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Il est à son travail depuis ce matin, quand elle se lève. Il ne devrait plus tarder, ayant pris son après-midi. Tout en se réveillant, elle se dirige vers la cuisine.
Elle s'arrête.
Par terre, un papier, écrit, l'attend....
Ce n'est pas ainsi qu'elle avait prévu sa journée...
Enfin sur la piste cyclable, Il envoie à toute allure son vélo sans risque de faire une mauvaise rencontre avec une voiture. Il y a toujours les autres cyclistes ou des lapins qui peuvent traverser, mais Il peut rouler à sa guise.
Dans une heure, Il saura ….
Dans l'appartement, le cœur battant par son cyclisme de retour de bureau, Il écoute.
Pas un bruit …
Aurait-elle...?
Peut-être …
Cette fois, c'est l'excitation qui Lui fait battre le cœur …
Aurait-elle …..?
Peut-être …
Après avoir jeté un œil dans tout l'appartement, Il la trouve, couchée sur le lit. L'éclat de sa peau est resplendissant sous ce soleil d'été qui passe par la fenêtre.
Elle est chaude.... la caresse de Sa main la fait tressaillir, mais seul le tintement de ses menottes perce ce silence si étrange, paradoxal....
Sa main remonte vers son cou, entravé par son collier et la lanière en cuir du bâillon qu'Il lui avait ordonné de mettre pour L'attendre. Il termine sa caresse sur sa tête, serrée par un bandeau au doux tissus.
Fixant la laisse à son collier, Il la fait descendre du lit et mettre à genoux sur un coussin au sol.
Puis, Il s'assied face à elle.
« N'es-tu pas fière de M'appartenir ? «
Un signe de le tête Lui répond.
« Alors, redresse-toi » fait-Il en faisant remonter ses seins avec Sa cravache.
« Je te félicite, tu as respecté mes consignes. » dit-Il en contemplant sa soumise.
« J'espère que tu as passé un bon moment à te préparer, m'attendre ainsi.... »
Elle fait à nouveau signe de tête, tout en bombant d'avantage sa poitrine, exigé par une claque de la cravache.
« J'ai prévu une surprise pour ce soir, récompense de ta journée. Mais pour le moment, je vais te donner celle de m'avoir fait cette agréable surprise. »
A ces mots, Il s'approche de la bouche de sa soumise, membre tendu.
C'était une première. La première fois qu'elle L'attendait ainsi et qu'Il assouvissant ce fantasme. Il n'attendait pas mieux que sa soumise s'offre à Lui, en se faisant désirer.
Sans attendre, elle prit sa queue juste après avoir perdu son bâillon.
« Doucement... déguste » . Il la regarde faire, faire des va-et-vient, doucement....
« L'attente n'a pas été trop longue ? … Pas trop vite, j'ai dit.... Ne sois pas pressée, tu vas avoir toute l'après-midi... »
Il prend sa tête entre ses mains pour la forcer à ralentir. Elle en voulait plus, le jeu de la frustration bat son plein.
« Suffit ! »Il se retire, la bâillonne et empoigne la laisse. Se dirigeant vers le salon, Il la fait asseoir sur le divan et lui met ses talons.
« Ma soumise va me servir, et mangera aussi à Mes côtés. »
Sur ces mots, Il l'abandonne pour la cuisine.
Il aime cuisiner ; le temps passe. Aveuglée par le bandeau, seul le tintement de casseroles lui dit que son Maître ne sera pas la tout de suite... Peut-être prend-Il tout son temps …
Les menottes sont défaites et le bandeau retiré.
« Tout est dans la cuisine. Sois fière de me servir, et Je serai peut-être plus rapide pour la suite ».Acquiesçant de la tête, elle ne manque pas le petit sourire qu'Il a au coin de la bouche.
Tout était prêt dans la cuisine ; son Maître avait disposé tout le menu dans les assiettes, il ne restait plus qu'à servir. Elle dépose l'assiette devant son Homme, qui lui indique aussitôt de s'asseoir à côte de Lui.
« Pas toujours facile, la patience, n'est-ce-pas ?
Non, Maître, vous avez pris votre temps en plus.
