Athos
par le 07/05/15
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Elle arrive au lieu de rendez-vous enfin.

Pour ma soumise du jour, c’est rendez-vous secret et fantasme en extérieur.

Je lui ai donné rendez-vous sur un parking d’un super marché à plusieurs étages près de chez moi et pas très loin de chez elle, en plein après-midi mais un dimanche.

Je la voie arrivé et se garé là où je le lui ai dit.

Elle descend de la voiture, elle porte une robe d’été légère avec un gros décolleté, des bas et des talons.

Elle me cherche du regard mais je suis à un endroit ou moi je peux l’observer et où elle ne peut pas me voir.

Je téléphone sur son portable en restant hors de vue et lui ordonne de prendre le premier accès au sous-sol, la sortie 14.

Pendant ce temps moi je file l’attendre dans ma voiture.

Elle descend au sous-sol et cherche du regard, aperçoit ma voiture garé dans ce parking sombre et désert et se dirige vers elle.

Elle marche vite pour me rejoindre, même s’il n’y a personne, l’ambiance du lieu surement, je sais que déjà rien que cela lui fait monter son rythme cardiaque et l’excite.

Je sors pour la recevoir, les bruits de portière résonnent. « Bonjour maitre » me dit-elle d’une voie étouffé pour ne pas que sa voie résonne dans le sous-sol tout en regardant autour de nous si il n’y a personne.

Je lui réponds d’une voie forte et qui résonne, puis lui ordonne de se mettre face contre la voiture, les jambes encartées pour qu’elle me présente ses hommages et que je l’inspecte comme il se doit.

Elle hésite, c’est la journée, certes le parking souterrain est désert mais il y a du passage.

Elle finit par s’exécuter.

Je commence par lui toucher les chevilles puis je remonte doucement.

Elle cherche du regard si quelqu’un vas nous voir.

Pendant ce temps je remonte vers son entrejambe.

Je vérifie qu’elle n’as pas de culotte et qu’elle a mis des bas comme je le lui ai demandé et en même temps je vérifie qu’elle mouille bien.

Parfait ca l’excite, sons entrejambe commence à dégouliné.

Je remonte et soulève sa jupe pour laisser apparaitre ses fesses.

Elle ne dit rien mais son expression corporelle me fait dire qu’elle est gênée et qu’elle a, à la fois peur et envie.

Je laisse retomber sa jupe et lui caresse le bas ventre, puis son ventre, puis je lui prends les seins à pleine main.

Sa respiration se fait saccadée, elle la retient.

Je passe ma main dans son décolleté pour être sûr qu’elle n’as pas de soutien-gorge comme je le lui ai ordonné.

Bien !

Je la plaque contre la voiture et me plaque contre elle, je lui tire les cheveux pour ramener sa tête en arrière et lui susurré a l’oreille. « T’a envie que je te prenne maintenant et ici ? Avoue ! Tu as envie que je te déshabille au vue des passants et que je te prenne en levrette à la vue de tous pour qu’ils sachent la chienne que tu es ? »

Elle ne répond pas tout de suite, elle hésite, la peur se mêlant a l’envie.

Sa réponse est trop longue. « Oui maitre mais… ».

Je lui ordonne de se taire.

Elle ose me dire « mais » à moi ? Son maitre ? Ma question n’était que pure rhétorique.

Je la retourne de force, elle me regarde.

Je lui dis le fond de ma pensé et elle sait qu’elle va être punie pour cela.

Je la force à se mettre à genoux derrière la voiture et sort mon sexe que j’enfourne dans sa bouche de force.

Elle s’étouffe avec et tente de se retirer.

Je la bloque de mes mains et commence à l’obliger à me sucer, elle bave, s’étouffe, des larmes coulent sur son visage mais prend bien vite mon sexe a la main pour finir ce que j’ai commencé.

Je lui ordonne de son autre main de sortir ses gros seins de son décolleté et de se caresser pendant qu’elle me suce.

Elle obéit.

Avant que je ne jouisse, je lui ordonne d’arrêter et de monter en voiture en lui ouvrant la porte côté passager.

Elle s’installe et est surprise, quand, en fait, je me mets moi derrière elle et lui ordonne de me donner ses mains de chaque côté du fauteuil.

Elle s’exécute et alors je lui attache les bras dans le dos en travers du fauteuil, ainsi elle ne peut plus bouger.

Elle est surprise et exciter à la fois.

Je sors et viens prendre la place conducteur.

Puis nous roulons.

Je sens la tension monté pour elle, elle a peur que l’on nous voie.

Je remonte sa jupe pour entre apercevoir sa chatte.

