassée en plaquée contre un mur. J’ai aimé ça, je ne l’ai pas repoussé. Je n’ai simplement rien dit. Le lendemain, je ne voulais pas rester seule avec, mais il avait un pouvoir sur moi, je l’ai très vite suivi. Contre le même mur, il m’a embrassée à nouveau et m’a fait jouir avec ses doigts, juste avant de retrouver sa copine et de passer la soirée avec nous comme si rien ne s’était passé.
A cette époque, mes parents ne communiquaient pas, ils n’ont d’ailleurs jamais communiqué. J’avais dit à mon père que j’arrêterais de venir chez lui, sans rien dire à ma mère. Un week-end sur deux, je partais chez mon père, sans jamais y arriver. Je passais mon week-end en ville, avec mes amis qui avaient tous entre 16 et 20 ans. Je dormais dehors lorsque personne ne pouvait m’héberger. Et le dimanche soir, je racontais à ma mère ce que j’avais fait chez mon père.
Mes week-ends se résumaient à boire de l’alcool, flirter, sucer des bites. Souvent plusieurs dans la même journée. Souvent contre des joints, des verres, de la nourriture ou des clopes.
Revenons-en au mur de la gare contre lequel il m’avait embrassée deux fois. Le samedi suivant, il m’a plaquée contre le même mur, a recommencé les baisers et les doigts, en ajoutant un titillage de tétons. On a à nouveau passé la soirée ensemble, puis elle est partie prendre le dernier train pour rentrer. II devait prendre le sien 12 minutes plus tard, mais il ne l’a pas pris. Il a affirmé ne pas pouvoir me laisser seule. Je lui ai dit que j’avais l’habitude, mais il m’a suivie jusque sur la plage. Il m’a aidé à faire le feu, puis s’est installé à côté de moi.
Il m’a fait boire, m’a embrassée, m’a touchée, m’a excitée. Je ne l’ai pas repoussé, j’aimais ce qu’il me faisait. Quand il m’a déshabillée, je ne l’ai pas repoussé, je l’ai laissé continuer à me donner du plaisir. Je l’ai sucé, on s’est caressé.
Quand il a voulu me pénétré, j’ai eu peur. Tout le paradoxe de l’adolescente qui veut jouer et qui se rend compte à la dernière seconde qu’elle n’est pas prête du tout. Il m’a gentiment expliqué que c’était trop tard. Que c’est avant qu’il fallait le dire. Il m’a baisée alors que je le suppliais d’arrêter, il m’a baisée alors que je pleurais, il m’a baisée alors que je lui demandais d’aller doucement. Et quand il a eu fini, il est parti, sans dire un mot, il est juste parti, me laissant plantée là, seule sur la plage, dans mon sang et ma honte.
J’ai arrêté de jouer, j’avais souvent fantasmé de me faire violer, c’était fini. Non, ce n’était pas un jeu. Le sexe n’était pas un jeu, les garçons n’étaient pas un jeu. Tout ça c’était fini. J’ai voulu jouer avec le feu, je me suis brûlée.
J’ai arrêté de sortir, arrêté de voir mes amis, arrêté de fumer. J’ai même arrêté pendant quelques jours de me toucher. Je me suis fermée, coupée du monde.
Puis, j’ai voulu me punir. Me punir d’avoir été si conne, d’avoir pu croire que j’aurais toujours le choix, d’avoir cru qu’on peut arrêter le jeu quand on veut, d’avoir cru que je pouvais jouer avec le feu sans qu’il ne m’arrive rien, d’avoir pensé que j’étais assez forte pour tout surmonter. Alors pour me punir, j’ai recommencé à fumer, j’ai recommencé à boire de l’alcool, j’ai arrêté de travailler pour l’école. Départ pour une phase d’autodestruction.
La bande de baba-cool m’ont pris sous leur aile. J’ai commencé à aller en forêt fumer des joints autour d’un feu. Je me suis calmée. J’ai recommencé à prendre plaisir à être avec des gens, j’ai recommencé à me toucher beaucoup et j’ai très vite eu envie d’avoir une bite dans la bouche.
Mais cette fois-ci je ne suis pas partie à la chasse. J’ai renoué avec mon oreiller et divers autres objets de ma chambre et j’ai cherché l’amour. Quelqu’un qui sera là pour me protéger des autres et de moi-même.
C’est seulement peu de temps avant mes 15 ans, que j’ai retenté l’expérience relation sexuelle. J’étais tombée amoureuse d’un Parisien rencontré sur une plage en Tunisie. J’ai vécu mes premiers orgasmes, plusieurs, beaucoup durant toute la semaine de vacances durant laquelle nous ne nous sommes pas quitté. Il est venu plusieurs fois en Suisse pour me voir. C’était une belle histoire d’amour qui a duré quelques mois et m’a permis de finalement avoir un superbe redémarrage de ma vie sexuelle.