Je ne t'ai pas réveillé ce matin, et tu savais à quelle heure j'allais arriver.
Je ne parlais pas de ce moment, Maître
Ha ?
A vous attendre sur le divan, c'était très long...
Il n'a pas à m'attendre, tu t'offres à Moi. Cette après-midi, je fais ce que je veux de toi et la seule chose que j'attends de toi, c'est que tu me sois constamment offerte – et disponible, évidemment.
Je le suis, Maître
Je sais, ma Fierté, je sais. Et c'est bien pour cela que j'avais décidé de consacrer cette journée exclusivement à nous 2. A présent, mange et maintiens le bon niveau de Service ».
A ces mots, elle s'exécute et ne tarde pas à rapporter la suite du repas.
Ils ne parlent presque pas, mais des regards sont échangés, Il la caresse à différents endroits du corps, du bout des seins jusqu'à son sexe, bien humide. Elle lui dépose un baiser dans son cou, Il frissonne. Brutalement, Il la saisit par la nuque, colle sa bouche à la sienne et la remplit de sa langue. Emporté par la fougue, se lève, la plaque contre le mur, soulève sa jambe tandis que l'autre main fouille son intimité.
« Tu sais ce que ça peut te coûter cela ?
Oui, Maître
Tu serais trop contente que je continue cette punition
... Oui, Maître !
Ce n'est pas le dessert
Je suis votre dessert
C'est trop simple »
La relâchant, Il lui remet les menottes et la fait rasseoir.
« Je veux un dessert à point, tu comprends ce que Je veux dire ? »
C'est sur ce clin d’œil qu'Il revient avec 2 religieuses au chocolat, son dessert favori.
Elle l'apprécie de la Main de son Maître, qui prend plaisir à lui offrir ces choux fourrés.
Quand elle eut fini, Il lui remet le bandeau sur les yeux et la prend par son collier.
Il l'installe sur la table basse, à genoux, face au divan. Prenant son temps, Il menotte ses mains dans son dos et l'embrasse, avant de la bâillonner avec une boule.
« Tiens-toi droite et fière », dit-il en entamant son dessert, assis face à elle. « Je t'aime, ma soumise ».
<Fin de la première partie>
Elle s'arrête.
Par terre, un papier, écrit, l'attend....
Ce n'est pas ainsi qu'elle avait prévu sa journée...
Enfin sur la piste cyclable, Il envoie à toute allure son vélo sans risque de faire une mauvaise rencontre avec une voiture. Il y a toujours les autres cyclistes ou des lapins qui peuvent traverser, mais Il peut rouler à sa guise.
Dans une heure, Il saura ….
Dans l'appartement, le cœur battant par son cyclisme de retour de bureau, Il écoute.
Pas un bruit …
Aurait-elle...?
Peut-être …
Cette fois, c'est l'excitation qui Lui fait battre le cœur …
Aurait-elle …..?
Peut-être …
Après avoir jeté un œil dans tout l'appartement, Il la trouve, couchée sur le lit. L'éclat de sa peau est resplendissant sous ce soleil d'été qui passe par la fenêtre.
Elle est chaude.... la caresse de Sa main la fait tressaillir, mais seul le tintement de ses menottes perce ce silence si étrange, paradoxal....
Sa main remonte vers son cou, entravé par son collier et la lanière en cuir du bâillon qu'Il lui avait ordonné de mettre pour L'attendre. Il termine sa caresse sur sa tête, serrée par un bandeau au doux tissus.
Fixant la laisse à son collier, Il la fait descendre du lit et mettre à genoux sur un coussin au sol.
Puis, Il s'assied face à elle.
« N'es-tu pas fière de M'appartenir ? «
Un signe de le tête Lui répond.
« Alors, redresse-toi » fait-Il en faisant remonter ses seins avec Sa cravache.
« Je te félicite, tu as respecté mes consignes. » dit-Il en contemplant sa soumise.
« J'espère que tu as passé un bon moment à te préparer, m'attendre ainsi.... »
Elle fait à nouveau signe de tête, tout en bombant d'avantage sa poitrine, exigé par une claque de la cravache.