Elle tourne sa tête vers moi pour tenter de protester par reflexe puis s’aperçoit de sa méprise et ne dit plus rien.

Sa chatte ruisselle.

J’en profite pour lui mettre un doigt, puis deux, continuant mes vas et viens tout en roulant.

Elle pousse de petit soupir de plaisir et ne fait plus attention au gens à l’extérieur qui en réalité ne s’aperçoivent de rien et ne s’en intéressent aucunement vue que nous roulons.

Je sors mes doigts d’elle et lui ordonne de lécher.

Elle s’exécute mais je lui mets une gifle pour mon plaisir.

Elle lâche un petit crie.

Je l’insulte et l’humilie verbalement tout en alternant entre lui mettre des gifles et la doigter.

Nous arrivons dans une petite route de campagne ou je le sais il n’y a quasiment jamais personne.

J’en profite donc pour lui sortir les seins de son décolleté à la vue de tous.

Elle cherche du regard si quelqu’un la voie mais n’ose rien dire.

Je continue comme ça à rouler quelque temps recommençant mon manège mais en lui giflant les seins en plus.

Sa chatte devient un torrent.

Je m’arrête sur le bas-côté et sort une boule en caoutchouc dure avec des troue dedans que je mets dans sa bouche et que j’attache avec les lanières en cuir autour de sa tête.

Elle est la ballonné, attaché, seins nue, chatte apparente, ruisselant d’envie et de honte.

Je reprends la route.

Elle surveille chaque croisement des yeux.

Nous croisons quelque voiture.

Mais qui, à la vitesse à lequel nous nous croisons ne peuvent pas nous voir.

Mais elle, elle ne le sait pas et cela l’excite.

Nous arrivons enfin dans un bois de ma connaissance ou personne ne vas.

Je me gare et ouvre les portes, passe à l’arrière et lui détache les bras.

Elle sort de la voiture, je viens derrière elle et lui rattache les bras devant elle.

Je lui passe un collier de chienne et une laisse en métal puis je lui mets un bandeau sur les yeux.

Et la balade dans le bois comme ça quelque temps.

Arrivé à un endroit loin du sentier, je lui enlève son bandeau, la détache, pose mon sac à terre pour qu’elle voie que j’ai pris du matériel, lui retire sa chaine mais laisse le collier et enlève son bâillon.

Pendant que je fouille mon sac, je lui ordonne de se foutre à poil mais de garder bas et talon.

Elle s’exécute mais tout en regardant sans cesse autour d’elle.

Elle est gêné j’aime ça.

Je pose une couverture sur le sol et lui ordonne de se mettre à genoux puis je mets ma bite dans sa bouche.

Elle me suce pendant que je fouille dans mon sac et sort une corde.

Je lui attache une main avec.

Puis sort de sa bouche et vas passer la corde autour d’un arbre proche.

Tire dessus l’obligeant à se lever pour venir se placer près de l’arbre.

Je fais le tour avec la corde et l’attache à un autre arbre pas loin puis attache l’extrémité a son autre main.

Voilà elle est attaché entre 2 arbres, nue dans les bois et à ma merci.

Je ressors la boule en caoutchouc lui met dans la bouche puis commence à la caresser de partout, doucement.

Ses jambes, ses fesses, son sexe, ses seins, son coup, son ventre, ses bras, il n’y a pas un endroit sur son corps ou mes mains ne la caresse pas, à part peut-être ses pieds toujours chaussé de talon qui s’enfonce dans la terre.

Je sors de mon sac un martinet.

Elle me regarde avec des yeux de chienne battue, pourtant ce n’est pas encore le cas.

Je commence par lui fouetter les seins mollement avec mon martinet.

Puis le ventre, les fesses et enfin le sexe.

A chaque coup elle se tend, elle sursaute, elle pousse un petit crie puis un soupir de soulagement ou de plaisir.

Je caresse ses fesses zébré de rouge, les écartes et crache dedans.

Je continue a tourné autour d’elle a alterné entre les gifles dans sa gueule et les coups de martinet, lui crachant de temps en temps sur le visage ou le corps puis je prends ses hanche a deux main, relève son cul pour le tendre en arrière, sort ma queue et la prend violement.

tout en lui donnant des coups de rein, je lui gifle les fesses ou les seins et puis j’arrête tout aussi violement.

La séance continue ainsi alternant les moments de souffrances et de plaisir.

Puis je fais le tour, me place devant elle et lui annonce que j’y vais.

Que je vais revenir mais pas tout de suite.

L’incompréhension et l’anxiété se lit sur son visage.

Je la détache pour pas qu’elle est mal et lui dit de rester là, à genoux sans bouger que je reviens.