Ma vie sexuelle « d’adulte » démarrait, avec le début de la chasse au Saint Graal Orgasme. Orgasme après lequel je cours sans interruption depuis. Il est ma première pensée tous les matins en me levant. Il est ma dernière pensée avant de dormir le soir… et ce depuis 15 ans…
Ma meilleure amie avait presque 16 ans et son copain en avait 19. Lui ne travaillait pas et elle finissait l’école plus tard que moi. Je me retrouvais souvent seule avec lui pendant que nous l’attendions.
C’est lui qui a commencé à jouer avec moi, à me tourner autour, à me lancer des défis. Je suis tombée dedans. Il m’a embrassée en plaquée contre un mur. J’ai aimé ça, je ne l’ai pas repoussé. Je n’ai simplement rien dit. Le lendemain, je ne voulais pas rester seule avec, mais il avait un pouvoir sur moi, je l’ai très vite suivi. Contre le même mur, il m’a embrassée à nouveau et m’a fait jouir avec ses doigts, juste avant de retrouver sa copine et de passer la soirée avec nous comme si rien ne s’était passé.
A cette époque, mes parents ne communiquaient pas, ils n’ont d’ailleurs jamais communiqué. J’avais dit à mon père que j’arrêterais de venir chez lui, sans rien dire à ma mère. Un week-end sur deux, je partais chez mon père, sans jamais y arriver. Je passais mon week-end en ville, avec mes amis qui avaient tous entre 16 et 20 ans. Je dormais dehors lorsque personne ne pouvait m’héberger. Et le dimanche soir, je racontais à ma mère ce que j’avais fait chez mon père.
Mes week-ends se résumaient à boire de l’alcool, flirter, sucer des bites. Souvent plusieurs dans la même journée. Souvent contre des joints, des verres, de la nourriture ou des clopes.
Revenons-en au mur de la gare contre lequel il m’avait embrassée deux fois. Le samedi suivant, il m’a plaquée contre le même mur, a recommencé les baisers et les doigts, en ajoutant un titillage de tétons. On a à nouveau passé la soirée ensemble, puis elle est partie prendre le dernier train pour rentrer. II devait prendre le sien 12 minutes plus tard, mais il ne l’a pas pris. Il a affirmé ne pas pouvoir me laisser seule. Je lui ai dit que j’avais l’habitude, mais il m’a suivie jusque sur la plage. Il m’a aidé à faire le feu, puis s’est installé à côté de moi.
Il m’a fait boire, m’a embrassée, m’a touchée, m’a excitée. Je ne l’ai pas repoussé, j’aimais ce qu’il me faisait. Quand il m’a déshabillée, je ne l’ai pas repoussé, je l’ai laissé continuer à me donner du plaisir. Je l’ai sucé, on s’est caressé.
Quand il a voulu me pénétré, j’ai eu peur. Tout le paradoxe de l’adolescente qui veut jouer et qui se rend compte à la dernière seconde qu’elle n’est pas prête du tout. Il m’a gentiment expliqué que c’était trop tard. Que c’est avant qu’il fallait le dire. Il m’a baisée alors que je le suppliais d’arrêter, il m’a baisée alors que je pleurais, il m’a baisée alors que je lui demandais d’aller doucement. Et quand il a eu fini, il est parti, sans dire un mot, il est juste parti, me laissant plantée là, seule sur la plage, dans mon sang et ma honte.
J’ai arrêté de jouer, j’avais souvent fantasmé de me faire violer, c’était fini. Non, ce n’était pas un jeu. Le sexe n’était pas un jeu, les garçons n’étaient pas un jeu. Tout ça c’était fini. J’ai voulu jouer avec le feu, je me suis brûlée.
J’ai arrêté de sortir, arrêté de voir mes amis, arrêté de fumer. J’ai même arrêté pendant quelques jours de me toucher. Je me suis fermée, coupée du monde.
Puis, j’ai voulu me punir. Me punir d’avoir été si conne, d’avoir pu croire que j’aurais toujours le choix, d’avoir cru qu’on peut arrêter le jeu quand on veut, d’avoir cru que je pouvais jouer avec le feu sans qu’il ne m’arrive rien, d’avoir pensé que j’étais assez forte pour tout surmonter. Alors pour me punir, j’ai recommencé à fumer, j’ai recommencé à boire de l’alcool, j’ai arrêté de travailler pour l’école. Départ pour une phase d’autodestruction.
La bande de baba-cool m’ont pris sous leur aile. J’ai commencé à aller en forêt fumer des joints autour d’un feu. Je me suis calmée. J’ai recommencé à prendre plaisir à être avec des gens, j’ai recommencé à me toucher beaucoup et j’ai très vite eu envie d’avoir une bite dans la bouche.
