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C’était une de ces nuits moites et électriques.
Il s’était assis à une table, près de la porte d’entrée.
Puis elle était entrée dans le bar d’une démarche qui avait fait se retourner toutes les têtes.
Short ultra moulant, jambes interminables s’engouffrant crûment dans une paire de santiags, fesses se balançant au bout du regard captif des hommes.
La lumière pourpre faisait luire des gouttes de sueur sur son dos que couvrait mal un tee-shirt débardeur bien trop large.
Elle s’était approchée du comptoir et s’était quasiment collée à l’homme qui, debout, sirotait un verre.
Elle lui dit d’une voix qui ne souffrait aucune discussion tant sa sensualité était impérieuse, « Par cette chaleur, tu m’offres une bière, l’ami ? »
Il fit un signe de tête au barman qui lui servit une grande chope débordant de mousse.
Elle s’en empara. Frotta la chope fraîche sur ses joues laissant de la mousse s’écouler sur son menton puis dans son cou.
Elle but goulûment une longue gorgée, laissant de la bière s’échapper de la commissure de ses lèvres et couler dans son cou et entre ses seins.
« Cela fait du bien mais il fait encore chaud, l’ami. Tu ne crois pas ? »
Et rejetant animalement sa tête en arrière, elle renversa tout le restant de sa chope sur sa poitrine ferme et opulente, collant comme une deuxième peau son débardeur sur ses seins et son ventre, trempant aussi le devant de son short.
Elle s’amusa à regarder couler les traînées de bière sur l’intérieur de ses cuisses et jusque dans ses bottes.
« Mmmmm voilà qui va mieux… »
Elle prit la main de l’homme et la plaqua sur son sein, alors que sa propre main s’emparait de son entrejambe et massait ouvertement ses bourses et son sexe maintenant bien à l’étroit dans son pantalon.
Elle déplaça la main de l’homme pour qu’il agrippe le tissu de son tee-shirt entre ses seins et lui dit « enlève-moi ça, ça me gêne. »
Il tira dessus pendant que la femme se penchait violemment vers l’arrière ; et le vêtement se déchira de part en part dans un grand et long crissement liquide, libérant définitivement sa poitrine luisante.
Elle s’agenouilla dans la flaque de poussière et de bière qui était à ses pieds et dégrafa le pantalon qui était devant son nez.
« Voyons cela » dit-elle l’air gourmand.
Elle en sortit un sexe déjà de belle taille, le saisit à pleine main et l’enfouit dans sa bouche vorace.
Elle le lécha et le pompa avec vigueur, l’engloutissant au plus profond de sa gorge, enfouissant son visage dans le bas-ventre de son partenaire, qu’elle pressait sur elle en ayant vigoureusement empoigné ses fesses.
Au bout d’un moment l’homme saisit sa chevelure pour essayer d’imprimer son rythme à cette furie qui lui procurait des frissons incroyables. Il commença à gémir et allait venir quand elle se détacha de lui, ôta rapidement son short et dégagea rageusement la table la plus proche pour aplatir sa poitrine sur sa surface dégoulinante, présentant une croupe prodigieuse à l’homme qu’elle suçait depuis plusieurs minutes.
« Lâche-toi l’ami, mon cul en feu n’attend plus que ta bite. Tu as un incendie à éteindre de ta lance ! »
A ces mots crus, l’homme se jeta sur elle et la pénétra d’un coup formidable.
Elle poussa un grand ahanement puis l’encouragea des fesses et de la voix par des paroles de plus en plus ordurières.
Au bout de quelques minutes, l’homme n’y tint plus, se dégagea et l’arrosa de longs jets de sperme sur ses fesses, son dos et même ses cheveux.
Harassé, il tituba et faillit tomber s’il ne s’était pas rattrapé au comptoir.
Elle se redressa, remit son short, laissa les restes de son tee-shirt à terre, s’approcha de l’homme, l’embrassa à pleine bouche en lui disant « merci mon vieux, t’as assuré ».
Et s’éloigna lentement du bar vers la sortie, pour aller s’asseoir par terre, près de l’entrée, aux pieds de l’Homme qui était assis à une table et qui, levant lentement le bras, commanda d’une voix grave et tranquille « Deux whiskies… Du single malt s’il vous plaît. »
Il s’était assis à une table, près de la porte d’entrée.