« J'ai prévu une surprise pour ce soir, récompense de ta journée. Mais pour le moment, je vais te donner celle de m'avoir fait cette agréable surprise. »
A ces mots, Il s'approche de la bouche de sa soumise, membre tendu.
C'était une première. La première fois qu'elle L'attendait ainsi et qu'Il assouvissant ce fantasme. Il n'attendait pas mieux que sa soumise s'offre à Lui, en se faisant désirer.
Sans attendre, elle prit sa queue juste après avoir perdu son bâillon.
« Doucement... déguste » . Il la regarde faire, faire des va-et-vient, doucement....
« L'attente n'a pas été trop longue ? … Pas trop vite, j'ai dit.... Ne sois pas pressée, tu vas avoir toute l'après-midi... »
Il prend sa tête entre ses mains pour la forcer à ralentir. Elle en voulait plus, le jeu de la frustration bat son plein.
« Suffit ! »Il se retire, la bâillonne et empoigne la laisse. Se dirigeant vers le salon, Il la fait asseoir sur le divan et lui met ses talons.
« Ma soumise va me servir, et mangera aussi à Mes côtés. »
Sur ces mots, Il l'abandonne pour la cuisine.
Il aime cuisiner ; le temps passe. Aveuglée par le bandeau, seul le tintement de casseroles lui dit que son Maître ne sera pas la tout de suite... Peut-être prend-Il tout son temps …
Les menottes sont défaites et le bandeau retiré.
« Tout est dans la cuisine. Sois fière de me servir, et Je serai peut-être plus rapide pour la suite ».Acquiesçant de la tête, elle ne manque pas le petit sourire qu'Il a au coin de la bouche.
Tout était prêt dans la cuisine ; son Maître avait disposé tout le menu dans les assiettes, il ne restait plus qu'à servir. Elle dépose l'assiette devant son Homme, qui lui indique aussitôt de s'asseoir à côte de Lui.
« Pas toujours facile, la patience, n'est-ce-pas ?
Non, Maître, vous avez pris votre temps en plus.
Je ne t'ai pas réveillé ce matin, et tu savais à quelle heure j'allais arriver.
Je ne parlais pas de ce moment, Maître
Ha ?
A vous attendre sur le divan, c'était très long...
Il n'a pas à m'attendre, tu t'offres à Moi. Cette après-midi, je fais ce que je veux de toi et la seule chose que j'attends de toi, c'est que tu me sois constamment offerte – et disponible, évidemment.
Je le suis, Maître
Je sais, ma Fierté, je sais. Et c'est bien pour cela que j'avais décidé de consacrer cette journée exclusivement à nous 2. A présent, mange et maintiens le bon niveau de Service ».
A ces mots, elle s'exécute et ne tarde pas à rapporter la suite du repas.
Ils ne parlent presque pas, mais des regards sont échangés, Il la caresse à différents endroits du corps, du bout des seins jusqu'à son sexe, bien humide. Elle lui dépose un baiser dans son cou, Il frissonne. Brutalement, Il la saisit par la nuque, colle sa bouche à la sienne et la remplit de sa langue. Emporté par la fougue, se lève, la plaque contre le mur, soulève sa jambe tandis que l'autre main fouille son intimité.
« Tu sais ce que ça peut te coûter cela ?
Oui, Maître
Tu serais trop contente que je continue cette punition
... Oui, Maître !
Ce n'est pas le dessert
Je suis votre dessert
C'est trop simple »
La relâchant, Il lui remet les menottes et la fait rasseoir.
« Je veux un dessert à point, tu comprends ce que Je veux dire ? »
C'est sur ce clin d’œil qu'Il revient avec 2 religieuses au chocolat, son dessert favori.
Elle l'apprécie de la Main de son Maître, qui prend plaisir à lui offrir ces choux fourrés.
Quand elle eut fini, Il lui remet le bandeau sur les yeux et la prend par son collier.
Il l'installe sur la table basse, à genoux, face au divan. Prenant son temps, Il menotte ses mains dans son dos et l'embrasse, avant de la bâillonner avec une boule.
« Tiens-toi droite et fière », dit-il en entamant son dessert, assis face à elle. « Je t'aime, ma soumise ».
<Fin de la première partie>
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