Mais cette fois-ci je ne suis pas partie à la chasse. J’ai renoué avec mon oreiller et divers autres objets de ma chambre et j’ai cherché l’amour. Quelqu’un qui sera là pour me protéger des autres et de moi-même.
C’est seulement peu de temps avant mes 15 ans, que j’ai retenté l’expérience relation sexuelle. J’étais tombée amoureuse d’un Parisien rencontré sur une plage en Tunisie. J’ai vécu mes premiers orgasmes, plusieurs, beaucoup durant toute la semaine de vacances durant laquelle nous ne nous sommes pas quitté. Il est venu plusieurs fois en Suisse pour me voir. C’était une belle histoire d’amour qui a duré quelques mois et m’a permis de finalement avoir un superbe redémarrage de ma vie sexuelle.
Ma vie sexuelle « d’adulte » démarrait, avec le début de la chasse au Saint Graal Orgasme. Orgasme après lequel je cours sans interruption depuis. Il est ma première pensée tous les matins en me levant. Il est ma dernière pensée avant de dormir le soir… et ce depuis 15 ans…
Thèmes:
addiction sexuelle, nymphomanie
1 personne aime(nt) ça.
Celui qui m'a fait du mal, je ne pense pas qu'il l'aurait fait si je ne m'étais pas comportée comme ça. Mais ça reste un viol. Je suis responsable de ce viol, je l'ai provoqué, je l'ai peut-être même désiré, mais ça n'en reste pas moins un viol. <br />Plus de 15 ans plus tard, la seule douleur qu'il me reste de cette histoire est contre moi, pas contre lui. Parce que même s'il aurait du s'arrêter quand j'ai dit non, je suis quand même responsable de ce qu'il s'est passé dans le sens ou c'est quelque chose qui aurait pu être évité si mon comportement avait été adéquate. <br /><br />[x=24173]Libertin_123[/x] ça doit être vraiment déstabilisant pour un jeune homme de se retrouver avec une fille comme je l'étais. Je pense effectivement qu'ils ne doivent rien comprendre. C'est tellement pleins de paradoxes.
Le problème quand on fait plus âgé et que tout le monde dit qu'on dirait qu'on a 18 ans, on fini par penser qu'on peut faire comme si on avait 18 ans... On fini par contre qu'on à la maturité nécessaire. Et si on a une vision erronée de l'adulte, ça peut faire encore plus de dégâts. <br /><br />J'ai souvent continué à défier alors que je sentais le danger... Heureusement, tous les hommes ne sont pas mauvais. J'ai eu beaucoup de change, je suis souvent bien tombée.
J'ai lu toutes ces belles confessions. J'avoue que j'ai eu un peu peur à la lecture du titre du premier article (que je n'ai pas liké d'ailleurs).... Mais à force de vous lire, je vous ai ressentie saine et innocente, juste sensuelle et à fleur de peau.<br /><br />Puis (avec ma sale habitude de penser que ceux qui ont des pratiques ou un parcours différent du mien me laisse souvent de glace), je me suis interrogée sur mes premiers émois... Et là, tout comme vous (peut-être pas si tôt non plus), je me suis frottée le sexe contre le nez de mon nounours, j'ai adoré joué aux cow-boys et aux indiens et je me souviens d'avoir senti des "papillons" dans mon bas-ventre alors que mon beau cow-boy (et premier "amoureux") m'avait ligotée en travers d'un cheval à bascule en bois. Je n'ai que ces souvenirs...parce qu'en fait, je n'y avais jamais repensé !<br /><br />A l'adolescence, je faisais gamine physiquement et pourtant dans ma tête j'étais déterminée à faire "sauter cette rondelle" pour être femme. Je n'intéressais les garçons que parce que je partageais leurs jeux (sportive et endurante que j'étais). Mais les sportifs m'emmerdaient et mon terrain de chasse idéal était la fête foraine où la zone des auto-tamponneuses amenait son lot de bad-boys (on les appelait "blousons noirs" à mon époque) au look des mecs du film GREASE ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" /> Mais ceux-là non plus je ne les intéressais pas. Et je trimbalais ma virginité comme un boulet au pied, encaissant de plus les railleries de mes "copains" aînés qui me traitaient volontiers de "pucelle"...