Puis elle était entrée dans le bar d’une démarche qui avait fait se retourner toutes les têtes.
Short ultra moulant, jambes interminables s’engouffrant crûment dans une paire de santiags, fesses se balançant au bout du regard captif des hommes.
La lumière pourpre faisait luire des gouttes de sueur sur son dos que couvrait mal un tee-shirt débardeur bien trop large.
Elle s’était approchée du comptoir et s’était quasiment collée à l’homme qui, debout, sirotait un verre.
Elle lui dit d’une voix qui ne souffrait aucune discussion tant sa sensualité était impérieuse, « Par cette chaleur, tu m’offres une bière, l’ami ? »
Il fit un signe de tête au barman qui lui servit une grande chope débordant de mousse.
Elle s’en empara. Frotta la chope fraîche sur ses joues laissant de la mousse s’écouler sur son menton puis dans son cou.
Elle but goulûment une longue gorgée, laissant de la bière s’échapper de la commissure de ses lèvres et couler dans son cou et entre ses seins.
« Cela fait du bien mais il fait encore chaud, l’ami. Tu ne crois pas ? »
Et rejetant animalement sa tête en arrière, elle renversa tout le restant de sa chope sur sa poitrine ferme et opulente, collant comme une deuxième peau son débardeur sur ses seins et son ventre, trempant aussi le devant de son short.
Elle s’amusa à regarder couler les traînées de bière sur l’intérieur de ses cuisses et jusque dans ses bottes.
« Mmmmm voilà qui va mieux… »
Elle prit la main de l’homme et la plaqua sur son sein, alors que sa propre main s’emparait de son entrejambe et massait ouvertement ses bourses et son sexe maintenant bien à l’étroit dans son pantalon.
Elle déplaça la main de l’homme pour qu’il agrippe le tissu de son tee-shirt entre ses seins et lui dit « enlève-moi ça, ça me gêne. »
Il tira dessus pendant que la femme se penchait violemment vers l’arrière ; et le vêtement se déchira de part en part dans un grand et long crissement liquide, libérant définitivement sa poitrine luisante.
Elle s’agenouilla dans la flaque de poussière et de bière qui était à ses pieds et dégrafa le pantalon qui était devant son nez.
« Voyons cela » dit-elle l’air gourmand.
Elle en sortit un sexe déjà de belle taille, le saisit à pleine main et l’enfouit dans sa bouche vorace.
Elle le lécha et le pompa avec vigueur, l’engloutissant au plus profond de sa gorge, enfouissant son visage dans le bas-ventre de son partenaire, qu’elle pressait sur elle en ayant vigoureusement empoigné ses fesses.
Au bout d’un moment l’homme saisit sa chevelure pour essayer d’imprimer son rythme à cette furie qui lui procurait des frissons incroyables. Il commença à gémir et allait venir quand elle se détacha de lui, ôta rapidement son short et dégagea rageusement la table la plus proche pour aplatir sa poitrine sur sa surface dégoulinante, présentant une croupe prodigieuse à l’homme qu’elle suçait depuis plusieurs minutes.
« Lâche-toi l’ami, mon cul en feu n’attend plus que ta bite. Tu as un incendie à éteindre de ta lance ! »
A ces mots crus, l’homme se jeta sur elle et la pénétra d’un coup formidable.
Elle poussa un grand ahanement puis l’encouragea des fesses et de la voix par des paroles de plus en plus ordurières.
Au bout de quelques minutes, l’homme n’y tint plus, se dégagea et l’arrosa de longs jets de sperme sur ses fesses, son dos et même ses cheveux.
Harassé, il tituba et faillit tomber s’il ne s’était pas rattrapé au comptoir.
Elle se redressa, remit son short, laissa les restes de son tee-shirt à terre, s’approcha de l’homme, l’embrassa à pleine bouche en lui disant « merci mon vieux, t’as assuré ».
Et s’éloigna lentement du bar vers la sortie, pour aller s’asseoir par terre, près de l’entrée, aux pieds de l’Homme qui était assis à une table et qui, levant lentement le bras, commanda d’une voix grave et tranquille « Deux whiskies… Du single malt s’il vous plaît. »
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