Et je pars, la voilà nue, seule, dans des bois qu’elle ne connait pas, une boule dans le bouche, à la merci du regard de n’importe quel promeneur.

Je reste pas loin, hors de sa vue mais assez pour la voir et vérifier que dans les alentours il n’y as personne.

Au bout de quelques minutes, lorsque je sais que son esprit a eu le temps de s’imaginer mille chose, telle que la honte et l’humiliation d’être découverte ainsi ou alors le faite que je l’ai abandonner ici puis je reviens.

Elle n’a pas bougé, bonne petite chienne.

A peine arrivé, je remets mon sexe dans sa bouche et lui ordonne de le nettoyer, ce qu’elle fait avidement.

Puis lui dit de se mettre à 4 pattes, que je vais la prendre comme la chienne qu’elle est.

Elle obéi sans se faire prier.

Je commence à la prendre doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort.

J’écarte son petit cul pour commencer, puis lorsque les mouvements se font plus rudes je lui attrape les hanches pour donner plus d’ampleur et de force à mes coups.

Je ralentie un peu et lui ordonne à elle de venir, je ne bougerai plus, à elle de me montrer qu’elle aime ça, de me montrer ce qu’elle sait faire pour remercier son maitre.

Elle fait des mouvements saccadé pour prendre plus son pieds, puis y vas franchement me fait presque reculer à chaque coup de bite qu’elle s’inflige.

Les bois résonnent de ses fesses qui claques contre mon bas ventre pendant que tour à tour je lui caresse ou lui gifles ses seins.

Par son attitude corporelle, je sens qu’elle va venir alors je stoppe tout.

Je me penche sur elle et lui dit « tu crois que tu vas jouir ? Tu crois que j’en ai fini avec toi ? Ho que non, tu finiras quand JE te le dirais. J’ai encore prévue plein de truc pour toi »

je sors d’elle, la met sur le dos, je sais que le changement de position vas la calmer un peu.

J’en profite pour faire un peu duré puis la met sur le dos, la pénètre tout doucement, caresse tout son corps lentement.

Elle ferme les yeux, j’en profite pour lui mettre de petites gifles douces sur son visage, sur ses seins puis je me fixe.

Elle ouvre les yeux surprise.

je la préviens que je vais maltraiter ses seins. elle me regarde et de son visage doux dit oui d’un battement de tête.

Je la pince, la caresse, la mord de plus en plus fort et enfin y met des pinces relier par une chaine puis reprend mes vas et viens.

A bout d’un moment, je lui dis de changer de position, c’est moi qu’y m’allonge et lui demande de venir s’empaler sur moi mais dos à moi.

Elle s’exécute, une fois fait je lui tords les bras dans le dos, les attaches ensemble avec la corde et m’en sert comme appuis pour la pénétrer violement, elle crie, elle bave à la commissure de ses lèvres rendu ouverte par la boule.

Je lui attache sa laisse dans son collier et tire dessus pour l’étrangler modérément pendant que je la défonce, je tire sur la petite chaine qui relie les deux pinces à ses seins ou lui met des fessés.

Puis je ralentie et lui enlève toute ses attaches.

Je lui demande si ça lui a plu.

Elle me dit que oui.

Alors je lui dis qu’elle se tourne vers moi et qu’elle me montre sa reconnaissance du mieux qu’elle peut.

Elle prend mon sexe et l’enfonce en elle d’un seul coup.

Me chevauche, caresse mon torse, m’embrasse, et donne tout ce qu’elle a.

Elle crie n’ayant plus le boule dans sa bouche, elle se fait plaisir, ses crie raisonne dans les bois, j’imagine les randonneurs qui passerais pas loin, ils ne mettraient pas longtemps à remonter l’origine de ses cries.

Elle accélère, les coups s’intensifie, elle ferme les yeux tend la tête en arrière, elle n’est pas loin, elle me demande d’une voie plus forte que ce qu’elle aurait voulue l’autorisation de jouir.

Ce que je lui donne et en profite moi aussi pour jouir, nous finissons ainsi.

Elle ralentie tout en tremblant et me demande de ne plus bouger.

Je passe pour cette fois sur l’outrecuidance de sa demande mais elle se rend compte de l’erreur qu’elle vient de faire en tant que soumise et me regarde attendant le châtiment.

Je compte pas la punir mais elle attend cela alors je lui dit de descendre et de nettoyer mon sexe avec sa langue, pendant qu’elle le fait je lui met des gifles en lui ordonnant de s’excuser et de me remercier, ce qu’elle fait.

Une fois terminé, nous nous rhabillons, rangeons le matériel, et débriefons ensemble.

Elle a les joues rouges et le sourire aux lèvres.

Il est temps de rentrer.
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