<br /><br />Il fallait que je comprenne la recette et toutes les nuits, je potassais les UNION que mon père planquait dans le garage afin d'intégrer les mécanismes de "séduction". Lorsque le grand jour est arrivé, j'avais 14 ans et lui 30. C'était pas terrible comme première expérience et je me suis souvenue que j'avais oublié de "gémir comme dans les films". Mais la formalité était accomplie, j'étais dans le monde des grands et je pouvais me délurer. Ce que j'ai fait à grands renforts de "je me barre par la fenêtre" ou de "je monte à moto dernière n'importe lequel qui m'accepte sur sa selle" ou encore "bien sûr que je fume !" alors que la fumée me sortait par les yeux en me faisant tousser ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/wink.png" alt="Wink" title="Wink" title="v_middle" /><br /><br />Des galères...j'en ai connues, traînant dans les squatts avec des gens inintéressants... J'ai même été vendue à un groupe de types louches une fois et je m'en suis sortie que grâce à mon sang-froid et mon cerveau ! <br /><br />Puis un jour n'a pas ressemblé à un autre... J'avais provoqué, allumé et il m'a attendue alors que je rentrais seule dans la nuit... là ça a été le drame...La tête disait NON mais le corps se tendait de désir ! La douche de plus d'une heure n'a pas suffi pour effacer les stigmates de cette confrontation (je me suis défendue tout de même !). J'ai fini effondrée de douleur, vide de larmes au fond du bac à douche et là, comme vous Soleille, je me suis dit qu'il fallait que je me calme et que je mise sur l'amour.<br /><br />A votre confession intime, j'oppose fébrilement, mais sincèrement, ma contribution.<br /><br />Vos écrits sont magnifiques et captivants. Je ne développe pas plus avant, ne voulant pas leur faire d'ombre ! Merci et bravo pour vos textes. Ca me donne envie d'écrire mes mémoires aussi ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
Bonjour Bergamote,<br /><br />Merci pour votre témoignage et merci pour vos compliments. <br />Votre message m'a touchée. <br /><br />Je trouve impressionnant le nombre de femmes qui se sont fait abusé à l'adolescence. Officiellement 1 sur 4. Mais combien n'ont jamais rien dit, par culpabilité ou par peur...
Aujourd'hui, je le gère comme je peux. J'ai failli perdre mon mari à cause de cela. <br />On dit que les hommes rêvent tous d'avoir une femme addict... mais en réalité ce n'est pas aussi simple. Il s'est senti rabaissé, remisé au rand d'objet sexuel. Comme si c'était la seule chose en lui qui m'intéressait. Et encore, il pensait que je ne le désirais pas lui, que je voulais juste me faire baiser. <br />J'ai du me remettre en question, apprendre à séduire plus subtilement, à lui montrer l'importance qu'il a pour moi. J'ai du apprendre à être plus discrète, à plus me toucher seule et lui laisser le temps d'avoir envie de moi, le temps de lui laisser la chance de me séduire lui aussi. <br />Le BDSM nous aide beaucoup. Il a plus envie, je suis moins demandeuse tout le temps, parce plus satisfaite. On trouve un équilibre qui nous convient. <br />ça lui permet aussi de me punir et d'en jouer. <br />On le vit mieux tous les deux. <br /><br />Je culpabilise souvent. Je me sens pas normal. J'aimerais penser plus à autre chose, j'aimerais en avoir moins besoin. Mais je n'ai arrive pas. C'est toujours présent...
Intéressantes confidences.<br /><br />Il n'y a t'il pas des moments où l'envie est moindre ? des moments en fonction de ton cycle par exemple ou de certains événements de la vie ?
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06/10/15
En fonction du cycle, oui il y a une différence. Lorsque je suis en phase d'ovulation, je suis bonne à enfermer. Heureusement que ça ne dure que 2-3 jours !<br />Pendant les menstruations, je crève d'envie d'orgasme anal... logique <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/wink.png" alt="Wink" title="Wink" title="v_middle" /> Les menstruations me donne envie de brutalité et qu'on ne me touche pas trop (pas de caresses).<br /> <br />Les seules moments ou l'envie a été moindre, c'était mes fins de grossesses. <br /><br />Les événements de la vie influent plutôt sur mes fantasmes. Par exemple si j'ai fais une connerie ou que je culpabilise, j'ai très envie de me faire punir durement, pour évacuer ma faute. Lorsqu'il est adorable ou que je suis émue j'ai envie de faire plaisir et de combler. Quand je suis en colère contre lui, j'ai envie de prendre égoïstement mon propre plaisir, d'ordonner et d'être la seule à jouir. Quand je suis triste, j'ai besoin de tendresse et de douceur, etc.... Donc oui, une influence sur la manière, mais l'envie de diminue pas pour autant.
J'ai adoré lire ces récits, le viol m'a un peu choqué, et je trouve que le mec en question, 6 ans plus vieux a vraiment été un salop, et c'est lui le responsable, vous avez peut-être allumé, mais quand on dit non, il faut arrêter... Heureusement, vous avez pu vous reconstruire. Merci pour cette petite série et cette sincérité.
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23/05/18